"Sur Bataille et Fontaine, nous avons fait un film tendre ! "
Quatre années durant, sur le plateau de "Y'a que la vérité qui compte" et son légendaire rideau, Bataille et Fontaine ont traqué l'émotion de leurs "témoins". En 2005, Oren Nataf et Isabelle Friedman ont braqué pendant cinq mois leurs caméras sur les coulisses de l'émission. Après moults rebondissements, le résultat de leur travail, 20 minutes de bonheur, sort enfin dans quelques salles. Certaines de ses scènes sont sans concession pour les duettistes de la télé-émotion.
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Derniers commentaires
Hier soir, je suis allée voir le film 20 minutes de bonheur. C'est loin d'être un film à charge contre Bataille et Fontaine. Fontaine et Bataille sont loin d'être "salauds" et"homophobes" qui étaient présentés depuis un an. Ils sont les producteurs de télévision, d'une émission dont le concept s'essouffle en 2006 et qui perd des téléspectateurs. Ils veulent conserver leur business sur une chaîne de télévision dont l'image est plus dégradée et dégradante. Ces deux sont des professionnels, très cultivés. Dans le film, Pascal Fontaine parle peu, réfléchit beaucoup, observe les chiffres à la loupe.
En revanche, j'ai trouvé le rédacteur en chef absolument odieux, répugnant. Ce type est un mélange de psychanalyste de bas étage, d'ancien espion du KGB et d'écrivain raté. Il est RÉPUGNANT. Il porte des pulls col roulé très sombres et ses ongles sont d'une saleté... Il donne froid dans le dos. Il oblige les journalistes d'espionner les candidats/ Candidates dans leur intimité. Il donne une leçon à la journaliste en lui demandant comment est décorée la chambre, si elle prend des médicaments anti-deprésseur . Face aux scrupules de la jeune femme, il lui répond : " Tu es une femme, il fallait demander d'aller aux toilettes et tu aurais pu voir. Entre femmes..."
Dans les entretiens, il est compatissant, il fait de l'empathie avec les futurs candidats. Il détient des tonnes de phrases toute faites pour persuader les candidats à venir dans l'émission. Il est le champion de la manipulation psychologique! Il est vrai qu'il y a un côté "Big Brother" dans ce type. En tout cas, c'est comme ça que je l'imaginerais.
C'est un film intéressant! Allez voir si vous le pouvez
Je sais que cela n'a rien à voir avec de l'analyse d'images (bien que cela soit visible à l'image), que c'est un sujet secondaire mais cela me parait du sexisme primaire... cela aurait peut etre été relevé sur le plateau si à la place des femmes, Bataille et Fontaine avaient été entourés d'hommes noirs. Ils ne sont peut etre pas homophobes, mais ils me paraissent bien sexistes...
je n'ai pas aimé cette émission, j'ai même eu l'impression que tous le monde s'ennuyait sur le plateau.
je m'y suis repris à 3x pour finir de la regarder.
(dommage pour les extraits du docu qui n'étaient au bon format d'image, 4/3 au lieu du 16/9e).
L'emploi de "moult" est toujours un peu précieux, donc autant bien l'utiliser. "Moult" en fait est un adverbe comme "beaucoup" (ou much, en anglais) donc il ne s'accorde pas. Moult péripéties, moult rebondissements.
lol
bof
"nous à Paris, nous à Paris"....et bien vous à Paris, vous n'êtes pas si différents, Monsieur Nataf, vérifiez bien quelle chaîne regarde vos voisins... vous , qui êtes à Paris...
De surcroît, Nataf dit bien qu'il connaissait Pascal Bataille avant la réalisation de ce "documentaire" plutôt à décharge. Sans compter que les deux présentateurs ont aidé à remanier le documentaire.
A part David, qui se pose en protecteur du "bon peuple" (c'est horripilant), DS et son équipe ne poussent pas assez Nataf dans ses retranchements.
Déprimant, cette émission.
juste pour dire que j'ai adoré cette émission, et que je pense également que c'est une des meilleures, car l'invité a le champ libre pour s'exprimer, développer son point de vue et faire réfléchir sur la télévision et cette émission. C'est bien d'avoir une vision en gris, parfois, au lieu de tout voir en noir ou en blanc.
Et d'accord avec les commentaires qui hurlent pour le taxi, c'est réellement de l'abus, après peut être que d'autres éléments ont amenés Nataf a avoir l'opinion qu'il semblait avoir sur le sujet, mais sa remarque était réellement puante.
Cordialement
En fait, je vais vous dire une chose, cela ne m'aurait absolument pas surpris qu'il fasse refaire au "stagiaire", son entrée de champ, dans l'autre axe, pour le raccord.
En documentaire, on fait ça tous les jours...
Et donc comme il s'agit d'un raccord de plans, la fille ne répond pas en réalité à la question posée dans le premier plan.
