Vert, noir, jaune.
La France aura donc, ce week-end, donné au monde ébahi l'image (sans doute unique) d'un pays où les manifestations non-violentes pour le climat doivent tourner court, violemment réprimées par la police à coups de lacrymos.
A qui la faute ? Aux black blocs, qui ont pris la tête du défilé, formant pour la première fois, avec quelques centaines de Gilets jaunes, un "cortège de tête", ont seriné les télés. A la police et au gouvernement, a estimé pour sa part la presse de gauche, en minimisant dans ses reportages le rôle de ce cortège de tête (voir ici notre article).
L'ensauvagement...
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