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"Strip-tease" fatal pour un policier municipal

Quand Pujadas invente un

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J'ai vu aussi ce strip-tease... Ce policier, bien que parfois maladroit, fait preuve d'une rare conscience professionnelle en prenant ce jeune en main alors que ses parents ne peuvent plus rien.
Je prendrai comme exemple la séquence ou il lui parle de la prison. A cet âge-là, on n'a qu'un demi-cerveau, c'est bien connu... Dans l'esprit de ce petit, la prison est un passage obligé et une sorte d'adoubement qui lui amènera le respect dans la rue.
L'excellent policier ( qui connait le sujet ) lui signifie en termes très crus qu'il a la tête pleine d'eau et qu'une fois qu'il sera seul en prison, un blondinet comme lui se fera beaucoup d'amis et en ressortira probablement en ayant des difficultés à marcher...

Mine de rien, on voit que ça le fait réfléchir. La même chose expliquée moins franchement l'aurait juste fait rigoler. A mon avis, ce qu'on reproche à ce policier, c'est " qu'il n'est pas là pour faire l'assistante sociale " selon les immortelles paroles de Nicolas Bruni.

En dehors de ça, Strip-tease, c'était mieux avant, je trouve. J'ai téléchargé plusieurs anciens reportages ( plutôt des chroniques ) et certains sont inoubliables comme celui ou un type construit sa soucoupe volante en contreplaqué dans le jardin, l'armurier raciste qui se prend pour Belmondo ou la mise en route d'un PC portable par des néophytes ( le mot est faible )... Ca, c'était de la télé !
Bel exemple de discipline... on pourrait appeler celle-ci la « méthode Royale »... le bon truc à l'ancienne, à la militaire.
Épreuve de force : tu vois, je suis plus baraqué que toi, je peux t'en imposer par la force, t'es qu'un « merdeux ».

On arrive vite à la soumission et à l'humiliation avec ce type de comportements... un bel exemple de discipline à l'ancienne (c'était mieux avant).

Si éduquer c'est écraser... alors oui, vous avez raison : ici on remet des gamins dans le droit chemin.

Anthony [ un autre blog est possible ]
bonjoura tous

je suis pere de famille e 2enfants 2garçons 29 et 23ans

le role de pere personne ne nous l'apprend et le sujet de l'education des enfants est trés complexe
etant impartial rigoureux et dur envers moi meme ayant desiré mes enfants trés fortement ma femme et moi avons tout fait pour eux a ce jour mon 2eme est toujors chez moi
termine ces etudes et j'espere qu'il pourra gagner sa vie bientot.

mon role de pere n'a pas été facile j'ai commis des erreurs au fond de mon 1er il en reste quelque chose je le ressens mem si mon fils m'a remercié d'avoir agit comme je l'ai fait

mon 2eme garçon je n'ose plus et j'ai peur de l'agresser tellement il est fragile interieurement meme si je sais que j'ai mon role a jouer qui est a mon sens de le guider et de lui apporter mon vecu d'homme qui necessite des fois d'intervenir avec force et conviction

j'ai beaucoup lu sur la psychologie des enfants sur le role du pere et mere pour ne pas comettre d'erreurs

au final je pense que l'education des enfants est trés complexe et demande une part de chance b=eaucoup d'amour et d'investissement desinteressé tout au long de la vie

je n'ai rien contre la police qui a son role a jouer contre les truands les trafiquands les voleurs les tricheurs ces parasites de la societé qui nous pourrissent la vie a nous honnettes citoyens
mais concernant les enfants de 15ans il me semble que là il faut des policiers bien aguerris bien formés peres de famille avec l'experience de la vie

