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Aveuglement, ouïghours et coquelicots

Commentaires préférés des abonnés

J'étais sûr de rencontrer du Zabou sur cette page. 

ça n'a pas raté et je vois sans lire qu'il a grassouillé du mot "musulman", ce mot qui déclenche ses irritations.


Mais ce n'est pas de ça que je vais parler non sans avoir dit que le lien de l'éd(...)

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" La jalousie est un hommage  maladroit que l'infériorité rend au mérite "

Je m'en voudrais de critiquer la ligne éditoriale du site, mais est-on obligés de bouffer tous les matins du parallèle avec les années trente et ceux qui savaient ou pas, voulaient voir ou pas (avec mention directe du livre qui parait) ?


Ça me rappell(...)

Derniers commentaires

Décidément, DS est très disposé à juxtaposer des termes dans ses matinales du moment. Une manière de recoller les morceaux après le café ou d'intersectionnaliser peut-être.

- Inde http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20180801-inde-4-millions-personnes-menaces-nationalite-perte-musulmans

- Birmanie les Rohingyas en camp de réfugiés après une déchéance de nationalité

- Italie "un couvre feu ethnique"

Et en France les propos islamophobe sont complétement décomplexés.. On chasse les "signaux de radicalité faible" ou on comptabilise les atteintes à la laïcité : jupe trop longue (longueur et fréquence discuté dans les nouvelles lois du ministre de l’Éducation Nationale) , un "salam" pour se dire bonjour ect

Le "on l'avait bien disme" de Marianne à propos de Davet-Lhomme me laisse perplexe

https://www.marianne.net/societe/davet-lhomme-et-l-islamisation-en-seine-saint-denis-bienvenue-dans-la-realite


Surtout cette formule débile (synecdoque ?) "sous la coupe du halal"


J'ai mangé halal ce dimanche avec les enfants dans un restau turc en centre-ville, j'espère que je ne les ai pas trop islamisé.e.s ?




En 2006, l'association de la presse étrangère en Allemagne fêtait son 100ème anniversaire .


Dans la rapide présentation de l'association, on apprend que 2 journalistes ont eu un prix Pulitzer en 1933 et 1939 pour leurs articles rédigés depuis Berlin . 


Edgar Ansel Mowrer du chicago daily News  publia en outre un livre :  


"Germany puts the clock back" qu'on peut lire en ligne ici.



Louis P; Lochner était quant à lui correspondant de l'Associated Press .



Octobre 2018, en librairie  le livre de Daniel Schneidermann est en bonne place, avec ce bandeau rouge qui barre la couverture : "Pourquoi n'ont-ils rien dit ?" 


Avant même d'avoir lu le livre , il nous est fait part  ici qu'un échange a eu lieu dans une émission de France-culture avec une historienne, l'une soutenant "qu'on a vu mais qu'on a pas cru", l'autre affirmant "on a pas vu" . 


L'historienne, Annette Becker  cite des messagers , elle a sorti en Janvier de cette année un livre sur ce sujet très précis : "les messagers du désastre" 


Vérification faite dans la table , Daniel Schneidermann consacre un chapitre  dans son livre à l'expulsion d'Allemagne d'Edgar Mowrer (prix pulitzer 1933 ) et un autre aux deux messagers ( Jan Karski et Stephen Wise) .


Et on  revient au livre dont les sous-titre est : "la presse internationale face à Hitler"  et au bandeau "Pourquoi n'ont-ils rien dit,"


Et là une question vient à l'esprit  : mais qui choisit ce qui est écrit sur les bandeaux des livres pour attiser la curiosité des lecteurs potentiels ?



Il ne reste plus qu'à lire le livre ....















Le soucis c'est que l'indignation est sélective et qu'on ne peut pas la répéter constamment, elle est périssable. 

On a surtout un sentiment d'impuissance face à ses actualités. 

