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Un conflit d'intérêt à Reuters éclabousse Le Monde
Neil Collins, journaliste économique de l'agence Reuters a dû démissionner : il était (comme deux autres journalistes de Reuters) actionnaire de certaines sociétés dont il couvrait l'actualité, notamment BP et Marks & Spencer, tout en achetant et revendant leurs actions sur le marché boursier.
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Derniers commentaires
En tous cas, on remarque une chose. Ailleurs qu'en France, quand un conflit d'intérêt est avéré, ça démissionne...
Reuters n'est pas (ou plus) une agence de presse. Elle est un cabinet d'affairistes qui s'adresse à des affairistes. Comment s'étonner qu'il y ait des conflits d'intérêts dans son activité entre ses "journalistes" qui ne sont que des passe-plats pour la City, et les financiers qu'ils fréquentent à longueur de temps vu qu'ils sont du même milieu ?
Que des journaux continuent à ouvrir leurs colonnes à ce qui est ouvertement de la propagande néo libérale illustre surtout leur complaisance avec le "mainstream".
L'existence même de Reuters est un gigantesque conflit d'intérêts.
Que des journaux continuent à ouvrir leurs colonnes à ce qui est ouvertement de la propagande néo libérale illustre surtout leur complaisance avec le "mainstream".
L'existence même de Reuters est un gigantesque conflit d'intérêts.
"...rejoindre Marc Bolan au Pantheon. "
Entre les deux, pour moi, il n'y a pas photo. Il se prend pour qui ce Marc Bolland ?
Entre les deux, pour moi, il n'y a pas photo. Il se prend pour qui ce Marc Bolland ?
J'ai lu par curiosité - il y a quelques temps déjà - ces fameux articles "breakingviews" - ce nom, déjà, quelle horreur.... De la pure propagande néolibérale. On se félicite de chaque réduction de déficit, peu importe le coût social.
Personnellement, je souhaite la disparition des entreprises de presse, médias, qui font paraître ces insanités.
Personnellement, je souhaite la disparition des entreprises de presse, médias, qui font paraître ces insanités.