la societé actuelle ecarte ceux qui ont acquis avec les années d'experiences de sagesse de savoir etc et peut etre faudrait il revenir sur ces aspects
ce strip-tease est un petit chef-d'oeuvre.
la scène de "violence" que vous commentez est un détail.
...
avec srip-tease, (les bons), on atteint un vertige, un étourdissement devant le spectacle d'une humanité.
cela dépasse, transcende, le jugement.
...
Cela fait de nombreuses fois que j'ai envie de réagir, apporter un éclairage, enrichir d'une information, pousser un cri... sur tel ou tel sujet jailli de l'imagination de l'équipe d'@si ou tombé de l'actualité; sitôt dit, remonté comme une pendule, tous mes arguments affûtés, je clique sur forums, et là, c'est le drame.
Voilà seulement quelques heures qu'un sujet est en ligne que des dizaines, voire des dizaines de dizaines de réactions sont déjà là, les uns et les autres papotant comme s'ils se connaissaient depuis des lustres.
Je ne peux pas m'en empêcher - je ne veux être ni redondant, ni mal informé - alors je les lis toutes, oui, vraiment toutes, et, à la fin, épuisé, je me dis que tout cela ne sert à rien, que toute remarque si pertinente soit elle (je sais, je me donne beaucoup d'importance) sera noyée dans le flot des "moi,je" et des "je suis sûr que", sans parler du message de schmurk à plop qui nous apprendra enfin pour qui il faut voter et où se trouve le beurre dans le frigo, et aussi dans celui des liens intéressants et des interventions pertinentes mais noyés à leur tour dans un flot encore recommencé et j'en peux plus et je quitte le navigateur.
Et si je me disais que non?
Après tout, j'ai lu les différents messages de Laurence, et je me suis trouvé très en accord avec elle, et ce qui m'a plu peut-être, c'est qu'elle prenait le temps d'exprimer sa position, accessoirement en accord avec la mienne.
Après tout, si je suis réactif à l'info, pourquoi ne pas l'être aux réactions. Et je suis alors étonné du nombre de "protestations contre les violences policières" qui me semblent une manière facile d'éluder le sujet.
Entendons-nous bien, je n'ai aucune sympathie pour les violences policières, et je ne vous dirais pas que j'en ai pâti, ce ne serait pas un argument. Mais j'ai vu le strip-tease en question et si j'ai eu un mouvement de recul dans la scène incriminée, je n'ai pas pensé que le flic en scène était un tortionnaire, et j'étais même était plutôt en colère contre le gamin qui nous amenait sur ce terrain du tout ou rien.
Pour faire court - je sens bien que mon message commence à durer - il me semble bien que tout cela nous interroge sur plein de sujets qu'@si pourrait traiter :
- comment un élu peut être amené à mettre à pied un fonctionnaire suite à une émission de télé ?
- quelle est la mission des policiers municipaux - le seul débat public les concernant jusqu'à aujourd'hui concernait le port des armes à feu, si je ne me trompe, on ignorait leurs contacts avec des principaux de collège.
- pour quelle raison Mr Pujadas est-il obligé de mettre en scène un délinquant multi-récidiviste face à un policier aux méthodes brutales ?
J'avais d'autres choses à évoquer, mais j'arrête là pour aujourd'hui.
J'ai regardé cette nuit l'intégralité de l'épisode 1 et 2 de police et polissons, c'est le titre, Il est vrai qu'a priori le policier est plutôt sympa, fait pas mal de choses pour le bien de la communauté, je lui trouve une bonne tête.

En ce qui concerne Gianni, c'est vrai qu'il énerve, il se choute au chit, il est très ramolli, il embête son père et sa mère (séparés) il ne veut plus aller à l'école, ne veut pas travailler, et lorsque de force il fait un stage comme vigile, on voit bien sa souffrance, d'ailleurs il abandonnera) mais personne ne se demande pourquoi, en fait on lui impose cet espèce de thérapie comportementale "sauvage" dans le sens de sans compétences pour ce faire, je doute vraiment que sur le long terme, il y ait des résultats comme le disait Poisson.

Pour moi, ce flic joue (je pense qu'il est sincère) à l'éducateur copain, croque-mitaine en même temps, il fait avec ce qu'il a ... à suivre ce soir, je vous livre les titres du feuilleton n° 3 : matraques sans frontières, n° 4 : baffothérapie. Tous à vos magnétoscopes pour ceux qui se lèvent tôt, de 23 h 10 à l h 05 sur la 3.

Peut-être que ceux, nombreux, plus haut qui cautionnent ces méthodes, vont porter un autre regard sur ces pratiques.

Je vous livre la conclusion de l'article de Télérama : [Fidèle à ses principes, le policier fait du mal là ou ça va mal. Tandis qu'Eric Cardot réussit un portrait bienvenu à l'heure du retour en grâce des "viieilles méthodes".]
Juste un petit mot sur l'idée de barbarie.
Le barbare c'est d'abors l'étranger,par exemple le canibalisme peut être tout à fait compris pour certaines cultures ancienes ou reculée; alors que le simplr fait de manger peut appaître monstrueux (comme lors du ramadant..). Je pense que dans cette affaire il est légitime que que certaines personnes soit choquées et pourtant je ne suis pas du tout étonée du commentaire du jeune en question qui ne semble absolument pas voir ou se trouve le problème. ..Pour moi, ce policier est juste un peut idiot. Ce que j'ai vu à la télé, c'est un policier qui joue les gros bras devant un gosse qui joue le con. C'EST UN JEU! Celui de la police et des polissons (!).Evidement quand on le prend on serieux cela fait peur; mais qu'en est t-il de du Gothique, du manger de ver de Koh-Lanta, ou du pouilleux masacreur (ça c'est horrible!)?
Stip tease filme la barbarie.
Et nous montre qu' a poil, nous sommes des monstres qui ne veulent faire de mal à personne.
(Je parlais de l'émission, d'après ce que ceux qui l'ont vu en disent (je n'ai pas la télé))
Je ne suis pas sûre que la question de fond soit "Pour ou contre la violence/l'usage de la force" (même ceux qui ici défendent le policier prennent soin de montrer en quoi cette violence était justifiée et comprise comme telle par l'adolescent récalcitrant, donc "non-violente", en quelque sorte) mais plutôt "Pour ou contre le recours à la violence en tant que méthode éducative ?"
Cette scène est une scène violente, c'est un fait, mais il semblerait qu'elle soit isolée, exceptionnelle. Et je l'analyse donc comme une scène aux tenants et aboutissants psychologiques, personnels, avant d'être généralisables à tout le corps policier, voire à la société en général. Mais on voit un flic avant de voir un homme, on lui prête des méthodes censées être celles de toute une profession, et la question devient de savoir si la violence, dans ce cadre, comme moyen utilisé de façon répétitive, est tolérable. Or, justement, je ne suis pas sûre qu'on soit ici face à ce genre d'instrumentalisation programmée de la violence, mais plutôt face à l'initiative intuitive, très "bon sens populaire et pragmatisme paternaliste" d'un type qui confond un peu beaucoup les rôles de policier, d'éducateur, de psy et de père de substitution...
Je navigue un peu et oh! stupeur quelle est cette rubrique qui déchaine les @sinautes...
un strip tease de policier aux Lilas ? (là j'en rajoute parce que quand même je regarde la télé et les infos, mais c'est pour le fun)
Pauvre policier victime d'identification et dont le seul recours est la médiatisation pour faire "du ciné". Il n'y a pas que les délinquants qui rêvent !

