Climat : les métabolisés, et les autres
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Pourquoi consigner les emballages plastiques qui de toute façon nécessitent des opérations de transformation pour être recyclé et qui d'autre part ne peuvent être inclus dans une économie circulaire puisque le plastique se détériore à chaque recyclag(...)
Ça donne surtout la mesure que ce n'est pas ces gens là qui nous sortirons de la situation dramatique où l'on se trouve (politique, financier, industriel, bourgeois, média moutonnier…). Plus le temps passe, plus, inexorablement, je me surprends à pen(...)
"Les gens souffrent, les gens meurent, des écosystèmes entiers s’effondrent.Nous sommes au début d'une extinction massive & tout ce dont vous parlez, c’est d’argent & de contes de fées d'une croissance économique éternelle"
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Manifestement l'écoute prolongée d'une certaine radio méridionale est nuisible pour la santé mentale de l'auditeur.
Navire avec le changement climatique Des guerriers pris dans la glace, des guerriers évacués
Erofey SchkvarkinNouvellesPost Vues: 83,991
Le navire MS Tours de l'Arctic Tours, avec 16 passagers à son bord, s'est retrouvé coincé dans les glaces le 3 septembre au large de l'archipel de Longyearbyen, Svalbard, à mi-chemin entre la Norvège et le pôle Nord. Le navire est en tournée dans l'Arctique avec l'équipe du film documentaire sur les changements climatiques et des touristes préoccupés par les changements climatiques et la fonte des glaces de l'Arctique. Les 16 guerriers du changement climatique ont tous été évacués par hélicoptère dans des conditions difficiles, ils sont tous en sécurité. 7 membres d'équipage restent à bord, dans l'attente de l'assistance d'un navire de la Garde côtière.
Quelque chose ne va pas avec la glace arctique, au lieu de fondre comme ordonné par le GIEC / ONU, elle a capturé le navire avec Climate Change Warriors.
Arctic Tours navire MS MALMO, OMI 8667579, 466 tpl, construit en 1943, remis à neuf en 2014, drapeau Suède.
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Les « guerriers du climat » vaincus par la banquise
25 septembre 2019 / Association des climato-réalistesPar Rémy Prud’homme, Professeur des Universités (émérite)
Tous les savants du monde, d’Al Gore à Greta, le savent et le disent : la banquise du pôle nord fond rapidement. En fait, elle a déjà fondu. En 2007, Al Gore, conjointement avec le GIEC, recevait le prix Nobel (de la paix, pas de science, mais passons), et il déclarait à Oslo : « La banquise est en chute libre … Une étude récente nous avertit qu’elle pourrait avoir complètement disparu l’été dans sept ans seulement ». Dans sept ans, en 2014 donc. Les membres du GIEC présents avaient chaleureusement applaudi ce magnifique discours prophétique.
Armés de beaucoup de courage, et surtout d’argent, 17 guerrier/ère/s du climat (c’est ainsi qu’ils se nomment) ont donc, fin août 2019, affrété un bateau de croisière suédois spécialisé, le Malmo, fonctionnant au mazout, et sont partis vers le pôle nord. Ils voulaient voir par eux mêmes la mort de la banquise, et la filmer pour l’éducation des masses encore ignorantes.
Ils ont vu. Arrivé aux iles Svalbard, à 1400 km du pôle, le Malmo a été bloqué, puis encerclé par les glaces, comme dans un roman de Jules Verne. La banquise-qui-n’existe-plus avait gagné. Plus moyen d’avancer, ni de reculer. Les ours blancs, qui-ont-également- disparu, nombreux dans ces parages, et affamés, pouvaient venir manger nos valeureux et savants combattants. Ces derniers ont du être secourus par hélicoptère (toujours au mazout). On ne sait pas si cette retraite stratégique a été filmée par l’équipe de cinéastes embarquée.
Bien entendu, cette histoire hilarante ne prouve rien du tout sur l’évolution du climat à moyen ou long terme. Mais elle renseigne sur l’instrumentalisation de la science de l’environnement.
L’évolution de la banquise arctique, qui est un phénomène complexe, est en fait étudiée et bien connue. L’Institut Météorologique Danois, ou le Centre de données sur la neige et la glace arctique de l’Université du Colorado, par exemple, permettent de suivre les évolutions en temps réel. Si au lieu de crier avec les loups nos militants cherchaient à s’informer, ils sauraient que la banquise du pôle nord, qui s’est beaucoup réduite dans les années 1990, a tendance à se stabiliser depuis une quinzaine d’années : en septembre 2019, elle est certes moins étendue qu’en 1990, mais elle est plus étendue (d’environ un million de km carrés, excusez du peu) qu’en 2012. Et ils auraient fait preuve d’un peu plus de prudence.
