Commentaires
Taxe carbone, explications de texte
Après survol exhaustif, par le matinaute, du front de la taxe carbone
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
ouhlala va falloir qu'on me ré-explique tout ça !
des mois que BOORLO écume [s]tous les cocktails de[/s] la planète en se faisant passer pour le chantre de l'écologie et voilà que dans son propre pays on le brime : Le Conseil Constitutionnel annule la Taxe Carbone....
??
des mois que BOORLO écume [s]tous les cocktails de[/s] la planète en se faisant passer pour le chantre de l'écologie et voilà que dans son propre pays on le brime : Le Conseil Constitutionnel annule la Taxe Carbone....
??
comme le dit si bien el abatidor ( anciennement Balthaz, qui ne lofe pas suffisamment) : creer un nouvel impot, n;est pas "augmenter" les impots.
Et pis ils sont creatifs dans le gouvernement : Toujours pas un impot, mais :
Reuters ( ici sur Yahoo news ) : Eric Woerth confirme que le gouvernement envisageait une hausse du forfait hospitalier, la somme journalière payée par les malades, afin de résorber en partie le déficit croissant de la Sécurité sociale.
Et pis ils sont creatifs dans le gouvernement : Toujours pas un impot, mais :
Reuters ( ici sur Yahoo news ) : Eric Woerth confirme que le gouvernement envisageait une hausse du forfait hospitalier, la somme journalière payée par les malades, afin de résorber en partie le déficit croissant de la Sécurité sociale.
Je ne comprend pas pourquoi on tape sur les Verts, c'est bien Sarkozy qui est président, pas Voynet, Bové ou Cohn Bendit.
Et puis une taxe sur l'essence qu'on met dans notre automobile, c'est drôlement innovant.
Il faut laisser une chance aux idées nouvelles quand même pour une fois à la fin!
La consommation d'énergie fossile va descendre en flèche.
Gare à la décroissance les gars.
Soyez tous prêts.
Il faut laisser une chance aux idées nouvelles quand même pour une fois à la fin!
La consommation d'énergie fossile va descendre en flèche.
Gare à la décroissance les gars.
Soyez tous prêts.
Énergie : les vaches pètent… et rotent ! Elles font plus de pollution que les émissions dues aux transports.
« 95% des gaz par l’avant, 5% par l’arrière »
En 2006, l’étude « Livestock’s long shadow » menée par l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture soulignait déjà les impacts inquiétants de l’élevage sur l’environnement (d’autant que la consommation de viande et de lait dans le monde va doubler d’ici 2050) et disait qu’il fallait améliorer la nutrition animale.
« Vaches, moutons et chèvres ont une énorme poche (dite rumen ou panse) où les aliments restent vingt-quatre heures et fermentent. Chez l’humain, cette digestion se passe l’intestin grêle et on fabrique du glucose, mais les ruminants, eux, produisent à cette occasion de l’hydrogène que des bactéries transforment en méthane.
La panse étant très près de la bouche, la vache rote en permanence : 400 à 600 litres de méthane par jour (l’équivalent de 300 grammes de CO2 et 600 à 900 litres de gaz carbonique).
Le reste de la nourriture fermente et est pété par des fermentations dans le gros intestin.
On dit généralement que 95% sortent pas l’avant et 5% par l’arrière. »
Manger ou conduire, il faut choisir
Stan 1000g
* Le payeur étant TOUJOURS le consomateur.
« 95% des gaz par l’avant, 5% par l’arrière »
En 2006, l’étude « Livestock’s long shadow » menée par l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture soulignait déjà les impacts inquiétants de l’élevage sur l’environnement (d’autant que la consommation de viande et de lait dans le monde va doubler d’ici 2050) et disait qu’il fallait améliorer la nutrition animale.
« Vaches, moutons et chèvres ont une énorme poche (dite rumen ou panse) où les aliments restent vingt-quatre heures et fermentent. Chez l’humain, cette digestion se passe l’intestin grêle et on fabrique du glucose, mais les ruminants, eux, produisent à cette occasion de l’hydrogène que des bactéries transforment en méthane.
La panse étant très près de la bouche, la vache rote en permanence : 400 à 600 litres de méthane par jour (l’équivalent de 300 grammes de CO2 et 600 à 900 litres de gaz carbonique).
Le reste de la nourriture fermente et est pété par des fermentations dans le gros intestin.
On dit généralement que 95% sortent pas l’avant et 5% par l’arrière. »
Manger ou conduire, il faut choisir
Stan 1000g
* Le payeur étant TOUJOURS le consomateur.
Une lecture de fin d'après-midi et la journée s'envole, vous me faites oublier la semaine de travail, merci Daniel.
http://anthropia.blogg.org
http://anthropia.blogg.org
Et si on inventait la taxe Narcisse ? Tout excès de "je" ou de "moi" dans un discours politique serait taxé. Bien sûr, il faut être charitable : nous accepterions deux "je" et un "moi" (au max) par intervention, ensuite on taxerait. Le "je" et le "moi" ne sont-ils pas des pollueurs (du discours) eux aussi ?
