BHL exhibe au Flore la puissance de son réseau
Pourquoi BHL est-il omniprésent dans les médias à longueur d'année ? Elément de réponse avec le 20e anniversaire de sa revue La Règle du jeu organisé au café de Flore, à Saint Germain des Prés le 1er décembre : BHL a invité le tout-médias, qui s'y est précipité (ainsi que le notait Didier Porte). "Un des plus beaux réseaux de Paris": ainsi BHL décrit-il le groupe de ses amis et de ses obligés. Dans l'édition (traditionnelle), les médias (traditionnels), les partis (PS et UMP), le show-biz, ce réseau a de beaux restes. Et pousse même quelques tentacules vers le Web.
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Derniers commentaires
(...) BHL s'est lancé dans une nouvelle croisade dénonçant le danger que fait peser sur 2012 Marine Le Pen à droite Jean-Luc Mélenchon à gauche, dont il dénonce le populisme. Mais la connivence des puissants qu'il promeut au plus haut point n'était-elle pas la source principale du populisme ? »
Boniface http://pascalbonifaceaffairesstrategiques.blogs.nouvelobs.com/archive/2010/12/18/bhl-la-nuit-du-flore-connivence-des-elites-mepris-du-public.html
Ok pour la petite pique contre un monde médiatico-politique sclérosé..
.. mais pour ce qui est de la vanité de faire des soirées et de boire : vive la vanité des vanités, merde !
J'ai du mal à critiquer ; ils me font rire : et personne sur @si n'a été surpris, j'imagine, par ce type de soirée, et par la présence de ces gens à cette soirée.
ps : pour celui qui propose un débat Elisabeth Levy / BHL, je crois qu'ils étaient tous deux chez FOG hier soir, vu ça en zappant... Peut-être était-ce drôle ? ;-)
Tous ces gens regroupés autour d'une personne pour tromper leur ennui, oublier un instant leur misérable condition d'être humain en subtilisant des morceaux de gloire médiatique d'un philosophe de prisunic...
Ils veulent refaire le monde mais en les voyant on se dit que le monde est très bien comme il est. et Demorand qui trempe la dedans ça ne m'étonne qu'à moitié tiens... y avait pas Ali Badou non plus ?
Nicolas Brimo n'a plus rien à voir avec "Le Canard Enchaîné"
Si un @sinaute l'a déjà signalé, tant pis pour moi.
Mais j'y pense tout soudain, et si c'était les mêmes qui font la fête depuis 40 ans?
Si ASI, ne faisait pas ce dossier "passionnant", cette synthèse. Personnellement, je ne me serai même pas aperçu de l'existence de cette soirée mondaine. Celà m'amène à penser,
1 - que le web est le support d'info.,
2 - que tous ces gens viennent de média qui sont [peut-être] en sursis [ ou du moins ils me font penser aux réserves des indiens]
3 - les journées n'ayant que 24h, nous les pékins moyens faisons et ferons de + en + de choix quant aux supports d'informations que nous voulons choisir à un moment donné.
Aucun monde meilleur ni support meilleur, il s'agit plutot d'adaptation à nos environnements. On en reparle dans 20 ans.
super
jef
" En effet, ces derniers temps dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés, la rumeur courait : le couple a vendu son appartement. Et un écrivain, proche des deux, n’hésitait pas à confier : “Le Tout-Paris est au courant de leur séparation. Il y a une formidable hypocrisie. Avant, dans ses interviews, Arielle ne parlait que de BHL, comme une obsession, aujourd’hui, elle en parle toujours, mais moins, c’est un signe…” La presse française refuse d’évoquer cette séparation même si dans les rédactions circulent des photos du philosophe en compagnie d’une belle femme blonde. "
http://www.dhnet.be/people/show-biz/article/313953/bhl-et-arielle-clap-de-fin.html
et aussi le matin (Suisse) http://www.lematin.ch/people/bhl-arielle-dombasle-fin-belle-histoire-284689
Bon, d'un coté, les histoires de coeur, c'est vrai qu'on s'en fout : mais il n'en reste pas moins que cela signifie le choix des grands médias d'exhiber ou faire disparaître la vie sentimentale de BHL quand cela l'arrange, et montre ainsi son énorme influence sur les infos qu'on peut recevoir.
