Commentaires
Ruquier, quand la maison brûle...
L'affaire Morano a fait une victime supplémentaire : Laurent Ruquier se sent coupable.
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
ET elle continue encore et encore...Se réclame de la vieille Bardot, soutien du FN. Les connes aussi, ça ose tout...
Pas écouté morano, je l'avais en fond mais n'ai pas jugé utile de mettre le son ... j'ai quand même eu l'impression qu'il y'avait eut du vent dans les voiles.
En revanche, j'ai écouté finki ... on voit trop peu de philosophe à la télé.
Beaucoup de respect pour le philosophe.
Je comprend son choix d'être devenu une sentinelle.
C'est légitime et digne.
C'est un poste qu'il convient de ne pas tenir trop longtemps et pas avec le regard fixe ... on fini immanquablement par voir des "choses" bouger.
La prise de conscience de son "combat contre l'anti-racisme" devrait le conduire à confier son rôle de sentinelle et à reprendre une réflexion philosophique constructive.
En revanche, j'ai écouté finki ... on voit trop peu de philosophe à la télé.
Beaucoup de respect pour le philosophe.
Je comprend son choix d'être devenu une sentinelle.
C'est légitime et digne.
C'est un poste qu'il convient de ne pas tenir trop longtemps et pas avec le regard fixe ... on fini immanquablement par voir des "choses" bouger.
La prise de conscience de son "combat contre l'anti-racisme" devrait le conduire à confier son rôle de sentinelle et à reprendre une réflexion philosophique constructive.
Pffff ... Ruquier, le Petit Journal, .... exactement le genre d'émissions que je ne regrette pas de ne pas voir en ne regardant pas la télé.
Les retrouver si souvent que @si, c'est franchement usant.
DS, vous ne pouvez pas changer de chaîne, nous parler d'autres programmes, d'autres sujets, d'autres médias ?
Les retrouver si souvent que @si, c'est franchement usant.
DS, vous ne pouvez pas changer de chaîne, nous parler d'autres programmes, d'autres sujets, d'autres médias ?
Et sur les réseaux sociaux, tandis que certains déplorent les 2900 licenciements d'Air France, d'autres s'apitoient sur le sort de la chemise déchirée du DRH...
À mon humble avis le problème n'est pas de parler du racisme ou de ne pas en parler, le problème c'est d'inviter des racistes pour parler du racisme. C'est comme inviter des pyromanes pour parler du problème des incendies : plus une façon d'étendre le problème que le résoudre.
Ruquier, c'est l'animateur des "grosses têtes", gloussant sur les ondes d'RTL. Et puis,comme il est boulimique, il squate France2 le samedi soir avec la complicité de la mère Barma. Que peut-on attendre de lui ?
On peut facilement trouver autre chose à faire que de suivre monsieur Ruquier, l'omniprésent ricaneur. Ses regrets répétés montrent qu'il est irresponsable.
On peut facilement trouver autre chose à faire que de suivre monsieur Ruquier, l'omniprésent ricaneur. Ses regrets répétés montrent qu'il est irresponsable.
Monsieur Scheidermann, vos billets sont de plus-en-plus prévisibles. Vous êtes devenu un bien-pensant comme il y en a tant dans les médias. La phrase qu'a prononcé Madame Morano est peut-être stupide, même si l'honnêteté commanderait à dire qu'effectivement la race blanche est majoritaire en France. Simplement elle n'est pas une caractéristique nécessaire pour être citoyen français, il y a des français jaune, noirs, etc... Bref, il y a de bonne raisons de ne pas suivre Nadine Morano sur ce terrain qui peut être glissant, mais s'offusquer comme vous le faites, en suivant la meute journalistique, tout en se voulant être critique envers les médias relève de l'imposture. De plus la responsabilité, imputée au duo Ruquier-Barma, de la focalisation du débat politique de la semaine sur cette petite phrase n'est que le penchant des journalistes a s'indigner pour des broutilles qu'ils qualifient généreusement de "dérapages". Et donc, aujourd'hui, après 8 ans d'un ASI devenu indépendant, et dont, abonnés, étions en droit d'en attendre une analyse critique des pires travers de la presse, nous voici, cocus, a lire sur ce site les mêmes ânerie que l'on peut lire dans tous les médias "dépendants". Vraiment, comment vous remercier??
Ah alors, ça y est le neuf quize se met à ne plus vouloir regarder "ailleurs" lui aussi!
Ouf , on est rassurés!
Ouf on est contents de le savoir...
Mais les gars "la maison brûle" en effet!
Alors on fait quoi maintenant?
Ouf , on est rassurés!
Ouf on est contents de le savoir...
Mais les gars "la maison brûle" en effet!
Alors on fait quoi maintenant?
"Pourquoi, alors que la "maison brûle", nous obstinons-nous à regarder ailleurs ? C'est un des mystères que tenteront d'expliquer les historiens du prochain siècle, s'il en reste."
