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Robert Ménard, nouveau ou ancien réac ?
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Derniers commentaires
J’ai toujours été conservateur sur les questions de société
Si je ne m'abuse, Ménard est un ancien séminariste.
Si je ne m'abuse, Ménard est un ancien séminariste.
[large]Reporters sans frontières a 25 ans[/large].Robert Ménard fut un de ses fondateurs. Il l'a longtemps dirigé. Il a laissé la place à Jean-François Julliard. Comment s'est fait ce départ et cette succession ? apparemment sans problème. Il est pourtant très rare de voir un dirigeant-fondateur quitter son poste sans qu'on le mette dehors.
Ménard a su profiter des jeux olympiques de Pékin en 2008 pour mettre l'accent sur les promesses non tenues par la Chine quand elle avait obtenu les jeux. L'affiche de RSF, avec ces cinq menottes en guise d'anneaux olympiques, était remarquable.
Mais certains commentateurs de cet article veulent réduire le travail de RSF à la seule action à l'encontre de la Chine.
Le nel Obs, qui célèbre ce quart de siècle d'existence, montre que de la Côte d'Ivoire à la Russie, du Mexique à la Thailande, de la tunisie à Cuba, sans oublier l'Iran et la Lybie, RSF se bat pour la liberté de la presse partout et pas qu'en Chine. Ce dont témoigne le dossier du Nel Obs.
Il ne faudrait pas amalgamer les dérives zemmouriennes de son ex-dirigeant avec l'action indispensable de RSF.
Ménard a su profiter des jeux olympiques de Pékin en 2008 pour mettre l'accent sur les promesses non tenues par la Chine quand elle avait obtenu les jeux. L'affiche de RSF, avec ces cinq menottes en guise d'anneaux olympiques, était remarquable.
Mais certains commentateurs de cet article veulent réduire le travail de RSF à la seule action à l'encontre de la Chine.
Le nel Obs, qui célèbre ce quart de siècle d'existence, montre que de la Côte d'Ivoire à la Russie, du Mexique à la Thailande, de la tunisie à Cuba, sans oublier l'Iran et la Lybie, RSF se bat pour la liberté de la presse partout et pas qu'en Chine. Ce dont témoigne le dossier du Nel Obs.
Il ne faudrait pas amalgamer les dérives zemmouriennes de son ex-dirigeant avec l'action indispensable de RSF.
Je viens de voir quelques vidéos de Ménard sur internet, ça m'apprendra à la fermer avant de l'ouvrir.
Deux constats:
Le type est insupportable de niaiserie et de bons sentiments mal placés.
Il ne fait pas ce qu'il prêche, à savoir sur la liberté d'expression.
Deux constats:
Le type est insupportable de niaiserie et de bons sentiments mal placés.
Il ne fait pas ce qu'il prêche, à savoir sur la liberté d'expression.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
On devrait inventer une autre expression que "liberté d'expression" pour ceux qui ne vivent que par et dans les médias, comme Ménard et bien d'autres. J'ai l'impression que cela galvaude une belle expression, qui s'applique bien différemment, et là, pleinement, à ce gendarme renvoyé en raison de son travail de recherche au CNRS.
Les défenseurs de Ménard, Zemmour, Frêche 'n' Co ont été longs à se mobiliser
Qu'est-ce-que vous fichiez les gars ?
On a failli attendre.
Qu'est-ce-que vous fichiez les gars ?
On a failli attendre.
oui revendiquer un sexualité dominante, quand il a scientifiquement ete prouve (kinsey etc) que la genre est une sorte de variable continue et que la sexualité dominante n'est qu'à la limite de ce continuum c'est être assez extrème.
Défendre la peine de mort, à mes yeux ce n'est pas une opinion, c'est défendre la violence et c'est aussi être un monstre de bétise. bien entendu se faire traiter de monstre par qq qui est contre la peine de mort c'est pas très dangeureux... ^^
perso, je m'en tape qu'il se soit trahi lui-même, d'ailleurs je n'en suis même pas sûr. Ménard est nul a deux titres, 1. Zémour est plus drôle que lui. 2. Ménard est visible a 30 lieux à la ronde : Il fait une sortie médiatique sur les homos, puis on nous annonce qu'il va publier le bouquin de Boutin sur les gays..... la classe quoi, on en finit par se demander si ménard existe et si c'est pas le bibendum michelin du conservatisme mercantile.