Ceci est un message a la communication gouvernementale , vous pouvez aussi essayer ce slogan : "Cette taxe n'est pas mauvaise , car bonne" . Tant qu' à dire n'importe quoi ...
Il faut avouer qu'il est difficile de ne pas pouffer, voire de s'étrangler de rire !
Il semble que, selon sa déplorable habitude, le petit homme ait laissé filtrer un ballon d'essai volontairement inacceptable (34 cts de Zeuros par tonne de CO2) pour revenir à quelque chose d'un peu moins inacceptable (ouf !) sauf que rien c'était bien aussi, surtout quand on clame à tous les vents qu'on n'augmentera pas les impôts…
LA CRISE EST FINIE
C'est une méthode comparable à celle qui consiste à dire à un type pris au hasard (et qui n'a rien fait) : “Nous allons vous condamner à mort et vous exécuter séance tenante”. Puis, un peu plus tard : “Finalement nous vous condamnons à 5 ans de prison”… Soulagement énorme du malheureux qui se voyait déjà coupé en deux morceaux d'inégale longueur, et qui en oublie qu'il n'a rien fait, trop content d'échapper au découpage selon les pointillés !
Ce qui est bien avec la taxe “carbone” (la pseudo-écologie a bon dos) c'est qu'il n'y aura plus que deux taxes possibles à mettre en place, toutes les autres possibilités étant non seulement utilisées mais surexploitées, les taux augmentant régulièrement – qui sait que l'impôt sur le revenu a commencé avec la loi du 15 juillet 1914, au taux unique et non progressif de 2 % et en précisant qu'il s'agissait d'un impôt circonstanciel et temporaire. Le foutage de gueule est donc une tradition solidement installée et très largement exploitée !
Pourtant il y a deux légères différences entre 1914 et aujourd'hui : d'une part la guerre ne semble pas prévisible dans les prochains jours (mais il ne faut jurer de rien), d'autre part nous n'avions pas de déficit (ce n'était pas à la mode)…
Parlons-en de déficit : d'habitude nous creusons environ 50 milliards de trou supplémentaire chaque année sous Bercy, dans l'espoir de retrouver aussi vite que possible nos amis Chinois, de l'autre côté de la terre, surtout qu'en arrivant par la cave on pourrait peut-être leur piquer leurs excédents et leurs économies…
Ce chiffre abstrait (50.000.000.000 €) recouvre une réalité simple : l'État dépense en permanence 20 % de plus que ce qu'il [s]gagne[/s] nous vole ! Si vous voulez vous amuser essayez d'en faire autant pour voir au bout de combien de temps votre banquier ferme votre compte, confisque votre chéquier et votre carte de crédit pour vous envoyer, en fin de compte, promptement l'huissier accompagné du commissaire de police lui même flanqué du serrurier.
Mais cette année c'est l'exploit, le record du monde de la déconne totalement enfoncé : 107 milliards de déficit supplémentaire entre janvier et fin juillet, ce qui nous conduit à 183 milliards fin décembre si le rythe se maintient : presque quatre fois plus que d'habitude, trop fort !
Mais revenons donc à nos taxes [s]moutons (tondus)[/s], après le carbone il reste en tout et pour tout ces trois possibilités qui font ma fierté et mon orgueil tant elles supposent une imagination fertile et une vivacité exceptionnelle dans le domaine de l'escroquerie :
- La TAA (Taxe sur l'Amour Ajouté)1
- La TR (Taxe sur la Respiration)2
- La TP (Taxe sur les Pets, ne pas confondre avec Trésor Gouffre Public)3
1) Développons un peu : la TAA est un impôt plein de poésie qui consiste à taxer lourdement ce qui fait plaisir. Les modalités sont les suivantes : tout homme en âge de se livrer à la fornication devra se procurer auprès de la Trésorerie dont dépend son domicile des “bons de saillie” au prix forfaitaire de 20 €. Il conviendra d'en acheter un minimum de trois par semaine entre 15 et 35 ans, deux de 35 à 50 ans, et au moins 1 de 50 à 75 ans, les vieillards goutteux seront exceptionnellement dispensés de cette taxe compte tenu de l'improbabilité de leurs crises libidinales… De toute manière les manœuvres amoureuses seront constatées par caméras infrarouges installées dans toutes les chambres à coucher situées sur le territoire national aussi bien en métropole qu'outremer (réduction pour tenir compte du climat qui pousse à l'amour et du faible pouvoir d'achat)
Les fraudeurs seront lourdement punis, d'amendes, en premier lieu, pour les trois premières parties de jambes en l'air non couvertes par le paiement préalable de la taxe (100 € pour la première infraction, 1.000 € pour la seconde, 20.000 € pour la troisième) puis par ablation chirurgicale des testicules qui seront réputées ne pas avoir été utilisées et donc être parfaitement inutiles.
Il ne serait pas naturel de s'envoyer en l'air sans penser à faire profiter de son bonheur les fonctionnaires et autres nécessiteux, cette taxe est donc parfaitement et indiscutablement juste.
