Royaume-Uni : "île bananière" et autres salades médiatiques
Liz Truss n'aura occupé Downing Street, le siège du pouvoir exécutif britannique, que le temps d'enterrer la Reine Elizabeth II, d'annoncer un budget catastrophique, et de démissionner. Son parti conservateur, les Tories, touche le fond dans les sondages et continuent de creuser. Après que Boris Johnson, empêtré dans trop de scandales pour les compter, a jeté l'éponge en juillet, c'est donc la deuxième fois cette année que le Royaume-Uni se cherche un‧e premièr‧e ministre. La nomination de Liz Truss cet été a pris plus de temps (60 jours) qu'elle n'en a effectivement passé au pouvoir (44 jours). Son histoire, qui tient davantage de l'anecdote, est promise à un grand avenir de questions-pièges au Trivial Pursuit
. Les blagues s'écrivent ...
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