DSK, fallait-il dire ou taire ?
Sur un bord de l'Atlantique (le nôtre), les tolérants journalistes français, pour qui "obsédé sexuel" se traduit pudiquement par "doué pour le bonheur", ou dans le meilleur des cas, par "grand séducteur". En amuse-gueule, je vous recommande chaudement ce petit bijou d'article du JDD, commis par notre ami Askolovitch.
Sur l'autre bord, les puritains Américains du Wall Street Journal, qui accordent à l'affaire deux colonnes à la Une, avant même que tout favoritisme de DSK envers ses favorites (oui, "ses",car à lire attentivement l'article du Wall Street, on réalise qu'il y a deux dames, même si lémédias français...
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