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Bosse, ami Nabe !
Tiens, parlons d'autre chose. Pendant ce temps,
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Je n'ai aucune sympathie pour la prose brunâtre de Nabe, mais vous auriez été beaucoup plus convaincant, en tout cas rigoureux, Daniel, si vous aviez pondu votre billet non pas après avoir "commencé" le livre, mais terminé ! Qu'il vous tombe des mains, cela peut se comprendre, mais l'idée de "commencer" suppose que vous n'en êtes qu'au tout début et que la suite rattrape peut-être l'ensemble - je parle naturellement du point de vue de la rigueur de la critique.
Salut à vous!
Le livre de Nabe est énorme! Le style concentré, incisif, rythmé est le résultat de trente ans de recherche littéraire! C'est le journal intime coulé dans la fiction! Si Nabe est le plus grand diariste de la fin du 20eme siècle, il est le plus grand romancier du début du 21eme siècle.
Il y a quelque chose d'universel dans cet "Enculé", c'est un personnage complexe: monstrueux et sympathique. Le livre est d'une drôlerie à tout renverser, et d'une cohérence social et psychologique à faire froid dans le dos! Comme si Balzac faisait du hara-kiri avec une liberté que les romans Gonzos n'ont peut être pas atteint.
Ceux qui se choquent de scènes comme celle de dsk laissant des trainés vert de gris et rouge-brun sur les pages d'Elie Wessel devraient manifester avec les catholiques "intégristes" devant le théâtre ou l'on chie sur le Christ. Assumer et crier au blasphème.
Quand à vous M.Schneidermann, qui parlez d'ennui à propos de ce livre... vous êtes la seul personne (à ma connaissance) parmi les nombreux lecteur de ce livre qui ai parlé d'ennui quand les autre réagissent tous par le rire ou la rage! Il y a toute sorte de lecteur, l'ennui devant ce genre de livre vous rend particulier...
Le livre de Nabe est énorme! Le style concentré, incisif, rythmé est le résultat de trente ans de recherche littéraire! C'est le journal intime coulé dans la fiction! Si Nabe est le plus grand diariste de la fin du 20eme siècle, il est le plus grand romancier du début du 21eme siècle.
Il y a quelque chose d'universel dans cet "Enculé", c'est un personnage complexe: monstrueux et sympathique. Le livre est d'une drôlerie à tout renverser, et d'une cohérence social et psychologique à faire froid dans le dos! Comme si Balzac faisait du hara-kiri avec une liberté que les romans Gonzos n'ont peut être pas atteint.
Ceux qui se choquent de scènes comme celle de dsk laissant des trainés vert de gris et rouge-brun sur les pages d'Elie Wessel devraient manifester avec les catholiques "intégristes" devant le théâtre ou l'on chie sur le Christ. Assumer et crier au blasphème.
Quand à vous M.Schneidermann, qui parlez d'ennui à propos de ce livre... vous êtes la seul personne (à ma connaissance) parmi les nombreux lecteur de ce livre qui ai parlé d'ennui quand les autre réagissent tous par le rire ou la rage! Il y a toute sorte de lecteur, l'ennui devant ce genre de livre vous rend particulier...
[quote=il est le plus grand romancier du début du 21eme siècle.]
Vous seriez pas un fatal flatteur ?
Vous seriez pas un fatal flatteur ?
Non, non, c'est mon opinion réelle. Elle est pesée. Ne vous sentez pas obligé de la partager.
Ben dis donc...
Au fait vous en avez lu combien des romanciers du 21ème siècle ?
Au fait vous en avez lu combien des romanciers du 21ème siècle ?
Pas tous évidemment, vous voulez que je rajoute "à ma connaissance", voila, c'est fait....
"Mon royaume pour une belle plume au DSQ " ????
Nouvelle devise de la littérature branchée ?
un écrivain sans talent est-il donc plus méprisable qu'un écrivain malhonnête et raciste ?
Dommage que M. Shneidermann (champion de causes plus honorables) joue de cette argumentation jésuite malodorante : c'est décevant !
Et si on cessait une bonne fois (FOI ?) de parler de ces minables fouilleurs de poubelle parisienne ?