La mésaventure du Malmo a été systématiquement cachée par les grands médias (radios, journaux, télévision) français et étranger.
Elle n’aura certainement pas entamée les certitudes de nos hélitreuillés. Comme dit Proust : « Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n’ont pas fait naître celles-ci, ils ne les détruisent pas ; ils peuvent leur infliger les plus constants démentis sans les affaiblir ».
Le fait qu'un navire soit pris dans les glaces en hiver en arctique serait une preuve du non réchauffement climatique?
Est ce une blague?
Sur le deuxième article la personne fait juste de la désinformation. Il m'a fallu 2 minutes pour trouver les données de la Nasa sur l'évolution des glaces aux pôles nord. Si le miniminum est bien en 2012. Il y a une tendance claire à la baisse depuis 40 ans et la stabilisation j'ai beau la chercher et je ne la vois pas.
Le 3 septembre c' est l'hiver en Arctique??
Pour le volume de la banquise :
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Et les données de la Nasa qui démontrent que non il n'y a pas de stabilisation et que la glace diminue?
Le graphe que vous mettez dans votre commentaire. Montre exactement la même chose que la Nasa. Les courbes des dernières années sont plus basses ou dans la partie basse de la partie 2004-2013.
Qu'essayez vous de démontrer?
En plus une recherche de dix secondes sur le danish meteorological Institute (votre source) vous donne tort.
http://ocean.dmi.dk/arctic/icecover_30y.uk.php
https://en.wikipedia.org/wiki/Climate_of_the_Arctic#Autumn
Autumn
In September and October the days get rapidly shorter, and in northern areas the sun disappears from the sky entirely. As the amount of solar radiation available to the surface rapidly decreases, the temperatures follow suit. The sea ice begins to refreeze, and eventually gets a fresh snow cover, causing it to reflect even more of the dwindling amount of sunlight reaching it. Likewise, in the beginning of September both the northern and southern land areas receive their winter snow cover, which combined with the reduced solar radiation at the surface, ensures an end to the warm days those areas may experience in summer. By November, winter is in full swing in most of the Arctic, and the small amount of solar radiation still reaching the region does not play a significant role in its climate.
D'après wikipédia, en Septembre et octobre en arctique), la mer recommence à geler. Donc oui il y a rien de surprenant à ce qu'un navire soit coincé dans les glaces en septembre. C'est juste un phénomène normal qui malgré la diminution de la glace en arctique ne va pas disparaître du jour au lendemain. De plus un phénomène météorologique locale ne donne aucun renseignement sur l'évolution du climat. On apprend ca au collège.
"Le fait qu'un navire soit pris dans les glaces en hiver en arctique serait une preuve du non réchauffement climatique?
Est ce une blague?"
Vous niez l'évidence: dans les Alpes, autour du Mont Blanc, les glaciers qui fondaient sont en train de remonter la pente.
Vous m'avez coincé. C'est trop lourd de garder tout ça pour moi, je vais tout vous avouer. Je suis payé (1 kg de soja bio tous les jours) par un lobby pour la protection de l'environnement pour dire que les scientifiques ont raison.
Ils ont un plan machiavélique. Ils veulent un monde où l'on arrêterait d'utiliser les énergies fossiles, où l'on diminuerait la pollution, où l'on aurait d'autres indicateurs que le PIB, où la croissance ne serait plus l'alpha et l'oméga.
C'est des fous dangereux.D'autant que ça supprimerait un nombre incalculable d'emplois!
Mais pourquoi diable continuez vous à discuter avec ce Laurent je-ne-sais-quoi?
En fait j'écrivais plus pour les lecteurs potentiels. Même si peu de gens doivent suivre cette discussion.
Mais vous avez raison, ca ne sert à plus rien de continuer à discuter. Je pense avoir suffisamment démontré sur ce fil de discussion et sur celui de l'émission avec Didier Maîsto que ces arguments ne tiennent pas.
Bonne soirée
Bonne soirée à vous. Perso, je suis pas trop ces dicsussions, en effet, parce que j'estime qu'il n'y a vraiment plus aucun doute, et que je n'arrive pas à comprendre ceux qui s'acharnent à nous démontrer le contraire.
Merci pour nous. Discussion édifiante.
