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Commentaires

Rue89 se rebelle contre la pub !

Evénement du matin : les camarades de Rue89 se rebellent contre la pub !

Derniers commentaires

Oui, mais là on est sur la problématique de comment parler un français correct.
A propos, si quelqu'un connait un truc pour désactiver la lecture auto des videos à part couper le son...
Il y a encore des gens qui lisent rue89 ?
À quand un article ou mieux une émission sur les sites sans publicités qui vivent des dons des lecteurs ou des abonnements ?
Rue89 gagnerait peut-être à s'engager sur un modèle mixte.
Ouvrir un premium (pas trop cher !) pour ceux qui préfèrent lâcher quelques euros pour une navigation "propre".
Au moins le temps de trouver de la "finesse" dans un modèle uniquement adossé à la pub ...

A l'inverse, @si pourrait s’autoriser une petite pub sur les articles "temporairement gratuits" (qui doit rester invisible pour les abonnés !).
A part ça, Balkany est mis en examen, DSK visé par une enquête, et Guéant entendu en tant que témoin assisté.
Nos trois héros parviendront-ils à prouver leur bonne foi ?
"Ouf ! Courage Pierre, on te soutient !".
Quant à moi, en ne fréquentant pas Rue89
Petite collection d'addons pour firefox ou ses avatars :
- ublockin origin (comme adblock mais open source et lui ne fait pas de racket sur les agences),
- ghostery bloque tous les cookies tiers,
- random agent spoofer change aléatoirement l'"agent chain" qui identifie votre profil par d'autres moyens que les cookies (browser, os, heure, matériel, ...)
- pour les acharnés: noscript. Plus de JavaScript dans les pages c'est radical (et YouTube fonctionne encore !)
Adblock, ou comment contourner (un peu) l'impôt publicitaire.

Extraits d'un billet publié ici (hors de toute pub):
http://www.think-thimble.fr/Billets/billets_anciens.html#22._Limp%F4t_publicitaire_

La pub est prélèvement obligatoire, donc une sorte d'impôt.

Cet "impôt publicitaire" correspond à tout ce qui est détourné du circuit productif proprement dit pour alimenter les budgets de communication, et qui permet d'entretenir une vaste activité de propagande au service des firmes commerciales et industrielles. Cette part de la valeur consacrée à la publicité que le vendeur inclut dans le prix de la marchandise est au fond comparable à un impôt indirect comme la TVA par lequel l'état se rémunère pour ses services publics. Par contre contrairement à l'impôt, cet argent n'est pas destiné au bien public, tel que l'entend le système démocratique, mais bien à servir des intérêts privés.
Aux yeux de ses partisans, la publicité sert à stimuler, et même à doper l'économie (personne n'ose plus dire sérieusement qu'elle informe) et elle est donc considérée comme génératrice d'emplois: emplois directs de concepteurs, graphistes, réalisateurs, communicants, démarcheurs, mais aussi et surtout emplois indirects attribuables au surcroît de "prospérité économique". Est-il sain qu'une économie ait ainsi recours au dopage, et à quelles doses devrait elle être dopée ?
Mais la question cruciale concerne l'influence qu'elle exerce sur nos sociétés.
Car la publicité est aussi une énorme entreprise d'influence aux multiples canaux, permettant de baisser les prix, bien souvent jusqu'à la gratuité, en échange d'une intrusion plus ou moins voyante et plus ou moins consentie dans nos consciences de consommateurs.
Si on condamne la propagande démesurée des régimes totalitaires pour laver les cerveaux et entretenir le culte du parti unique et de son dirigeant, que dire de l'omniprésence dans nos lieux publics, sur les pages de nos journaux ou dans l'audiovisuel de la propagande commerciale?
A qui payons nous l'impôt publicitaire ?
Les plus gros annonceurs, dont on peut penser qu'ils sont les plus influents appartiennent à la grande distribution, au secteur alimentaire, à l'industrie automobile et au secteur beauté-hygiène. Viennent ensuite les banques et assurances, puis les opérateurs de télécommunications. On peut être sûr que toutes ces firmes qui rivalisent pour attirer notre attention veillent à promouvoir des modes de vie et des valeurs propices à leurs intérêts.