N'y a-t-il pas d'autres sujets-objets plus excitants à mal-traiter ?
A force de vouloir à tout prix jouer le superman extra lucide de l'info, on risque de s'enliser dans la boue médiatique... Attention, danger de contagion !
cordialement
fbb
Pour élever le débat, il serait intéressant de comparer ce que dit Schneidermann de Nabe à ce que dit Nabe d'Haenel :
"Semprun a raison : les écrivains ont tous les droits, encore faut-il qu'ils soient de vrais écrivains. Ce n'est pas le cas de Haenel, qui est bidon. Lanzmann a été ulcéré parce que le Karski qui parle dans le livre de Haenel n'est pas crédible. Un bon écrivain a le droit de se tromper et même de commettre des erreurs historiques. Mais pas un mauvais. Yannick Haenel fait partie de ces goys zélés qui veulent en faire plus que les juifs et les historiens pour se voir attribuer des bons points. Il n'est pas un romancier : il tourne autour de la littérature. Il appartient à cette génération de pseudo-écrivains de 30, 40 ans qui n'a rien vécu et confond fiction et mensonge. Ils aiment la littérature, mais ils ne savent pas en faire. Alors ils truquent, ils plagient. Et ils vont jusqu'à ériger le plagiat et la falsification en nouvelles règles de l'art romanesque. Tous ces petits profs dans l'âme incapables de construire un roman se sont mis derrière haenel pour condamner les propos de Lanzmann en disant qu'un faux roman n'existait pas puisque, par essence, un roman était toujours faux. C'est faux ! Dans un vrai roman tout est faux, mais ça devient la vérité. Chaque fois qu'ils sont attaqués, Haenel et sa bande ne savent que citer Lautréamont, Debord ou Nietzche. Une façon de masquer leur manque de talent. Et si, dans cette affaire, Sollers soutient son poulain aussi mollement, c'est parce qu'il sait au fond de lui que Haenel ne comprend rien à la littérature. Sur le même sujet, dans Les Bienveillantes, Jonathan Littell a fait un vrai travail de romancier en donnant à voir une réalité crédible. On n'est ni dans le collage ni dans le truquage, mais dans la transposition fantastique de la réalité. Ce que se doit d'être un vrai roman."
Par ailleurs, je ne comprends pas comment DS peut reprocher à Nabe de ne pas conclure tout en reconnaissant n'avoir que commencé le livre. Au minimum, une seconde chronique s'impose après lecture du livre jusqu'au bout. Pour conclure, justement.
Mettons pour l'instant que cette chronique soit un billet d'humeur. Mais je reste sur ma faim.
"Semprun a raison : les écrivains ont tous les droits, encore faut-il qu'ils soient de vrais écrivains. Ce n'est pas le cas de Haenel, qui est bidon. Lanzmann a été ulcéré parce que le Karski qui parle dans le livre de Haenel n'est pas crédible. Un bon écrivain a le droit de se tromper et même de commettre des erreurs historiques. Mais pas un mauvais. Yannick Haenel fait partie de ces goys zélés qui veulent en faire plus que les juifs et les historiens pour se voir attribuer des bons points. Il n'est pas un romancier : il tourne autour de la littérature. Il appartient à cette génération de pseudo-écrivains de 30, 40 ans qui n'a rien vécu et confond fiction et mensonge. Ils aiment la littérature, mais ils ne savent pas en faire. Alors ils truquent, ils plagient. Et ils vont jusqu'à ériger le plagiat et la falsification en nouvelles règles de l'art romanesque. Tous ces petits profs dans l'âme incapables de construire un roman se sont mis derrière haenel pour condamner les propos de Lanzmann en disant qu'un faux roman n'existait pas puisque, par essence, un roman était toujours faux. C'est faux ! Dans un vrai roman tout est faux, mais ça devient la vérité. Chaque fois qu'ils sont attaqués, Haenel et sa bande ne savent que citer Lautréamont, Debord ou Nietzche. Une façon de masquer leur manque de talent. Et si, dans cette affaire, Sollers soutient son poulain aussi mollement, c'est parce qu'il sait au fond de lui que Haenel ne comprend rien à la littérature. Sur le même sujet, dans Les Bienveillantes, Jonathan Littell a fait un vrai travail de romancier en donnant à voir une réalité crédible. On n'est ni dans le collage ni dans le truquage, mais dans la transposition fantastique de la réalité. Ce que se doit d'être un vrai roman."