Je partage cette conclusion et elle ne rend qu'encore plus amère la triste fin de l'émission récente avec Marc Ferro qui, interpellé sur notre "aveuglement" contemporain, sur ce que nous devrions voir comme des problèmes majeurs, des urgences, mais que nous laissons faire néanmoins, ne cite ni le dérèglement climatique, ni la puissance de la dérégulation ultralibérale, ni l'impérialisme des technologies, ni la surveillance généralisée, mais ... l'Islam.
Je partage cette conclusion et elle ne rend qu'encore plus amère la triste fin de l'émission récente avec Marc Ferro qui, interpellé sur notre "aveuglement" contemporain, sur ce que nous devrions voir comme des problèmes majeurs, des urgences, mais que nous laissons faire néanmoins, ne cite ni le dérèglement climatique, ni la puissance de la dérégulation ultralibérale, ni l'impérialisme des technologies, ni la surveillance généralisée, mais ... l'Islam.
Bof, venant d'une émission où des proches du FN comme Sapir ont porte ouverte, la chronique tombe un peu à l'eau.
Tres bien de parler de ce meeting d'Erdogan organisé en France, personne ne s'en indigne, même pas DS ! Erdogan est un vrai démocrate, lui, je suppose.
ce n'est pas un mystère, le détournement des consciences, de l'esprit critique et de la lutte est savamment orchestré et se nourrit du même phénomène de veulerie collective qu'à l'époque des accords de Munich, par exemple.
Et pendant ce temps-là, Erdogan bourre Strasbourg.
15 000 sympathisants au Zénith !
Comme le remarque Christian Delporte, professeur d'Histoire contemporaine et directeur du "Temps des médias", dans un tweet : Erdogan transforme une parcelle du territoire français en espace de propagande, et cela ne semble choquer personne.
15 000 sympathisants au Zénith !
Comme le remarque Christian Delporte, professeur d'Histoire contemporaine et directeur du "Temps des médias", dans un tweet : Erdogan transforme une parcelle du territoire français en espace de propagande, et cela ne semble choquer personne.
J'ai le sentiment que vous ne supportez pas l'idée que Ruquier puisse donner la parole à des invités pensant différemment de vous. Il me semble que son émission est hebdomadaire et que vous focalisez sur quelques invités. Samedi soir il y avait aussi Thomas Guenole
pour contrer Finki. Sans oublier que pendant des années il y avait Caron pour "rééquilibrer" les discours "lepénisants". Vous me semblez de plus en plus intolérant, je vous croyais plus ouvert à la diversité ... de la pensée. Vous-même, dans Asi, vous ne diversifiez pas tellement les sujets depuis des semaines.
pour contrer Finki. Sans oublier que pendant des années il y avait Caron pour "rééquilibrer" les discours "lepénisants". Vous me semblez de plus en plus intolérant, je vous croyais plus ouvert à la diversité ... de la pensée. Vous-même, dans Asi, vous ne diversifiez pas tellement les sujets depuis des semaines.
Mais pourquoi s’offusquer de tout ça, puisque se sont des propos que l’on entend par ailleurs. Finkielkraut (je viens de lire son Identité malheureuse, soit c’est un pamphlet, soit une conviction, dans ce second cas, pas triste le gars) n’était pas mieux samedi soir mais lui il a le verni de la respectabilité intellectuelle, avec en plus à présent la reconnaissance académique, il est vrai que lui aussi se dit de gauche. Le crime de la Morano et d’avoir parler le Sarkozy dans le texte, c’est tout. Pour ce qui est de Ruquier, il invite simplement tous ceux qu’on voit ailleurs et qui font de l’audience. Quid de cette dernière, pourquoi et que dit-elle de l’ambiance dans le pays ?
Sinon, par exemple, un Rancière, une Lordon ou un Badiou, voire une Butler ou une Malabou, iraient-ils dans ce type d’émission promouvoir leurs derniers écrits, je n’en suis pas sûr, et c’est là le plus grave à mon sens.
Sinon, par exemple, un Rancière, une Lordon ou un Badiou, voire une Butler ou une Malabou, iraient-ils dans ce type d’émission promouvoir leurs derniers écrits, je n’en suis pas sûr, et c’est là le plus grave à mon sens.