En France, les dépenses publicitaires correspondent à 1,5 à 2 points de PIB, ce qui peu paraître minime. Cela représente quand même environ 30 milliards d'euros par an, soit 10% des recettes de l'état, ou un quart de ce que prélève la TVA, plus que les trois quarts de l'impôt sur le revenu et près de 90 fois ce que va rapporter la contribution énergie climat. Dit autrement, ce budget d'endoctrinement collectif est de l'ordre de la moitié du budget de l'éducation nationale ou de deux fois le déficit annuel de la sécurité sociale.
Bonjour
Ne pas oublier aussi les pubs sur les sites vidéo comme Dailymotion.
Vous êtes concentré sur le visionnage d'une intervention capitale sur la viande halal de Paul Bismuth et voilà qu'au bout de 5 minute s'éclabousse une pub de Médéric (dirigé par Clément Bismuth) pendant 1 minute.
Bon je ne suis pas loin de la vérité.
C’est tellement mieux avec un bloqueur de pub...
Cependant, il me semble qu’une parade s’installe , je vois peu à peu un site, consulté fréquemment, soustraire à la visibilité les photos accompagnatrices, il me faut pour les admirer passer par Firefox où je n’ai pas installé, ou pas pu me semble-t-il, de bloqueur. Mais tant pis pour l’inconvénient, il bien trop agréable de ne plus être harcelé par les pubs.
Le grand écart n'est pas réservé aux danseuses étoile.
Voici une autre affaire, en termes d'indépendance des médias, quoique ce n'est pas directement le sujet : un internaute poursuivi par Free pour un commentaire critique sur les conditions de travail dans les centres d'appel ; l'article de Mediapart rappelle que Xavier Niel est indirectement actionnaire de leur site, je crois que cela vaut aussi pour @si (et c'est un ancien collaborateur d'@si qui écrit l'article)
Ayant 2 sites j'avais supprimé les publicités Google… mais voilà Google me boudait et ne m'envoyait plus de visiteurs.

Nous sommes dépendants de Google… qu'y faire ? Je ne suis pas connu tels des Jennar, Lordon, Là bas si j'y suis, arrêt sur images ou Mediapart… je fais bien des bulletins (en englich : newletter) à mes connaissances mais cela ne fait pas des masses de gens. J'envoie les liens de mes billets sur Facebook (que je ne fréquente jamais), twitter et autre google+… mais il faut bien considérer que nous sommes quelques millions (voire milliards) à faire la même chose…

je ne dispose pas d'un temps infini pour aller me faire connaitre sur tous les blogs par des commentaires…

Je viens donc de remettre les pubs sur mes sites. Et même je viens d'acheter une pub pour l'un d'eux… sur Bing (Yahoo, Microsoft).

J'ai moi-même adblock installé sur mon navigateur (firefox).
Sur tous les sites qui fonctionnent comme Rue 89, c'est-à-dire sur presque tous les sites de presse, on ne peut que sortir déçu de la lecture d'un article. Énervé et déçu.
Énervé par le parcours du combattant, que DS décrit très bien, et déçu par le contenu de l'article. Comment peut-il en être autrement ? Qu'attendre de sérieux d'un journaliste payé par les annonceurs ?
`l'article est fait pour que nous soyons emphatique avec les sites web qui ont choisis la pub comme modele , d'ailleurs presque a chaque fois que l'article rapporte les propos d'un internaute adepte de adblock , la réplique de l'internaute est précédé de 'bien que non hostile au pub, ..' , cet article est fait juste pour nous bourrer le mou , la journaliste qui ne met pas adblock ... Rire , comment son patron la laisse faire , elle est forcement moins efficace , moins performante , pour de la pub un patron laisserais le travail mal fait , et elle, elle s'obligerais a mal travailler , ou a le faire avec grande difficulté , ou bien je crois qu'on comprend mieux la qualité des articles de Rue 89 , superficiels, machiste, sans enquête sur les sujets plus triviaux que la politique .

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