Par ailleurs, je ne comprends pas comment DS peut reprocher à Nabe de ne pas conclure tout en reconnaissant n'avoir que commencé le livre. Au minimum, une seconde chronique s'impose après lecture du livre jusqu'au bout. Pour conclure, justement.
Mettons pour l'instant que cette chronique soit un billet d'humeur. Mais je reste sur ma faim.
Absolument rien à voir avec Nabe et autres, mais pour info : Le MAUSS est en danger.
Il faut rappeler qu'il y a un contentieux entre Wiezmann et Nabe. Ils s'étaient affrontés chez Taddeï dans le Ce Soir Ou Jamais sur la mort de Ben Laden, et Wiezmann avait pris sévère.
Au sujet du 11 septembre, lire "Une lueur d'espoir" de Nabe.
Au sujet du 11 septembre, lire "Une lueur d'espoir" de Nabe.
Si j'ai bien compris Weizmann a tort de trouver le bouquin de Nabe minable, mais Schneidermann a le droit de le trouver lamentable.
Quitte à sortir quelques horreurs, en particulier sur Anne Sinclair, qu'il prête au dit Nabe... et à énoncer quelques çonneries sur le droit de l'écrivain à insulter, tenir des propos racistes (l'antisémitisme est un racisme), etc. à condition que ce soit bien écrit... de son point de vue.
Quitte à sortir quelques horreurs, en particulier sur Anne Sinclair, qu'il prête au dit Nabe... et à énoncer quelques çonneries sur le droit de l'écrivain à insulter, tenir des propos racistes (l'antisémitisme est un racisme), etc. à condition que ce soit bien écrit... de son point de vue.
Il y aurait un beau sujet à fouiller (au-delà de 'intérêt en soi du livre de Nabe que je n'ai pas lu): la critique littéraire du Monde comme doxa d'une pensée unique. Faites le test et vous verrez: toutes les fois que le monde croque un livre critique sur le système économique ou politique, un critique savant vient nous expliquer que le texte en question est populiste, fermez le ban, discussion achevée. De la critique littéraire comme lieu servant à défendre un système...
"Nabe a le droit de proférer d'immondes attaques antisémites contre Anne Sinclair. Nabe a tous les droits reconnus à un écrivain par les conventions de Genève, la déclaration universelle des droits de l'homme...": D.S.
Vous auriez été ami avec Louis Ferdinand Céline alors ?
;-))
Donc en conclusion, "Bagatelle pour l'échafaud" est-il un bon livre, bien écrit ??
Ou bien est-ce un vulgaire torchon immonde antisémite ??
"That is the question" comme disait l'autre auteur !
SEMIR
Vous auriez été ami avec Louis Ferdinand Céline alors ?
;-))
Donc en conclusion, "Bagatelle pour l'échafaud" est-il un bon livre, bien écrit ??
Ou bien est-ce un vulgaire torchon immonde antisémite ??
"That is the question" comme disait l'autre auteur !
SEMIR
Ah bon, ça m'avait pourtant l'air drôle, son truc, adéquatement outrancier. Vous me contrariez, Daniel.
[quote=DS.]Donc pas de raison d'en parler. No comment.
"Nabe a le droit de proférer d'immondes attaques antisémites contre Anne Sinclair. Nabe a tous les droits reconnus à un écrivain par les conventions de Genève, la déclaration universelle des droits de l'homme, et Patrick Besson, du Point.": D.S.
