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Au tribunal, les deux camps de la guerre au "Canard enchaîné"

Le procès des anciens dirigeants du "Canard enchaîné", Michel Gaillard et Nicolas Brimo, pour "abus de biens sociaux" et "faux et usage de faux" et du couple Escaro, au cœur du soupçon d'emploi fictif dans l'affaire éponyme, devait s'ouvrir mardi 8 octobre. Il a été renvoyé à juillet 2025 au terme d'une audience à l'ambiance de guerre fratricide, illustrant la "schizophrénie" qui règne au journal.

Commentaires préférés des abonnés

Emploi fictif ou non, le canard est devenu un journal bas de gamme, avec très peu d'enquêtes mais une floppée de "bruits de couloir" digne de gala. J'en ai encore lu un dernièrement, on se fait chier à la lecture tellement y'a pas grand chose d'intér(...)

Charlie,  le Canard. Belle illustration du naufrage de la presse dite satirique et irrévérencieuse. 

Il paraît même que l'horrible Frédéric Haziza est pigiste au canard, c'est dire. 

Que reste t-il dans ce paysage médiatique de désolatio(...)

Cette imitation du Canard qui n'en finit plus, du chant du cygne, est bluffante.

Mais ses vieux jours ne sont pas en danger.

Tout comme la société en général, il s'est droitisé à l'instar de ceux et celles qui le défendent becs et palmes, et sait exact(...)

Derniers commentaires

A partir du jour où j'ai lu ceci je n'ai plus jamais lu le Canard de Nicolas Brimo


https://www.acrimed.org/Une-sauterie-de-BHL-au-Cafe-de-Flore-La-mediacratie-fait-la-fete

Le Canard est toujours indépendant de la publicité, mais il n'est plus à l'abri du soupçon de turpitude. Maintenant, il est à la merci du pouvoir et nous nous en sommes bien rendu compte. Pour ce qui est être de droite, il l'était déjà avant ...

Avis à ceux qui pourraient souhaiter sa fin: mercredi prochain matin, le "CANARD"sera toujours vivant même si certains pourraient penser qu'il est nourri de navets ....

Une fin bien triste d'un journal historique... 

reporter de presque une année a cause de la santé de quelqu'un qui a 96 ans, ce n'est pas de lui qu'il s'agit mais de sa femme. Enfin c'est plutot difficile a comprendre, si il n'est pas dirigeant du journal ce n'est pas lui qui a signé le contrat et créé "l'emploi". Les accusés compte sur sur son décès avant le procès?  Vu la gravité des temps, il y a des media plus interessants a lire.

Une histoire de canards rôtis qui commence à sentir le brûlé.

Charlie,  le Canard. Belle illustration du naufrage de la presse dite satirique et irrévérencieuse. 

Il paraît même que l'horrible Frédéric Haziza est pigiste au canard, c'est dire. 

Que reste t-il dans ce paysage médiatique de désolation?

Ah oui l'équipe de G Meurice sur Nova.







Cette imitation du Canard qui n'en finit plus, du chant du cygne, est bluffante.

Mais ses vieux jours ne sont pas en danger.

Tout comme la société en général, il s'est droitisé à l'instar de ceux et celles qui le défendent becs et palmes, et sait exactement qui défendre afin de bien être défendu lui-même.

Il est comme les partis politiques.

Il a une aile gauche, une aile droite, cette dernière domine à mon sens depuis peu ou prou dix années, et je pense qu'il finira par payer cette trahison à l'esprit du journal des origines et qui a sévit au siècle dernier.

Le vol était presque parfait.

J'approuve les deux premiers messages. Je m'en fais de plus en plus souvent la réflexion, ils sont vraiment devenus ringard sur les sujet sociétaux... Ils peuvent les critiquer, mais là on a souvent envie de répondre OK boomer. 

Le canard se déchaîne et ils se canardent.


Je partage la déception que provoque la lecture du canard. Il devient quelconque. Il a perdu sa géniale insolence et semble plus suivre le courant dominant SDMPG (soc-dem-mou-planplan-et-gnangnan) que de s'en démarquer.

Emploi fictif ou non, le canard est devenu un journal bas de gamme, avec très peu d'enquêtes mais une floppée de "bruits de couloir" digne de gala. J'en ai encore lu un dernièrement, on se fait chier à la lecture tellement y'a pas grand chose d'intéressant à l'intérieur si ce n'est des "rumeurs" et un humour au ras des paquerettes. Un journal qui a mal vieilli mais assis sur une mine d'or qu'il ne veut pas partager pour soutenir les journaux indé qui en ont bien besoin.

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