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Trump, Macron : explosif, mais non vérifié
Figurez-vous qu'il y aurait un sondage secret sur Macron.
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http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/primaires-gauche/2017/01/08/35005-20170108ARTFIG00197-primaire-a-gauche-manuel-valls-donne-perdant-face-a-arnaud-montebourg.php
Ce sondage "donne" Montebourg devant Valls au 2d tour de la primaire à 53%/47%.
Le hic, c'est que l'intervalle de confiance à 95% est d'environ +/- 5 pts.
Donc la seule "info" du sondage, c'est que la répartition probable à 95% est comprise entre 58% en faveur de Montebourg et 52% en faveur de Valls: autrement dit on ne sait pas qui est "gagnant"!
Et pourtant, ça n'empêche pas les mongols de la presse de titrer: "Sondage primaires: Montebourg devant Valls au 2d tour"!
http://www.20minutes.fr/politique/1991879-20170108-primaire-socialiste-montebourg-emporterait-face-valls-second-tour-selon-sondage
http://www.lejdd.fr/Politique/SONDAGE-Primaire-de-la-gauche-Montebourg-devant-Valls-au-second-tour-838636
http://www.charentelibre.fr/2017/01/09/sondage-valls-en-tete-du-premier-tour-de-la-primaire-a-gauche,3077957.php
http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/primaires-gauche/2017/01/08/35005-20170108ARTFIG00197-primaire-a-gauche-manuel-valls-donne-perdant-face-a-arnaud-montebourg.php
Ce sondage "donne" Montebourg devant Valls au 2d tour de la primaire à 53%/47%.
Le hic, c'est que l'intervalle de confiance à 95% est d'environ +/- 5 pts.
Donc la seule "info" du sondage, c'est que la répartition probable à 95% est comprise entre 58% en faveur de Montebourg et 52% en faveur de Valls: autrement dit on ne sait pas qui est "gagnant"!
Et pourtant, ça n'empêche pas les mongols de la presse de titrer: "Sondage primaires: Montebourg devant Valls au 2d tour"!
http://www.20minutes.fr/politique/1991879-20170108-primaire-socialiste-montebourg-emporterait-face-valls-second-tour-selon-sondage
http://www.lejdd.fr/Politique/SONDAGE-Primaire-de-la-gauche-Montebourg-devant-Valls-au-second-tour-838636
http://www.charentelibre.fr/2017/01/09/sondage-valls-en-tete-du-premier-tour-de-la-primaire-a-gauche,3077957.php
@ D.S. et à d'autres : quand on parle de l'IFOP, il faut toujours rappeler que Laurence Parisot (ex-patronne des patrons) en a été directrice jusqu'en 2007 et en demeure vice-présidente et actionnaire majoritaire depuis cette date.
C'est quand même drôle de voir que les petits rigolos de 4chan ont encore réussi à piéger CNN, the Guardian, le Monde, etc. :-)
Tiens, aucun candidat ne propose de loi pour réformer la publication de sondages dans la presse .....pourquoi ? c'est pourtant une nécessité visiblement ....
C'est à se demander si la volonté de faire de l'audience ne primerait pas sur la volonté saine d'informer.
Comme PGEE et Pazu, je fais le constat que notre mode de scrutin uninominal à deux tours est intrinsèquement vicié dans sa logique et ses mécanismes: paradoxe de Condorcet, paradoxe d'Arrow, vote utile, vote stratégique, petits candidats... A tel point que nos modalités électorales actuelles définissent l'agenda politique, les programmes des candidats, et transforme le discours du journaliste politique en commentaire sportif: la fameuse "course à l'Elysée".
Car il s'agit malheureusement bel et bien de cela: le scrutin uninominal à deux tours transforme une élection démocratique en une compétition dont les objectifs et les moyens ne sont plus des idées et des discours, mais des tactiques de qualification.
- Est-ce que l'on peut encore parler de démocratie lorsque le candidat élu à l'issu du second tour est majoritairement rejeté par le peuple (paradoxe de Condorcet) ?
- Est-ce que l'on peut encore parler de démocratie quand en gagnant des voix dans l'opinion un candidat perd l'élection, alors qu'il aurait été élu s'il avait été moins populaire au premier tour (paradoxe d'Arrow et vote stratégique) ?