Merci au banni (qui se reconnaîtra) pour l'info.
Aaahh vertu de la langue française !!! Il est des circonstances où elle se révèle capable de mettre à ma disposition une floppée de synonymes pour m'aider à exprimer mes sentiments sur la marche du monde.
En l'occurrence, exemple du verbe vomir.
Ce serait un chouette cadeau de Noel :D
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A noter, d'ailleurs, l'éminent rôle de pots de fleurs dévolu aux femmes, quand elles n'échangent pas des morts: il y a la Russe, la belle Russe, évidemment, que personne ne connaît, il y a "les jolies jeunes filles" et "les épouses", "tout de blanc vêtue et très belle", "la belle Emilie trucmuche", "une autre jolie fille" que Kundera ne reconnaît pas (oh! l'oublieux!), une "huitième attachée de presse", "le charme de Christine Machin et Diane de Tartempion", une autre "jolie fille" que Collard "met dans les bras" de Thierry Lévy, "Anne Bidule qui a mal au dos mais, superbe, ne le dit à personne" (oh! femme, femme, femme éternelle, souffrant en silence), "Valérie Monc... toute en chair et en buste", une "mannequine anglaise" qui "fait la causette" (pas la cosette) à Jean-Pierre Mocky, une autre "jeune file" à qui ce fourbe d'Enthoven écrase le pied, "le joli nez" de Lou Zinzin... Toutes ces dames "tombent dans les bras" de.., "échangent des secrets", sont "rêveuses" et "s'amusent".
Et il paraît que notre école, ici et maintenant, favorise l'élite. Qu'est-ce que ça serait, si elle ne faisait pas???????????????????
Sur les photos, je n'ai repéré qu'un seul "ponte" socialiste, et il est gratifié d'un traitement de faveur puisqu'il apparait de à nombreuses reprises. C'est Montebourg, et on se demande qui lèche les bottes de qui. C'est sans doute réciproque : la position est physiquement scabreuse mais réalisable.
J'ai une certaine sympathie pour le bonhomme mais, après avoir léché les bottes de Royal, le voir ainsi se commettre dans cette comédie comico-philosophique, c'est quand même dur. Est-on réellement obligé de passer par le stade serpillière pour prétendre à l'investiture ?
Pardon... il faut que j'aille me brosser les dents
BHL… Bobo Hélas Lamentable
Ces gens ont une sorte de naïveté et de bonne conscience dans l'étalement de leur réseaux incestueux. C'est consternant.
Cela me rappelle un blog trouvé un jour par hasard, écrit par un membre de cette petite société germanopratine
SEMIR
Le Flore brûle à la prochaine fête du bazar de la Charité de BHL, et toute l'élite de la nation est décimée. Vous connaissez l'histoire, quand l'incendie se déclenche, tous ces beaux esprits et ces bonnes âmes tellement soucieux de voler au secours de l'étranger qui vit le plus loin possible d'eux, et de laisser dans la merde tous leurs concitoyens, se piétinent allègrement en essayant de s'échapper
Les meilleurs journalistes, les directeurs de journaux, les milliardaires, les éditorialistes, les bombardeurs d'enfants, les politiciens, les nouveaux philosophes, les donneurs de leçons, les anciens anonymes et les nouveaux pas pauvres écrasent les femmes et les enfants mais ne s'en sortent pas, et périssent dans les flammes. Tous sont tellement consumés qu'il n'en reste que cendre.
Ouais, vous avez raison, ce n'est pas encore un cauchemar. C'est au contraire un très doux rêve.
Mais ça se gâte. Ils arrivent tous aux portes du jugement dernier, alors que moi je viens juste de mourir
Et pour avoir fait quelques conneries et avoir critiqué la religion, on m'accorde le paradis, mais à condition que je reste avec eux tous.