Bien que j'aie été éducatrice (presqu'aux LILAS) je garde un lien privilégié avec les policiers... les pauvres (j'ai eu quelques confidences et su que eux aussi pleuraient au travail quant ils ne boivent pas...).

Ils ne savent pas faire... mais c'est parcequ'on ne leur a pas appris... et c'est à cause de l'école primaire ! (je rigole encore).
C'est facile de vous offusquer ! Quand vous avez à faire à des "mères" qui vous disent "mon fils c'est un bon fils il a rien fait". Vous n'auriez pas envie VOUS de rétablir "la démocratie" et de l'engueuler "le fils"... d'ailleurs quesquidit le fils ?
Sacré question de société ! J'ai l'impression de retourner au boulot alors que je pensais voir un strip tease de policier de proximité (presque chez moi, avec des Lilas)
Déçue !
Quand même merci Sophie !
Madeleine
Fallait pas l'inviter, Libert, i' décrédibilise la police de proximité...
Ce soir j'attends Madeleine
J'ai apporté du Lilas
....
8 plans de coupe et 5 point de vue différents pour le tournage et montage de cette vidéo.....avec notamment un point de vue de coté qui n'est pas compatible avec le point de vue du fond de la pièce. Tout est scénarisé, c'est évident... et ce n'est pas très bon.
alors que veux dire cette vidéo ???
Strip-tease cherche quoi ?? avec ce genre d'émission, de la pub??
sinon l'acteur qui joue le rôle du policier n'est pas très bon, cela se voie nettement lors de la bousculade de la chaise...

Heureusement que des sites comme ASI nous aide à avoir un oeil plus critique sur les images.

bon voilà ma vision des choses
[quote=Bysonfutée]2) par une majorité des commentaires qui disent "oui mais , ce n'est rien par rapport à d'autres brutalités policières" !

Je ne le voyais pas vraiment comme ça : c'est surtout le genre de cas au sujet desquels la police, au travers des institutions ou des syndicats, clame son indignation, en se félicitant que "ce ne soit que ça"...
Au final, ce n'est que le triste reflet des méthodes policières quotidiennes vis-à-vis des jeunes (au moins) ; à tel point que le fonctionnaire est convaincu des bienfaits de sa démarche - dès lors, pas du tout impossible que Gianni ait eu le sentiment de le "comprendre", de mesurer son honnêteté, si on peut dire. Y a pas un syndrome à accoler à ça ?

*S'en va relire le Baron Noir*
Je trouve déplorable le fait que de plus en plus de pseudo-éducateurs aient recours à la violence (certains veulent briser les tabous ? alors appelons un chat un chat !)

En agissant de la sorte, il convainc le gamin qu'il n'existe que cette façon de résoudre les conflits, et que "la raison du plus fort est toujours la meilleure"...
Pourquoi l'ado lui obéit-il ? Pas parce qu'il pense que c'est la meilleure chose pour lui, mais parce qu'il se trouve dans un rapport de force qui lui est défavorable.
Ce sont des enfants qui sont déjà dans le rapport de force permanent et qui ne voient pas d'autres solutions à la résolution des conflits que l'emploi de la violence (verbale ou physique), inutile de les enfoncer encore plus dans cette voie en leur faisant croire que ce sont des situations normales. Ca fonctionne peut-être à court terme sur certains ados, mais ça leur laisse aussi croire qu'il n'y a pas d'autres façons d'envisager les rapports humains.