D'abord, parce que je n'ai jamais pu rester plus d'une minute sur l'émission de Bataille et Fontaine lors de mes zappings de soirées désœuvrées. Cette façon de présenter à la terre entière ses failles et ses manques, et d'attendre que la télé vous "résolve" ça, ça m'a toujours tellement gênée que je me sentais obligée d'appuyer frénétiquement sur la télécommande. Même si je reconnais que c'est un problème que j'ai avec moi, je me suis toujours demandée comment un citoyen lambda pouvait avoir besoin de cela.
Et pourquoi des téléspectateurs avaient envie de le voir. Et franchement, je n'ai pas la réponse, même après cette émission.
Mais cela fait partie des choses que je demande à @SI, observer et décrypter pour moi ce que je ne peux pas regarder, c'est d'ailleurs la même chose pour la télé-réalité. Après, je pense que si beaucoup de personnes regardent une émission à la télé, nul doute qu'il y a un intérêt pour eux, même si moi je ne le vois pas. Après tout, pour ma part, j'adore la SF fantasy et les films de baston, alors que la plupart des gens sont tout-à-fait imperméables à ce genre et n'y comprennent absolument rien. J'en tire énormément de choses. C'est quelque chose en moi, une case, un circuit de neurones, qui est réceptif. Et j'imagine que les téléspectateurs de B et F ont eux aussi un circuit que je n'ai pas, une autre ouverture sur la réalité, un champ, comme disait Bourdieu. C'est tout.
S'il n'y avait au monde que ce qui m'intéresse, la vie serait bien monotone, même pour moi.
En ce qui concerne l'invité, j'ai trouvé que l'entretien était très réussi, et je n'ai pas du tout douté de sa sincérité. Pas une minute. Je plaisante souvent au second degré, mais là, pas du tout ! J'ai peut-être tort, mais il me semblait que justement il s'était posé les bonnes questions. Et que la relation de ses scrupules et de ses questions était sans aucun fard et justement parlante, et très subtile. Et j'ai trouvé aussi que son documentaire était admirablement filmé, et je n'ai pas été étonnée que DS demande des explications pour savoir si ça n'avait pas été bidonné, vue la qualité de l'image et des plans.
Et l'imposture de la fameuse Johanna ! Soudain ça ouvre un jour nouveau sur la remarque d'un des deux duettistes qui constatait que, vu qu'au passage de la jeune femme, les gens avaient zappé, il en concluait que c'était parce que c'était trop singulier.
Est-ce que ce n'était pas parce que ça ne faisait pas vrai, plutôt ?
Est ce que ce genre de téléspectateur voudrait trouver dans ces histoires une sorte de roman vrai, une confirmation de scénarios mille fois racontés et ressassés, mais dans la réalité ? Et détecteraient-ils vraiment le mensonge ?
Et nous avons l'impression d'assister à un remake du mythe de la caverne. L'émission de B et F s'était penchée sur une histoire, la pauvre jeune femme atteinte de TOC vraiment étranges. Le documentaire retrace cette histoire, et l'émission d'@SI l'examine, et nous tous nous regardons, mais ce qu'en fait ce jeu de miroirs nous permettait d'observer, se révèle être une toute autre histoire, celle d'une représentation d'art performance restée partiellement secrète. Presque un scénario à la Philip K Dick ou à la Saramago.
Y a t-il encore derrière une vérité avant-dernière ?
Vous le saurez au prochain numéro d'@SI.
c'est bien gentil de nous faire un double making off mais ol manque le reportage au total.....
Vous pourriez le mettre sur le site d'ASI ????
vivre en province a parfois un avantage. Le festival du film "entrevues" qui se déroule à Belfort avait programmé l'an dernier ce documentaire. J'avais assisté à une séance en présence des réalisateurs. N'ayant pas la TV - mais connaissant la notoriété de Bataille et Fontaine, j'ai vite réalisé que celle-ci était largement sous-estimée. Ce documentaire est véritablement une gifle que la téléréalité se donne à elle même... ce qui m'encourage à regarder la TV à travers ASI entre autres !
Il y a peu le plateau de M Denisot accueillant les deux lascars ex de TF1 a confirmé à quel point le PAF entretenait une connivence prmpte à vous tordre les neurones et l'esprit critique.
Longue vie à ASI et des gens comme O Nataf
Alors ! Reportage à charge ou pas ?
Pas de bol j’ai eu une 3eme lecture.
D’ailleurs je suis très étonné qu’il n’y ai pas eu dans l'émission la moindre question sur le sexisme qui règne dans la prod de ya que la vérité qui compte.
3 males dominants une dizaine de femelles n’ayant tout au plus que le droit de faire tout le boulot et en plus de se faire engueuler après. Peut être est-ce le cas dans toutes les productions, peut être est ce la raison pour laquelle personne n’a jugé utile de soulever ce point.
J’ai travaillé dans des sociétés racistes, sexistes, élitistes, discriminatoires mais je n’ai jamais vu ca.
Je résume l’organigramme tel que montré par le reportage.