2) La taxe sur la respiration sera contrôlée par un capteur fixé sur le nez enregistrant le nombre de respirations à la minute, les fraudeurs seront étouffés puis qu'ils seront réputés avoir fait semblant de ne pas respirer pour échapper à l'impôt, les morts seront exemptés puisqu'ils n'auront pas triché et qu'on a pas encore trouvé de moyens de faire cracher les cadavres, hélas obligés de se contenter de racketter les héritiers via l'impôt sur les successions.
3) La taxe sur les pets est une évidence, cette production de méthane qui détruit la couche d'ozone est inacceptable. L'installation de capteurs-renifleurs à proximité immédiate des trous de balle des contribuables garantira le constat des infractions qui donneront lieu à des amendes, voir à des retraits de points sur le permis de péter. Les sodomites passifs et actifs devront faire attention de ne pas détruire le fragile capteur lors de leurs ébats sous peine de colmatage définitif de l'orifice anal, jusqu'à ce que mort s'ensuive par occlusion intestinale.
Le montant exact de la contribution par pet n'est pas encore fixé, Sarkozy y réfléchit, mais il sera très élevé compte tenu des lourds dégâts écologiques entraînés par ce laxisme dans le loufage.
Et compte tenu du déficit à combler on ne va pas y aller avec le dos de la cuiller : les grossiers péteurs vont en chier !
Pour ce qui est du grantemprunt ils peuvent se le carrer là où nous étions à l'instant : dans le fion !
***
Il semble que, selon sa déplorable habitude, le petit homme ait laissé filtrer un ballon d'essai volontairement inacceptable (34 cts de Zeuros par tonne de CO2) pour revenir à quelque chose d'un peu moins inacceptable (ouf !) sauf que rien c'était bien aussi, surtout quand on clame à tous les vents qu'on n'augmentera pas les impôts…
LA CRISE EST FINIE
C'est une méthode comparable à celle qui consiste à dire à un type pris au hasard (et qui n'a rien fait) : “Nous allons vous condamner à mort et vous exécuter séance tenante”. Puis, un peu plus tard : “Finalement nous vous condamnons à 5 ans de prison”… Soulagement énorme du malheureux qui se voyait déjà coupé en deux morceaux d'inégale longueur, et qui en oublie qu'il n'a rien fait, trop content d'échapper au découpage selon les pointillés !
Ce qui est bien avec la taxe “carbone” (la pseudo-écologie a bon dos) c'est qu'il n'y aura plus que deux taxes possibles à mettre en place, toutes les autres possibilités étant non seulement utilisées mais surexploitées, les taux augmentant régulièrement – qui sait que l'impôt sur le revenu a commencé avec la loi du 15 juillet 1914, au taux unique et non progressif de 2 % et en précisant qu'il s'agissait d'un impôt circonstanciel et temporaire. Le foutage de gueule est donc une tradition solidement installée et très largement exploitée !
Pourtant il y a deux légères différences entre 1914 et aujourd'hui : d'une part la guerre ne semble pas prévisible dans les prochains jours (mais il ne faut jurer de rien), d'autre part nous n'avions pas de déficit (ce n'était pas à la mode)…
Parlons-en de déficit : d'habitude nous creusons environ 50 milliards de trou supplémentaire chaque année sous Bercy, dans l'espoir de retrouver aussi vite que possible nos amis Chinois, de l'autre côté de la terre, surtout qu'en arrivant par la cave on pourrait peut-être leur piquer leurs excédents et leurs économies…
Ce chiffre abstrait (50.000.000.000 €) recouvre une réalité simple : l'État dépense en permanence 20 % de plus que ce qu'il [s]gagne[/s] nous vole ! Si vous voulez vous amuser essayez d'en faire autant pour voir au bout de combien de temps votre banquier ferme votre compte, confisque votre chéquier et votre carte de crédit pour vous envoyer, en fin de compte, promptement l'huissier accompagné du commissaire de police lui même flanqué du serrurier.
Mais cette année c'est l'exploit, le record du monde de la déconne totalement enfoncé : 107 milliards de déficit supplémentaire entre janvier et fin juillet, ce qui nous conduit à 183 milliards fin décembre si le rythe se maintient : presque quatre fois plus que d'habitude, trop fort !
Mais revenons donc à nos taxes [s]moutons (tondus)[/s], après le carbone il reste en tout et pour tout ces trois possibilités qui font ma fierté et mon orgueil tant elles supposent une imagination fertile et une vivacité exceptionnelle dans le domaine de l'escroquerie :
- La TAA (Taxe sur l'Amour Ajouté)1
- La TR (Taxe sur la Respiration)2
- La TP (Taxe sur les Pets, ne pas confondre avec Trésor Gouffre Public)3
1) Développons un peu : la TAA est un impôt plein de poésie qui consiste à taxer lourdement ce qui fait plaisir. Les modalités sont les suivantes : tout homme en âge de se livrer à la fornication devra se procurer auprès de la Trésorerie dont dépend son domicile des “bons de saillie” au prix forfaitaire de 20 €. Il conviendra d'en acheter un minimum de trois par semaine entre 15 et 35 ans, deux de 35 à 50 ans, et au moins 1 de 50 à 75 ans, les vieillards goutteux seront exceptionnellement dispensés de cette taxe compte tenu de l'improbabilité de leurs crises libidinales… De toute manière les manœuvres amoureuses seront constatées par caméras infrarouges installées dans toutes les chambres à coucher situées sur le territoire national aussi bien en métropole qu'outremer (réduction pour tenir compte du climat qui pousse à l'amour et du faible pouvoir d'achat)
Les fraudeurs seront lourdement punis, d'amendes, en premier lieu, pour les trois premières parties de jambes en l'air non couvertes par le paiement préalable de la taxe (100 € pour la première infraction, 1.000 € pour la seconde, 20.000 € pour la troisième) puis par ablation chirurgicale des testicules qui seront réputées ne pas avoir été utilisées et donc être parfaitement inutiles.
