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Telepolis
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Derniers commentaires
merci d'avoir remonté ce fil...
chronique que je n'avais pas eu l'occasion de visionner !
tout cela me fait penser à une video qui circulait sur Facebook il y a quelques temps, parodie du film La Chute :
Victoire du peuple par la désobéissance !
"Balancez leur plein de conneries à la télé ça les abrutira"
le führer
http://www.facebook.com/profile.php?id=100001094043579#!/video/video.php?v=153941754645608&oid=143363392375566&comments
mais comme chez m'sieur Korkos tout finit par des chansons (enfin sauf quand il s'agit de son départ snifff) :
S.O.S. d'un terrien en détresse....
chronique que je n'avais pas eu l'occasion de visionner !
tout cela me fait penser à une video qui circulait sur Facebook il y a quelques temps, parodie du film La Chute :
Victoire du peuple par la désobéissance !
"Balancez leur plein de conneries à la télé ça les abrutira"
le führer
http://www.facebook.com/profile.php?id=100001094043579#!/video/video.php?v=153941754645608&oid=143363392375566&comments
mais comme chez m'sieur Korkos tout finit par des chansons (enfin sauf quand il s'agit de son départ snifff) :
S.O.S. d'un terrien en détresse....
Les villes
Oh ! ces villes, par l'or putride envenimées !
Clameurs de pierre et vols et gestes de fumées,
Dômes et tours d'orgueil et colonnes debout
Dans l'espace qui vibre et le travail qui bout,
En aimas-tu l'effroi et les affres profondes
O toi, le voyageur
Qui t'en allais triste et songeur
Par les gares de feu qui ceinturent le monde ?
Cahots et bonds de trains par au-dessus des monts !
L'intime et sourd tocsin qui enfiévrait ton âme
Battait aussi dans ces villes, le soir ; leur flamme
Rouge et myriadaire illuminait ton front,
Leur aboi noir, leur cri vengeur, leur han fécond
Etaient l'aboi, le cri, le han de ton coeur même ;
Ton être entier était tordu en leur blasphème,
Ta volonté jetée en proie à leur torrent
Et vous vous maudissiez tout en vous adorant.
Oh ! leurs élans, leurs chocs, leurs blasphèmes, leurs crimes
Et leurs meurtres plantés dans le torse des lois !
Le coeur de leurs bourdons, le front de leurs beffrois
Ont oublié le nombre exact de leurs victimes ;
Leur monstrueux amas barre le firmament ;
Le siècle et son horreur se condensent en elles,
Mais leur âme contient la minute éternelle
Qui date, au long des jours innombrables, le temps.
D'âge en âge l'histoire est fécondée
Sous l'afflux d'or de leur idées ;
Leur moelle et leur cerveau
Se ravivent du sang nouveau
Qu'infuse au monde vieux l'espoir ou le génie.
Elles illuminent l'audace et communient
Avec l'espace et fascinent les horizons.
Leur magnétisme est fort comme un poison.
Tout front qui domine les autres,
Savant, penseur, poète, apôtre,
Mêle sa flamme à la lueur de leurs brasiers.
Elles dressent vers l'inconnu les escaliers
Par où monte l'orgueil des recherches humaines
Et broient, sous leurs pieds clairs, l'erreur qui tend ses chaînes
De l'univers à l'homme et des hommes à Dieu.
Avez-vous vu, le soir, leurs couronnes de feu,
Temples de verre et d'or assis sur les collines,
D'où se braquent vers les étoiles sybillines
Les monstrueux regards des lentilles d'airain ?
Et puis, en des quartiers silencieux, soudain,
Avez-vous visité les hauts laboratoires
Où l'on poursuit, de calcul en calcul,
De chaînon en chaînon, de recul en recul,
A travers l'infini, la vie oscillatoire ?
L'homme qui juge, pense et veut,
S'y contrôle et s'y mesure soi-même.
Tous les secrets, tous les problèmes,
Depuis cent ans y sont l'enjeu
D'une lutte géante avec la destinée.
Combats méticuleux et science acharnée !
L'énigme est là, dont on cherche les yeux
Et qu'on frôle toujours, comme une bête hagarde,
Pour épier l'instant prodigieux,
Où, tout à coup, ces yeux vaincus se dardent,
Refoulant l'ombre et dévoilant la vérité.
Alors, les vents, les flots, la nuit, les cieux, les astres,
Les ponts massant sous eux les blocs de leurs pilastres,
Les basaltes du port, les murs de la cité
Pourraient frémir, aux quatre coins de l'étendue,
Qu'ils ne trembleraient pas d'un plus profond bonheur
Que l'âme ardente du chercheur,
Sur sa conquête suspendue !
Quelque chose du monde est tout à coup changé,
Par ce jaillissement brutal hors des ténèbres ;
Il n'importe qu'on nie ou qu'on célèbre
L'homme dont le génie a saccagé
Les mystères barrés par des portes hostiles,
Sa force est résorbée en la force des villes
Et leur énorme vie en est encor grandie !
Ainsi, de laps en laps, ceux qui pensent dédient
A l'avenir humain l'ardeur de leur cerveau ;
Et tandis qu'ils vivent pour des pensers nouveaux,
D'autres qui travaillent pour les foules - se lèvent.
Ceux-ci sont les ardents et les martyrs du rêve
Qu'ils entrevoient, là-bas, par des jardins de sang,
Marcher, pour aboutir au seuil resplendissant
Des temps où la justice aura dompté les hommes.
L'erreur a promulgué des lois, noirs axiomes,
Qu'on doit ronger sans cesse, en attendant le jour
De les casser à coups d'émeute ou de révolte ;
S'il faut le rouge engrais pour les pures récoltes,
S'il faut la haine immense avant l'immense amour,
S'il faut le rut et la folie aux coeurs serviles,
Les bonds des tocsins noirs soulèveront les villes
En hurlante marée, autour des droits nouveaux.
Et dans les halls blafards des vieux faubourgs, là-haut,
Où les lueurs du gaz illimitent les gestes,
Les voix, les cris, les poings des tribuns clairs attestent
Que les besoins de tous sont le cercle du droit.
Textes, règles, codes, tables, bibles, systèmes,
Mots solennels qu'on débite à faux poids :
L'homme, dans l'univers n'a qu'un maître, lui-même,
Et l'univers entier est ce maître, dans lui.
Le tribun, parle haut et fort ; son verbe luit,
Sauvage et ravageur, comme un vol de comète ;
Il est le fol drapeau tendu vers la conquête ;
Si quelquefois il prend la foule pour tremplin,
Qu'importe, il est celui dont le désir est plein,
Jusques au bord, de la sève des renaissances ;
La colère, le désespoir, l'effervescence,
Le silence orageux brûlent entre ses mains,
Il est, à sa manière, un grand roi souterrain
Qqi regarde s'enfler toutes forces soudaines.
Et quand, par un accord simple et fatal, s'enchaîne
Ce que veut le tribun, ce que veut le chercheur,
Il n'est aucun éclair brandi de la terreur,
Aucun ordre qui ploie, aucun pouvoir qui gronde,
Pour écraser, sous lui, la victoire du monde.
Oh ! ces villes, par l'or putride envenimées !
Clameurs de pierre et vols et gestes de fumées,
Dômes et tours d'orgueil et colonnes debout
Dans l'espace qui vibre et le travail qui bout,
En aimas-tu l'effroi et les affres profondes
O toi, le voyageur
Qui t'en allais triste et songeur
Par les gares de feu qui ceinturent le monde ?
Cahots et bonds de trains par au-dessus des monts !
L'intime et sourd tocsin qui enfiévrait ton âme
Battait aussi dans ces villes, le soir ; leur flamme
Rouge et myriadaire illuminait ton front,
Leur aboi noir, leur cri vengeur, leur han fécond
Etaient l'aboi, le cri, le han de ton coeur même ;
Ton être entier était tordu en leur blasphème,
Ta volonté jetée en proie à leur torrent
Et vous vous maudissiez tout en vous adorant.
Oh ! leurs élans, leurs chocs, leurs blasphèmes, leurs crimes
Et leurs meurtres plantés dans le torse des lois !
Le coeur de leurs bourdons, le front de leurs beffrois
Ont oublié le nombre exact de leurs victimes ;
Leur monstrueux amas barre le firmament ;
Le siècle et son horreur se condensent en elles,
Mais leur âme contient la minute éternelle
Qui date, au long des jours innombrables, le temps.
D'âge en âge l'histoire est fécondée
Sous l'afflux d'or de leur idées ;
Leur moelle et leur cerveau
Se ravivent du sang nouveau
Qu'infuse au monde vieux l'espoir ou le génie.
