Vaste question, à laquelle nos invités apportent des réponses contrastées, dont ressort ce constat : il n'y a pas "un" porno en ligne, mais tout un éventail de productions, marchandes ou gratuites, stéréotypées ou innovatrices, sexistes ou "éthiques". Si la drague géolocalisée "à la Grinder" conduit aujourd'hui à une "autopornification", il est a contrario plus facile qu'avant Internet d'accéder à du porno transexuel, ou lesbien. Certes, la fellation est pratiquée plus jeune, le "répertoire sexuel" s'est élargi, mais l'âge moyen du premier rapport "pénétratif" n'a guère changé depuis...
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