Il ne serait pas naturel de s'envoyer en l'air sans penser à faire profiter de son bonheur les fonctionnaires et autres nécessiteux, cette taxe est donc parfaitement et indiscutablement juste.
2) La taxe sur la respiration sera contrôlée par un capteur fixé sur le nez enregistrant le nombre de respirations à la minute, les fraudeurs seront étouffés puis qu'ils seront réputés avoir fait semblant de ne pas respirer pour échapper à l'impôt, les morts seront exemptés puisqu'ils n'auront pas triché et qu'on a pas encore trouvé de moyens de faire cracher les cadavres, hélas obligés de se contenter de racketter les héritiers via l'impôt sur les successions.
3) La taxe sur les pets est une évidence, cette production de méthane qui détruit la couche d'ozone est inacceptable. L'installation de capteurs-renifleurs à proximité immédiate des trous de balle des contribuables garantira le constat des infractions qui donneront lieu à des amendes, voir à des retraits de points sur le permis de péter. Les sodomites passifs et actifs devront faire attention de ne pas détruire le fragile capteur lors de leurs ébats sous peine de colmatage définitif de l'orifice anal, jusqu'à ce que mort s'ensuive par occlusion intestinale.
Le montant exact de la contribution par pet n'est pas encore fixé, Sarkozy y réfléchit, mais il sera très élevé compte tenu des lourds dégâts écologiques entraînés par ce laxisme dans le loufage.
Et compte tenu du déficit à combler on ne va pas y aller avec le dos de la cuiller : les grossiers péteurs vont en chier !
Pour ce qui est du grantemprunt ils peuvent se le carrer là où nous étions à l'instant : dans le fion !
***
En même temps, toutes ces fumées, et ces taxes qui ne sont pas des impôts tout en en étant, et nouveaux tout en étant pas anciens ou en plus, les décisions sans arbitrages, toute cette folie sémantique, et les taxes qui sont remboursées on ne sait trop comment et dans quelles conditions, expliquent en grande partie pourquoi les sondés sont contre.
Il n'y a pas de fumée sans feu, et si on entourloupe le langage, on entourloupe aussi la réalité, sagesse de base.
Il n'y a pas de fumée sans feu, et si on entourloupe le langage, on entourloupe aussi la réalité, sagesse de base.
Je copie/colle cet article du 11 avril 2008 sur un site québécois.
Après la dictature du prolétariat et du capital, nous connaîtrons sous peu la dictature écologiste.
Signe des temps, en conséquence de notre présente inaction environnementale, les gouvernements se tourneront dans un avenir rapproché vers l’extrême de l’écologie politique.
Le réchauffement climatique, la montée des océans, la pollution de l’eau, de l’air, des sols et le dépérissement des richesses engendreront l’ascension de groupes politiques écologistes radicaux réclamant le pouvoir.
Et un jour, ils y parviendront.
Sous leur gouverne, les pollueurs industriels seront fortement réprimés. Le simple citoyen ne pratiquant pas un mode de vie écologique sera durement coercisé. On élèvera le non-respect de la biosphère en tant que crime contre l’Humanité.
La « dictature verte » ne considérera pas les intérêts des hommes d’affaires qui s’enrichissent en polluant l’environnement. Elle ne respectera pas la démocratie ou la justice sociale, mais appliquera unilatéralement et sans distinction les mesures nécessaires à la pérennité du genre humain, avec toutes les dérives qui sont l’apanage de tout régime autocratique.
Elle redéfinira notre mode de vie, nos valeurs humanitaires et nos conceptions des relations sociales. La liberté individuelle sera tassée sur le bas-côté pour laisser passer le train de la survie de l’Humanité.
Tout ce qui caractérisait nos sociétés disparaîtra devant l’état d’urgence environnementale et ce ne sera, finalement, que de notre propre faute, car nous aurons attendu trop longtemps avant d’agir.
Après la dictature du prolétariat et du capital, nous connaîtrons sous peu la dictature écologiste.
Signe des temps, en conséquence de notre présente inaction environnementale, les gouvernements se tourneront dans un avenir rapproché vers l’extrême de l’écologie politique.
Le réchauffement climatique, la montée des océans, la pollution de l’eau, de l’air, des sols et le dépérissement des richesses engendreront l’ascension de groupes politiques écologistes radicaux réclamant le pouvoir.
Et un jour, ils y parviendront.
