"Arrêt sur images" recrute un·e chargé·e de marketing et communication
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Commentaires préférés des abonnés
Avez-vous pensé à consulter le cabinet Mc Kinsey ?
C'est pour cela qu'il leur faut un.e chargé.e de com !
Silencieuse abonnée, le message de Tosh me fait sortir du bosquet. Et je plussoie, comme on disait à l'époque des chroniques introductives d'Alain Remond et des forums bleu nuit de France5... Bien sûr il y a les Sherlock, tous les 15 jours mais tout (...)
Derniers commentaires
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
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à ASI: plus que des commentaires pas sympa, vous devriez vous inquiéter de vos nouveaux amis, ceux qui considèrent que vous évoluez, en effet, mais que c'est dans le "bon" sens. Au point de ne même pas broncher sur l'horrible point féministe.
Excellente et terrible remarque.
Le marketing, ça aide à pencher du côté où l'on va tomber.
Pour pasticher un peu : "Garez_moi de mes (nouveaux) amis, mes ennemis, je m'en charge".
Gardez-moi et pas Garez_moi...
En même temps et pour être juste, le laudateur en question a beaucoup policé son langage, et maintenant se préoccupe très fort de la santé et du bien être des migrants
Pourvu qu'ils restent chez eux, de gré ou de force, ne viennent pas polluer nos plages de leurs cadavres, on est tellement mieux au fond de la Méditerranée.
Son pti coup de brosse à reluire s'inscrit dans ce contexte de "dédiabolisation".
J’abuse si je réclame le retour de Proxy sur ce non-article ?
:)
J'en connais un qui a eu les plus grands moyens pour faire une campagne marketing colossale pour promotionner son chef d'œuvre. Résultat : le film de BHL "Gloire à l'Ukraine"" a fait un bide magistral avec 208 entrées lors de sa première journée d'exploitation (en comptant la séance en présence de BHL dans un cinéma proche de son QG, entre Le Flore et les 2 Magots).
Comme quoi, c'est le produit qui compte. Ça sert à rien de dépenser des sous inutilement.
J'ai encore payé un euro pour ça.
Il se confirme qu'arrêt sur images s'enfonce chaque jour dans la fange du marketing, des community manager, du return on investment, et que sais-je encore.
J'écris nous mais c'est un abus de langage. J'ai lâché l'affaire lors de la "refonte" du site je ne sais même plus quand.
Avant la "refonte", Il y avait là une "communauté" (mot horrible) de gens, et je pense à Gemp et à tant d'autres, qui y croyaient, qui passaient du temps qui donnaient de l'intelligence à ce site.
Petit à petit, les adhérents devenus abonnés se retrouvent avec le statut d'invités (vous avez une carte ?) et bientôt de clients.
Le pire, c'est que c'est tellement banal.
Le pire, c'est que je m'y attendais.
Le pire c'est que sonne la fin de ce que fut Arrêt sur images.
Écoutez, fort de mon BTS communication obtenu il y a de cela 20ans, et malgré le fait que je n'ai jamais exercé dans ce domaine, je me permets de vous demander d'arrêter de publier des annonces pour tenter de me hameçonner svp.
Je sais combien mon non-profil est excitant pour un jeune journal comme le vôtre, mais je le dis et le répète, je ne suis pas salarié facile!
Je retiens toutefois vos coordonnées et me permettrais de vous recontacter d'ici une quinzaine si, finalement, cette offre venait à m'intéresser. Si vous n'avez pas de nouvelles d'ici là, considérez qu'il s'agit d'un refus.
En vous souhaitant une bonne continuation dans votre recherche par défaut
;-)
Un contrat à durée déterminée d'un an susceptible de se poursuivre en CDI pour pourvoir à un nouveau poste... ça ressemblerait presque à un recyclage de feu le CNE... Ça ne nous rajeunit pas tout ça.
Il faut aussi savoir faire revenir l'être aimé ?
bon courage à ASI et j'espère que ce média pourra se pérenniser encore. le site internet date de 2007 je crois et c'est déjà une belle performance. tout va vite sur internet, les modes changent rapidement.
"Marketing", "benchmarking" chez ASI : comme un malaise... C'est peut-être aussi ça, le nouveau monde...
Que seul·es les abonné·es puissent consulter l'intégralité de la page/annonce n'est-il pas contreproductif ?
Avez-vous pensé à consulter le cabinet Mc Kinsey ?
Bientôt vous nous appellerez clients au lieu d'abonnés.