Ce qui me frappe plus encore que ces "méthodes" complètement réactionnaires, c'est le fait que bon nombre de personnes ici-même ne trouvent pas cela choquant.
Je suis effarée de constater que certains n'aient toujours pas compris qu'on peut éduquer sans recours à la violence.
Pour ou contre la violence? La question parait simple et elle est. Il faut-être contre la violence.
Mais si l'on parlait plutôt de l'usage de la force? Les policiers font régulièrement usage de la force (la force étant grossomerdo une version légitime et nécessaire de la violence), les parents aussi, il y a des dérives mais il ne faut pas qu'au nom de ses dérives un consensus se crée pour interdire la force (si ce n'est pas déjà fait).
Est-il si immoral que ça ce policier à qui on à appris que dans certains cas démontrer qu'on avait l'ascendant physique pouvait aider à faire passer un message (le message étant dans le cas présent "si tu te fout de ton avenir, ok. Mais tant que je suerais pour t'aider, réduire mes efforts à néant quelle que soit la raison sera une insulte que je prendrai personnellement.")?
Par cette façon d'apparence barbare, bien qu'il n'y est pas de blessure (sinon d'orgueil), ce policier fait-il autre chose que de montrer son implication total (physique/émotionnel) dans l'avenir de ce gamin au dit gamin, qu'apparemment personne d'autre n'a réussi à faire réagir en se servant de levier plus consensuel (menace d'exclusion de son établissement scolaire, discussion autour de l'intérêt d'être un gentil garçon, psychologue...etc)?

J'élargirais légèrement le débat quitte à dévier légèrement du sujet de ce post en évoquant un vieux souvenir. Je me souviens d'un dimanche où mon meilleur ami est moi même, nous devions avoir onze ans, avions trouvé un cadi de supermarché qui allait devenir pour nous, tour à tour, une voiture de course, un taureau, une cabane...ect. Après avoir épuisé toute les formes d'usages gentillets que nos imaginations pouvaient faire de ce véhicule polymorphe nous entreprîmes de prendre d'assaut tel deux preux chevaliers de la tour n°6 en nous servant de notre "super bélier" nouvellement rebaptisé.
Alors que nous avions déjà assez largement fissuré la porte vitrée du gardien qui se trouvait au rez-de-chaussé, deux grandes mains nous saisirent. J'eus à peine le temps de voir mon ami se tenir la joue que je ressentis une étrange douleur à la mienne.
Ce parfait inconnu d'une trentaine d'année venait de nous gifler, et nous trainât par le col jusqu'à l'appartement du gardien à qui nous fumes contraint de présenter des excuses. Je me souviens de ce jour comme un de ceux qui a compté pour moi, le jour où j'ai compris que bien que mes parents ne me voit pas, le mal que je fait à des conséquences.

Je ne vois plus ce genre de scène. En l'espace de dix ans, le monde adulte à oublié qu'une société et tout ses membres est responsable de l'éducation de ses enfants, on ne peut pas toujours rejeter la faute sur les profs incompétents, sur les parents démissionnaires, sur les jeux-vidéo ultra-violent, ou sur les quelques-uns qui maladroitement peut-être essaie de corriger nos erreur à tous.

Ps: Veuillez excuser, encore une fois, les fautes nombreuses et le style maladroit (encore plus aujourd'hui, je n'est pas le temps de relire).
Bonjour,

Quelqu'un pour nous décrire - rapidement - les différentes missions de la police minicipale, notamment en matière de "délinquance" ?
Et de quelle formation bénificie t-il pour se faire ?

Ou alors, c'est une méthode perso ? ;o)

Merci.
Oui je suis sidérée,

1) par ce que j'ai vue de la vidéo,

2) par une majorité des commentaires qui disent "oui mais , ce n'est rien par rapport à d'autres brutalités policières" !

Le but recherché est apparemment atteint, le jeune lui-même le dit, "ça m'a aidé à m'en sortir", il a peut-être donné la réponse qu'on attendait de lui, je ne sais pas ...

Autrement dit certains jeunes déscolarisés, en voie de délinquance sont grossiers, violents. Pour autant faut-il leur opposer les mêmes méthodes ? Ce policier municipal se contrôle, je veux bien, mais doit-il utiliser un vocabulaire ordurier, c'est ça l'éducation ou la rééducation, je ne crois pas.

Si j'avais été la première à commenter, j'aurais dit ce type se croit dans une série américaine, est d'une grossièreté caricaturale... Je suis loin d'être bégueule, mais "mordre" dans le mot "connard", comme il le fait, c'est en rajouter une bonne louche !

C'est tellement surjoué, que je me demande si les "acteurs" n'ont pas jouer leur propre rôle ? Le jeune totalement indolent, le policier éructant.

Je trouve ce comportement honteux, à côté de la plaque. Je suis dégoûtée. Les violences verbales peuvent atteindre autant que des baffes.

J'attends l'avis de Madeleine.
C'est tellement surjoué, que je me demande si les "acteurs" n'ont pas jouer leur propre rôle ? Le jeune totalement indolent, le policier éructant.