Sous leur gouverne, les pollueurs industriels seront fortement réprimés. Le simple citoyen ne pratiquant pas un mode de vie écologique sera durement coercisé. On élèvera le non-respect de la biosphère en tant que crime contre l’Humanité.
La « dictature verte » ne considérera pas les intérêts des hommes d’affaires qui s’enrichissent en polluant l’environnement. Elle ne respectera pas la démocratie ou la justice sociale, mais appliquera unilatéralement et sans distinction les mesures nécessaires à la pérennité du genre humain, avec toutes les dérives qui sont l’apanage de tout régime autocratique.
Elle redéfinira notre mode de vie, nos valeurs humanitaires et nos conceptions des relations sociales. La liberté individuelle sera tassée sur le bas-côté pour laisser passer le train de la survie de l’Humanité.
Tout ce qui caractérisait nos sociétés disparaîtra devant l’état d’urgence environnementale et ce ne sera, finalement, que de notre propre faute, car nous aurons attendu trop longtemps avant d’agir.
Je déteste les forums... C'est tellement vain. Mais là depuis quelques jours avec la rentrée et son flot d'actualité, je n'y résiste plus.
D'abord sur cette Taxe Carbone. Une arnaque Complète et d'un démago. Croyez-vous vraiment que cela va changer nos comportements d'occidentaux vautrés dans notre religion consumériste ? Je suis écolo, oui. J'ai voté vert à la dernière élection. Mais cette taxe. Elle ne passe pas. Elle va taxer toujours les mêmes, ceux qui vont travailler tous les jours avec leurs voitures, ceux qui se chauffent à l'électricité, au fioul, au gaz parcequ'ils sont locataires et qu'ils ne peuvent pas faire autrement ou alors cela coûte cher de changer... Je ne vais pas acheter une voiture électrique demain ni une voiture hybride, ni une voiture à l'éthanol, car je ne sais pas comment je pourrais faire le plein...
En fin de compte, ceux qui ne paieront pas cette taxe sont ceux qui ne travaillent pas parceq uequ'ils sont rentiers, parce que pour se déplacer ils vont prendre le taxi et qu'en hiver, plutôt que de chauffer la maison ils s'en vont résider dans une de leurs demeures dans le grand Sud...
A quand l'obligation de construire écologique (panneau solaire, éolienne individuelle, récupération d'eau de pluie...) ?. A quand une restriction de publicité dans les boîtes aux lettres ? Par mois il y a bien 2-3 kg de papiers qui passent directement de ma boîte aux lettres à la benne. A quand une aide pour convertir nos maisons ?...
C'est d'une hypocrisie. De la poudre aux yeux (de ceux qui sont pour cette taxe). Une taxe injuste pour se donner la la bonne conscience et continuer à vivre les yeux fermer sans autre concession. Le fond du problème, c'est la société de consommation dans laquelle nous évoluons. Et sur ce point, je ne comprends pas la diatribe lancée contre Hulot. Il était peut-être un fils à papa à ses débuts... Mais je crois qu'il faut donner à chacun la chance d'évoluer et de changer. Qui de nous est né avec la sagesse et la science infuse ? Sa conscience écologique est née avec son parcours et l'évolution du climat. J'ai l'impression qu'il est le seul homme (politique ?) qui n'ait pas d'ambition personnelle.
D'abord sur cette Taxe Carbone. Une arnaque Complète et d'un démago. Croyez-vous vraiment que cela va changer nos comportements d'occidentaux vautrés dans notre religion consumériste ? Je suis écolo, oui. J'ai voté vert à la dernière élection. Mais cette taxe. Elle ne passe pas. Elle va taxer toujours les mêmes, ceux qui vont travailler tous les jours avec leurs voitures, ceux qui se chauffent à l'électricité, au fioul, au gaz parcequ'ils sont locataires et qu'ils ne peuvent pas faire autrement ou alors cela coûte cher de changer... Je ne vais pas acheter une voiture électrique demain ni une voiture hybride, ni une voiture à l'éthanol, car je ne sais pas comment je pourrais faire le plein...
En fin de compte, ceux qui ne paieront pas cette taxe sont ceux qui ne travaillent pas parceq uequ'ils sont rentiers, parce que pour se déplacer ils vont prendre le taxi et qu'en hiver, plutôt que de chauffer la maison ils s'en vont résider dans une de leurs demeures dans le grand Sud...
A quand l'obligation de construire écologique (panneau solaire, éolienne individuelle, récupération d'eau de pluie...) ?. A quand une restriction de publicité dans les boîtes aux lettres ? Par mois il y a bien 2-3 kg de papiers qui passent directement de ma boîte aux lettres à la benne. A quand une aide pour convertir nos maisons ?...
C'est d'une hypocrisie. De la poudre aux yeux (de ceux qui sont pour cette taxe). Une taxe injuste pour se donner la la bonne conscience et continuer à vivre les yeux fermer sans autre concession. Le fond du problème, c'est la société de consommation dans laquelle nous évoluons. Et sur ce point, je ne comprends pas la diatribe lancée contre Hulot. Il était peut-être un fils à papa à ses débuts... Mais je crois qu'il faut donner à chacun la chance d'évoluer et de changer. Qui de nous est né avec la sagesse et la science infuse ? Sa conscience écologique est née avec son parcours et l'évolution du climat. J'ai l'impression qu'il est le seul homme (politique ?) qui n'ait pas d'ambition personnelle.