2 patrons, un directeur une dizaine d’assistantes et un stagiaire. Les hommes ont tous une idée très précise sur ce qui doit marcher dans l’émission les femmes ont juste le droit de faire avec, pas une n’est autorisée à donner son avis, c’est impressionnant. Dans la scène d’engueulade Bataille va même jusqu'à provoquer les miss « répondez moi dites moi si j’ai raison ou tors de penser ce que je pense »
Du coup une d’entre elles se lance. Pour une fois qu’on a l’autorisation … elle n’a pas le temps d’aligner 5 mots qu’il lui pique à nouveau la parole, s’interrogeant sur la place de la pauvre malheureuse dans la rédaction si elle pense vraiment ce qu’elle dit. Personnellement je n’ai pas eu le temps de comprendre ce qu’elle essayait de dire. Mais bataille doit lire dans les pensées.
Pour revenir a la question de départ, oui c’est un reportage a charge, oui Bataille est homophobe mais pas par principe, pas par conviction. Il l’est parce qu’il s’est persuadé que son public l’est. Il l’est pour garder sa crédibilité auprès de la chaine qui le fait vivre. Il le dit lui-même c’est dommage mais c’est comme ca.
PS : Rien que pour les dix minutes cumulées d’absurdités vomitives que nous balance a la figure le rédacteur en chef (je ne suis pas sur de sa fonction) ca vaut le coup d’aller voir ce reportage.
Sur le fond, c'est effrayant : la grande leçon de cette interview, c'est de montrer que le réalisateur Oren Nataf est encore plus cynique que les présentateurs qu'il filme, et cela sans en avoir aucunement conscience. A telle enseigne qu'à côté de lui, David Abiker passerait pour Judith Bernard ! Gravissime !
Je n'ai pas encore vu le film.
1) Mon premier réflexe était de penser au documentaire (autorisé (car commandé par VGE)) de la campagne présidentielle de VGE (pour les jeunes , VGE = Valéry Giscard d'Estaing) mais à la fin de son montage , était bloqué (par VGE en tant que Producteur, pas en tant que pouvoir politique) pendant plusieurs décennies (actuellement disponible en DVD dans la collection Depardon).
2) Je trouve que DS était plutôt ridicule dans son acharnement sur "y a-t-il des preuves, des statistiques sur les téléspectateurs homophobes" ; je pense qu'à tort ou à raison, sans à chaque fois se payer des sondages (DS a-t-il des actions dans ces instituts ?) on peut imaginer qu'il y a dans le public des gens qui sont pour et des gens qui sont contre sur n'importe quel sujet (pas seulement l'homophobie).
3) Ensuite c'était à nouveau DS qui en gros signifiait que des choses sont acceptables pour les "artistes" mais pas pour les autres : comment le statut d'artiste peut-il être accordé (un médecin a un diplôme, faut-il un diplôme pour un artiste ?) ?
Cela me fait penser à ce "pisseur des murs" dans un des pays scandinaves : au tribunal, il soutenait qu'en pissant sur les murs, il ne pissait pas n'importe comment mais il faisait des dessins (l'art éphémère quoi, comme les châteaux de sable ou de glace) ; selon la vision DS, s'il a un statut d' "artiste" (sur quels critères ?) alors OK, sinon amende !!!
Mais on est déçu car ni le documentaire ni l'émission d'asi n'ont cerné ce qui cloche dans "y'a que la vérité qui compte" (à part le titre incompréhensible).
Oren Nataf aime cette émission. Pas moi. Mais comme il n'a pas fait une apologie, mais un vrai documentaire (dixit David Abiker) peut-être que je peux apprécier "20 minutes de bonheur" (autre titre incompréhensible, on est pas sûr de l'ironie à écouter le co-réalisateur). On sort de asi un peu plus avancé par rapport à la polémique avec "Bataille & Fontaine & le stagiaire inquiet pour sa situation", mais pas très avancé sur le fond du problème.
La vie joue des tours à tout le monde, et on peut tous se trouver un B sur lequel on peut fantasmer des retrouvailles riches en émotion. Mais que rajoute la télé, quel rôle joue-t-elle dans cette histoire? Pourquoi les A ne sont-ils pas capables de passer les coups de fil bidon (qui me paraîtaient plus excusables fait en amateur)? Est-ce que le père qui dit "oui" aurait dit "non" sans la présence de la télé? Si j'étais A, la question deviendrait lancinante dans ma vie, en plus de la question lancinante de départ "pourquoi l'abandon?" qui n'est pas résolue.