Défendre la peine de mort, à mes yeux ce n'est pas une opinion, c'est défendre la violence et c'est aussi être un monstre de bétise. bien entendu se faire traiter de monstre par qq qui est contre la peine de mort c'est pas très dangeureux... ^^
perso, je m'en tape qu'il se soit trahi lui-même, d'ailleurs je n'en suis même pas sûr. Ménard est nul a deux titres, 1. Zémour est plus drôle que lui. 2. Ménard est visible a 30 lieux à la ronde : Il fait une sortie médiatique sur les homos, puis on nous annonce qu'il va publier le bouquin de Boutin sur les gays..... la classe quoi, on en finit par se demander si ménard existe et si c'est pas le bibendum michelin du conservatisme mercantile.
"Après le défenseur de la liberté de la presse,(...)"
C'est pas pour critiquer, mais Ménard n'a jamais été "le défenseur de la liberté de la presse", simplement le défenseur de la presse aux mains de capitaux privés, et défendant les mêmes positions que l'administration américaine. Il y a quand même une petite différence.
C'est pas pour critiquer, mais Ménard n'a jamais été "le défenseur de la liberté de la presse", simplement le défenseur de la presse aux mains de capitaux privés, et défendant les mêmes positions que l'administration américaine. Il y a quand même une petite différence.
Monsieur Ménard laisse entendre que regarder le dessin animé "Le baiser de la lune" pourrait rendre homosexuels ses enfants.
Il est journaliste, comme Zemmour.
Alors, quelles sont les sources de ce monsieur ? Hein ?
Où et quand a-t-on déterminé que regarder un dessin animé comme celui-ci rend homo ?
Je plussin Nonosse ci-dessus.
Il est journaliste, comme Zemmour.
Alors, quelles sont les sources de ce monsieur ? Hein ?
Où et quand a-t-on déterminé que regarder un dessin animé comme celui-ci rend homo ?
Je plussin Nonosse ci-dessus.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Deux réflexions :
1° Ne poser les grandes questions qui agitent le monde qu'à travers le prisme du "si c'était mes enfants", c'est d'emblée abandonner l'idée ^même de réflexion. C'est d'emblée renoncer à l'idée que la conviction que l'on pourrait avancer serait susceptible de prétendre à l'universel (cf. Kant). Evidemment que si un connard s'en prenait à mon gamin, il aurait fort chaud aux fesses et à l'entre-deux-yeux. Evidemment que dans le même temps, ma raison me souffle que l'on ne saurait utiliser contre ses ennemis ce que, précisément, on leur reproche. A trop utiliser les armes de ses ennemis, on finit par leur ressembler. Et évidemment que la justice aurait raison de me punir si je faisais ma justice moi-même.
2° Je suis asses sidéré de constater combien un Zemmour (Finkie, Ménard, Fdesouche, etc.) et un Fontenelle (Maler, le Plan B, Langlois, Mélenchon etc.) s'en prennent, tous deux, contre ce qu'ils identifient comme des "pensées dominantes". Or il doit bien en avoir au moins un des deux qui a tort. Il y a des arguments pour Fontenelle : Zemmour officie dans le Figaro, sur France Télé, sur RTL. Ménard anti-conformise sur I télé. N'est-ce pas une oxymore ? N'est-ce pas un faux politiquement incorrect ? N'est-ce pas, au contraire, le système lui-même en ordre de marche ? La poliitique du gouvernement n'en est-elle pas l'exemple : on instrumentalise les niqab, on menave de dénationaliser un polygame potentiel, etc. Le système dominant est à droite toute. Il y a des arguments pour Zemmour : on ne peut pas dire qu'un délinquant est Noir ou arabe (on ne le dit plus, d'ailleurs), il n'y a plus une affiche de pub qui ne soit pas une ode à la diversité. La politique du gouvernement n'en est-elle pas l'exemple : on avance l'idée de discrimination positive, on ministérise Amara etc. Pour les uns, tous les journalistes sont de droite. Pour les autres, ils sont tous de gauche. Alors, qui domine qui, où, et comment ? Qu'est-ce que c'est, un discours dominant ? Qui le prononce ? Et où ? Libé-les Inrocks, ça domine plus que mon bistrot ?
Un dernier truc : la "liberté d'expression", c'est un vaste foutoir qui ne me semble pas correspondre à grand chose. Jusqu'à preuve du contraire, on peut tout dire en France. Zemmour a dit. Ménard a dit. Et pas cachés sous des lunettes noires avec des perruques, type Eric Z. de Paris chez Delarue. Ensuite, certains ont dit qu'ils n'étaient pas d'accord. Certains ont dit qu'ils étaient choqués. Cela ne me semble pas spécialement enfreindre la sacro-sainte "l'ibérté d'expression". Je dirais mpeme : bien au contraire. Non ?