La taxe carbone servira probablement à amortir le choc de l'explosion de la dette, et par la même, à assurer le grand emprunt. Donc à soutenir des secteurs d'activité polluants ou inutiles, comme la défense, les transports à grande vitesse, un urbanisme à l'américaine et certainement en fin de comptes l'industrie automobile. Le tout, pour ne pas perdre les ridicules 0,3 points de croissance tout entiers adossés à une prime à la casse prolongée en catastrophe jusqu'en 2011. Cherchez l'erreur dans ce projet de taxe "écologique".
Sans parler des contradictions intrinsèques :
14 euros la tonne, ça pèse durement sur les petits budgets dépendants de la voiture ou du chauffage au fioul, mais c'est parfaitement indolore pour ceux qui ont vraiment les moyens de polluer.
Que ne parle-t-on des quotas d'émission de CO2, donnés gracieusement aux entreprises et en trop grand nombre, conduisant leur marché à s'effondrer et des petits malins à spéculer sur une prochaine reprise de leur cours, alimentant la prochaine bulle financière... des subprime-carbone en quelque sorte.
le maintien de l'électricité hors champ est une entourloupe pour ne pas être obligé de faire un réel bilan de l'énergie nucléaire. Ce serait trop dommage, après être allé si loin dans la négation, d'être obligé d'avouer que c'est polluant (le bilan carbone est externalisé puisqu'il repose essentiellement sur les pays exportateurs d'uranium et sur le secteur des BTP), dangereux et inutile.
Tous les inconvénients de la taxe carbone sans les avantages, en somme...
Je veux bien payer des impôts et même endetter le pays jusqu'à la moelle, s'il y a un projet derrière. Mais là, on en reste à de la gesticulation, de surcroît dangereuse puisqu'elle grille des cartouches dont on aura bien besoin ces prochaines années pour parer aux crises économique et énergétique, tout en amplifiant l'impact de celles-ci... Décidément, on aura bien du mal à se remettre de 10 ans de Sarkozy !
Sans parler des contradictions intrinsèques :
14 euros la tonne, ça pèse durement sur les petits budgets dépendants de la voiture ou du chauffage au fioul, mais c'est parfaitement indolore pour ceux qui ont vraiment les moyens de polluer.
Que ne parle-t-on des quotas d'émission de CO2, donnés gracieusement aux entreprises et en trop grand nombre, conduisant leur marché à s'effondrer et des petits malins à spéculer sur une prochaine reprise de leur cours, alimentant la prochaine bulle financière... des subprime-carbone en quelque sorte.
le maintien de l'électricité hors champ est une entourloupe pour ne pas être obligé de faire un réel bilan de l'énergie nucléaire. Ce serait trop dommage, après être allé si loin dans la négation, d'être obligé d'avouer que c'est polluant (le bilan carbone est externalisé puisqu'il repose essentiellement sur les pays exportateurs d'uranium et sur le secteur des BTP), dangereux et inutile.
Tous les inconvénients de la taxe carbone sans les avantages, en somme...
Je veux bien payer des impôts et même endetter le pays jusqu'à la moelle, s'il y a un projet derrière. Mais là, on en reste à de la gesticulation, de surcroît dangereuse puisqu'elle grille des cartouches dont on aura bien besoin ces prochaines années pour parer aux crises économique et énergétique, tout en amplifiant l'impact de celles-ci... Décidément, on aura bien du mal à se remettre de 10 ans de Sarkozy !
Avec un rapport 57/39, il s'agit de la côte de méfiance envers N. Sarkozy qui reste stable. Et à un haut niveau de méfiance.
" Je n´ai pas été élu pour augmenter les impôts"
Il fait mieux, il en crée de nouveaux
très drôle le mickey élyséen
Il fait mieux, il en crée de nouveaux
très drôle le mickey élyséen
Merci DS, oh puis non...
La taxe [s]carbone[/s] Cambronne ! c'est de la m....
Voilà F. Fillon contredit (une fois de plus) par N. Sarkozy et ses conseillers. Rien n'est donc arrêté, et le coup du "nouvel impôt, mais pas un impôt supplémentaire" est une sacrée trouvaille. Hier, on nous expliquait sur France Inter que si Fillon avait posé le chiffre de 14 euros sur la table, c'était pour bien montrer qui était le patron du gouvernement. On a vu. Mais on savait déjà. Au bout d'un moment, on peut quand même se demander comment le (hum) Premier ministre fait pour avaler toutes ces couleuvres.
