Avant que l'Iran n'envoie des drones et des missiles sur Israël, nombre de spécialistes pointaient que le pays pouvait difficilement ne pas répondre au bombardement de son consulat en Syrie, compte tenu de la gravité d'un tel événement sur le plan du droit international. "Les risques d'un débordement du conflit ont en effet redoublé depuis cette offensive attribuée à l'armée israélienne qui a détruit le 1er avril le consulat iranien à Damas, faisant 16 morts, selon une ONG, parmi lesquels sept membres des Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de l'Iran", analysait l'AFP. "Ne pas répondre, c'est perdre sa dissuasion et encourager de nouvelles éliminations ciblées de hauts-gradés, résumait le grand reporter du Point Armin Arefi, sur ...