Que lis-je ? Michéa ? Quelle horreur ! Au secours! Bannissement ! ( voté)
Je vais me fendre d'une petite citation de Michéa citant BHL (oui je sais c'est bizarre, mais c'est possible), entretien lu grâce à Djac qui l'avait mis en lien dans un autre forum :
"Bernard-Henri Lévy l’avait d’ailleurs reconnu lui-même lorsqu’il écrivait, à l’époque, que « le seul débat de notre temps [autrement dit, le seul qui puisse être encore médiatiquement autorisé] doit être celui du fascisme et l’antifascisme ». Or on ne peut rien comprendre à l’écho que le fascisme a pu rencontrer, tout au long du XXe siècle, dans de vastes secteurs des classes populaires, et des classes moyennes, si l’on ne commence pas – à la suite d’Orwell – par prendre acte du fait qu’il constituait d’abord, du moins dans sa rhétorique officielle, une forme pervertie, dégradée, voire parodique du projet socialiste originel (« tout ce qu’il y a de bon dans le fascisme – n’hésitait pas à écrire Orwell – est aussi implicitement contenu dans le socialisme »). Ce qui veut tout simplement dire que cette idéologie ontologiquement criminelle (analyse qui vaudrait également pour les autres formes de totalitarisme, y compris celles qui s’abritent aujourd’hui sous l’étendard de la religion) trouvait, au même titre que le socialisme, son point de départ moral et psychologique privilégié dans le désespoir et l’exaspération croissante d’une partie des classes populaires devant cette progressive « dissolution de tous les liens sociaux » (Debord) que le principe de neutralité axiologique libéral engendre inexorablement (processus qu’Engels décrivait, pour sa part, comme la « désagrégation de l’humanité en monades dont chacune à un principe de vie particulier et une fin particulière »)."
Putain, je savais pas que je pouvais tomber d'accord avec BHL, mais là, il a mis dans le mille.
Ainsi Daniel, si vous en avez marre d'écrire sur le fascisme (le Pen) et son miroir antifasciste (qui, bien qu'il soit invisible à vos yeux dans le dispositif d'ONPC, est en fait représenté, chaque semaine, par les deux chroniqueurs/journalistes qui y tiennent salon) il suffit de ne pas écrire dessus.
Simple hein. Par exemple, vous pouvez faire des 9/15 sur l'écologie, puisque la maison brûle, comme vous le dites si bien.
Ou sur les législatives portugaises, qui ont renouvelé hier le mandat du gouvernement qui a infligé au payx la pire cure d'austérité de tous les temps lusophones, ce qui fait des portugais des êtres pris dans l'étau du TINA, plus fort que jamais.
En fait les sujets sont légion. N'attribuez pas à Ruquier la responsabilité de votre éditorial matinal.
"Bernard-Henri Lévy l’avait d’ailleurs reconnu lui-même lorsqu’il écrivait, à l’époque, que « le seul débat de notre temps [autrement dit, le seul qui puisse être encore médiatiquement autorisé] doit être celui du fascisme et l’antifascisme ». Or on ne peut rien comprendre à l’écho que le fascisme a pu rencontrer, tout au long du XXe siècle, dans de vastes secteurs des classes populaires, et des classes moyennes, si l’on ne commence pas – à la suite d’Orwell – par prendre acte du fait qu’il constituait d’abord, du moins dans sa rhétorique officielle, une forme pervertie, dégradée, voire parodique du projet socialiste originel (« tout ce qu’il y a de bon dans le fascisme – n’hésitait pas à écrire Orwell – est aussi implicitement contenu dans le socialisme »). Ce qui veut tout simplement dire que cette idéologie ontologiquement criminelle (analyse qui vaudrait également pour les autres formes de totalitarisme, y compris celles qui s’abritent aujourd’hui sous l’étendard de la religion) trouvait, au même titre que le socialisme, son point de départ moral et psychologique privilégié dans le désespoir et l’exaspération croissante d’une partie des classes populaires devant cette progressive « dissolution de tous les liens sociaux » (Debord) que le principe de neutralité axiologique libéral engendre inexorablement (processus qu’Engels décrivait, pour sa part, comme la « désagrégation de l’humanité en monades dont chacune à un principe de vie particulier et une fin particulière »)."
Putain, je savais pas que je pouvais tomber d'accord avec BHL, mais là, il a mis dans le mille.
Ainsi Daniel, si vous en avez marre d'écrire sur le fascisme (le Pen) et son miroir antifasciste (qui, bien qu'il soit invisible à vos yeux dans le dispositif d'ONPC, est en fait représenté, chaque semaine, par les deux chroniqueurs/journalistes qui y tiennent salon) il suffit de ne pas écrire dessus.
Simple hein. Par exemple, vous pouvez faire des 9/15 sur l'écologie, puisque la maison brûle, comme vous le dites si bien.
Ou sur les législatives portugaises, qui ont renouvelé hier le mandat du gouvernement qui a infligé au payx la pire cure d'austérité de tous les temps lusophones, ce qui fait des portugais des êtres pris dans l'étau du TINA, plus fort que jamais.
En fait les sujets sont légion. N'attribuez pas à Ruquier la responsabilité de votre éditorial matinal.
Oui, j'avais déjà lu cette sentence d'Orwell: le fascisme est une perversion du socialisme, puisque c'est un mouvement de masse.
