Éric Zemmour déteste le féminisme et ne perd pas une occasion d'associer "dévirilisation" et décadence ; mais il ne cherche pas à démolir les grandes figures féministes. Même celles qui sont entrées dans le roman national, comme Olympe de Gouges, ou George Sand. Deux exceptions toutefois : Benoîte Groult, et Simone de Beauvoir. En qui il voit des écervelées, soumises à l'homme, et avant tout empressées de se jeter dans les bras des soldats allemands en 1940. Il est vrai que sa lecture de Beauvoir a été très indirecte.
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