- Est-ce qu'un programme politique doit être constitué afin de se garantir l'adversaire de son choix ?
- Est-il normal qu'un peuple soit majoritairement de gauche, mais que le candidat élu soit de droite (petits candidats, vote utile) ?
Je ne porte généralement pas une très haute estime aux journalistes politiques car leur travail est trop souvent loin des exigences de leur mission; notamment en se focalisant plus sur la question de "qui est le bon cheval pour..." (battre Fillon, rassembler la gauche, accéder au deuxième tour, etc.), et moins sur les idées. Et quand ils se penchent sur les programmes, c'est pour essayer d'anticiper les mécaniques électorales: "combien de voix supplémentaires cette idée est-elle susceptible de remporter, et surtout à la défaveur de quel autre candidat ? Dès lors, cet autre candidat serait-il encore en position d'être qualifié pour la finale ?"
A la décharge des journalistes, si leurs commentaires et analyses sont si pauvres, c'est que malheureusement, c'est bien ainsi que la vie politique s'organise. Que l'on joue à ce jeu de tactique électorale, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, ou pas du tout, ces règles s'imposent de fait par le mode de scrutin uninominal à deux tours.
Si l'on veut changer la vie politique, et lui rendre ses lettres de noblesse; si l'on veut que la politique soit un discours philosophique, un vrai débat d'idées et un échange de points de vue; si l'on veut que la vie politique cesse d'être polluée par les accointances opportunistes, les ralliements impérieux, la dénonciation des petits candidats qui inévitablement prennent la responsabilité de fait, d'amener le Front National au second tour; si l'on veut que le résultat d'une élection traduisent au minimum les opinions du peuple, alors il est nécessaire de changer de mode de scrutin.
Encore une fois cette année, si l'on additionne les voix de tous les candidats de gauche, alors nous obtenons une majorité. Malheureusement cette élection garde en 2017 son mode de scrutin uninominal. Aussi, est-il d'une impérieuse nécessité que la gauche ne présente qu'un seul candidat. Peu importe lequel. La seule et unique condition non négociable de ralliement devrait être de changer le mode de scrutin et de passer au vote par jugement majoritaire.
Car il s'agit malheureusement bel et bien de cela: le scrutin uninominal à deux tours transforme une élection démocratique en une compétition dont les objectifs et les moyens ne sont plus des idées et des discours, mais des tactiques de qualification.
- Est-ce que l'on peut encore parler de démocratie lorsque le candidat élu à l'issu du second tour est majoritairement rejeté par le peuple (paradoxe de Condorcet) ?
- Est-ce que l'on peut encore parler de démocratie quand en gagnant des voix dans l'opinion un candidat perd l'élection, alors qu'il aurait été élu s'il avait été moins populaire au premier tour (paradoxe d'Arrow et vote stratégique) ?
- Est-ce qu'un programme politique doit être constitué afin de se garantir l'adversaire de son choix ?
- Est-il normal qu'un peuple soit majoritairement de gauche, mais que le candidat élu soit de droite (petits candidats, vote utile) ?
Je ne porte généralement pas une très haute estime aux journalistes politiques car leur travail est trop souvent loin des exigences de leur mission; notamment en se focalisant plus sur la question de "qui est le bon cheval pour..." (battre Fillon, rassembler la gauche, accéder au deuxième tour, etc.), et moins sur les idées. Et quand ils se penchent sur les programmes, c'est pour essayer d'anticiper les mécaniques électorales: "combien de voix supplémentaires cette idée est-elle susceptible de remporter, et surtout à la défaveur de quel autre candidat ? Dès lors, cet autre candidat serait-il encore en position d'être qualifié pour la finale ?"
A la décharge des journalistes, si leurs commentaires et analyses sont si pauvres, c'est que malheureusement, c'est bien ainsi que la vie politique s'organise. Que l'on joue à ce jeu de tactique électorale, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, ou pas du tout, ces règles s'imposent de fait par le mode de scrutin uninominal à deux tours.