Un reportage sur le Portugal avant ces élections, dans le journal d'Arte de vendredi dernier, s'intéressait au cas d'une employée qui, bien que licenciée continuait à travailler... gratuitement !
C'était la condition imposée pour qu'elle puisse percevoir ses indemnités de chômage.
Un représentant d'un parti de gauche, le BE (Bloc de Gauche) je crois, dénonçait évidemment cette situation, ajoutant que l'exil récent d'un nombre important de Portugais, avait également contribué à réduire ces chiffres trafiqués du chômage.
Les responsables de la mise en place de ce système viennent donc d'être réélus, profitant de l'éparpillement des voix des électeurs de gauche.
C'était la condition imposée pour qu'elle puisse percevoir ses indemnités de chômage.
Un représentant d'un parti de gauche, le BE (Bloc de Gauche) je crois, dénonçait évidemment cette situation, ajoutant que l'exil récent d'un nombre important de Portugais, avait également contribué à réduire ces chiffres trafiqués du chômage.
Les responsables de la mise en place de ce système viennent donc d'être réélus, profitant de l'éparpillement des voix des électeurs de gauche.
350 000 personnes ont émigré en trois ans, on retombe dans les taux des années 60, sauf que maintenant, c'est pas des gens comme mes parents qui se barrent (presque pas de scolarisation) mais tous les diplômés, qui se barrent en Allemagne ou en Angleterre gagner leur vie et construire l'avenir devenu mirage au Portugal.
Par ailleurs on sort de l'été, et l'été, au Portugal, quand le tourisme explose, le chômage baisse pour des raisons... saisonnières. Les chiffres ne représentent donc rien...
Ma famille vit dans la situation de la salariée que tu décris : plus de 2/3 de mes cousins vivent encore chez leurs parents, passé 30 ans (pas de thune, pas de taf...). ceux qui travaillent le font sans contrat de travail : ils sont "prestataires de service" et se font renvoyer du jour au lendemain sans prévenir. Ainsi une cousine s'est vue dire : "bon en fait on n'a pas besoin de toi en août (on était le 26 juillet) donc tu restes chez toi, mais comme y'a un peu de boulot à finir faut que tu viennes la première semaine sans être payée. Bien sûr au cas où on a besoin de toi faut que tu restes chez toi hein, pars pas en vacances surtout".
Voilà, bon de toutes façons elle gagne 500 euros et rien que son loyer lui en coûte 375 dont les vacances elle se les met où elle pense. L'intégralité de l'économie du pays fonctionne sur ce mode. Certains s'en sortent (hypermarchés, médecins libéraux, pharmaciens, et quelques autres métiers régulés - ce qui ne durera pas longtemps. bientôt; y'aura que les hypermarchés).
Voilà voilà. Voilà un bon sujet.
Par ailleurs on sort de l'été, et l'été, au Portugal, quand le tourisme explose, le chômage baisse pour des raisons... saisonnières. Les chiffres ne représentent donc rien...
Ma famille vit dans la situation de la salariée que tu décris : plus de 2/3 de mes cousins vivent encore chez leurs parents, passé 30 ans (pas de thune, pas de taf...). ceux qui travaillent le font sans contrat de travail : ils sont "prestataires de service" et se font renvoyer du jour au lendemain sans prévenir. Ainsi une cousine s'est vue dire : "bon en fait on n'a pas besoin de toi en août (on était le 26 juillet) donc tu restes chez toi, mais comme y'a un peu de boulot à finir faut que tu viennes la première semaine sans être payée. Bien sûr au cas où on a besoin de toi faut que tu restes chez toi hein, pars pas en vacances surtout".
Voilà, bon de toutes façons elle gagne 500 euros et rien que son loyer lui en coûte 375 dont les vacances elle se les met où elle pense. L'intégralité de l'économie du pays fonctionne sur ce mode. Certains s'en sortent (hypermarchés, médecins libéraux, pharmaciens, et quelques autres métiers régulés - ce qui ne durera pas longtemps. bientôt; y'aura que les hypermarchés).
Voilà voilà. Voilà un bon sujet.
2 Autre raison d'une pseudo reprise en espagne , portugal et j'imagine grece :
1-Tout le monde est parti en en vacance en europe, tout les pays du maghreb vide
2-les salaires sont devenu tellement bas, le droit du travail aussi , que il y a dumping intra europeen. On entre en phase deux : les grosse usines vont fermer en france , belgique etc , et ils vont delocaliser dans le sud de l'europe . C'est le debut de la propagation de la crise .
De la tout va aller tres vite , enfin j'espere .
1-Tout le monde est parti en en vacance en europe, tout les pays du maghreb vide
2-les salaires sont devenu tellement bas, le droit du travail aussi , que il y a dumping intra europeen. On entre en phase deux : les grosse usines vont fermer en france , belgique etc , et ils vont delocaliser dans le sud de l'europe . C'est le debut de la propagation de la crise .