Dans des litiges plus juridiques, depuis belle lurette, la télé ou la radio (Bellemare, pot de fer/ pot de terre) a un rôle : mettre sur la place publique, ficher la honte à celui qui abuse de son pouvoir face à un faible en reniant le droit et la justice. Sauf que ce genre d'émission actuelle peut aussi être accusée de se jeter sur le malheur des gens, avant d'avoir laissé sa chance à une procédure normale... Mais dans le cas de "y'a que la vérité", en quoi a-t-on besoin du poids de la télé, de la mise sur la place publique, pour régler des problèmes affectifs? Dans tous les cas, B est virtuellement violé puisqu'il accepte de participer sans savoir qui est A, son consentement n'est jamais valable, psychologiquement parlant. Ce papa a assumé pendant 20 ans de ne pas voir sa fille. Quelle liberté pour lui dans cette situation? "Tant mieux" diront les téléspectateurs, sans trop connaître les composantes et les conséquences de ce revirement brutal pour lui et sa fille, "un père doit assumer et aimer son enfant". La société ne lui laisse pas le choix, la télé ne lui laisse pas le choix. Quel valeur à cet amour, contraint ou non, le doute est là? Au fond rien n'a changé pour les protagonistes, qu'ils en aient conscience ou non.
A la question "Bataille & Fontaine font-ils cette émission pour rendre service aux gens?", on doit substituer la question "cette émission rend-elle service aux gens?". Car au fond les états d'âme, le cynisme de Bataille & Fontaine ne nous concernent pas. Qu'ils fassent leur examen de conscience eux-même. Une personne pleine de bonnes intentions peut faire des dégats. Combien de pièges doit savoir déjouer un psychologue pour être utile à son patient? Tellement qu'on se demande parfois si ce métier est possible...
Pour finir un message à mon B : reste hors de ma vie, finalement je me suis bien débrouillée sans jusqu'à maintenant, et comme ça on ne saura pas quand on est mort l'un et l'autre et c'est chouette, non? Trop romantique, cool...
S'ensuit une chaîne d'observations où la critique et les interrogations se portent sur les différentes strates ce ce bouquet de visions qui se complique car....
les héros du documentaire, (les regardés) deviennent les regardants regardant les héros de leur émission Tf1, qui se regarderont à leur tour dans leurs propres prestations qui seront regardées par l'audimat.
Celui qui nous livre ce regard (le documentariste) subit la même pression que ceux qu'il a regardé, car d'autres maintenant le regarde.
Pour clore l'affaire, il suffirait que Daniel, Judith et David , regardent de nouveau leur émission (extraits) dans une autre émission où quelques intervenants les interrogeraient sur la pertinence de leurs regards.
Et je ne trouve plus mon aspirine....
Peut-être qu'un formalisme guette @si, par rapport à cette impasse sur la recherche de compréhension qui ne relève pas toujours de la stricte question de la fabrication des images.
Concernant le sujet, j'ai noté une petite contradiction dans les propos de Mr Nataf, il raconte au début qu'une journaliste cherchait duTipp-ex pour blanchir les dents d'une "cliente de l'émission", puis à la fin il dit que les journalistes étaient gentils et humains!
1- Le Tipp-ex contient un solvant toxique --> la journaliste empoisonnait la pauvre dame
2- Je n'ose même pas imaginer l'humiliation ressentie quand on décide de vous "peindre les dents" parce qu'elles sont "trop noires"!
Simple curiosité: Ils font comment pour enlever le Tipp-ex après?
Je viens de regarder l'émission. Et je réalise que je connais la Johanna dont vous parlez à partir de la 36eme minute (qui aurait des tocs).
Le réalisateur du documentaire en parle comme une sorte de fil rouge de son film et elle est citée à titre d'exemple dans l'émission.
Il se trouve que cette histoire est en réalité complètement fictive. Johanna est une jeune artiste et cette histoire inventée de toute pièce est une de ses oeuvres.
Je suis vraiment étonné que personne chez TF1 ou dans l'équipe de Oren Nataf, n'ai eu vent de cette histoire.
Ça ne change rien au débat mais je pense qu'il est important de le préciser.
J'avoue avoir été étonnée aussi. D'abord parce qu'Isabelle Friedmann, sa collaboratrice, est une très bonne réalisatrice, et que je ne peux pas croire qu'il y ait si peu de réflexion derrière ce film qu'il le laisse penser.
Et surtout, parce que j'ai entendu une émission sur ce film sur France Culture il y a quelques jours, à laquelle ils étaient tous deux invités, et la discussion était passionnante.
Ma théorie, c'est que Nataf s'est un peu braqué, en craignant que DS se focalise sur l'aspect critique du film, et plonge dans la polémique de laquelle Nataf commence à peine à s'extirper. Et d'ailleurs, c'est ce que DS a fait.