Le truc amusant, c'est que les Ménard-Zemmour, toujours défenseurs d'une liberté d'expression toujours trop ficelée, sont par ailleurs les pourfendeurs d'une post-modernité pour laquelle tous les avis se valent, où se dissout l'autorité de l'expert, où les règles partent en sucette, et où les hiérarchies se dissolvent au nom de leur arbitraire. J'aurais tendance à voir là comme une contradiction. Perso, je veux bien qu'on dise ce qu'on veut. Mais j'aimerais conserver le droit de dire que certains auraient mieux fait de se taire.
1° Ne poser les grandes questions qui agitent le monde qu'à travers le prisme du "si c'était mes enfants", c'est d'emblée abandonner l'idée ^même de réflexion. C'est d'emblée renoncer à l'idée que la conviction que l'on pourrait avancer serait susceptible de prétendre à l'universel (cf. Kant). Evidemment que si un connard s'en prenait à mon gamin, il aurait fort chaud aux fesses et à l'entre-deux-yeux. Evidemment que dans le même temps, ma raison me souffle que l'on ne saurait utiliser contre ses ennemis ce que, précisément, on leur reproche. A trop utiliser les armes de ses ennemis, on finit par leur ressembler. Et évidemment que la justice aurait raison de me punir si je faisais ma justice moi-même.
2° Je suis asses sidéré de constater combien un Zemmour (Finkie, Ménard, Fdesouche, etc.) et un Fontenelle (Maler, le Plan B, Langlois, Mélenchon etc.) s'en prennent, tous deux, contre ce qu'ils identifient comme des "pensées dominantes". Or il doit bien en avoir au moins un des deux qui a tort. Il y a des arguments pour Fontenelle : Zemmour officie dans le Figaro, sur France Télé, sur RTL. Ménard anti-conformise sur I télé. N'est-ce pas une oxymore ? N'est-ce pas un faux politiquement incorrect ? N'est-ce pas, au contraire, le système lui-même en ordre de marche ? La poliitique du gouvernement n'en est-elle pas l'exemple : on instrumentalise les niqab, on menave de dénationaliser un polygame potentiel, etc. Le système dominant est à droite toute. Il y a des arguments pour Zemmour : on ne peut pas dire qu'un délinquant est Noir ou arabe (on ne le dit plus, d'ailleurs), il n'y a plus une affiche de pub qui ne soit pas une ode à la diversité. La politique du gouvernement n'en est-elle pas l'exemple : on avance l'idée de discrimination positive, on ministérise Amara etc. Pour les uns, tous les journalistes sont de droite. Pour les autres, ils sont tous de gauche. Alors, qui domine qui, où, et comment ? Qu'est-ce que c'est, un discours dominant ? Qui le prononce ? Et où ? Libé-les Inrocks, ça domine plus que mon bistrot ?
Un dernier truc : la "liberté d'expression", c'est un vaste foutoir qui ne me semble pas correspondre à grand chose. Jusqu'à preuve du contraire, on peut tout dire en France. Zemmour a dit. Ménard a dit. Et pas cachés sous des lunettes noires avec des perruques, type Eric Z. de Paris chez Delarue. Ensuite, certains ont dit qu'ils n'étaient pas d'accord. Certains ont dit qu'ils étaient choqués. Cela ne me semble pas spécialement enfreindre la sacro-sainte "l'ibérté d'expression". Je dirais mpeme : bien au contraire. Non ?
Le truc amusant, c'est que les Ménard-Zemmour, toujours défenseurs d'une liberté d'expression toujours trop ficelée, sont par ailleurs les pourfendeurs d'une post-modernité pour laquelle tous les avis se valent, où se dissout l'autorité de l'expert, où les règles partent en sucette, et où les hiérarchies se dissolvent au nom de leur arbitraire. J'aurais tendance à voir là comme une contradiction. Perso, je veux bien qu'on dise ce qu'on veut. Mais j'aimerais conserver le droit de dire que certains auraient mieux fait de se taire.
Et d’enfoncer le clou, un brin ironique «je précise que j’aimerais, de plus, conduire ma fille à l’église le jour de son mariage. Et prendre, plus tard, dans mes bras, les petits-enfants qu’elle m’aura donnés. Avec un garçon. Son mari par-dessus le marché.» Avant de conclure: «bref, le beauf absolu.» On n’aurait pas osé.