Est-il exact que l'ambassadrice d'Israel en France et le CRIF ont tenté d'empêcher la diffusion d'un reportage du magazine "envoyé spécial" intitulé " Gaza , une jeunesse estropiée" ? 

Je m'en voudrais de critiquer la ligne éditoriale du site, mais est-on obligés de bouffer tous les matins du parallèle avec les années trente et ceux qui savaient ou pas, voulaient voir ou pas (avec mention directe du livre qui parait) ?


Ça me rappelle ceux qui laissent des commentaire s sur un peu tout les sujet en mettant en signature l'adresse de leur blog... 


Bon, désolé pour ce petit accès de mauvaise humeur...

"de camps de détention, où seraient enfermés ",

"Jusqu'ici, la Chine démentait "

" les dangers, et les angoisses  "

". E(É)crivant cela, je pense  "

Vous aviez des virgules à déstocker ce matin (il y en a d'autres en trop)


"Etc etc."

"cool"  Autrement dit, " 

Ah , mais il vous manquait des points.

La Chine c'est loin, mais la communaute Francaise y est nombreuse, on y trouve meme des lecteurs d'@si en Asie ! Incomprehension de mes proches en France, surement lie a l'absence de ces sujets dans les medias, ou dans le discours politique, quand on leur parle du durcissement du regime Chinois, des Ouighurs, du representant du Financial Times chasse de Hong Kong, etc...

Quand tout le monde se réveillera, enfin, sera-t-il trop tard ?


Associations auditives ou visuelles Rouges:


Coquelicots disiez-vous ? 


C’est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.


Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.


Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.


Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

J'étais sûr de rencontrer du Zabou sur cette page. 

ça n'a pas raté et je vois sans lire qu'il a grassouillé du mot "musulman", ce mot qui déclenche ses irritations.


Mais ce n'est pas de ça que je vais parler non sans avoir dit que le lien de l'éditorial des Echos n'a pas d'écho chez moi vu que sa lecture est estimée à 2 minutes mais que je bats tous les records avec 0 seconde, il n'y a rien à lire sur mon écran 


Ce que je veux dire, c'est qu'à côté de l'indifférence, il y a pire encore : il y a la femme qui se dit une des plus malmenées au monde par la presse (elle prend ses désirs pour des réalités, elle qui vit dans un fake world), cette femme là fait pire que l'indifférence. Elle arbore un T-shirt avec les mots "I really do not care"

Elle s'en défend en disant que ceci était en direction de la presse alors qu'auparavant elle disait qu'il n'y avait pas de message, car en plus ces gens sont des menteurs. Et ce message, elle l'arbore après avoir rendu visite à des enfants séparés de leurs parents et elle n'exprime aucune empathie pour ces enfants lors de son interview. Sa seule préoccupation est de faire du message vestimentaire


L'indifférence s'assume jusqu'à l'horrible


Et cela me rappelle, une des choses les plus affreuses que l'humanité puisse faire (et le ventre de la bête a été fécond de multiples manières en ce 20e siècle) :

l'obligation en Chine faite aux parents des condamnés d'assister à l'exécution et de payer pour la balle qui a tué le leur.

Deux vicomtes de la médiologie



je pense bien entendu à mon débat houleux sur France Culture, la semaine dernière, sur les images des premiers camps. Ce débat est tombé dans les oreilles du médiologue Daniel Bougnoux, qui le prolonge sur son blog par une belle méditation....*



*Et la suite du 9: 15, photo finale incluse, de rendre au confrère-médiologue cité généreuse réciproque dans la reprise. Ce qui irrésistiblement évoque le fameux succès de Maurice Chevalier. "Quand un vicomte rencontre un autre vicomte, qu'est-ce qu'ils se racontent ? Des histoires de vicomte !" Avec cette circonstance aggravante que les deux vicomtes de la chanson se réservaient à eux seuls leurs histoires et, contrairement à nos deux médiologues, ne s'en glorifiaient pas devant: chacun son public ainsi invité à s'associer dans l'audience avec celui du confrère - la chose  en l'occurrence étant justifiée prétendument par la défense des plus justes causes.