Alors là Bysonfutée, vous m'otez les mots de la bouche. Un très très mauvais film série B !
On a vraiment l'impression que c'est bidon tellement ça sonne faux. Il doit trop regarder M6 notre "brave policier". C'est pas Super Nanie c'est Super Keuf . Moi ça me fait plutôt marrer (jaune je le concède) tellement c'est énorme.

Et exiger des excuse après ce florilège de jolis mots comme :
- putain
- t'es une merde
- tu t'fous d'ma geule (2fois!)
- et...espèce de connard

c'est l'apothéose !

S'exprime-t-il de la même façon quand il fait son tour dans la téci ?
des excuse[large]S[/large] Acceptez les miennes, je ne veux pas être balancée par terre et prise au collet par Bysonfutée.
Loin de moi cette idée jo.ëlle !
Vous n'avez vu qu'un extrait.
Ce n'est pas dans mes habitudes de légitimer la violence, mais en l'occurrence, je suis convaincue que ça n'en était pas !
Du moins, il s'agissait d'une posture et le jeune n'était pas dupe.
Tout le long, on avait un jeune qui joue au dur, qui n'a jamais rencontré la moindre résistance et qui repousse sans cesse les limites, et de l'autre un policier moitié pote, moitié autorité. Cet extrait montre le seul moment où il a joué au plus dur pour montrer ce qu'est la limite.
Alors oui, comme ça ça a l'air vraiment hard, mais la preuve que c'est un jeu est que le principal intéressé ne s'est pas senti brutalisé.
ça confirme peut-être que c'est du mauvais cinoche !
L'effet bénéfique est un leurre... Rien ne peut changer sans la volonté du gamin, et l'autoritarisme cherche à se substituer à ce manque de volonté et d'exigence envers soi-même. Aucun résultat solide ne peut sortir de psychodrame. Si le pseudo-flic arrête de le tenir par le col, et aussi sec, le jeune perd pied à nouveau (et rien ne prouve que cela le maintienne la tête hors de l'eau).
Avec les années qui passent, si le jeune échappe aux tentations les plus périlleuses, l'âge avançant, le malaise pourtant profond peut s'évaporer comme par enchantement (comme dans le cas raconté par un père dans les commentaires, qui préfère la facilité de s'attribuer ensuite le mérite du résultat et de justifier ainsi les coups donnés..).
Imaginer qu'on donne froidement des coups, qu'on inflige avec sang-froid une violence "thérapeutique", c'est entrer selon moi dans un monde infernal et fermer encore plus les portes de sortie. La seule excuse qu'une victime trouve à la violence, c'est la perte de la maitrise de soi, l'état second, sinon c'est encore plus dur de s'en sortir, et comme victime et comme coupable.
Ce policier municipal a besoin de réfléchir à ce qu'il fait et pourquoi il le fait, avec un peu plus de recul que le regard complaisant de cette caméra.
Les indignations feintes de la police nauséabondes. De très nombreux policiers sont violents et souvent pour cause de pathologie psychiatrique et/ou d'abus d'alcool. Certains font meme ce métier par amour de la castagne. Ce policier n'est certainement pas plus violent que le majorité des flics. Le but de ce genre de documentaire est de prendre le temps (8 mois de tournage) pour montrer une réalité qui n'est pas forcément formatée de bons sentiments pour le 20h. La on voit un flic plus énervé comme un père que comme un gardé à vue qu'on intimide au commissariat. (et je peux vous dire que j'ai passé du temps dans ces lieux). Mettre à pied ce policier ne résudra en rien le problème de la violence policière au contraire. Les commissariats seront fermés aux caméras quelle que soit l'ambition du projet et on continuera à entendre des cris en passant à coté d'un commissariat tout en feignant de ne pas comprendre d'ou ces cris viennent.
Je suis scandalisée qu'un adulte puisse se permette un tel comportement avec un jeune qu'il est censé aider.
J'ai été enseignanrte en ZEP et je ne me permettais aucun écart de langage, même si , souvent, les élèves ou les parents ne se censuraient pas.
Dans des situations un peu tendues,j'ai même eu peur,
Car avant la violence des gestes, il y a aussi la violence des propos.On peut être ferme sans insulter son vis à vis MAIS c'est un METIER et un métier, ça s'apprend.
Il se prend pour qui ce "flic" municipal? C'est super Dupont ?
Il n'a aucune compétence pour ce travail: c'est un travail d'éducateur.
"Vous oubliez que ces jeunes n'ont de référence que la violence, la confrontation" écrit marc malaurie.Eh, bien, justement: rajouter de la violence à la violence n'apporte rien et fait empirer la situation.Il faut désamorcer la violence et ça aussi ça s'apprend.
Ce type présent des traits de caractère sadique et se sert de sa position professionnelle pour les assouvir, c'est tout.
Vous oubliez que ces jeunes n'ont de référence que la violence, la confrontation. Ils seraient plus jeunes, je pense qu'il serait possible de "refaire" leur éducation mais dans leurs cas il y urgence car en quelques mois ils peuvent sombrés et ne plus pouvoir remonter.

Là on sanctionne un policier qui tente d'aider mais les véritables violences et humiliations policières sont quotidiennes
Il faut raison garder et remettre les choses à leurs places.

Moi, je n'ai pas compris pourquoi il ne répondait pas à la conception de la police municipale à l'époque avec tous ses collègues, il ne s'agit pas d'un cas isolé alors? Et si ce n'était pas en tant que policier qu'il avait à s'occuper de 'déscolarisation extrême' : au nom de quoi ? Des contrats locaux de sécurité ? Du bénévolat ? Mission de lutte contre la déliquance spécifique mise en place par la mairie ? Tout ce cadre pseudo-institutionnel autour me semble extrêmement flou.

Est-ce que cela ne repose pas le débat d'une police municipale plus "armée" comme la police nationale (port d'arme, tazer, ...), d'une formation initiale minimale commune, d'une coordination nationale des polices municipales ? N'oublions pas qu'il s'agit d'un cas 'hors norme' présenté par l'émission et probablement hors des attributions de la mission de la municipale.

Si vraiment tous les procédés (parents, psychologues, assistante sociale, éducation nationale, éducation spécialisée, prévention, ...) ont échoué, comment faire ? Tout semble montrer que ce gamin est perdu pour la société.

Je crois surtout que Pujadas veut nous faire croire qu'il suffit de séparer le bon grain de l'ivraie en stigmatisant la municipale, mais force est de constater au vu de la pile de plaintes déposées et en souffrance à l'IGN que la police nationale a aussi des comportements parfois extrêmement limite... Mais là, curieusement, je n'entends plus les pleureuses de Strip Tease.
Les violences verbales et physiques de se policier m'ont choqué mais bien moins encore que le traitement de cet information fait par Pujadas qui va jusqu'à insinuer que ce type de comportement puisse être légitime.

depuis quand la violence peut-elle être envisagé comme un moyen nécessaire pour faire comprendre à un gosse qu'il déraille ?
Je ne comprends pas bien qu'on incrimine ce policier.
Certes, isolé du contexte, le geste a l'air violent, mais lorsque j'ai vu la scène, j'ai été surprise mais pas choquée (alors que je me serais indignée si le geste avait été mauvais).

Je crois que le policier fait basculer la chaise, tout en prenant garde à ne pas blesser. Il me semble qu'il a agi d'une manière propre à susciter une réaction chez le jeune, mais certainement pas à le brutaliser.
Il faut dire qu'en regardant l'émission, je me faisais la réflexion que personne n'avait la moindre prise sur ce jeune. Cet enfant semblait à l'évidence insensible à quelque autorité que ce soit, ayant toujours eu le dernier mot, et n'ayant jamais rencontré autre chose que de la molle désapprobation. Les parents, enseignants, éducateurs étaient à cours d'arguments et se contentaient de menacer sans que jamais le jeune ne les prenne au sérieux, trop conscient qu'il était de leur incapacité à exécuter aucune des menaces formulées (les parents pour des raisons affectives, les autres pour des raisons légales). Même ce policier semblait désarmé dans les faits, et impuissant aux yeux du jeune.

Il m'a semblé au moment où j'ai vu cette scène, qu'il n'y avait rien de gratuit ou d'arbitraire. Il s'agissait là d'une volonté d'atteindre le gamin, non pas dans son intégrité physique, mais dans son sentiment de toute-puissance.
Je n'ai pour ma part jamais pensé qu'il s'agissait de le violenter, mais de le surprendre, de le déstabiliser et de lui montrer enfin une limite à sa toute-puissance, une limite que la frayeur lui aura enfin clairement fait éprouver.
Et l'objectif me semble-t-il, était bien de le faire réagir, pas de le terroriser, parce que le policier s'est toujours montré amical avant et après cette scène.

Les psys aujourd'hui, constatent que le profil de ce jeune se rencontre de plus en plus fréquemment.
Certains accusent le laxisme soixantehuitard, d'autres l'éclatement de la cellule familiale, d'autres encore pointent l'absence d'autorité des mono-parents et que sais-je encore...
Je me garde bien d'avoir une opinion morale sur la question, mais le constat que je fais est que les enfants-tout-puissants sont nombreux, et les parents fort démunis, tout comme l'étaient ceux de ce gamin en voie de déscolarisation.
Alors évidemment, il est hors de question de maltraiter les enfants, mais que faire lorsque ceux-ci devenus grands ignorent toujours ce qu'est une limite, ce qu'est l'autorité et ce qu'est le respect de soi-même et d'autrui ?
Les conforter chaque jour un peu plus dans l'idée qu'ils ont raison en ne leur opposant aucune autorité ? Les abandonner à leur sort en attendant que par l'opération du Saint-Esprit, ils découvrent tout à coup des notions que personne n'a su ou n'a pu leur transmettre ?

