Un journaliste, une idée fixe #7 : Jean-Michel Dumay et la "Josacine empoisonnée"
En 1997, Jean-Marc Deperrois a été condamné à vingt ans de réclusion criminelle pour l'empoisonnement avec préméditation de la petite Émilie Tanay, 9 ans. Après avoir suivi le procès pour Le Monde, Jean-Michel Dumay décide de contre-enquêter, persuadé qu'il y a trop de zones d'ombre. Il en fera un livre et tissera une grande amitié avec le condamné, qui cherche toujours à faire réviser son procès. Septième épisode de notre série d'été sur ces journalistes obsessionnels qui font bouger les lignes.
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Commentaires préférés des abonnés
Merci pour ce retour sur une affaire qui m'avait fasciné à l'époque . Tout comme celles de Richard Roman, Patrick Dills ou Omar Radhad, je me souviens avoir été choqué par la présomption de culpabilité des accusés et révolté pa
Si les juges devaient faire leur boulot , il faudrait 3 , 4 fois plus de juges , en plus qu'ils soient bon , qu'ils n'aient pas la possibilité de grimper dans la hiérarchie etc etc Que les avocats fassent leur boulot , et puissent enquêter .Bah un pe(...)
Derniers commentaires
Obsessionnel et habité par son métier. On avait pas vu ça depuis Jean-Pierre Pernault.
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Si les juges devaient faire leur boulot , il faudrait 3 , 4 fois plus de juges , en plus qu'ils soient bon , qu'ils n'aient pas la possibilité de grimper dans la hiérarchie etc etc Que les avocats fassent leur boulot , et puissent enquêter .Bah un peu comme lui ils travaillaient pour un bourgeois qui passe au tribunal , mais c'est pas possible hein ?
Merci pour ce retour sur une affaire qui m'avait fasciné à l'époque . Tout comme celles de Richard Roman, Patrick Dills ou Omar Radhad, je me souviens avoir été choqué par la présomption de culpabilité des accusés et révolté pa