Ainsi donc se poursuit l'auto promotion de son livre par le patron d'@si dont on peut se souvenir qu'il appartint - dans un passé pour lui apparemment désormais lointain - à la "rédaction" d'un journal qui bannissait la prétendue "critique" - mais effective réclame - dans ses colonnes non seulement des productions externes de ses "employés" mais jusqu'à celles de ses proches soutiens.  

 

" La jalousie est un hommage  maladroit que l'infériorité rend au mérite "

à une oiselle de Psaphon



" La jalousie est un hommage  maladroit que l'infériorité rend au mérite "




Mais que dire alors de votre éloge du patron ? Merci en tout cas d'attirer ainsi notre attention sur le genre féminin devant, en son temps, nécessairement composer "aussi" la compagnie des oiseaux de Psaphon. Nous étions avertis de leur continue reproduction jusqu'en notre temps par un article du jeune Bourdieu dont vous attesteriez personnellement, si besoin en était, de la médiatique vérité.


Nietzsche et les oiseaux ( l'aigle, par exemple) pourrait également dire : " celui qu'entoure la flamme de la jalousie, pareil à un scorpion, tourne contre lui-même son dard empoisonné "

Succursale, bientôt ou déjà, de la volière de Psaphon ce second forum d'@si  ? 




Nietzsche et les oiseaux ( l'aigle, par exemple) pourrait également dire : " celui qu'entoure la flamme de la jalousie, pareil à un scorpion, tourne contre lui-même son dard empoisonné "

 


Enrôler Nietzsche ainsi parmi les oiseaux flatteurs, seul un dieu pouvait en inspirer l'énormité. Et, renchérissant sur la précédente oiselle, faire craindre, qu'entre autres maux, ce second forum d'@si n'abrite - bientôt ou déjà - une succursale de la volière de Psaphon.

Seriez-vous le paon ?

(  ou alors un dindon : " le dindon étant un paon qui n'a pas réussi ")

Médiologie, mythologie et ornithologie



Seriez-vous le paon ?

(  ou alors un dindon : " le dindon étant un paon qui n'a pas réussi ")


 

"Paon", "dindon": semblant me chercher médiologiquement des poux, seriez-vous en réalité en quête d' époux ? Cela vous aurait mieux réussi, chère oiselle, en  prospectant en l'aérienne mythologie de Psaphon, plutôt qu'en retombant en la lourde ornithologie que  vous lui opposez. Aucune scientifique dénomination n'atteint jamais à la hauteur de la moindre question.

Narcisse, alors ( mais avec quelques années en plus ...hélas )

Narcisse contre les harpies




"Narcisse, alors ( mais avec quelques années en plus ...hélas )"



Votre hélas est opportunément révélateur de la protection dont toutes ces années j'aurais bénéficié contre ces assiduités de harpies parmi lesquelles, chère oiselle, vous venez aussi sottement de vous ranger. 


Bêtise signifiant méchanceté (comme Beauvoir nous en instruisit) il est réconfortant de constater qu'elle se retourne toujours contre qui s'y confie.

"seriez-vous en réalité en quête d' époux", "chère oiselle"


Tiens, l'oreille du macho pointe sous la farine. 

Féminisme et stupidité  





"seriez-vous en réalité en quête d' époux", "chère oiselle"

Tiens, l'oreille du macho pointe sous la farine.




Je savais bien mensonger l'engagement que vous me fîtes de ne me point lire. Mais que vous alliez, comme maintenant, jusqu'à l'avouer, je n'osai l'espérer. C'était mésestimer la voltairienne "candeur" qui vous anime: toute féministe: soit, d'une bêtise presque masculine. 

" Le seul Narcisse coupable est celui qui trouve les autres laids. 