Dommage.
cela me rapelle certain comique qui croyait drole de plagier les emissions les plus nuls
on sait ce que sont ces "emissions" "liberatrice de cerveau"
nul n'est besoin de commentaires n'y d"analyse
Daniel Schneidermann disait à la fin de cette séquence que c'est "un petit bijou d'inventivité et de créativité". Pour mon compte, je trouve que c'est du PUR PLAGIAT aux anciennes séquences qu'on regardait avec intérêt dans l'émission Archimède diffusée sur Arte. Elle permettait d'expliquer d'une facon très simple des phénomènes scientifiques au plus grand nombre. La tonalité de la voix est exactement la même, les caricatures sont très ressemblantes, l'humour est le même. Seule "différence", dans l'émission Archimède, le fond était noir et les traits blancs, ici c'est le contraire ... je ne vois pas ce point particulièrement "un bijou de créativité et d'inventivité"
Je n'ai pas trouvé de vidéo, mais je vous mets le liens vers des archives de l'émission avec des captures d'écran du professeur Archipi:
http://archives.arte.tv/hebdo/archimed/20011023/ftext/sujet3.html
http://archives.arte.tv/hebdo/archimed/20011016/ftext/sujet3.html
Je rêve d'ailleurs qu'Archimède suive votre exemple et nous fasse un site pour réssusciter l'émission
Grombalia
alors à savoir, lorsqu'on se fait violer, ne surtout pas vouloir se faire rembourser son taxi!
J'ai trouvé que l'émission était vraiment une des meilleures que nous avait donné @si depuis son arrivée sur le ouaibe. D'abord, parce que l'invité avait vraiment une conscience professionnelle de son métier, une maîtrise des enjeux éthiques et esthétiques d'un documentaire, un sens parfait du montage, et un certain bâgout qui le rendait très télégénique. J'ai également beaucoup apprécié les interventions de David Abiker, notamment celle où il pose la question du recrutement sociologique des paricipants à ce genre d'émission putassières, moralement douteuses et hélas publiquement bankable.
Et puisque en ce moment, je n'ai pas vraiment le temps de parcourir tous les sujets du site et d'intervenir sur les fora autant que j'aimerais et que j'ai pu le faire, la première partie de l'émission m'a pour une fois été vraiment utile en me faisant un bref condensé de ce qu'avait produit le site pendant la semaine, et que je n'avais pu lire.
Seul léger bémol: le pinaiilage de Schneidermann sur la courte séquence où il se demande comment Nataf avait pu faire le raccord. Je n'ai certes pas vu, ni ne pourrais d'ailleurs voir le documentaire, mais il m'a semblé au vu des autres extraits proposés que Nataf avait fait le choix au montage d'éviter le plan séquence au profit d'un montage plus "cut", plus haché. Dès lors, ce qui apparaît comme un raccord douteux à l'oeil non exercé m'est apparu plutôt comme le signe d'une ellipse rapide d'un court moment non retenu au montage final, et les autres extraits montrés regorgeaient tout autant de ce genre de courtes ellipses dans les conversations des "personnages" du doc. Donc, je m'étonne que Daniel Schneidermann ait pu tiquer, alors qu'il me semble évident qu'un oeil aussi exercé que le sien pouvait déduire que le raccord était un moyen de faire une ellipse out en rendant fluide le montage.
Quant aux @sinautes sourcilleux sur la remarque à propos de la province faite par Nataf, je crois qu'il faut n'y voir aucune condescendance, mais le simple constat du hiatus entre le monde social dans lequel il évolue (résumé finalement par le mot "Paris") et celui des participants à "Y a que la vérité" (essentiellement un public provincial, populaire et disposant 'un moindre accès à une offre culturelle non télévisuelle que le moindre parisien).
Nota Bene: ce message n'est pas du tout un message de Fatal Flatteur. J'ai vraiment adoré l'émission, que je considère comme l'une des meilleures que j'ai pu voir depuis le passage à la version net. Chapeau, donc!
Sur ce, je retourne hiberner dans ma caverne, mais j'espère être aussi bientôt présent sur @si que je l'avais jadis été.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Fondamentalement , quel est l'interêt de l'émission de Bataille et Fontaine ?
Pourquoi montrer des gens dans leur symptôme? Est-ce que ça va faire disparaître le symptôme : Chez les gens qui passent à l'émission sûrement pas (cf l'agression sexuelle) ,chez ceux qui la regardent non plus . Tout au plus pourront-ils se voir de l'exterieur avec leur symptôme en regardant A ou B, c'est tout. C'est de l'ordre de la psychothérapie de groupe. Ça déplacera le symptôme , ça ne le fera jamais disparaitre.
Je trouve que c'est plutôt de la psychologie de groupe financier , et donc l'intérêt de TF1 à diffuser ce genre d'émission se mesure en pourcentage.
PS : Le duo Schneidermann-Abiker fonctionne très bien , ça équilibre l'émission , et le solo de Justide est exceptionnel : vous êtes une surdouée !
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Un peu de subtilité dans la critique ne nuit pas à la critique.. S'il est simplement gentil avec eux, c'est pour montrer qu'il n'est pas là pour faire le voyeuriste ou pour les sniper l
Vous ne comprenez pas que quand on fait un doc, c'est pas forcement pour taper sur des gens, pour le plaisir du pamphlet, mais pour comprendre un fonctionnement, illustrer un système? Oren Nataf y arrive parfaitement bien. Sous le simple prétexte qu'il ne s'aligne pas bien comme il faut pour un ''gens de gauche'' en tapant bien lourd sur deux nigauds de TF1, on le prend pour un 'mou', un 'jaune' ou je ne sais quoi..