Eh bien justement, il me semblait que leur faire éprouver les limites de leur toute-puissance sans les brutaliser physiquement, était un moyen pertinent pour leur faire prendre conscience qu'ils sont finalement comme tout humains, vulnérables et dépendants, et ainsi leur permettre de reprendre pied dans la réalité, réalité sociale, affective, matérielle...
Des cameras quelque part et tout change les grands esprits s envolent et pourtant il ne s agit que d un policier municipal
Pourquoi ne pas mettre aussi des caméras pour voir les méthodes des vrais policiers dans les vrais commisariat
Pourquoi ne pas mettre des caméras au cours des interpellations faites par de vrais policiers
Pourquoi aucune caméra dansles centres de rétention pour étrangers en voix d expulsion
Pourquoi aucune caméra dans les centres adaptés aux mineurs
La logique est donc "pas vu pas pris "
" celui qui a dit la vérité il doit être exécuté"
N'empêche que ça prend, effectivement, des proportions outrancières. Surtout que le flic n'est pas un mauvais bougre, c'est vraiment surprenant qu'il soit amené être le nouvel arbre qui cache la forêt des violences policières.
Toutes proportions gardées, je serais tenté de rapprocher cette histoire de celle de la fameuse gifle à un élève...

Petit rappel des faits :
[quote=Le Parisien]Pour le procureur d'Avesnes-sur-Helpe, Bernard Beffy, « cette garde à vue se justifiait » : « L'élève a d'abord été plaqué contre le mur et soulevé du sol ; ensuite, il y a eu la gifle. Et ce professeur l'a ensuite traîné dans la classe pour le forcer à écrire une lettre d'excuses. Au-delà de la gifle, il y a eu une vraie scène de violence. »
(source : http://www.leparisien.fr/home/info/faitsdivers/articles/L-ENSEIGNANT-QUI-A-GIFLE-SON-ELEVE-IRA-AU-TRIBUNAL_296019558)
Voir aussi la voix du nord qui donne une version similaire.

En soit, les faits ne me semblent pas si différents dans leur intensité ; la différence vient surtout du fait que le policier assume et revendique sa méthode, alors que l'enseignant a senti qu'il était allé trop loin (il a demandé aux élèves de ne pas en parler).

Mais finalement, on a une situation similaire : un adulte en situation d'autorité plaque un élève contre un mur/ sol avec violence afin de lui faire "rentrer dans la tête" un certain nombre de choses.

Résultat :
l'enseignant : un nombre incroyables de lettres de soutien, et l'élève est aussitôt considéré, même si on ne le dit pas toujours, comme un "petit con qui l'a bien mérité".
le policier : rejet général.

Il aurait été intéressant qu'@si s'attache aussi à cette différence de traitement dans les journaux télévisés...
(extrait d'un courrier envoyé à ASI à la rubrique Proposition de sujet)

Eric Carbot, est un proche du policier municipal, Arnaud, comme expliqué ici.
"«J’ai rencontré Arnaud par hasard au cours d’un reportage que je réalisais dans une fourrière. Il a vu ma caméra, je lui ai expliqué mon travail et, de fil en aiguille, on a sympathisé. "
http://www.telecablesatellite.fr/article/2008/03/27/20080327-Documentaires-Strip-tease-polisson.php

Sa proximité avec le personnage lui à-t-il retiré toute prudence ?

Arnaud le policier semble apprécié pour ses méthodes. Extrait de la même URL :

" Arnaud travaille en collaboration avec des proviseurs de collèges. Un travail de longue haleine, consistant à encadrer des adolescents prédélinquants, aux résultats scolaires médiocres et fâchés avec l’autorité. Du flic au baby-sitter, Arnaud est prêt à jouer tous les rôles pour empêcher des jeunes comme Corentin ou Gianni de gâcher leur vie. Les personnages ne sont donc ni exceptionnels ni banals, juste acteurs d’une situation originale. Idéale, au concept de Strip-tease, où la caméra s’oublie dans le décor."

Ici encore, une interview du Eric Carbot, qui vante sa proximité avec Arnaud.

"Avec Arnaud, en revanche, la confiance a été quasi immédiate. C’est un fonceur. Quand il dit oui, il ne revient pas sur sa parole. C’est un bon personnage pour la caméra : il n’a pas de langue de bois, il n’a pas d’inhibition, même s’il sait jusqu’où il peut aller. Il connaissait l’émission, il savait qu’il était dans le ton."
http://www.wikio.fr/search/%C2%AB+Police+et+polissons+%C2%BB?wfid=51074364

Un vrai film entre copains, quoi. Et aucune distance. Eric Carbot a-t-il senti la souffrance de Gianni et Corentin ? Nous télespectateurs, dans notre grande majorité, oui. A lire les commentaires scandalisé, appeurés sur le Net.