Si l'on veut changer la vie politique, et lui rendre ses lettres de noblesse; si l'on veut que la politique soit un discours philosophique, un vrai débat d'idées et un échange de points de vue; si l'on veut que la vie politique cesse d'être polluée par les accointances opportunistes, les ralliements impérieux, la dénonciation des petits candidats qui inévitablement prennent la responsabilité de fait, d'amener le Front National au second tour; si l'on veut que le résultat d'une élection traduisent au minimum les opinions du peuple, alors il est nécessaire de changer de mode de scrutin.
Encore une fois cette année, si l'on additionne les voix de tous les candidats de gauche, alors nous obtenons une majorité. Malheureusement cette élection garde en 2017 son mode de scrutin uninominal. Aussi, est-il d'une impérieuse nécessité que la gauche ne présente qu'un seul candidat. Peu importe lequel. La seule et unique condition non négociable de ralliement devrait être de changer le mode de scrutin et de passer au vote par jugement majoritaire.
Ces sondages n'ont absolument rien de surprenant. Il est évident que si le candidat centriste d'une élection arrive au second tour, ses chances de l'emporter sont énormes.
Daniel Schneidermann choisit de s'en moquer parce que le candidat ne lui plaît pas (et on peut le comprendre, à la limite). Mais on pourrait s'interroger sur ce que cela révèle de notre mode d'élection.
Il est évident que Bayrou aurait eu un consensus plus important que Sarkozy ou Royal pris individuellement. Certes, beaucoup n'auraient pas été formidablement emballé, mais il aurait généré une détestation bien moindre que les deux autres. Et pourtant, il ne s'est jamais réellement approché du second tour, et n'a jamais vraiment été en passe d'être élu.
Or, à quoi sert l'élection présidentielle si ce n'est à choisir un homme de consensus ? Il existe des systèmes qui permettent de classer les candidats, qui permettent, a priori, de s'assurer que le candidat en question satisfait nettement l'ensemble de la société. Il est dommage qu'on n'en entende peu parler, surtout avec une expérience comme celle de 2002.
Daniel Schneidermann choisit de s'en moquer parce que le candidat ne lui plaît pas (et on peut le comprendre, à la limite). Mais on pourrait s'interroger sur ce que cela révèle de notre mode d'élection.
Il est évident que Bayrou aurait eu un consensus plus important que Sarkozy ou Royal pris individuellement. Certes, beaucoup n'auraient pas été formidablement emballé, mais il aurait généré une détestation bien moindre que les deux autres. Et pourtant, il ne s'est jamais réellement approché du second tour, et n'a jamais vraiment été en passe d'être élu.
Or, à quoi sert l'élection présidentielle si ce n'est à choisir un homme de consensus ? Il existe des systèmes qui permettent de classer les candidats, qui permettent, a priori, de s'assurer que le candidat en question satisfait nettement l'ensemble de la société. Il est dommage qu'on n'en entende peu parler, surtout avec une expérience comme celle de 2002.
Vent frais, vent du matin
Soulevant le sommet des grands pins
Joie du vent qui souffle
Allons dans le grand vent
Frais....
Tout ceci est ébouriffant,
Vite mon "brushing"
Manucure?
merci
Vent frais....
Tiens j'ai appris que Laurence Haïm était
Tiens j'ai appris que Charlie-Tarnac était
Ah oui, Macron!!!!
Soulevant le sommet des grands pins
Joie du vent qui souffle
Allons dans le grand vent
Frais....
Tout ceci est ébouriffant,
Vite mon "brushing"
Manucure?
merci
Vent frais....
Tiens j'ai appris que Laurence Haïm était
Tiens j'ai appris que Charlie-Tarnac était
Ah oui, Macron!!!!
Ces journalistes et ces instituts de sondage sont les militants d'une cause improbable qui est leur propre intérêt en tant que société commerciale et en tant que bénéficiaires du système économique.
Bref, ils font tout pour que le libéralisme perdure alors même qu'ils savent qu'il nous conduit à la catastrophe.
Encore une heure, encore une nuit (merci Shéhérazade et Pierre 38330), encore une petite part de bonheur et de jouissance avant la grande plongée des lemmings.
Bref, ils font tout pour que le libéralisme perdure alors même qu'ils savent qu'il nous conduit à la catastrophe.
