Libé : zones d'ombres sur "l'indépendance Drahi"
Mars 2020. La Société des journalistes et du personnel de Libération (SJPL), qui représente 172 cartes de presse pour 200 salariés, pense avoir enfin emporté un combat de longue date. Mené notamment depuis l’organisation d’un funeste forum au Gabon, il vise à acquérir un droit de regard au sein des organes d’administration ainsi que sur les revenus du journal, via l’acquisition d’une part sociale, et un contrôle approfondi des opérations commerciales conclues par la direction, y compris au niveau des différentes sociétés de son actionnaire, Altice France, le conglomérat télécoms du milliardaire Patrick Drahi. Après une nouvelle menace de grève, faute d’avoir obtenu une signature pourtant promise en octobre 2019, le document établissant ces...
Il vous reste 94% de cet article à lire
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous