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Training de Carignon: c'était bien Cavada
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Derniers commentaires
Qui peut faire du media training si ce n'est les spécialistes des medias?
J'aime bien m'indigner, mais j'avoue que cette affaire me laisse de glace.
Va-t-on reprocher à Cavada de maquiller ses invités avant une émission ? Quelle est la différence ?
J'ai longtemps bossé dans des entreprises soucieuses de voir leurs messages passer au mieux. Et chaque directeur, chef de produit, responsable en charge de "passer" dans les médias se faisait un peu affuter par des cabinets cavadiens ou similaires.
Quand l'enjeu était lourd ou que le métier de l'impétrant le méritait,, on se faisait facturer des "trainings" de plusieurs heures, généreusement prodigués par des Bilalian, Ockrent ou autres. Mais dans bien des cas, on avait une version "light" prodiguée quelques heures ou minutes avant les prises de vue pour l'équipe même de tournage.
J'ai du mal à imaginer qu'on laisse, sous des lumières savament réglées, avec tout le matériel et le savoir-faires mis en jeu, devant une vingtaine de techniciens et des millions de (télé)spectateurs, un pauvre gaillard sans l'avoir préalablement préparé. En lui faisant changer de chemise pour éviter les moirages, en lui étalant une couche de fond de teint qu'on jugerait obsène hors écran.
Et en le faisant bosser un minimum ses attitudes, sa voix, etc.
Si on ne laissait passer à l'écran que les tribuns naturels, les scores de Jean-Marie seraient bien supérieurs...
Va-t-on reprocher à Cavada de maquiller ses invités avant une émission ? Quelle est la différence ?
J'ai longtemps bossé dans des entreprises soucieuses de voir leurs messages passer au mieux. Et chaque directeur, chef de produit, responsable en charge de "passer" dans les médias se faisait un peu affuter par des cabinets cavadiens ou similaires.
Quand l'enjeu était lourd ou que le métier de l'impétrant le méritait,, on se faisait facturer des "trainings" de plusieurs heures, généreusement prodigués par des Bilalian, Ockrent ou autres. Mais dans bien des cas, on avait une version "light" prodiguée quelques heures ou minutes avant les prises de vue pour l'équipe même de tournage.
J'ai du mal à imaginer qu'on laisse, sous des lumières savament réglées, avec tout le matériel et le savoir-faires mis en jeu, devant une vingtaine de techniciens et des millions de (télé)spectateurs, un pauvre gaillard sans l'avoir préalablement préparé. En lui faisant changer de chemise pour éviter les moirages, en lui étalant une couche de fond de teint qu'on jugerait obsène hors écran.
Et en le faisant bosser un minimum ses attitudes, sa voix, etc.
Si on ne laissait passer à l'écran que les tribuns naturels, les scores de Jean-Marie seraient bien supérieurs...