Encore une heure, encore une nuit (merci Shéhérazade et Pierre 38330), encore une petite part de bonheur et de jouissance avant la grande plongée des lemmings.
Erreur d'aiguillage.
Les sondages : si nous faisions un sondage pour les vacances dans notre famille, nous finirions toujours par aller là où ma femme et moi-même voulons aller vu que les enfants ne maîtrisent pas la COM. C'est pourquoi nous ne faisons pas de sondage même pas secret. Nous allons où nous voulons aller après avoir néanmoins poser la question d'usage. Il faut dire que nous savons aussi la réponse d'usage qu'ils font et que nous planifions en fonction car contrairement aux élections mieux vaut avoir avec nous la majorité pour ne pas ruiner les vacances.
Quant aux frasques sexuelles de Trump : en quoi cela serait plus déroutant pour ceux qui l'ont élu que tout ce qu'ils savent déjà de lui et tout ce qu'ils voient encore comme ces twitts fous et l'attribution d'un poste à son gendre.
Décryptage matinal des radios : ce matin ça bavait partout de Macron à Berlin, et qu'il parlait dans la mère des universités la fameuse uni Humboldt de Berlin, et qu'il y avait l'envoyé spécial de toutes les chaînes de France et de Navarre à savoir Daniel Cohn Bendit, et que Macron a parlé devant... devant je vous le donne en mille et en cent (et ce n'est pas un sondage) devant huit cents personnes
Par contre rien l'autre jour sur le meeting de Mélenchon à Tourcoing devant 1500 personnes dont plus de 700 amassés dans le froid devant la salle pleine et qui l'ont écouté pendant plus de 20 mn
Quant aux frasques sexuelles de Trump : en quoi cela serait plus déroutant pour ceux qui l'ont élu que tout ce qu'ils savent déjà de lui et tout ce qu'ils voient encore comme ces twitts fous et l'attribution d'un poste à son gendre.
Décryptage matinal des radios : ce matin ça bavait partout de Macron à Berlin, et qu'il parlait dans la mère des universités la fameuse uni Humboldt de Berlin, et qu'il y avait l'envoyé spécial de toutes les chaînes de France et de Navarre à savoir Daniel Cohn Bendit, et que Macron a parlé devant... devant je vous le donne en mille et en cent (et ce n'est pas un sondage) devant huit cents personnes
Par contre rien l'autre jour sur le meeting de Mélenchon à Tourcoing devant 1500 personnes dont plus de 700 amassés dans le froid devant la salle pleine et qui l'ont écouté pendant plus de 20 mn
Comme PGEE, je trouve qu'un tel sondage est justement intéressant en ce qu'il valide (ou en tout cas interroge) l'absurdité de notre système électoral. Les candidats sélectionnés au second tour n'ont que très rarement l'assentiment d'une majorité d'électeurs, et on se retrouve systématiquement avec un président qui ne représente réellement qu'une forte minorité du champ électoral (et encore sans parler des abstentions).
Ce genre de sondage aura au moins pour vertu de rééquilibrer le jeu en faveur de candidats dont on n'imagine pas forcément qu'ils passent le premier tour. Cependant il y a évidemment un biais idéologique à tester Macron plutôt qu'un autre.
Si on voulait vraiment faire des sondages informatifs, il faudrait tester TOUTES les hypothèses de second tour. Ce n'est pas compliqué à réaliser, il suffit de demander aux sondés de classer tous les candidats dans leur ordre de préférence, ce qui permet de connaître par avance leur vote de second tour quels que soit les candidats. On peut même inclure tous les candidats de gauche ou de droite dans un tel classement.
Ce genre de sondage aura au moins pour vertu de rééquilibrer le jeu en faveur de candidats dont on n'imagine pas forcément qu'ils passent le premier tour. Cependant il y a évidemment un biais idéologique à tester Macron plutôt qu'un autre.
Si on voulait vraiment faire des sondages informatifs, il faudrait tester TOUTES les hypothèses de second tour. Ce n'est pas compliqué à réaliser, il suffit de demander aux sondés de classer tous les candidats dans leur ordre de préférence, ce qui permet de connaître par avance leur vote de second tour quels que soit les candidats. On peut même inclure tous les candidats de gauche ou de droite dans un tel classement.
