Au matin du samedi 8 juin, le Point publie une enquête, signée Olivier Ubertalli, le journaliste "médias" de la rédaction, titrée "Les rédactions du Monde et de Libération déchirées par la guerre Israël-Hamas". Quelques dizaines de minutes plus tard est ajoutée la signature de la rédactrice en chef adjointe du titre Géraldine Woessner. Et l'article est alors dépublié... pour être republié quelques heures après dans une seconde version modifiée – sans que le Point n'explique ce qui s'est passé, ou ce qui a changé. "Le conflit israélo-palestinien révèle des fractures idéologiques et générationnelles au sein des deux quotidiens français", annonce l'hebdomadaire.