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Trump, et le taureau de Wall Street
À la page 26 du Monde daté des dimanche-lundi 26-27 novembre, un article intitulé Vingt leçons pour résister au monde de Trump orné d'un dessin de Serguei :
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Derniers commentaires
Trump vient de déclarer que Nigel Farage (patron du Ukip grand-breton) ferait un excellent ambassadeur du Royaume Uni, mais à part ça, non, Trump n'est pas d'extrême-droite. Et Farage non plus. Du moins si l'on en croit certains par ici.
Voir par là.
Voir par là.
Je m'y perds un peu sur ce truc d'extrème droite.
Trump a peu ou prou le programme sur l'immigration de W Bush. Je veux bien qu'on appelle ça d'extrème droite, mais pourquoi ne le disait on alors pas pour W aussi ?
Trump a des positions économiques critiquées comme "pas vraiment de droite" par ses concurrents républicains, qui ont toujours soupçonné cet ancien démocrate (eh oui) de ne pas être un républicain sincère. Si des types de son parti de droite ne le trouvent pas assez de droite et qu'il est d'extrème droite, doivent ils être qualifiés d'ultra droite ? Dans ce cas ou met on l'ultra droite actuelle (qui qu'elle soit: libertariens, KKK ?).
Trump a à répétition apporté son soutien aux combats LGBT. S'il est d'extrème droite là dessus, comment qualifier l'intégralité des républicains qui sur ce point étaient tous à sa droite ?
Trump cible les très grosses entreprises qui délocalisent, les lobbyistes y compris de Wall Street qui a apporté tout son soutien à sa concurrente. Bref il a le même genre d'ennemis qu'un François Ruffin qu'ici on qualifierait d'extrème gauche. Ce paradoxe illustre-t-il un axe rouge brun ou plutôt le fait qu'à chaque fois qu'on essaye de réduire des politiques, surtout pas vraiment des hommes de leurs partis, à un axe mono dimensionnel on est condamné à louper l'essentiel du tableau ?
Trump a peu ou prou le programme sur l'immigration de W Bush. Je veux bien qu'on appelle ça d'extrème droite, mais pourquoi ne le disait on alors pas pour W aussi ?
Trump a des positions économiques critiquées comme "pas vraiment de droite" par ses concurrents républicains, qui ont toujours soupçonné cet ancien démocrate (eh oui) de ne pas être un républicain sincère. Si des types de son parti de droite ne le trouvent pas assez de droite et qu'il est d'extrème droite, doivent ils être qualifiés d'ultra droite ? Dans ce cas ou met on l'ultra droite actuelle (qui qu'elle soit: libertariens, KKK ?).
Trump a à répétition apporté son soutien aux combats LGBT. S'il est d'extrème droite là dessus, comment qualifier l'intégralité des républicains qui sur ce point étaient tous à sa droite ?
Trump cible les très grosses entreprises qui délocalisent, les lobbyistes y compris de Wall Street qui a apporté tout son soutien à sa concurrente. Bref il a le même genre d'ennemis qu'un François Ruffin qu'ici on qualifierait d'extrème gauche. Ce paradoxe illustre-t-il un axe rouge brun ou plutôt le fait qu'à chaque fois qu'on essaye de réduire des politiques, surtout pas vraiment des hommes de leurs partis, à un axe mono dimensionnel on est condamné à louper l'essentiel du tableau ?
"To be bullish" dans le langage de wall street ça veut dire aussi parier sur la hausse d'un marché. "Bearish" c'est parier sur la baisse mais bizarrement pas de statue d'ours à wall-street (et pourtant ils se gavent autant quand ça s'écroule)...
Du coup j'arrête ma participation à la campagne "Dites non à la corrida" et à celle de la protection des loups aux USA au cas où il y aurait méprise sur l'espèce.
Avec les loups entrent Wall street de nouveau dans la bergerie, imbéciles électeurs de Trump vous avez gagné.
Avec les loups entrent Wall street de nouveau dans la bergerie, imbéciles électeurs de Trump vous avez gagné.
Ne pas oublier l'émasculation du dit taureau de Wall Street dans la saison 2 de Mr Robot…
Dites ! Quand Trump dit qu'en Amérique il y a un tas d'enflures en tout genre allant des Clinton au plus grands pontes de la caste médiatique qu'il faudra finir par foutre en prison ! C'est le style outrancier qui vous choque ou bien le fait qu'il risque de pas trop respecter ses promesses de campagne (de foutre Clinton en prison) ?
Apparement comme on n'a pas attendu l'intronisation de Obama pour s'astiquer sur son election en 2008, on est pas plus mesuré et patient avec la décharge actuel de haine a l'encontre de Trump.
Apparement comme on n'a pas attendu l'intronisation de Obama pour s'astiquer sur son election en 2008, on est pas plus mesuré et patient avec la décharge actuel de haine a l'encontre de Trump.
Malheureusement, ce n'est pas lui qui va porter les cornes ...