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Vrais-faux barbelés de Rennes II: regrets du Monde
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Ce 27 février, le Monde publie un article sur les élections dans les universités, en vertu de la loi LRU, avec des développements sur le médiatique et bien en cour président Jean-Robert Pitte. L'article est très tendancieux et mérite quelques correctifs :
Le 19 février, Pitte a été désavoué par 63 % de ses collègues, professeurs et maîtres de conférence.
En vertu d'un mode de scrutin inique et absurde (qui était censé assurer la "gouvernance" d'université où les conseils d'administration étaient rarement bloqués, et ne l'ont JAMAIS été à Paris 4 Sorbonne),
professeurs : avec 4 voix d'avance (obtenue dans des conditions discutables), la liste Pitte obtient 6 des 7 sièges du conseil d'administration (49 % contre 51 %)
maître de conférences : 200 voix d'avance, la liste "Avenir de la Sorbonne" obtient 6 des 7 sièges du CA (72 % contre 28 %).
Et Le Monde d'indiquer que "JR Pitte n'est pas assuré de retrouver son siège". En ayant reçu un tiers des voix ?
Et de citer Pitte qui se plaint d'affronter "l'alliance des conservatismes". Demandez aux 63 % des enseignants-chercheurs de PAris 4, plutôt légitimistes, pourquoi ils ont infliger un camouflet pareil à leur futur ex président. Peut-être parce qu'ils en ont assez d'être pris pour des imbéciles par plus bêtes et incompétents qu'eux.
Moralité : avec 1/3 des voix, JR Pitte obtient la parité de siège au CA chez les enseignants-chercheurs : 7 sièges pour JR Pitte et 7 pour "Avenir de la Sorbonne", dirigée par Georges Molinié et Dominique Barjot. Quelle légitimité pourrait avoir JR Pitte si par un miracle ou un surcroît de corruption il arrivait à se faire élire par le CA ? Quelle gouvernabilité dans ces conditions ?
Bref, une loi bâclée. Les cerveaux du ministère n'ont même pas été capables de faire une simulation des effets de leur loi électorale ! ils ont installé l'instabilité là où régnait la stabillité.
et des journalistes (du Monde) profondément serviles.
Le 19 février, Pitte a été désavoué par 63 % de ses collègues, professeurs et maîtres de conférence.
En vertu d'un mode de scrutin inique et absurde (qui était censé assurer la "gouvernance" d'université où les conseils d'administration étaient rarement bloqués, et ne l'ont JAMAIS été à Paris 4 Sorbonne),
professeurs : avec 4 voix d'avance (obtenue dans des conditions discutables), la liste Pitte obtient 6 des 7 sièges du conseil d'administration (49 % contre 51 %)
maître de conférences : 200 voix d'avance, la liste "Avenir de la Sorbonne" obtient 6 des 7 sièges du CA (72 % contre 28 %).
Et Le Monde d'indiquer que "JR Pitte n'est pas assuré de retrouver son siège". En ayant reçu un tiers des voix ?
Et de citer Pitte qui se plaint d'affronter "l'alliance des conservatismes". Demandez aux 63 % des enseignants-chercheurs de PAris 4, plutôt légitimistes, pourquoi ils ont infliger un camouflet pareil à leur futur ex président. Peut-être parce qu'ils en ont assez d'être pris pour des imbéciles par plus bêtes et incompétents qu'eux.
Moralité : avec 1/3 des voix, JR Pitte obtient la parité de siège au CA chez les enseignants-chercheurs : 7 sièges pour JR Pitte et 7 pour "Avenir de la Sorbonne", dirigée par Georges Molinié et Dominique Barjot. Quelle légitimité pourrait avoir JR Pitte si par un miracle ou un surcroît de corruption il arrivait à se faire élire par le CA ? Quelle gouvernabilité dans ces conditions ?
Bref, une loi bâclée. Les cerveaux du ministère n'ont même pas été capables de faire une simulation des effets de leur loi électorale ! ils ont installé l'instabilité là où régnait la stabillité.
et des journalistes (du Monde) profondément serviles.