A part ça, bien d'accord avec François T. Réduire la pollution et le gaspillage d'énergie fossile, il n'y a pas grand monde pour être contre, à part peut-être les transporteurs routiers. Mais peut-on espérer changer durablement les comportements en se contentant de la seule solution financière, sans rien vouloir changer de l'organisation de notre société ? On peut décréter que le super coûtera 2 euros ou plus, comme en rêvent les Verts, tant qu'on obligera les gens à habiter très loin de leur lieu de travail, tout en continuant à réduire l'offre de transports en commun à la campagne et à dépenser des fortunes pour construire des routes de plus en plus droites et larges, tant qu'on favorisera le transport des marchandises par camions, tant qu'on ne s'engagera pas de façon significative dans le développement d'énergies nouvelles, on n'avancera pas. Que la solution "fiscale" soit celle de l'UMP ou du PS, cela ne me surprend pas. Voir les Verts s'accrocher à cette histoire de taxe comme des berniques à leur rocher, ça me désole. Faire payer le pétrole, très bien, mais c'est se contenter de gérer la pénurie. L'urgence est depuis longtemps ailleurs.
A part ça, bien d'accord avec François T. Réduire la pollution et le gaspillage d'énergie fossile, il n'y a pas grand monde pour être contre, à part peut-être les transporteurs routiers. Mais peut-on espérer changer durablement les comportements en se contentant de la seule solution financière, sans rien vouloir changer de l'organisation de notre société ? On peut décréter que le super coûtera 2 euros ou plus, comme en rêvent les Verts, tant qu'on obligera les gens à habiter très loin de leur lieu de travail, tout en continuant à réduire l'offre de transports en commun à la campagne et à dépenser des fortunes pour construire des routes de plus en plus droites et larges, tant qu'on favorisera le transport des marchandises par camions, tant qu'on ne s'engagera pas de façon significative dans le développement d'énergies nouvelles, on n'avancera pas. Que la solution "fiscale" soit celle de l'UMP ou du PS, cela ne me surprend pas. Voir les Verts s'accrocher à cette histoire de taxe comme des berniques à leur rocher, ça me désole. Faire payer le pétrole, très bien, mais c'est se contenter de gérer la pénurie. L'urgence est depuis longtemps ailleurs.
D'autres analyses seraient pourtant possibles.
Il y a d'une part un projet proposé et approuvé par une très grande majorité de ceux qui sont en situation de pouvoir (avec quelques voix dissonnantes, certes), et aussi encouragé par la quasi totalité des médias (Libé, rue89, France Inter, etc..)
Et ce même projet est rejeté par une majorité de l'opinion.
Ca ne vous rappelle rien ?
Moi, si, j'y retrouve des mécanismes de l'antagonisme entre partisans et opposants au référendum européen, avec une pseudo-élite savante et un peuple qui rejette ce qui présenté comme un projet auquel tout le monde doit adhérer.
Et j'y retrouve aussi l'antagonisme entre la sagesse et la méfiance légitime du peuple, et le mouvement qui pousse ces pseudo-élites à approuver tout ce qui permet sous couvert de bonne intentions (Europe, Écologie) à masquer les avancées du libéralisme.
Libéralisme, oui, car le projet de taxe vise à imposer le consommateur, non le prescripteur ! On vous impose d'aller résider à 100 kilomètres de votre lieu de travail, car il n'y a pas de politique de logement digne de ce nom dans nombres de villes riches, vous paierez ! Vous êtes locataire, donc non responsable de votre mode de chauffage, vous paierez !
Or, c'est bien dans la doctrine libérale, que vous êtes toujours responsable de vos actes, que l'on ne considère pas qu'il y a des prédéterminations sociales, des contraintes, des obligations !
Libéralisme, car l'on considère que le citoyen est avant tout consommateur, et que l'on ne recherche pas avant tout la transformation sociale !
Et le pire, c'est qu'on nous dit qu'on ne devrait pas s'opposer sous prétexte que toutes les dispositions ne sont pas encore connues. Argument connu : Le Monde disait la même chose, sous couvert d'objectivité, à ceux qui s'opposaient aux dernières réformes sur l'Education : non, mais, ne pratiquez pas l'opposition systématique, puisque tout le projet de réforme de l'Université n'est pas établi, alors que l'on en connaissait pourtant l'orientation, aussi libérale !
Ce militantisme des journalistes et des responsables politiques en prépare d'autres : demain, après demain, d'autres mesures viendront, comme un péage dans les grandes villes pour les voitures, comme ce qui existe en Angleterre, péage inégalitaire établi sous prétexte écologique.
PS : et l'on évoque aussi souvent cette sorte d'aumône donnée aux pauvres qui seront victimes de la taxe, comme un aveu de l'inégalité qu'elle entraînera nécessairement, aumône qui sera bien dissocié du dispositif, que l'on pourra faire disparaître dans l'indifférence dans quelques années, et qui ne sera jamais juste, puisque l'on ne connaît aucun dispositif de compensation qui ne soit juste et parfait, il y aura toujours des cas à part, des choses difficiles à prouver, etc..
Il y a d'une part un projet proposé et approuvé par une très grande majorité de ceux qui sont en situation de pouvoir (avec quelques voix dissonnantes, certes), et aussi encouragé par la quasi totalité des médias (Libé, rue89, France Inter, etc..)
Et ce même projet est rejeté par une majorité de l'opinion.
Ca ne vous rappelle rien ?