Elles illuminent l'audace et communient
Avec l'espace et fascinent les horizons.
Leur magnétisme est fort comme un poison.
Tout front qui domine les autres,
Savant, penseur, poète, apôtre,
Mêle sa flamme à la lueur de leurs brasiers.
Elles dressent vers l'inconnu les escaliers
Par où monte l'orgueil des recherches humaines
Et broient, sous leurs pieds clairs, l'erreur qui tend ses chaînes
De l'univers à l'homme et des hommes à Dieu.
Avez-vous vu, le soir, leurs couronnes de feu,
Temples de verre et d'or assis sur les collines,
D'où se braquent vers les étoiles sybillines
Les monstrueux regards des lentilles d'airain ?
Et puis, en des quartiers silencieux, soudain,
Avez-vous visité les hauts laboratoires
Où l'on poursuit, de calcul en calcul,
De chaînon en chaînon, de recul en recul,
A travers l'infini, la vie oscillatoire ?
L'homme qui juge, pense et veut,
S'y contrôle et s'y mesure soi-même.
Tous les secrets, tous les problèmes,
Depuis cent ans y sont l'enjeu
D'une lutte géante avec la destinée.
Combats méticuleux et science acharnée !
L'énigme est là, dont on cherche les yeux
Et qu'on frôle toujours, comme une bête hagarde,
Pour épier l'instant prodigieux,
Où, tout à coup, ces yeux vaincus se dardent,
Refoulant l'ombre et dévoilant la vérité.
Alors, les vents, les flots, la nuit, les cieux, les astres,
Les ponts massant sous eux les blocs de leurs pilastres,
Les basaltes du port, les murs de la cité
Pourraient frémir, aux quatre coins de l'étendue,
Qu'ils ne trembleraient pas d'un plus profond bonheur
Que l'âme ardente du chercheur,
Sur sa conquête suspendue !
Quelque chose du monde est tout à coup changé,
Par ce jaillissement brutal hors des ténèbres ;
Il n'importe qu'on nie ou qu'on célèbre
L'homme dont le génie a saccagé
Les mystères barrés par des portes hostiles,
Sa force est résorbée en la force des villes
Et leur énorme vie en est encor grandie !
Ainsi, de laps en laps, ceux qui pensent dédient
A l'avenir humain l'ardeur de leur cerveau ;
Et tandis qu'ils vivent pour des pensers nouveaux,
D'autres qui travaillent pour les foules - se lèvent.
Ceux-ci sont les ardents et les martyrs du rêve
Qu'ils entrevoient, là-bas, par des jardins de sang,
Marcher, pour aboutir au seuil resplendissant
Des temps où la justice aura dompté les hommes.
L'erreur a promulgué des lois, noirs axiomes,
Qu'on doit ronger sans cesse, en attendant le jour
De les casser à coups d'émeute ou de révolte ;
S'il faut le rouge engrais pour les pures récoltes,
S'il faut la haine immense avant l'immense amour,
S'il faut le rut et la folie aux coeurs serviles,
Les bonds des tocsins noirs soulèveront les villes
En hurlante marée, autour des droits nouveaux.
Et dans les halls blafards des vieux faubourgs, là-haut,
Où les lueurs du gaz illimitent les gestes,
Les voix, les cris, les poings des tribuns clairs attestent
Que les besoins de tous sont le cercle du droit.
Textes, règles, codes, tables, bibles, systèmes,
Mots solennels qu'on débite à faux poids :
L'homme, dans l'univers n'a qu'un maître, lui-même,
Et l'univers entier est ce maître, dans lui.
Le tribun, parle haut et fort ; son verbe luit,
Sauvage et ravageur, comme un vol de comète ;
Il est le fol drapeau tendu vers la conquête ;
Si quelquefois il prend la foule pour tremplin,
Qu'importe, il est celui dont le désir est plein,
Jusques au bord, de la sève des renaissances ;
La colère, le désespoir, l'effervescence,
Le silence orageux brûlent entre ses mains,
Il est, à sa manière, un grand roi souterrain
Qqi regarde s'enfler toutes forces soudaines.
Et quand, par un accord simple et fatal, s'enchaîne
Ce que veut le tribun, ce que veut le chercheur,
Il n'est aucun éclair brandi de la terreur,
Aucun ordre qui ploie, aucun pouvoir qui gronde,
Pour écraser, sous lui, la victoire du monde.
