Nos deux invitées journalistes indépendantes tentent "
de
faire
partir depuis quatre jours ceux qui sont sur les listes de l'ambassade, qui vivent [à
l'aéroport]
dans des conditions inhumaines(..) entre
les
coups
de
crosse ; les marines qui déchirent leurs papiers (...)"
Certains ont vu les gendarmes du Raid passer devant eux sans être sélectionnés : "
C'est
un hasard
qui
est d'une
cruauté
sans nom"
, explique Solène Chalvon Fioriti. Parmi les 20 bus remplis d'Afghans ayant travaillé avec la France, l'un rassemble les journalistes les plus menacés du pays. "
Ils
ont attendu des heures dans le bus fous de joie, pour ...
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