   Le pédant enivré de sa vaine science n'a souvent fait qu'un sot, et se croit tout la talent qu'il refuse aux autres. "

Vous me faites penser que j'ai oublié un adjectif particulièrement approprié: "pédant". Je ne lis en effet pas  les interminables discours suffisants du monsieur. Mais il arrive que mes yeux lisent sans me demander mon avis, ils sont tombés sur le mot "oiselle" qui m'a piégé.

Je suppose que nous devons réagir de la même manière. Il y a des" contributions d'asinautes  " que  j'essaie de zapper.

Mais, parfois, c'est difficile de ne pas répondre à certains beaufs bouffis d'eux-mêmes et péremptoires, ou certains " intellectuels " auto-satisfaits  ( et légèrement misogynes ).

Alors, on répond : finalement du temps de lecture gâché  et du temps de réponse perdu.

Heureusement, il y en d'autres ... ( mais, de moins en moins ).

"c'est difficile de ne pas répondre"


C'est pourquoi j'essaie de ne pas lire, sauf quand il arrive que mes yeux... Mais il y a des gens à qui je ne parle pas, comme dans la cour de l'école primaire "toi, j't'acause pus". 


"( mais, de moins en moins )"


Ouais, on a encore de quoi taper une belote, mais tout juste. Ce qui est plus embêtant (mais probablement en rapport) c'est que certains articles... pfff...



Oiselles et harpies




Je suppose que nous devons réagir de la même manière. Il y a des" contributions d'asinautes  " que  j'essaie de zapper.

Mais, parfois, c'est difficile de ne pas répondre à certains beaufs bouffis d'eux-mêmes et péremptoires, ou certains " intellectuels " auto-satisfaits  ( et légèrement misogynes ).




Voir la définition de "harpie" dans le nouveau Petit Robert;  j'en extrais  le début:

HARPIE 1. Myth(ologie). Monstre fabuleux à tête de femme et à corps de vautour, à griffes acérées. 


Comme chacun le constatera, si la définition justifie ma référence originelle à l'oisellerie de la mythologie, il convient d'en modérer l'application à notre oiselle d@si ainsi qu' à celle qu'elle "suppose" être son alliée. Les deux en effet sont loin d'avoir des greffes aussi acérées que  celles des harpies: la première peut-être parce que trop jeune encore, et la seconde parce qu'elle ne les aura eues jamais aussi aiguisées. Volatiles légèrement féministes et non chef(fe)s d'escadrilles. De celles qui se font plumer (comme dans le passé les communistes se flattèrent de "plumer la volaille socialiste") par ces dernières... ou ces derniers: car, pas aussi "bête" qu'on le dit (en employant un terme pas aussi poli), la gent mâle dominante aime assez se faire passer pour partisane - et même prendre la tête - de la lutte des femmes...      



 notre oiselle d@si "

S'agit-il :

-d' un notre de narration mais il  associe alors en sympathie  l'oiselle en question comme locuteur

-d'un notre de modestie qui s'apparente bien à l'emploi qui en est fait dans les publications "scientifiques*" (en l'occurrence d'ornithologie)

;-d'un notre de majesté (ah bon!)

.......


*vade retro satanas!


Quoique Le Notre fit des jardins qui, a Versailles m'étant conté, ont compté pour beaucoup de gens dont un se croyait Soleil!  

Les congrès s'y réunissent pour puiser dans la logorrhée présidentielle les feuilles de route qui s'éparpillent dans les sentes fleuries  des dits jardins.

Ce notre là est essentiel comme les huiles qui roulent en limousine qui n'ont des vaches que les cornes que leur font porter époux ou épouses. 

sage  raisonnement  merci.

 mais quand le sage designe la lune .......

Coquelicots disais-tu? Coquelicots


https://www.youtube.com/watch?v=7y-AD4a4l0g


Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Malheureusement, les iPhones seront encore longtemps (toujours?) considérés plus "cools" que les coquelicots...

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