Et là, j'ai craqué, j'ai préféré l'enfer.
Et c'est comme ça que je me suis réveillée ici, dans le monde où BHL est un personnage important. L'enfer....
Comme vous avez pu le constater, ce rêve est sponsorisé par Nespresso.
L'indécence, la laideur, l'indécence, et encore la laideur. Je cherche, je me force à l'ironie, ce n'est pas possible d'être si sérieux. Mais je n'y arrive pas. Je sais. Je suis indigné.
...tralalilalère !
C’est la sénescence ?
Il manque Jean Sarkozy
Il manque Charles Aznavour
Il manque Ulla
Bon, bon, je sors
Sinon les SDF français on en fait quoi ?
A pardon ce n'est pas le sujet, BHL doit surement s'en foutre éperdument.
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On peut lui reprocher certaines choses, mais sûrement pas de vouloir sauver une iranienne menacée de la peine de mort.
je le crois pas un seul instant surtout quand on voit toute la propagande autour tout le monde zap le meutre de son mari... enfin bon tout ce la et clairement indecent
On peut lui reprocher certaines choses, mais sûrement pas de vouloir sauver une iranienne menacée de la peine de mort.
Ouais, mais il y a plein de condamnées à mort dans le monde. Hmmm... je me demande pourquoi faire tout un foin pour une iranienne en particulier ? C'est bizarre, non ?
Aux US, on exécute "médicalement", on est pas chez les barbares...
En Chine on tire une balle dans la nuque, c'est propre, net et rapide, et pas cher,
c'est la famille du condamné qui paye, on n'est pas chez les barbares.
A Gaza on tue en état de légitime défense, on n'est pas chez les barbares...
...y a des fois je regrette qu'on ne soit plus des barbares...
Ah, j'avais pas compris que c'était uniquement contre la lapidatioooon !
Et... hum... yen a qu'en Iran de la lapidation ? ;)
C'est pas contre la peine de mort qu'ils se battent c'est contre la lapidation.
Aux US, on exécute "médicalement", on est pas chez les barbares...
En Chine on tire une balle dans la nuque, c'est propre, net et rapide, et pas cher,
c'est la famille du condamné qui paye, on n'est pas chez les barbares.
A Gaza on tue en état de légitime défense, on n'est pas chez les barbares...
...y a des fois je regrette qu'on ne soit plus des barbares...
Pour connaitre les conséquences et les symptomes des "excutions civilisées" tu peux toujours aller voir et lire sur ce blog
Execution
La chaise électrique: L'électrocution a remplacé la pendaison, au tout début du XXe siècle. Quand on met le contact, le corps est parcouru de secousses, de la fumée sort fréquemment de la tête, et une odeur de chair brûlée se dégage. La science n'a pu déterminer combien de temps les électrocutés demeurent conscients. De nombreuses chaises électriques furent construites au cours du siècle dernier et ne fonctionnèrent pas convenablement.La première exécution en 1890, fut celle de William Kemmler à New York.Le procédé était différent de celui actuellement en vigueur. La première décharge fut de 700 volts, pendant 17 secondes. Les personnes assistant à la condamnation rapportèrent une odeur de brûlé. La seconde décharge fut de 1030 volts et après 2 minutes, de la fumée fut observée sur la tête de Kemmler. L'autopsie révéla un durcissement du cerveau et des brûlures le long de la colonne vertébrale. Une des électrodes était placée sur la colonne ce qui explique les dégradations près des vertèbres. Une nouvelle étude fut menée afin d'améliorer le système. Le voltage fut augmenté pour arriver à un minimum de 2000 volts. On administra la décharge en deux fois pour un total de deux minutes. Les décharges furent séparées de 10 secondes. L'emplacement des électrodes fut aussi changé. Certains condamnés ont résisté à l'intensité normale du courant : il a fallu les achever par des chocs électriques supplémentaires. A l'opposé, certaines chaises ont "trop bien" fonctionné, offrant un spectacle impressionnant:peu de gens en Floride, par exemple, risquent d'oublier