Y'a vraiment des gens sur ce forum qui gagneraient à être moins dogmatiques...
Au début de la séquence sur l'homosexualité disponible sur YouTube, Fontaine regarde la caméra et dit "on ne parle pas pour la caméra ... on ne va pas s'empécher de travailler parcequ'il y a une caméra". En français, cela est une demande courtoise d'arrêter le tournage, ce qui est son droit le plus strict. Les réalisateurs ont choisi de continuer de tourner et d'insérer la séquence complète dans le film. Est-ce correct ? déontologique ? J'avoue que j'ai du mal ensuite à croire Nataf quand il affirme ne pas vouloir faire un documentaire "à charge" mais "un film tendre". Tout cela semble bien hypocrite et l'énervement de B&F est pour moi bien légitime.
Est-ce que vous ( la rédaction d'ASI ) accepteriez d'être filmé dans ces conditions quand vous parlez de vos abonnés ? Je suis certain que non.
La bise des stagiaires, des animateurs aux invités,
c'est tellement en contrepoint des abréviations A versus B des débriefings,
qu'on comprend bien que cela fait partie de la mise en condition des invités.
Puant. Le savaient-ils les invités qu'on parlait d'eux sous forme algébrique ?
La bise à la fille du père, alors qu'ils NE SE SONT JAMAIS VUS,
c'est hors sujet, obscène. Quand on découvre quelqu'un, on commence par le saluer, lui parler,
l'embrasser, c'est autre chose.
L'émotion est un artefact de cette émission,
on embrasse les invités qui embrasse des inconnus,
on construit les signes de l'émotion, les apparences de l'humanité avec les ficelles les plus grosses qui soient.
Embrasser dans ces cas-là c'est scotcher l'autre,
l'empêcher d'être à la bonne distance,
l'empêcher de réfléchir en le tenant dans un espace d'intimité qui désarçonne le contrôle de soi.
Comment voir de l'humanité dans cette grossière manipulation. Nataf manque vraiment de subtilité,
ou alors, c'est une posture pour éviter des plaintes en diffamation.
http://anthropia.blogg.org
Son absence de regard critique rend hélas le débat bien pauvre.
David Abiker est, comme à son habitude, brillant mais le manque de répartie et de sens du rebond de l'invité fait retomber bien vite ces tentatives d'élever le débat, notamment lors de l'analyse sociologique des clients de ce type d'émission.
Dommage !
j'ai pas encore vu l'émission vous en parle peut être dedans
Je ne suis pas vraiment surpris que le sosie à Chabal ait passé des mois agréables à filmer des locaux où l'on peut s'apercevoir qu'il n'y a que des filles pour ainsi dire, à mon humble avis triées au casting pour leur physique. Bon ça c'est une contribution à la Patrice Guyot, n'empêche que bon.
Et à la 68ème minute, "en fait, vous les aimez bien"..
Tu m'étonnes John.
Il sait la manier en long, en large et en travers, la brosse à reluire, Oren Nataf.
Rhââh, et puis, en coupant certaines scènes, Bataille et Fontaine ont en fait grandement "amélioré" le film. J'aimerais bien visionner les plans coupés, tiens.
Sans oublier ces employées qui appellent les gens en se faisant passer qui pour Telecom, qui pour une amie d'enfance...
Bof, de l'usurpation d'identité ? De l'imposture ? "Y'a pas mort d'homme", qu'il nous dit en dessillant à peine.
N'empêche qu'entre elles et Jean-Yves Lafesse, c'est pas vraiment le même calibre.
Puisqu'il y a une bonne part de sincérité dans la volonté d'aider les invités du plateau.
' Pas peur de nous prendre pour des jambons. Qu'ils viennent plutôt manier la louche aux restos du cœur, ça sera un brin plus flagrant.
Comme il dit, "il ne veut pas entrer dans la polémique", à la 48ème minute.
Bon, il trouve ça vraiment limite que la femme qui s'est faite agresser sexuellement, demande deux jours après à se faire rembourser le taxi. Quelle mesquinerie. Limite si elle n'en aurait pas rajouté un peu, tiens. Et en balançant ça style 'j' dis ça, j' dis rien".
D'ailleurs, au passage, il y en a un qui fait un peu de pub à @si. Lui, il est vrai que j'aimerais bien le voir sur le plateau, à l'occasion (comme plein d'autres cela dit :-)
Entre le décryptage ultra-pro de Justine et les analyses pointues de David, je me suis souvent demandé ce que l'invité foutait là, du coup.
Il a l'air très sympa, du reste, et de bien connaitre son métier. Aussi, quand il prétend que son film n'est pas un document "à charge"..
C'est pas faux, comme dirait Perceval Dans Kaamelott.