Hé, hé, ben si, la preuve :)
Hé, hé, ben si, la preuve :)
C'est rigolo, ce forum.
En fait, vous êtes pour la liberté d'expression absolue des gens qui pensent comme vous (ou presque). Ceux qui pensent autrement, bah, c'est mal.... il ne faut pas leur donner la parole.
C'est assez paradoxal, mais rigolo de vous lire écrire tout le mal que vous en pensez.
Si ce qu'il dit est intéressant, si cela permet de reflechir différement, où est le mal ?
Moi aussi, j'ai envie que mes enfants se marient, et aient des enfants. C'est beauf et réac ? si c'est le cas, je suis inquiet pour notre civilisation !
Et je suis viscéralement et absolument contre la peine de mort (et les assassinats ciblés) contre la torture...
En fait, vous êtes pour la liberté d'expression absolue des gens qui pensent comme vous (ou presque). Ceux qui pensent autrement, bah, c'est mal.... il ne faut pas leur donner la parole.
C'est assez paradoxal, mais rigolo de vous lire écrire tout le mal que vous en pensez.
Si ce qu'il dit est intéressant, si cela permet de reflechir différement, où est le mal ?
Moi aussi, j'ai envie que mes enfants se marient, et aient des enfants. C'est beauf et réac ? si c'est le cas, je suis inquiet pour notre civilisation !
Et je suis viscéralement et absolument contre la peine de mort (et les assassinats ciblés) contre la torture...
Ménard, le journaliste qui, avant de partir défendre les droits de l'homme à Doha, se frittait méchamment avec Elisabeth Lévy sur un des premiers plateaux d'@si, celle-ci lui reprochant une naïveté, une bienpensance et un conformisme criminels ? J'ai dû rêver...
dire que je m'étais laissé aller à m'enthousiasmer pour ce type, je suis déçue, en tout cas, ça prouve qu'il faut rester attentifs, toutes ces sâles idées sont de plus en plus "de mode", il me semble. Comme si un enfant avait besoin d'exemple pour être homo ou pas, c'est tellement faux, pauvre homme, si cette "tuile" lui arrive un jour, aïe! et puis la peine de mort, facile, et puis c'est un discours qui plaît, à peu de frais.
"Les journaux seraient-ils donc passés à côté du véritable Ménard?"
Non, je vous rassure. Une petite partie de la presse n'est pas passée à coté, mais comme d'habitude la presse docile et qui voulait copiner n'a rien vue (ou fait semblant). Ses propos ne sont pas étonnant.
Non, je vous rassure. Une petite partie de la presse n'est pas passée à coté, mais comme d'habitude la presse docile et qui voulait copiner n'a rien vue (ou fait semblant). Ses propos ne sont pas étonnant.
«On en a marre que les intellectuels nous disent ce que l’on doit penser »
La chanson est à la mode, de Wikipédia aux ministères et diverses assemblées consultatives... où pourtant on se casse pour en avoir quelques-uns de ces intellos pour faire universitaire.
En réalité, et ce qu'on défend contre la réforme (réforme ?) du système éducatif, ce n'est pas la culture du pouvoir des formules, mais au contraire la possibilité de leur critique.
En réalité, les intellectuels ne disent pas ce qu'on doit penser, ils font en sorte qu'il faille penser, et montrent que ce n'est pas si simple.
Pour la peine de mort, il est tout de même plus facile de se dire pour en se laissant porter par la doxa et des siècles de pratique et mémoire collective, que de s'y opposer, parce que là, justement, ce ne peut être que le fruit d'une réflexion (et là, oui, font chier ceux qui pensent), contre ce qui semble évident au bon sens.
Il ne s'agit pas d'étriper les politiques et les journalistes qui font campagne pour la peine de mort, mais de se poser, comme le fit, le premier en politique, à ma connaissance, Robespierre : de quel droit et pour quelle raison peut-on retirer la vie à une personne ? N'est-ce pas, en même temps, se priver de la possibilité de punir, de comprendre ?
Ceux qui prônent la peine de mort, le font au nom d'une certaine idée supérieure, voire mystique ou religieuse de la vie. C'est assez contradictoire. Mais je crois que ces gens confondent « punitif » avec « justice ». Exécuter un coupable ne rend justice à personne ni à la société, sinon à de fantasmes religieux ou moraux. Or, la justice des femmes et hommes bénis des Lumières, c'est le droit, pas la morale, ni la religion.