Euh... non, aucunement, il ne suffit pas d'accoler roman pour avoir tous les droits concernant l'idéologie véhiculée ou les personnes insultées, il faut encore que cela se fasse par le truchement d'un personnage. Le personnage crée par Nabe a tous les droits, Nabe n'en a pas plus que tous les autres citoyens. Reste que chez Nabe, malgré cette ruse stylistique (consistant à faire parler un personnage pour se cacher de la loi), la collusion entre les personnages et sa personne est si récurrente qu'il n'est pas nécessaire de s'attarder sur les uns ou sur l'autre, ceci quelques soient les qualités littéraires de la chose. La littérature ne serait se résumer à la forme.
yG
ps: Comme pour l'affaire des caricatures, enfin, les affaires de caricature devrait-on dire maintenant, il n'est aucunement pertinent de s'arrêter sur le style, la réussite de l'opération pour la juger légitime ou non. En l'occurence, elle est légitime, la caricature des religieux, quelque soit le bon goût, la qualité de la chose, ce n'est pas selon ce critère qu'on doit l'estimer, mais uniquement en fonction du principe qu'elle incarne, du fond, qui n'est pas comme on le dit un peu vite, la défense de la liberté d'expression (qui ne doit pas être absolue), mais de celle du blasphème, qui doit-être totale. Le droit Français ne fait pas la différence (entre liberté d'expression et blasphème), c'est un tort, il le devrait.
Euh... non, aucunement, il ne suffit pas d'accoler roman pour avoir tous les droits concernant l'idéologie véhiculée ou les personnes insultées, il faut encore que cela se fasse par le truchement d'un personnage. Le personnage crée par Nabe a tous les droits, Nabe n'en a pas plus que tous les autres citoyens. Reste que chez Nabe, malgré cette ruse stylistique (consistant à faire parler un personnage pour se cacher de la loi), la collusion entre les personnages et sa personne est si récurrente qu'il n'est pas nécessaire de s'attarder sur les uns ou sur l'autre, ceci quelques soient les qualités littéraires de la chose. La littérature ne serait se résumer à la forme.
yG
ps: Comme pour l'affaire des caricatures, enfin, les affaires de caricature devrait-on dire maintenant, il n'est aucunement pertinent de s'arrêter sur le style, la réussite de l'opération pour la juger légitime ou non. En l'occurence, elle est légitime, la caricature des religieux, quelque soit le bon goût, la qualité de la chose, ce n'est pas selon ce critère qu'on doit l'estimer, mais uniquement en fonction du principe qu'elle incarne, du fond, qui n'est pas comme on le dit un peu vite, la défense de la liberté d'expression (qui ne doit pas être absolue), mais de celle du blasphème, qui doit-être totale. Le droit Français ne fait pas la différence (entre liberté d'expression et blasphème), c'est un tort, il le devrait.
Pas facile de réagir sans avoir lu ce livre mais cette chronique, au regard de l'article du Monde et surtout des réactions (unanimes) de ses lecteurs, me paraît des plus saine.
Vous avez le droit d'être immonde, antisémite, tout ça, si vous avez du talent avec votre plume, votre caméra etc.
Vous avez le droit de vous taper des mineurs/mineures, si vous avez du talent avec votre plume, votre caméra etc.
Vous avez tous les droits si vous êtes un VIP.
"Il n'y a pas de fruit défendu pour les seigneurs de cette terre" (La Blanche morte, Glénat, p 45)
Ps Est-il nécessaire de rappeler que Mme Sainclair, dont par ailleurs je ne pense guère de bien, est un être vivant et non un personnage de fiction ? De préciser que Weitzmann ne demande pas l’interdiction de ce livre, assuré de se vendre ?
Vous avez le droit de vous taper des mineurs/mineures, si vous avez du talent avec votre plume, votre caméra etc.
Vous avez tous les droits si vous êtes un VIP.
"Il n'y a pas de fruit défendu pour les seigneurs de cette terre" (La Blanche morte, Glénat, p 45)
Ps Est-il nécessaire de rappeler que Mme Sainclair, dont par ailleurs je ne pense guère de bien, est un être vivant et non un personnage de fiction ? De préciser que Weitzmann ne demande pas l’interdiction de ce livre, assuré de se vendre ?
Si le titre du neuf-quinze (et donc celui du mail) avait été celui du livre, il y aurait eu de fortes chances que les anti-spam s'en mêlent : parole de technicien ... sauvé :-)
L'écrivain maudit... Tu parles, Charles...
L'important étant de "faire du blé" sur la dégueulasserie. En fait, non, même pas : sur du rien.
