Guadeloupe : la bataille des 200 euros continue
Le LKP met en ligne des documents qui contredisent Jego
Deux cents euros pour les bas salaires. C'est autour de ce chiffre symbolique que s'est cristallisée la crise guadeloupéenne. Le 8 février dernier, le secrétaire d'Etat à l'Outre-mer Yves Jégo était tombé d'accord avec le LKP, collectif à l'origine du mouvement, et le patronat (comme le raconte notamment Le Monde).
Et selon le LKP, les termes de cet accord étaient clairs : en échange d'une exonération de charges sociales sur les bas salaires allant de 1 à 1,4 smics, le patronat s'engageait de son côté à augmenter ces salaires de 200 euros, le tout avec l'assentiment bienveillant du gouvernement.
Mais après la fuite du minis...
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