De la tout va aller tres vite , enfin j'espere .
citation (qui m'a appris quelque chose) de l'interview de Julian Assange, magazine "Society" du 18 septembre 2015:
"hum. 1984. Un livre excellent. Orwell était un écrivain sophistiqué, compliqué, il avait travaillé pendant la Seconde Guerre mondiale au service de la propagande de la BBC et il a retranscrit son expérience là-bas. Mais c'est un socialiste anticommuniste. Son oeuvre a été instrumentalisée par les Américains contre le régime soviétique. L'éditeur de George Orwell a même discuté avec J.Edgar Hoover, le patron du FBI, à propos de ses livres. Il y a une raison qui explique pourquoi 1984 est devenu si célèbre: les gens l'ont re-contextualisé aujourd'hui. On sait qu'il parle aussi de l'ouest, pas seulement de l'URSS. Mais si il est devenu aussi célèbre, c'est parce qu'il servait les intérêts américains dans le contexte de la guerre froide."
Mais à part ça les remarques sur le choix du sujet par Daniel Schneidermann enfonce le clou d'un certain dégout de notre époque que j'essaye d'extraire perpétuellement.
Car comment plus verrouiller toute plainte, toute remarque critique qu'en disant "ignorez" ce qui ne vous convient pas.
Le site, annoncé comme parlant de la télé dans le parisien, doit éteindre la télé... et il doit parler d'autre chose que de Ruquier pris en flagrant délit d'irresponsabilité et de manipulation du téléspectateur à l'insu du plein gré de Ruquier/ Barma/etc.?
Peut-être mais au nom de quoi?
"hum. 1984. Un livre excellent. Orwell était un écrivain sophistiqué, compliqué, il avait travaillé pendant la Seconde Guerre mondiale au service de la propagande de la BBC et il a retranscrit son expérience là-bas. Mais c'est un socialiste anticommuniste. Son oeuvre a été instrumentalisée par les Américains contre le régime soviétique. L'éditeur de George Orwell a même discuté avec J.Edgar Hoover, le patron du FBI, à propos de ses livres. Il y a une raison qui explique pourquoi 1984 est devenu si célèbre: les gens l'ont re-contextualisé aujourd'hui. On sait qu'il parle aussi de l'ouest, pas seulement de l'URSS. Mais si il est devenu aussi célèbre, c'est parce qu'il servait les intérêts américains dans le contexte de la guerre froide."
Mais à part ça les remarques sur le choix du sujet par Daniel Schneidermann enfonce le clou d'un certain dégout de notre époque que j'essaye d'extraire perpétuellement.
Car comment plus verrouiller toute plainte, toute remarque critique qu'en disant "ignorez" ce qui ne vous convient pas.
Le site, annoncé comme parlant de la télé dans le parisien, doit éteindre la télé... et il doit parler d'autre chose que de Ruquier pris en flagrant délit d'irresponsabilité et de manipulation du téléspectateur à l'insu du plein gré de Ruquier/ Barma/etc.?
Peut-être mais au nom de quoi?
Poisson, je n'ai pas dit qu'il fallait "ignorer" Ruquier et la composition de ses plateaux.
Le concernant, je note tout de même que l'obsession caricaturale pour la chasse aux fascistes fait l'impasse sur les antifascistes également invités sur les plateaux. Guénolé était là pour délivrer sa bonne parole amie des jeunes de banlieue, Finkielkraut a exprimé son - usuelle - inquiétude sur le déclin de la civilisation.
En d'autres termes il y a autant de parole "comme il faut" que d'expressions "dérapantes", puisque c'est ainsi que s'expriment désormais les clivages idéologiques dans les médias. On se croirait revenus dans les années 70, où au maoistes heureux et béats s'opposaient les vilains impérialistes de mon cul. C'est d'une subtilité, un régal pour la pensée.
Je n'ignore donc rien Poisson, je sais bien que Zemmour exprime quelque chose que je n'aime pas. Je n'aime pas qu'il n'y ait de place en France que pour un story telling artificiellement clivé autour d'un pseudo réel qui n'existe pas. Je n'aime pas qu'on ne donne de la France immigrée qu'une image victimaire, oh les pauvres, parqués dans des cités, c'est pas d'leur faute, y font pas exprès, venez comme vous êtes, tout va bien se passer, tandis que la réalité justement, vous dit chaque jour que pour y arriver faut taffer deux fois plus que les autres car le rattrapage - et c'est bien naturel quand on vit dans un pays dont on ne connaît a priori pas les codes - est long. Je n'aime pas qu'on dissimule aux yeux des français inquiets (ce que je comprends bien que les manifestations de cette inquiétude m'inquiètent aussi...) le fait que l'immense majorité des enfants d'immigrés s'en sortent très bien, ont très envie d'être français, sont heureux, font des gosses se mélangent et travaillent.