J'ai bien envie de le voir ce film un jour, peut-être vais-je passer par là http://www.youtube.com/watch?v=30aBsJePehc
Ce film est très important de nos jours, les médias comme la TELE sont en grande partie responsables que l"on ne sache pas en Europe ce qui se passe dans des pays où des dictatures prolifèrent à grands pas... ou ce qui se passe dans des pays qui, comme l'Argentine, est en train de faire des procès aux anciens répresseurs de la dictature. Je trouve que le lien avec les nazis est très bien vu, et qu'il n'y a pas de masses de personnes à avoir fait le lien, ce qui est positif pour la mémoire collective au sujet des dictatures latinoaméricaines. Les USA et la France ont eu leur influence sur le plan global, le plan Condor , et sur les techniques (torture, malheureusement "testéé" en Algérie par les militaires français et exportée en Amérique Latine comme l'a si bien démontré Marie Monique RObin dans son dicumentaire "Les esquadrons de la mort"). Mais les nazis sont le modèle référence des camps argentins, il n'y a plus de doute à cela.
Merci à M. Korkos pour son travail
Michelle
Merci à M. Korkos pour son travail
Michelle
J'espère que vous resterez longtemps avec nous !
Je suis allé voir le film et je remercie @si d'en avoir parlé: c'est un film sublime, plein de poésie, d'une inventivité extraordinaire, dont chaque image laisse entrevoir un travail colossal. Hélas, outre le fait qu'il soit peu distribué, je n'en entends pas beaucoup parlé dans les médias. Je ne suis donc décidément pas mécontent d'être abonné à @si...
Pour le masque, moi j'ai pensé à ça :
http://www.regisloisel.com/quete4.htm
Voir en bas, dans l'extrait qui est à droite, regarder la case d'en bas à gauche (dans cet extrait qui est à droite, donc!).
Mais c'est surtout à cause des dents…
Et je ne suis pas sûr que Loisel soit déjà une référence universelle !
:-)
http://www.regisloisel.com/quete4.htm
Voir en bas, dans l'extrait qui est à droite, regarder la case d'en bas à gauche (dans cet extrait qui est à droite, donc!).
Mais c'est surtout à cause des dents…
Et je ne suis pas sûr que Loisel soit déjà une référence universelle !
:-)
Et histoire d'apporter une petite contribution autre que cinématographique, je signalerai dans l'usage des sous-titres du film une réminiscence des collages lettristes DADA. Les mots ne sont pas utilisés conventionnellement mais comme des bruits, ce qui contrebalance le "silence" du film. Parfois, on se croirait presque dans une B.D. tellement l'étude faite sur la place du texte dans l'image est libre..., ce que vient un peu gacher le sous-titrage francais. Mais on ne peut pas tout avoir !
Merci Alain pour ce conseil. J'ai pu voir Télépolis ce soir et c'est époustouflant d'idées ! Malheureusement projeté dans très peu de salles à Paris, je souhaite que sa distribution soit plus équilibrée en province. Pour un film traitant du pouvoir télégénique, on ne peut que sourire à l'idée qu'il sorte le meme jour qu'Asterix...
A propos de spirale je pense aussi au cinéma expérimental de Duchamp (plus précisément l'Optical cinema avec son film Anemic cinema (et lles Rotoreliefs)
Merci Alain, je ne serais jamais aller voir ce film sans votre chronique...( Quand je pense qu'on est content d'aller voir un film terrifiant pour sortir de la déprime!!)
Comme Godilhaire!
trugarez,
gràcies,
danke,
milesker,
mercés,
thanks,
Très très bien !
Le cinéma est aussi un contre pouvoir médiatique quand les films ne sont pas obstrués et donc manipulés pas le CNC ...
gràcies,
danke,
milesker,
mercés,
thanks,
Très très bien !
Le cinéma est aussi un contre pouvoir médiatique quand les films ne sont pas obstrués et donc manipulés pas le CNC ...
Autre palimpseste à cette spirale... celle, tout aussi tournante, de "Twilight zone"... !
http://www.istockphoto.com/file_closeup/?id=372282&refnum=340044
http://www.istockphoto.com/file_closeup/?id=372282&refnum=340044
Marre des films de cinéma à la télé !