un jour la tête consumée de Jesse Tofero lors de son exécution en mai 1990 : il lui fallut trois chocs électriques, et son visage vomissait des flammes et de la fumée. Il a gargouillé durant quatre minutes ; des témoins ont indiqué que sa tête s'était longuement balancée, des cendres tombant sur le sol à chaque mouvement.En définitive, le détenu meurt d'asphyxie et d'un arrêt du coeur. La douleur que ressent le condamné est assimilable à des brûlures de 3ème degré, et des réactions physiques se produisent: la poitrine gonfle, le condamné salive abondamment et sa bouche écume. La sueur se teinte de sang, les cheveux brûlent, de même que la peau. Le système digestif et urinaire se dérèglent avec les conséquences que l'on peut deviner (il urine et il défèque), il est pris de convulsions, de grimaces et ses pupilles se dilatent. Avant de mettre les électrodes sur la tête du condamné, on applique une éponge mouillée afin de mieux conduire l'électricité dans la tête du condamné. Pour finir, le port du célèbre masque de cuir est obligatoire pour empêcher que les globes oculaires ne sortent des orbites du condamné. En réalité, c'est surtout pour éviter une vue trop horrible aux témoins.C'est une peine étrange et cruelle.
L'injection : On sangle fermement le condamné sur le brancard. Ensuite, on introduit trois seringues de perfusion intraveineuse dans le bras du condamné qui contiennent :
1°/ de l'eau ou autre liquide inoffensif ou directement l'anesthésiant 2°/ du pentothal (liquide qui endort ). 3°/ le liquide mortel.
Contrairement à la croyance de beaucoup, la peine de mort par injection létale, surnommée la "mort douce", est cruelle. Elle peut durer dix minutes avant de causer la mort. En 1985, il a fallu 40 minutes pour trouver la veine appropriée d'un condamné. Les effets sont les suivants: suite à l'administration de l'anesthésiant, le condamné à l'air de s'endormir. En fait, il n'en est rien: suite à la 3ème injection, les poumons éclatent, les organes sont en train d'exploser à l'intérieur et finalement le coeur est stoppé. De l'extérieur, les témoins ne remarquent rien suite à l'anesthésiant. En réalité, ils devraient voir le condamné exprimer d'atroces grimaces et observer de violentes convulsions de l'organisme. L'injection mortelle est la dernière technique en date. D'abord utilisée au Texas en 1982, elle est maintenant autorisée par la loi dans plus d'une dizaine d'Etats.Bien que cette méthode soit présentée comme plus humaine, plus efficace et moins coûteuse que les autres, un juge fédéral a observé qu'une erreur, même minime, dans la préparation ou l'administration des produits, peut laisser le prisonnier conscient mais paralysé durant son décès, le rendant témoin lucide de sa propre asphyxie. Au Texas, il y a eu trois exécutions par injection ratées depuis 1985. En 1989, un autre condamné, Stephen MacCoy, a longuement agonisé en vomissant plusieurs fois car la dose de poison, mal calculée, était trop faible. Tous les témoins confirment que, quel que soit le procédé employé, une exécution demeure un moment atrocement douloureux et toujours dégradant.
De celle-ci, je ne l'ai pas entendu parler (ni grand monde, d'ailleurs)
http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2010/12/01/la-petite-amie-d-un-footballeur-pendue-en-iran_1447648_3218.html
Bernard-Henri Lévy et lui s’appellent « mon petit camarade » – à la façon de Sartre et de Nizan.
p...., ils ne savent qu'imiter ! et après, on nous reproche à nous, la génération suivante, de manquer de souffle. Faut voir dans quoi on a grandi.
Lui reprocher d'exploiter la misère de cette femme pour cautionner sa gabegie au Flore !
C'est à vomir !
Y'a pas des gens bien, sympas, avec des idées de gauche, dont on pourrait parler ?
Autant dire que cette petite sauterie ne rayonnait pas plus loin que la rue Saint-Benoît....
La video de Paris Match donne vraiment envie de mettre des baffes