Cependant, j'ai comme l'impression qu'il nous a laissé entrevoir la partie émergée de l'iceberg, et volontairement occulté le reste.
Dire que leur émission était sublime, faut pas pousser non plus. Ou alors, dans la même logique et dans un esprit de cohérence et d'échelle, il a dû connaitre quelques orgasmes en regardant feue l'émission Droit de réponse, en terme d'utilité publique, et en terme d'émission vraiment nécessaire.
Bon allez..
.. Rideau !
Je sais bien qu' "arrêt sur images" ne fonctionne pas à la pub et à l'audimat... mais pour nous, les @sinautes, quelle idée de nous faire perdre 1h18 pour voir un benet (qui a des difficultés avec la langue française... qui ressemble à un ex-68 (je n'ai rien contre) mais qui ne doit pas manquer de fric et ex-copain des zozos du sujet) et qui a filmé pendant 5 ou 6 mois les demeurés qui produisaient une émission à la con sur TF1 avec comme seul objectif l'audimat et le fric ?
N'aurait-il pas été plus intéressant d'analyser le pourquoi de ce type d'émission, la dégradation intellectuelle et la perte de temps qu'elle produit dans le "petit peuple" ?
Sur les 1h18, une très bonne intervention de 15 secondes "...utiliser le bon peuple comme chair à canon de la téléréalité..."
J'espère que le comité de rédaction sera mieux inspiré pour le choix du prochain reportage...
A +
Yves
Quand aux acolytes Bataille et Fontaine, salauds ou héros?
Faire une émission, qui a pour seul but de faire de l'audience et ce en utilisant les émotions des gens... 0/10 sur l'échèle de la morale.
Mais les respecter, d'un autre coté, c'est louable. Allez, 7/10, ça arrive pas souvent à la TV je crois (je regarde plus).
Une moyenne de 3,5/10 ! Des efforts, mais peut mieux faire...
J'avais vraiment envisager d'aller voir ce film, mais merci @si, je ne cautionnerais pas les idées anesthésiantes de M. NATAF ...
Comment le réalisateur d'un documentaire reconnu par toute la critique comme une charge contre la télé réalité made in TF1 peut-il être dans cette posture molle d'une demi-négation du caractère dénonciateur de son documentaire, enchainant les contre-vérités et se contredisant de manière aussi frappante ?
Sur le caractère homophobe ou non de Bataille et Fontaine ou d'une partie de leurs téléspectateurs, pourquoi avoir inclus une séquence aussi longue si ce n'est pour au moins alerter le spectateur sur le fait que les animateurs sont attentifs aux desiderata du public anti-homo de la chaîne ?
Je ne reviendrai pas sur la comparaison entre les oeuvres respectives de Bataille et Fontaine et Lars von Trier, qui fera sans doute hurler de rire le moins éclairé des amateurs de cinéma, et peut-être regretter les Cahiers d'avoir apporté leur soutien à Nataf... Que ce dernier n'aime pas von Trier est une chose, mais il y a d'autres manières de le dire.
Quant au fait que "Y a que la vérité" ne soit pas de la télé-réalité, l'explication ridicule du réalisateur se dément elle-même. Selon lui, des programmes comme Secret Story ou la Star Ac organisent la vie des candidats, leur existence devient la télé donc c'est de la télé-réalité. Mais qui peut nier que l'émission de Bataille et Fontaine est fondamentalement une ingérence dans la vie des "témoins", une tentative d'organiser leur vie, d'agencer leurs retrouvailles à la manière de la télé, de faire communier les proches et le public autour d'un show télé, de faire douter et changer de décision l'invité B "parce que c'est à la télé" ?
La télé-réalité (aussi appelée trash TV) ne se réduit pas à de jeunes candidats beaux et branchés qui vivent jour et nuit sous le regard des caméras, c'est aussi la télé qui se mêle à l'existence des gens, qui essaie de l'arranger, la corriger à sa manière, et tient le fait d'être exposé à travers le filtre transparent du petit écran pour la meilleure des thérapies.
Au final et en essayant d'interpréter des propos parfois peu clairs, le réalisateur semble nous dire : "je connais bien les gens qui font ces émissions, ce ne sont pas de mauvais bougres ; c'est le système TF1 qui est corrompu". Drôle de raisonnement. Et je reste tout de même interloqué au vu du résultat fixé sur la pellicule...
je regarde vos émissions parce que le contenu m'interesse, mais vous devriez vraiment revoir le décor, parce qu'on dirait que vous êtes dans une boîte et que ça donne une ambiance glauque, continuez!!
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Sinon, Oren Nataf, est excellent. Très respectueux de son sujet. Pas racoleur. Bref, un mec que j'apprécie.