Simplement j'exècre également "l'ambiance" dégagée par la matinale d'Inter, son humour narquois unijambiste du cerveau, son unilatéralisme 'dérisionnel' (pardon pour les mots qui n'existent pas hein). Je n'aime pas les prêches du Monde, les indignations de Médiapart, les accusations en fascisme royalisto-nazi de Libération. Voilà j'aime pas. C'est un goût, un plutôt un dégoût, il est critiquable peut-être, mais n'empêche, je n'aime pas.
Le discours d'aujourd'hui sur la France est à la fois, sur les immigrés, injuste, et complaisant.
Le discours sur l'économie est unilatéral et polarisé par la pensée antifasciste (comment discuter de protectionnisme, d'euro, d'Europe, de libre circulation, sans se faire insulter ?).
Le discours sur le projet politique de l'islamisme radical est invariablement récupéré par des cons, ou nié par d'autres, il est à la fois relié aux questions intérieures et totalement déconnecté de problématiques liées à l'accueil des gens venus d'ailleurs).
Voilà donc ce que je pense de la presse qui raconte la France de maintenant dans les media.
Maintenant vous posez une question que je ne comprends pas "au nom de quoi?"
C'est à dire, au nom de quoi le site devrait il parler d'autre chose que de Morano, Zemmour et de tous ceux qui sont inscrits sur la liste des personnages publiques fascisants ?
Le travail du site est d'analyser la manière dont les media parlent, ou ne parlent pas, de sujets de société.
Vous ne pouvez pas poser votre question aujourd'hui et avoir trouvé légitime hier qu'@si parle d'économie quand si peu de journalistes en parlaient. D'ailleurs les autres médias continuent de ne pas vraiment en parler hein.
Le silence gardé sur certains thèmes qui sont pourtant, paradoxalement, d'actualité, est autant un sujet que les thèmes rebattus de type "il est FN ou il est pas FN ?".
Notez que le silence gardé par les journaux sur des thèmes "difficiles" comme les conflits armés en Afrique centrale et de l'est sont le dada de Justine, embauchée en partie parce qu'elle interroge les silences en question, et parfois les formes caricaturales que prennent les récits consacrés à ces régions du monde, quand ils existent.
Bref Poisson, il ne s'agit pas de ne pas discuter des thèmes FN ou de ce qu'il reste de la gauche intellectuelle française. Il s'agit de changer de focale de temps en temps.
Pour conclure sur mes reproches, ce que je n'aime pas dans les chroniques récentes de Daniel, c'est cette façon de faire semblant d'interroger des dispositifs médiatiques sans traiter de la vraie question, qui est celle de l'impact des média sur la polarisation de la vie politique autour du seul clivage fasciste / antifasciste, thème qui absorbe les débats sur l'euro (cf. le cas Sapir), sur l'universalisme français (signification, devenir, transformations), sur la politique internationale (c'est des migrants ou des réfugiés ? on les accueille au nom de l'humanité où on les refoule au nom de notre identité ?).
Les médias contribuent à transformer tout débat d'idée en caricature de discussion. Les chroniques de Daniel, dans un site d'analyse des médias, devraient procéder à une analyse fine de ces polarisations excessives, de l'assimilation du détail au grand tout fascisant et de la création d'un camp du bien qui donne des leçons sans arrêt en toute irresponsabilité.
Le concernant, je note tout de même que l'obsession caricaturale pour la chasse aux fascistes fait l'impasse sur les antifascistes également invités sur les plateaux. Guénolé était là pour délivrer sa bonne parole amie des jeunes de banlieue, Finkielkraut a exprimé son - usuelle - inquiétude sur le déclin de la civilisation.
En d'autres termes il y a autant de parole "comme il faut" que d'expressions "dérapantes", puisque c'est ainsi que s'expriment désormais les clivages idéologiques dans les médias. On se croirait revenus dans les années 70, où au maoistes heureux et béats s'opposaient les vilains impérialistes de mon cul. C'est d'une subtilité, un régal pour la pensée.
Je n'ignore donc rien Poisson, je sais bien que Zemmour exprime quelque chose que je n'aime pas. Je n'aime pas qu'il n'y ait de place en France que pour un story telling artificiellement clivé autour d'un pseudo réel qui n'existe pas. Je n'aime pas qu'on ne donne de la France immigrée qu'une image victimaire, oh les pauvres, parqués dans des cités, c'est pas d'leur faute, y font pas exprès, venez comme vous êtes, tout va bien se passer, tandis que la réalité justement, vous dit chaque jour que pour y arriver faut taffer deux fois plus que les autres car le rattrapage - et c'est bien naturel quand on vit dans un pays dont on ne connaît a priori pas les codes - est long. Je n'aime pas qu'on dissimule aux yeux des français inquiets (ce que je comprends bien que les manifestations de cette inquiétude m'inquiètent aussi...) le fait que l'immense majorité des enfants d'immigrés s'en sortent très bien, ont très envie d'être français, sont heureux, font des gosses se mélangent et travaillent.
