Avant les décrocheurs du climat, les malheurs des effigies présidentielles
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Commentaires préférés des abonnés
Excellent format qui met en avant Mme Larrère dans ce qu'elle sait faire et bien faire.
Une mise en relief extrêmement pertinente d'un fait de société que je ne savais trop comment interpréter.
Merci à toute l'équipe !
(...)Voté pour accès libre. D'habitude j'ajoute "et rapide", mais là, non, cette histoire va rester "actuelle" encore un certain temps. Merci aux décrocheurs. J'apprécie particulièrement ceux qui "renversent" le portrait. Et merci à Mathilde, cette revue (...)
Derniers commentaires
Excellente chronique ! Juste un petit bémol de "forme" : Mme Larrère pourrait-elle éviter de "tripoter" sa chevelure (fort belle, c'est sûr) car je trouve cela perturbant pour l'attention qu'on porte à son discours, par ailleurs passionnant !
Le parti communiste français avait prévu cette procédure pour dépendre ces tableaux.
L' éminent secrétaire général de 1964 à 1969 s'appelait Waldeck Rochet.
Dégueulasse ce Macron !
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Voté pour accès libre. D'habitude j'ajoute "et rapide", mais là, non, cette histoire va rester "actuelle" encore un certain temps. Merci aux décrocheurs. J'apprécie particulièrement ceux qui "renversent" le portrait. Et merci à Mathilde, cette revue historique est riche de significations.
Les racines monarchiques, le premier rétablissement par le futur Napoléon III, les réticences après pétain dont le portrait avait pénétré même dans les familles, les atteintes diverses et "violentes"*, bustes brisés, fosse d'aisance et autres indignités, la différence entre une allégorie, qui peut être acceptée par tous et un portrait perso très différent, c'est l'histoire comme je l'aime, qui aide à penser le présent.
*violentes: la modification de notre tolérance à la "violence", même celle qui ne touche que les objets, est criante dans cette précaution, ironique mais quand même, de mettre le portrait dans une housse protectrice, par rapport aux bustes brisés et portraits souillés des siècles précédents.
Pas le droit de décrocher le portrait de Macron mais il faut le mettre au panier si on veut l'acheter sur internet. Faudrait savoir!
Excellent format qui met en avant Mme Larrère dans ce qu'elle sait faire et bien faire.
Une mise en relief extrêmement pertinente d'un fait de société que je ne savais trop comment interpréter.
Merci à toute l'équipe !
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur