Au tribunal, les deux camps de la guerre au "Canard enchaîné"
Le procès des anciens dirigeants du "Canard enchaîné", Michel Gaillard et Nicolas Brimo, pour "abus de biens sociaux" et "faux et usage de faux" et du couple Escaro, au cœur du soupçon d'emploi fictif dans l'affaire éponyme, devait s'ouvrir mardi 8 octobre. Il a été renvoyé à juillet 2025 au terme d'une audience à l'ambiance de guerre fratricide, illustrant la "schizophrénie" qui règne au journal.
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Emploi fictif ou non, le canard est devenu un journal bas de gamme, avec très peu d'enquêtes mais une floppée de "bruits de couloir" digne de gala. J'en ai encore lu un dernièrement, on se fait chier à la lecture tellement y'a pas grand chose d'intér(...)
Le canard se déchaîne et ils se canardent.
Je partage la déception que provoque la lecture du canard. Il devient quelconque. Il a perdu sa géniale insolence et semble plus suivre le courant dominant SDMPG (soc-dem-mou-planplan-et-gnangnan) que de s'en(...)
Derniers commentaires
Cette imitation du Canard qui n'en finit plus, du chant du cygne, est bluffante.
Mais ses vieux jours ne sont pas en danger.
Tout comme la société en général, il s'est droitisé à l'instar de ceux et celles qui le défendent becs et palmes, et sait exactement qui défendre afin de bien être défendu lui-même.
Il est comme les partis politiques.
Il a une aile gauche, une aile droite, cette dernière domine à mon sens depuis peu ou prou dix années, et je pense qu'il finira par payer cette trahison à l'esprit du journal des origines et qui a sévit au siècle dernier.
Le vol était presque parfait.
J'approuve les deux premiers messages. Je m'en fais de plus en plus souvent la réflexion, ils sont vraiment devenus ringard sur les sujet sociétaux... Ils peuvent les critiquer, mais là on a souvent envie de répondre OK boomer.
Le canard se déchaîne et ils se canardent.
Je partage la déception que provoque la lecture du canard. Il devient quelconque. Il a perdu sa géniale insolence et semble plus suivre le courant dominant SDMPG (soc-dem-mou-planplan-et-gnangnan) que de s'en démarquer.
Emploi fictif ou non, le canard est devenu un journal bas de gamme, avec très peu d'enquêtes mais une floppée de "bruits de couloir" digne de gala. J'en ai encore lu un dernièrement, on se fait chier à la lecture tellement y'a pas grand chose d'intéressant à l'intérieur si ce n'est des "rumeurs" et un humour au ras des paquerettes. Un journal qui a mal vieilli mais assis sur une mine d'or qu'il ne veut pas partager pour soutenir les journaux indé qui en ont bien besoin.