Cette merde - car c'en est une - va se vendre parce que c'est bien glauque et graveleux, et parce que ça parle de DSK (encore !!!!) ...
Faut dire que quand on a Houellebecq qui obtient le Goncourt... Bonjour l'humanisme, hein.
A part la coterie parisienne à la con, qui veut se donner un genre, qui lira ce machin ? Qui s'y intéresse ?
Je ne comprends même pas pourquoi vous en parlez, Daniel.
Quelque part, même au prétexte de "décrypter", vous surfez sur la vague médiatique. Où on parle plus d'Hénin Beaumont parce que la fille du borgne en est le maire, et gnagnagna que du Brest de Prévert. C'est vrai, ça, y'a rien à Brest. Rien de "porteur"...
Mais non je m'énerve pas...
L'important étant de "faire du blé" sur la dégueulasserie. En fait, non, même pas : sur du rien.
Cette merde - car c'en est une - va se vendre parce que c'est bien glauque et graveleux, et parce que ça parle de DSK (encore !!!!) ...
Faut dire que quand on a Houellebecq qui obtient le Goncourt... Bonjour l'humanisme, hein.
A part la coterie parisienne à la con, qui veut se donner un genre, qui lira ce machin ? Qui s'y intéresse ?
Je ne comprends même pas pourquoi vous en parlez, Daniel.
Quelque part, même au prétexte de "décrypter", vous surfez sur la vague médiatique. Où on parle plus d'Hénin Beaumont parce que la fille du borgne en est le maire, et gnagnagna que du Brest de Prévert. C'est vrai, ça, y'a rien à Brest. Rien de "porteur"...
Mais non je m'énerve pas...
[quote=Schneidermann] Nabe...Il n'a qu'un devoir, un seul: conclure, justement. Que tout cela donne un texte.
écrivez-vous. Ce qui, par opposition, évoque irrésistiblement cette citation de Flaubert (in Wikiquote):
L’ineptie consiste à vouloir conclure. […] Oui, la bêtise consiste à vouloir conclure. […] Quel est l’esprit un peu fort qui ait conclu, à commencer par Homère ? Contentons-nous du tableau, c’est ainsi, bon.
Lettre du 4 septembre 1850 à Louis Bouilhet.
Correspondance (1973), Gustave Flaubert, éd. Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléiade, 1980, t. I, p. 679-680
Une oeuvre, ainsi de Flaubert Madame Bovary, n'enferme pas "dans" un texte mais ouvre à un univers. Rien à voir avec ce règlement de comptes à DSK Corral auquel on ne peut assister sans en avoir la nausée.
écrivez-vous. Ce qui, par opposition, évoque irrésistiblement cette citation de Flaubert (in Wikiquote):
L’ineptie consiste à vouloir conclure. […] Oui, la bêtise consiste à vouloir conclure. […] Quel est l’esprit un peu fort qui ait conclu, à commencer par Homère ? Contentons-nous du tableau, c’est ainsi, bon.
Lettre du 4 septembre 1850 à Louis Bouilhet.
Correspondance (1973), Gustave Flaubert, éd. Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléiade, 1980, t. I, p. 679-680
Une oeuvre, ainsi de Flaubert Madame Bovary, n'enferme pas "dans" un texte mais ouvre à un univers. Rien à voir avec ce règlement de comptes à DSK Corral auquel on ne peut assister sans en avoir la nausée.
Tiens, parlons d'autre chose
Hmm. Ou pas?
Hmm. Ou pas?
Personnellement j'ai énormément ri à la lecture de "L'Enculé".
Car avant tout, ce livre est très très drôle, même si (surtout si ?) l'humour déployé est volontiers provoc et/ou de mauvais goût.
Dès que je l'ai attaqué je n'ai pas pu le lâcher avant d'arriver à la fin.
Et c'est plutôt le papier de Marc Weitzmann que j'ai trouvé très mauvais.
Car avant tout, ce livre est très très drôle, même si (surtout si ?) l'humour déployé est volontiers provoc et/ou de mauvais goût.
Dès que je l'ai attaqué je n'ai pas pu le lâcher avant d'arriver à la fin.
Et c'est plutôt le papier de Marc Weitzmann que j'ai trouvé très mauvais.