Petite remarque à Daniel: On sent parfois une petite jubilation carnassière à tenter de déterrer les pires secrets de tout un chacun. Surtout pour ce genre d'émission j'imagine.. J'aurais sans doute aussi céder à la subjectivité totale, mais enfin, pas vous Daniel! (je fais allusion,entre autre, au passage où vous proposer de passer au crible de la psychanalyse l'homosexualité sous-entendue refoulée de l'un des deux nigauds). C'est du chipotage hein, je sais, mais je suis un peu comme votre mère Daniel, je veux que vous soyez parrrrrrfait...
Voila, c'est tout. Continuez moi cette émission de salut public! D'ailleurs je crois bien que je vais finir par prendre un abonnement payant..... Je suis plus étudiant depuis 3 jours.. (Vous embuachez à @si?)
En fait, je suis un peu un "alien" dans cette histoire : bien que vivant (encore...) en France à l'époque considérée, je n'ai jamais vu "Y'a que la vérité qui compte"...ni même entendu parlé. (oui, je sais. Incroyable, hein ?) Tout ce que j'en sais encore aujourd'hui, c'est ce que j'ai pu en apprendre sur le site d'@si. Je m'attendais à quelque chose de très trash, de "très TF1". Or, cette émission @si qui scrute un film qui lui-même scrute "Y'a que la vérité qui compte" m'a plutôt présenté un produit... plutôt correct.
Je me surprends à avoir un avis assez clément envers Bataille et Fontaine (et toute leur équipe), et bien souvent j'apprends quelques secondes plus tard qu'Oren Nataf a un avis assez proche du mien. Bien sûr, mon avis ne vaut pas plus que ce qu'il vaut : je contemple tout cela par le petit bout de la lucarne, sans même avoir vu un seul "Y'a que la vérité qui compte" ni même "20 minutes de bonheur". Tout ce que je peux en dire, c'est que les morceaux du film diffusés dans cette émission ne sont pas du tout le "brûlot" anti-Bataille/Fontaine que je m'attendais à voir. Toutes les séquences incriminées (la discussion sur les retrouvailles du couple homosexuel, l'épisode des offres de repas) me semblent absolument normales : en les regardant, je me sens plutôt poussé à la sympathie envers l'équipe de TF1. Et je comprends pleinement ce que veut dire Nataf en parlant d'un film tendre.
Peut-être que le fait de regarder "20 minutes de bonheur" dans son intégralité m'inspirera un autre regard... Mais je doute que ce film parvienne jusqu'à la Belle Province... Y'aurait-il un moyen de le télécharger légalement ?
2) Le début par les brèves me laisse un peu sur ma faim. J'aimerai, comme au bon vieux temps, que ce soit loccasion de sujet un peu plus fouillé, avec un decryptege au millimètre, avec avis et contre avis alors que là, on a droit à l'énoncé d'un sujet puis sa conclusion en 10 secondes : on a pas l'impression d'avoir flairé le scoop ou l'info caché de la semaine. A suivre.
3) J'ai bien aimé l'émission qui, détricote toute la polémique qui a vogué toute l'année : ce n'est pas un documentaire poignard sur la télé réalité fait en "looze-D" par des "anarcho-indépendants antiTF6", mais un docu de vérité sur une émission certes pas dans le même objectif que bouillon de culture mais qui essaie de mener à bien et pour le mieux de tous le cahier des charges. Au final, on se demande bien ce que B. et F. ont pu lui reprocher : nataf le dit bien quand il évoque la difficulté de se regarder dans un miroir. Moi aussi, j'aime pas voir mes "golfes capillaires" se creuser de plus en plus chaque matin, et je serais encore moins fier que cela soit donné en pature. Nataf sort de ma salle de bain c'est un ordre!
Pourtant c'était une émission que je ne regardais pas, et qui comme beaucoup de choses à la télé ne me fixait pas plus de 5 minutes.
Intéressante sa phrase sur la métaphore du miroir pour des présentateurs un temps emblématiques et adulés d'un public, et du temps nécessaire de revisionages pour progressivement accepter son image. Ca les rend très humains finalement. La polémique et la judiciarisation relevait d'autres intérêts plus économiques et d'une peur panique.
On s'aperçoit que la réalité y était finalement peu manipulée, c'était plus une mise en forme des émotions. Mais bien moins choquante que la manipulation/présentation/omissions que TF1 et consorts pratiquent régulièrement sur l'information.
Oren Nataf, tu es trop cool
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fais en un autre !
je pourrais pas voir le film, ne suis pas en france
peut-être passe-t-il en europe (pays-bas) ?
ciao ! bonne journée ! tot ziens !
Par contre s'il vous plaît pas de publicité sur le plateau...
Encore je sais pas moi, un t-shirt Che-Guevara ou I Love NYC ça pourraît passer, mais par pitié pas l'îcone de la ménagère de moins de 50 ans !
Ne refaites plus jamais ça, par pitié! Ou on sera obligé de regarder le début en accéléré en accéléré pour le subir moins longtemps!
Bon, j'y retourne (pourvu qu'il ait pas eu l'idée de truffer tout le film de la même façon, pour faire des transitions... horreur)