La chanson est à la mode, de Wikipédia aux ministères et diverses assemblées consultatives... où pourtant on se casse pour en avoir quelques-uns de ces intellos pour faire universitaire.
En réalité, et ce qu'on défend contre la réforme (réforme ?) du système éducatif, ce n'est pas la culture du pouvoir des formules, mais au contraire la possibilité de leur critique.
En réalité, les intellectuels ne disent pas ce qu'on doit penser, ils font en sorte qu'il faille penser, et montrent que ce n'est pas si simple.
Pour la peine de mort, il est tout de même plus facile de se dire pour en se laissant porter par la doxa et des siècles de pratique et mémoire collective, que de s'y opposer, parce que là, justement, ce ne peut être que le fruit d'une réflexion (et là, oui, font chier ceux qui pensent), contre ce qui semble évident au bon sens.
Il ne s'agit pas d'étriper les politiques et les journalistes qui font campagne pour la peine de mort, mais de se poser, comme le fit, le premier en politique, à ma connaissance, Robespierre : de quel droit et pour quelle raison peut-on retirer la vie à une personne ? N'est-ce pas, en même temps, se priver de la possibilité de punir, de comprendre ?
Ceux qui prônent la peine de mort, le font au nom d'une certaine idée supérieure, voire mystique ou religieuse de la vie. C'est assez contradictoire. Mais je crois que ces gens confondent « punitif » avec « justice ». Exécuter un coupable ne rend justice à personne ni à la société, sinon à de fantasmes religieux ou moraux. Or, la justice des femmes et hommes bénis des Lumières, c'est le droit, pas la morale, ni la religion.
J'apprends grâce à @si que dire "qu’il ne souhaite pas que ses propres enfants deviennent gay" provoque un tollé. OK : c'est réac de souhaiter que ses enfants ne soient pas gay.
Mais alors, qu'est-ce qu'il faut dire ?
Aidez-moi : je voudrais éviter de paraître réac. Quelle est l'attitude cool à adopter ?
1 Je souhaite que mes enfants deviennent gay
2 Je souhaite que mes enfants deviennent hétéro
3 Je ne souhaite pas que mes enfants deviennent hétéro
4 Je ne souhaite pas que mes enfants ne deviennent pas gay
Mais il y a sûrement d'autres solutions...
Mais alors, qu'est-ce qu'il faut dire ?
Aidez-moi : je voudrais éviter de paraître réac. Quelle est l'attitude cool à adopter ?
1 Je souhaite que mes enfants deviennent gay
2 Je souhaite que mes enfants deviennent hétéro
3 Je ne souhaite pas que mes enfants deviennent hétéro
4 Je ne souhaite pas que mes enfants ne deviennent pas gay
Mais il y a sûrement d'autres solutions...
Je ne sais même pas qui c'est...
Pitié n'invitez pas Ménard
Pas tres etonnant si on se souvient que sous la presidence de Menard, RSF etait finance entre autres par la C.I.A.
Je n'ai pas les sources sous la souris, mais suis sur que c'est sortis publiquement il y a quelques annees
Je n'ai pas les sources sous la souris, mais suis sur que c'est sortis publiquement il y a quelques annees
C'est branchouille de se dire politiquement incorrect, ça fait genre comme disent les jeunes... un crabe de plus qui essaie d'exister dans le panier médiatique.
«Ces propos étonnent, car ils ne collent pas à l’image que l’on se fait d’un défenseur des droits de l’homme». Pourtant, «il n’y a aucune contradiction», assure-t-il.
Ben, oui, c'est ça...
Bon, encore un de plus à foutre sur ma liste noire.
yG
Ben, oui, c'est ça...
Bon, encore un de plus à foutre sur ma liste noire.
yG
Sur le sujet, je ne ferai que répéter ce que j'en disais le 04/04/10, dans le forum d'Alain Korkos, suite à un lien donné par l'indispensable alain b:
Avoir fait tout ça pour en arriver là, ça fout les jetons, une telle déchéance intellectuelle.
Ménard, ou comment bousiller soi-même ce que l'on a été.
Jusqu'au bout de la décomplexitude, même Sarkozy n'y aurait jamais pensé.
Avoir fait tout ça pour en arriver là, ça fout les jetons, une telle déchéance intellectuelle.
Ménard, ou comment bousiller soi-même ce que l'on a été.
Jusqu'au bout de la décomplexitude, même Sarkozy n'y aurait jamais pensé.
[quote=nouveau ou ancien réac ?]
Les deux!
Les deux!