Moi, si, j'y retrouve des mécanismes de l'antagonisme entre partisans et opposants au référendum européen, avec une pseudo-élite savante et un peuple qui rejette ce qui présenté comme un projet auquel tout le monde doit adhérer.
Et j'y retrouve aussi l'antagonisme entre la sagesse et la méfiance légitime du peuple, et le mouvement qui pousse ces pseudo-élites à approuver tout ce qui permet sous couvert de bonne intentions (Europe, Écologie) à masquer les avancées du libéralisme.
Libéralisme, oui, car le projet de taxe vise à imposer le consommateur, non le prescripteur ! On vous impose d'aller résider à 100 kilomètres de votre lieu de travail, car il n'y a pas de politique de logement digne de ce nom dans nombres de villes riches, vous paierez ! Vous êtes locataire, donc non responsable de votre mode de chauffage, vous paierez !
Or, c'est bien dans la doctrine libérale, que vous êtes toujours responsable de vos actes, que l'on ne considère pas qu'il y a des prédéterminations sociales, des contraintes, des obligations !
Libéralisme, car l'on considère que le citoyen est avant tout consommateur, et que l'on ne recherche pas avant tout la transformation sociale !
Et le pire, c'est qu'on nous dit qu'on ne devrait pas s'opposer sous prétexte que toutes les dispositions ne sont pas encore connues. Argument connu : Le Monde disait la même chose, sous couvert d'objectivité, à ceux qui s'opposaient aux dernières réformes sur l'Education : non, mais, ne pratiquez pas l'opposition systématique, puisque tout le projet de réforme de l'Université n'est pas établi, alors que l'on en connaissait pourtant l'orientation, aussi libérale !
Ce militantisme des journalistes et des responsables politiques en prépare d'autres : demain, après demain, d'autres mesures viendront, comme un péage dans les grandes villes pour les voitures, comme ce qui existe en Angleterre, péage inégalitaire établi sous prétexte écologique.
PS : et l'on évoque aussi souvent cette sorte d'aumône donnée aux pauvres qui seront victimes de la taxe, comme un aveu de l'inégalité qu'elle entraînera nécessairement, aumône qui sera bien dissocié du dispositif, que l'on pourra faire disparaître dans l'indifférence dans quelques années, et qui ne sera jamais juste, puisque l'on ne connaît aucun dispositif de compensation qui ne soit juste et parfait, il y aura toujours des cas à part, des choses difficiles à prouver, etc..
Citation :
« Quant à la taxe, c’est un impôt nouveau, mais en aucun cas un impôt de plus, a expliqué Guaino »
Là, j’ai réellement besoin d’une « explication de texte »…
Oui qui dit :
En droit français, la taxe est un prélèvement obligatoire perçu d’autorité à l'occasion d'un service rendu.
La TAXE est un prélèvement obligatoire perçu d’autorité, à l'occasion d'une opération, mais qui ne constitue pas la contrepartie monétaire de ce service.
Il diffère de :
- L’IMPÔT par son assiette (il est payé à l’occasion d’une opération) par son redevable (l’usager) ;
- La REDEVANCE celle-ci étant la contrepartie monétaire d’un service rendu.
‘‘Dès lors que le prélèvement est inférieur à la moitié du coût du service, il s’agit d'une taxe et s’il est supérieur, il s’agit d'une redevance.’’
La taxe d’habitation ou la taxe sur la valeur ajoutée sont en réalité des impôts car ils ne donnent lieu à aucune contrepartie.
Contrairement à l’impôt qui est soumis, en France, à la règle de non affectation, les recettes issues d’une taxe peuvent être affectées à une dépense précise.
Alors :
Taxe ou Impôt ?
T’as itou Impossible de savoir !
Stan 1000g
« Quant à la taxe, c’est un impôt nouveau, mais en aucun cas un impôt de plus, a expliqué Guaino »
Là, j’ai réellement besoin d’une « explication de texte »…
Oui qui dit :
En droit français, la taxe est un prélèvement obligatoire perçu d’autorité à l'occasion d'un service rendu.
La TAXE est un prélèvement obligatoire perçu d’autorité, à l'occasion d'une opération, mais qui ne constitue pas la contrepartie monétaire de ce service.
Il diffère de :
- L’IMPÔT par son assiette (il est payé à l’occasion d’une opération) par son redevable (l’usager) ;
- La REDEVANCE celle-ci étant la contrepartie monétaire d’un service rendu.
‘‘Dès lors que le prélèvement est inférieur à la moitié du coût du service, il s’agit d'une taxe et s’il est supérieur, il s’agit d'une redevance.’’
La taxe d’habitation ou la taxe sur la valeur ajoutée sont en réalité des impôts car ils ne donnent lieu à aucune contrepartie.
Contrairement à l’impôt qui est soumis, en France, à la règle de non affectation, les recettes issues d’une taxe peuvent être affectées à une dépense précise.
Alors :
Taxe ou Impôt ?
T’as itou Impossible de savoir !
Stan 1000g
Bien vu !
Il est à noter que le seul qu'on entend pas sur cette affaire, c'est le ministre de l'écologie...