C'est rigolo, autour de moi tout le monde (ou presque) répète a l'unisson "il y a une dynamique autour de Macron", et quand vient la question du vote : "ah non mais moi ce ne sera pas pour lui". Je ne sais trop qu'en penser.
Je reste sur mon idée qu'il va se prendre un bon gros râteau. Sa "tronche de premier de la classe" comme me le faisait remarquer un pote hier soir, ça va vraiment coincer chez plein de gens.
Je reste sur mon idée qu'il va se prendre un bon gros râteau. Sa "tronche de premier de la classe" comme me le faisait remarquer un pote hier soir, ça va vraiment coincer chez plein de gens.
Juste un petit lien pour rappeler que le fait qu'un sondage exprimant une préférence au second tour
qui se trouve non validée par l'élection tient bien plus à la logique du système électoral uninominal
à 2 tours lui-même (paradoxe de Condorcet etc...) qu'au caractère "bidon" dudit sondage.
https://www.youtube.com/watch?v=ZoGH7d51bvc
qui se trouve non validée par l'élection tient bien plus à la logique du système électoral uninominal
à 2 tours lui-même (paradoxe de Condorcet etc...) qu'au caractère "bidon" dudit sondage.
https://www.youtube.com/watch?v=ZoGH7d51bvc
[quote=Daniel Schneidermann]Figurez-vous qu'il y aurait un sondage secret
L'intérêt de votre 9:15 ce matin m'apparaît surtout indirect: celui de soulever la question de l'existence de sondages secrets pouvant expliquer certains inattendus succès: je pense notamment à celui de Fillon lors de la primaire de la droite. Comment ne pas être étonné de sa confiance proclamée dès avant le premier tour: en un moment où les sondages rendus publics ne le laissaient guère conjecturer? Y aurait-il sondages et sondages: les uns pour la galerie, et les autres pour les initiés?
L'intérêt de votre 9:15 ce matin m'apparaît surtout indirect: celui de soulever la question de l'existence de sondages secrets pouvant expliquer certains inattendus succès: je pense notamment à celui de Fillon lors de la primaire de la droite. Comment ne pas être étonné de sa confiance proclamée dès avant le premier tour: en un moment où les sondages rendus publics ne le laissaient guère conjecturer? Y aurait-il sondages et sondages: les uns pour la galerie, et les autres pour les initiés?
Dix ans plus tard, l'IFOP sévit toujours. L'IFOP, dealer en fake sondages, depuis au moins dix ans. Tant qu'il y a des clients pour acheter.
L'IFOP et tous autres instituts de çondage sont à prendre pour ce qu'ils sont. Des Shéhérazade chargés de gagner encore une nuit.
L'IFOP et tous autres instituts de çondage sont à prendre pour ce qu'ils sont. Des Shéhérazade chargés de gagner encore une nuit.
Qui a dit "post-vérité"?
Du coup,ça te file l'espoir 5 minutes et puis s'en va... Evidemment je veux parler des machins sur Trump, parce que s'il s'agit de Macron, tu restes froid :c'est si peu crédible que le petit monsieur se retrouve au deuxième tour de la présidentielle. Et d'ailleurs, qui alors pour battre Fillon ou Le Pen ?
N’empêche, pour l’heure, Macron, avec Mélenchon et Le Pen, sont ceux qui déplacent le plus les foules (et cela spontanément) dans les meetings et qui font audience dans les TV.
Après, que lémédias en pincent pour ce jeune homme, rien d’anormal, dans le sens que d’une part, il a tout un aréopage de gens fortunés et proches de ceux-ci avec lui, et que d’autre part, son discours colle à ce que ces mêmes lémédias serinent au quotidien depuis un temps, que les moins de vingt ans, etc... Ceci expliquant cela.
Après, que lémédias en pincent pour ce jeune homme, rien d’anormal, dans le sens que d’une part, il a tout un aréopage de gens fortunés et proches de ceux-ci avec lui, et que d’autre part, son discours colle à ce que ces mêmes lémédias serinent au quotidien depuis un temps, que les moins de vingt ans, etc... Ceci expliquant cela.