Merci pour vos chroniques toutes en images et en imaginaire.
Et vive le cinéma.
Merci pour vos chroniques toutes en images et en imaginaire.
Et vive le cinéma.
Merci pour ce coup de projecteur.
GROBERT : Ah merdre ! (comme disait Ubu), on peut y penser, en effet. Cela dit, la spirale est un signe graphique qui a été utilisé maintes et maintes fois. Dans Vertigo et Psychose, elle tourne et cette idée (pas tout à fait originale, OK) est reprise dans Telepolis.
C'est Saul Bass qui avait introduit cet élément chez Hitch : spirale du syphon-combinée à l'oeil dans la scène de la douche de Psychose, et spirale du générique de Vertigo (j'avais fait un billet sur ce sujet dans la Boîte à Images).
JULIE : Big Brother Is Watching You, et c'est ainsi que le quart d'heure de célébrité mondiale cher à Warhol passera par les caméras de télé-surveillance. Chouette alors ;-)
C'est Saul Bass qui avait introduit cet élément chez Hitch : spirale du syphon-combinée à l'oeil dans la scène de la douche de Psychose, et spirale du générique de Vertigo (j'avais fait un billet sur ce sujet dans la Boîte à Images).
JULIE : Big Brother Is Watching You, et c'est ainsi que le quart d'heure de célébrité mondiale cher à Warhol passera par les caméras de télé-surveillance. Chouette alors ;-)
@Alain : ta conclusion m'a fait penser à ce que certains disaient de 1984 (ça fout les chocottes hein !)
La spirale ne peut-elle être aussi une référence à celle que UBU porte fièrement sur le ventre ?
Je précise que M. le maudit est également téléchargeable en MPEG 2 en bonne qualité sur le site que vous donnez. La magie de l'open source et des Creative Commons permet aujourd'hui de voir gratuitement et légalement ce type de films essentiels.
Pour les non-germanophones, vous pourrez trouver des sous-titres un peu partout sur Internet au format .srt avec une petite recherche sur Google (il suffit de renommer ensuite le fichier avec le même nom que le fichier vidéo et VLC media player les synchronisera).
Pour les non-germanophones, vous pourrez trouver des sous-titres un peu partout sur Internet au format .srt avec une petite recherche sur Google (il suffit de renommer ensuite le fichier avec le même nom que le fichier vidéo et VLC media player les synchronisera).
SYLVN70 : Ah ouiche, le masque d'Hannibal Lecter, je n'y avais pas pensé.
C'est qu'on en avait presque oublié la culture dans tout ça...
MERCI !
P.S :
Le type masqué il ne fait pas penser qu'à Elephant Man ... Sa bouche me rappelle un peu le masque d'Hannibal Lecter, non?
MERCI !
P.S :
Le type masqué il ne fait pas penser qu'à Elephant Man ... Sa bouche me rappelle un peu le masque d'Hannibal Lecter, non?
bravo et merci pour les chroniques d'Alain Korkos; c'est à chaque fois intéressant, intelligent, et ça m'ouvre des portes dont je ne soupçonnais souvent pas l'existence.
merci pour votre humour - je vais aller voir ce film au cinéma car il ne va passer tout de suite à la télé au train où vont les choses!
Intéressant ce post et ç@ change ! Merci !
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
La musique sur l'extrait de la bande originale fait furieusement penser à la bande son composée par Carlos d’Alessio, Argentin, lui aussi, pour le Delicatessen de Jeunet.
@hh, si, ç@ y est !!!!!
http://policescientifique.metawiki.com/IMG/empreinte.gif
http://policescientifique.metawiki.com/IMG/empreinte.gif
une rubrique ciné sur @si !
en tous c@s ç@ donne envie (de jeter s@ télé)
en tous c@s ç@ donne envie (de jeter s@ télé)
??? Je ne vois p@s, non.
Merci beaucoup !
Le symbole (proche d'une spir@le) dont vous p@rlez me f@it penser @ quelquechose d'@utre…
Je n'@rrive p@s @ mettre des mots sur mon impression.
Quelqu'un @-t-il une idée ???
Le symbole (proche d'une spir@le) dont vous p@rlez me f@it penser @ quelquechose d'@utre…
Je n'@rrive p@s @ mettre des mots sur mon impression.
Quelqu'un @-t-il une idée ???