Simplement j'exècre également "l'ambiance" dégagée par la matinale d'Inter, son humour narquois unijambiste du cerveau, son unilatéralisme 'dérisionnel' (pardon pour les mots qui n'existent pas hein). Je n'aime pas les prêches du Monde, les indignations de Médiapart, les accusations en fascisme royalisto-nazi de Libération. Voilà j'aime pas. C'est un goût, un plutôt un dégoût, il est critiquable peut-être, mais n'empêche, je n'aime pas.
Le discours d'aujourd'hui sur la France est à la fois, sur les immigrés, injuste, et complaisant.
Le discours sur l'économie est unilatéral et polarisé par la pensée antifasciste (comment discuter de protectionnisme, d'euro, d'Europe, de libre circulation, sans se faire insulter ?).
Le discours sur le projet politique de l'islamisme radical est invariablement récupéré par des cons, ou nié par d'autres, il est à la fois relié aux questions intérieures et totalement déconnecté de problématiques liées à l'accueil des gens venus d'ailleurs).
Voilà donc ce que je pense de la presse qui raconte la France de maintenant dans les media.
Maintenant vous posez une question que je ne comprends pas "au nom de quoi?"
C'est à dire, au nom de quoi le site devrait il parler d'autre chose que de Morano, Zemmour et de tous ceux qui sont inscrits sur la liste des personnages publiques fascisants ?
Le travail du site est d'analyser la manière dont les media parlent, ou ne parlent pas, de sujets de société.
Vous ne pouvez pas poser votre question aujourd'hui et avoir trouvé légitime hier qu'@si parle d'économie quand si peu de journalistes en parlaient. D'ailleurs les autres médias continuent de ne pas vraiment en parler hein.
Le silence gardé sur certains thèmes qui sont pourtant, paradoxalement, d'actualité, est autant un sujet que les thèmes rebattus de type "il est FN ou il est pas FN ?".
Notez que le silence gardé par les journaux sur des thèmes "difficiles" comme les conflits armés en Afrique centrale et de l'est sont le dada de Justine, embauchée en partie parce qu'elle interroge les silences en question, et parfois les formes caricaturales que prennent les récits consacrés à ces régions du monde, quand ils existent.
Bref Poisson, il ne s'agit pas de ne pas discuter des thèmes FN ou de ce qu'il reste de la gauche intellectuelle française. Il s'agit de changer de focale de temps en temps.
Pour conclure sur mes reproches, ce que je n'aime pas dans les chroniques récentes de Daniel, c'est cette façon de faire semblant d'interroger des dispositifs médiatiques sans traiter de la vraie question, qui est celle de l'impact des média sur la polarisation de la vie politique autour du seul clivage fasciste / antifasciste, thème qui absorbe les débats sur l'euro (cf. le cas Sapir), sur l'universalisme français (signification, devenir, transformations), sur la politique internationale (c'est des migrants ou des réfugiés ? on les accueille au nom de l'humanité où on les refoule au nom de notre identité ?).
Les médias contribuent à transformer tout débat d'idée en caricature de discussion. Les chroniques de Daniel, dans un site d'analyse des médias, devraient procéder à une analyse fine de ces polarisations excessives, de l'assimilation du détail au grand tout fascisant et de la création d'un camp du bien qui donne des leçons sans arrêt en toute irresponsabilité.
Euh, pourtant c’est bien ce que dit la chronique du jour. :
« Le problème est que le système Barma-Ruquier, en polarisant ses émissions sur cette question (c'était aussi le cas à l'époque d'Ardisson) laisse penser que le débat sur le racisme est le seul débat important d'aujourd'hui. Pas davantage que ses collègues, par exemple, Ruquier n'a jamais invité Txetx Etcheverry, l'initiateur de la marche Alternatiba, que nous recevions sur notre plateau ce week-end. Pourquoi, alors que la "maison brûle", nous obstinons-nous à regarder ailleurs ? C'est un des mystères que tenteront d'expliquer les historiens du prochain siècle, s'il en reste. »
Et ASI tente d’aborder dans ses émissions les sujets qui ne sont pas traités par lémédias : l’émission sur Alternatiba en est le parfait exemple. Autre exemple : celle sur nos aveuglements contemporains (que l’on aime ou pas le résultat de cette émission, son objectif était très ambitieux).