C'est vrai qu'il y a de quoi avoir peur.

Car le pédagogue Arnaud est aussi démonstrateur de Taser en Afrique, comme on peut le voir dans d'autre Stip Tease toujours tournés par Eric Carbot.

Et puis, le duo aime bien s'exprimer :

Télérama écrit une critique, qui pense que ST garde la bonne distance.
http://television.telerama.fr/tele/emission.php?onglet=critique&id=8569322

Bien...

Oui mais voilà, Cardot et Arnaud ont tenue à communiquer avec le magazine avec une oppressante gentillesse. Télérama le raconte avec bonne humeur.. et un peu de sueur froide (appréciation personnelle).
http://www.wikio.fr/search/%C2%AB+Police+et+polissons+%C2%BB?wfid=51108140
Je ne comprends pas les méthodes de cet individu : violence + violence = violence, mais a-t-on le droit de le poursuivre en justice parce qu'il a volontairement participé à l'émission Strip-tease ? Il faudrait lui expliquer en quoi ses méthodes peuvent être catastrophiques... Il est flic, il n'est pas psy et on sait ce que cela veut dire...

Je me souviens d'un vieux strip-tease sur la Nouvelle-Calédonie où l'on voyait un caldoche qui insultait les canaques qui travaillaient pour lui. Il les détestait visisblement. C'était d'un racisme extrême : il se conduisait comme un gros colon immonde, même pire, je dirais un esclavagiste. J'avais été complètement sonné. Je n'ai jamais entendu dire qu'on avait poursuivi ce type en justice...
Ne sommes-nous pas ici dans une forme d'hypocrisie qui consiste à stigmatiser cet homme qui essaie tant bien que mal d'être "utile"? La mission d'ordre (dans ce cas, on peut même parler de "mise en ordre") que se fait attribuer ce policier municipal n'est ni plus ni moins qu'un rappel des règles de respect à l'autorité qui sont les bases d'une société humaine. La transmission de ces notions incombe au père dans un "environnement social" idéal et ne s'est apparemment pas faite ici. Ceux qui ont mis en place cette "structure" n'agissaient sans doute pas en mal. Ce sont des gens qui ont une mission publique: l'école et la police... municipale dans ce cas, mais c'est l'Etat qui délègue ainsi cette mission... autre débat. Et ils manquent de moyens pour effectuer cette mission. Ce sont des gens qui sont confrontés jour après jour à ce sentiment d'impunité de gamins qui n'ont pas connu les structures adéquates pour une intégration naturelle dans la société. Ces gamins ne respectent rien d'autre que la "satisfaction immédiate de leurs désirs". Leur développement psychologique est resté à une stade limite primaire. Ce ne devrait pas être à l'Ecole ou à la Police Municipale de les faire grandir. Mais, la société les en rend responsable. Et responsable aussi des débordements. A tort, car cet homme n'a sûrement la formation nécessaire pour sa "mission". Il improvise et n'a pas d'autre choix. Je ne suis ni prof, ni flic. Je suis juste un père. Et c'est à moi qu'incombe normalement la responsabilité de ne pas faire porter le chapeau de mon irresponsabilité à la Société entière.
Entre vos vidéos et celles montrées au Zapping, ça fait déjà 2 cas d'usage de violence. Et je pèse mes mots en parlant de violence.
Finalement ce qui confond le plus la personne montrée du doigt, je trouve, c'est le témoignage de l'enfant dans votre 2ème vidéo qui dit "qu'il n'a pas été violent, ce n'a pas été de la vrai violence". En agissant ainsi, Il semblerait qu'Arnaud Libert participe à cette banalisation des comportements agressifs (ou violent, on pourra débattre sur les termes employés). Lorsqu'il dit dans le reportage il dit à un autre enfant "on n'a pas de limite", le problème est le même. Il arrive sûrement à un résultat sur les enfants, c'est à dire à influencer leur comportement, mais en utilisant d'autres méthodes qui sont à réprimander, et que les enfants peuvent utiliser et reproduire sur d'autres (comportement agressif avec des plus faibles qu'eux).
L'enfant ira en cours, mais il aura assimilé les comportements agressifs et l'intimidation. C'est un peu comme soigner une maladie et en donner une autre à la place.
Donc je crois qu'il dépasse les bornes en ce sens.
j'ai vu strip tease et le comportement du flic m'a choqué, mais il utilise les même codes que ces jeunes et semble avoir des résultats. Alors je me dit pourquoi pas.
Iil ne s'agit pas d'encourager les comportements violents et insultants. Mais là avec Arnaut Libert, on sent qu'il adore les gamins qu'il engueule (il le dit à un moment : il a une gueule d'ange etc) et entre un flic méchant et raciste et lui, qui, après tout, est juste un peu grossier (intimidant surtout mais jamais, il me semble, il n'humilie, il suscite surtout la colère du jeune, ce qui est pas mauvais en soi si ça l'amène à changer), il y a de la marge

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