« Le problème est que le système Barma-Ruquier, en polarisant ses émissions sur cette question (c'était aussi le cas à l'époque d'Ardisson) laisse penser que le débat sur le racisme est le seul débat important d'aujourd'hui. Pas davantage que ses collègues, par exemple, Ruquier n'a jamais invité Txetx Etcheverry, l'initiateur de la marche Alternatiba, que nous recevions sur notre plateau ce week-end. Pourquoi, alors que la "maison brûle", nous obstinons-nous à regarder ailleurs ? C'est un des mystères que tenteront d'expliquer les historiens du prochain siècle, s'il en reste. »
Et ASI tente d’aborder dans ses émissions les sujets qui ne sont pas traités par lémédias : l’émission sur Alternatiba en est le parfait exemple. Autre exemple : celle sur nos aveuglements contemporains (que l’on aime ou pas le résultat de cette émission, son objectif était très ambitieux).
Oui c'est vrai, sauf que sur les dix dernières chroniques six d'entre elles ont porté sur l'expression de la parole de droite jugée "dérapante". Dans les dix, un paquet laisse entendre que ces propos "font le jeu du FN", blablabla, la suite on la connaît. les interrogations de DS dans le 9/15 du jour ne me suffisent donc pas à neutraliser mon agacement, car je les trouve artificielles. En parlant de toboggan Daniel lui-même contribue à la polarisation "fascisme / anti-fascisme" d'opérette qu'on nous sort sans arrêt, sans contribuer d'un iota à l'analyse de cette polarisation. L'émission avec Sapir était du même tonneau, Daniel ayant cherché à faire dire à Sapir qu'il soutiendrait Marine le Pen si la situation l'exigeait à ses yeux. Le dispositif, la manière d'interroger, laissaient entendre que ce seul propos de Sapir devait suffire à disqualifier son travail d'économiste - ce que je trouve très étrange, étant donné les immenses efforts de "pédagogie" sur les questions économiques, y compris du point de vue de la rupture avec l'orthodoxie. Bien sûr une alliance avec le FN serait une catastrophe politique, mais à la limite la question intéressante est de comprendre ce qui pousse Sapir à évoquer l'idée d'une alliance, à l'interroger sur les sacrifices politiques, à faire des parallèles avec le passé (alliances ratées pendant la guerre d'espagne, etc.).
@si contribue à alimenter cette dialectique du "ce qu'il faut penser", opposée de manière caricaturale à un camp du mal bien identifié. Daniel donne clairement son avis sur les penseurs en question (il se fout régulièrement de la gueule de Finkielkraut, invariablement présenté comme l'archétype du vieux croûton crypto raciste sur le repli, bouffi d'élitisme et semi ringard, voire totalement. En même temps Daniel a dit à son micro qu'avant le 7 janvier "la liberté d'expression c'était un truc ringard" donc on ne saurait être étonné) sans interroger ses propres prismes, ce qu'exigerait une analyse approfondie des propos assimilés à l'extrême droite.
Bref je vois bien qu'il pose des questions. Mais non seulement il n'y réfléchit ni n'y répond, mais il ajoute sa propre pierre, et six fois sur dix jours, ça devient gonflant.
@si contribue à alimenter cette dialectique du "ce qu'il faut penser", opposée de manière caricaturale à un camp du mal bien identifié. Daniel donne clairement son avis sur les penseurs en question (il se fout régulièrement de la gueule de Finkielkraut, invariablement présenté comme l'archétype du vieux croûton crypto raciste sur le repli, bouffi d'élitisme et semi ringard, voire totalement. En même temps Daniel a dit à son micro qu'avant le 7 janvier "la liberté d'expression c'était un truc ringard" donc on ne saurait être étonné) sans interroger ses propres prismes, ce qu'exigerait une analyse approfondie des propos assimilés à l'extrême droite.
Bref je vois bien qu'il pose des questions. Mais non seulement il n'y réfléchit ni n'y répond, mais il ajoute sa propre pierre, et six fois sur dix jours, ça devient gonflant.
Gonflant, mais vous-même, vous ne manquez pas d'air ...
Bonjour
Parler une nouvelle fois de ce sujet et accompagner le buzz montre une nouvelle fois qu'@si est à la recherche du clic qu'importe les moyens
Parler une nouvelle fois de ce sujet et accompagner le buzz montre une nouvelle fois qu'@si est à la recherche du clic qu'importe les moyens
Pourquoi ? Mais parce que c'est le service public, financé par les contribuables, lesquels en majorité sont en harmonie avec Morano Zemmour et associés. Et que sans ces gens-là ils iraient voir ailleurs et bye bye les parts d'audience et le train de vie qui ça avec.
Ruquier est de gauche, mais il aime bien Morano.
Moi je suis écologiste, mais je roule à l'essence, je m'éclaire et je me chauffe au nucléaire.
On a tous nos petites contradictions.
Moi je suis écologiste, mais je roule à l'essence, je m'éclaire et je me chauffe au nucléaire.
On a tous nos petites contradictions.