Le navire est resté coincé le 3 septembre 2019 en été dans l'hémisphère Nord !
Pour les glaces mondiale ,99% des glaciers sont en Antarctique et au Groenland et les 1% restant sont tous les autres ,ceux de l'Himalaya,de Russie,du Canada,de Norvège,d'Amérique du Sud,de Nouvelle Zélande ....et des Alpes Européennes ,alors c'est vrai que des glaciers reculent mais cette perte de glace est infime par rapport aux 33 Millions de km cube qu'il y a sur terre .Bien sur localement cela pose un problème 1us hommes !
Dix ans pour sauver l’Antarctique… et le reste du monde !
22 juin 2018 / UsbekUne nouvelle étude publiée dans Nature le 13 juin 2018 par l’équipe IMBIE (acronyme anglais pour « exercice de comparaison de la masse des calottes glaciaires ») affirme que depuis 2012, le rythme de fonte de l’antarctique a fortement accéléré, passant de 76 milliards de tonnes à 219 milliards de tonnes par an ! Entre 1992 et 2017, l’Antarctique aurait ainsi perdu 2 720 ± 1 390 milliards de tonnes de glace, ce qui correspond à une augmentation du niveau moyen de la mer de 7,6 ± 3,9 millimètres.
Il ne s’agit pas de la banquise mais de la calotte glaciaire
Précisons d’abord qu’il ne s’agit pas de la fonte de la glace de mer (autrement dit la banquise), mais de celle de la calotte glaciaire (ou inlandsis). Car la banquise antarctique se porte fort bien, son étendue progressant au rythme de 1,1 % par décennie, malgré la décrue des années 2016 et 2017 année en relation, selon une étude publiée dans la revue Nature Geoscience , avec le puissant événement El niño qui a affecté le climat mondial pendant ces deux années.
Source : National Snow & Ice Data Center
L’étude porte sur L’inlandsis de l’Antarctique (la calotte glaciaire) qui a une superficie de 14 millions de km², une épaisseur moyenne supérieure à 2 000 mètres et maximale de 4776 m, sur la terre de Wilkes et qui contient 90% de la glace de la planète, soit 75 % de l’eau douce : sa fonte totale entraînerait une élévation du niveau de la mer de 60 mètres.
Un intervalle d’incertitudes égal à 50% du signal mesuré (100% avec 2 fois l’écart type)
Obtenue par une combinaison d’observations satellitaires et de modélisation, l’évaluation de la perte de masse entre 1992 et 2017 serait de 2 720 ± 1 390 milliards de tonnes (Gt) de glace. La plage d’incertitude annoncée est considérable. De plus l’incertitude annoncée par les auteurs est de 1 écart-type ce qui correspond à un intervalle de confiance de 68%. Si l’on avait retenu l’intervalle de confiance à 95% (soit 2 fois l’écart type), ce qui est l’usage dans la littérature scientifique, les résultats auraient été de 2 720 ±2 780 Gt (7,6 ±7,8 mm du niveau marin).
Une récente étude de la NASA (2015) montrait des gains supérieurs aux pertes
Une étude de la NASA (octobre 2015) montrait que les pertes de glace dans la péninsule antarctique et la région de Thwaites et Pine Island dans l’ouest de l’Antarctique était compensée par des gains dans l’Antarctique de l’Est et à l’intérieur de l’Antarctique Ouest. Selon cette analyse qui résulte des données satellitaires, la calotte glaciaire antarctique aurait ainsi enregistré un gain net de 112 milliards de tonnes de glace par an de 1992 à 2001, puis de 82 milliards de tonnes de glace par an entre 2003 et 2008. L’ auteur de l’étude Jay Zwally, en déduisait que l’Antarctique ne contribue pas à l’élévation du niveau de la mer. Il prévenait néanmoins que si les pertes de la péninsule antarctique et de certaines parties de l’Antarctique de l’Ouest continuent d’augmenter au rythme des deux dernières décennies, les pertes pourraient à long terme (dans 20 ou 30 ans ) rattraper les gains de l’Est de l’Antarctique.
La fonte des glaciers de la péninsule et de l’antarctique ouest est loin d’être complètement comprise
La principale perte de glace vient de l’ouest de l’Antarctique qui est la plus vaste et la plus dense région volcanique de la planète, avec plus de 100 volcans sous la glace, comme cela a été récemment découvert par des scientifiques de l’Université d’Edimbourg. La perte de glace dans l’ouest de l’Antarctique est due à l’intrusion d’eaux chaudes sous les glaciers qui provoque un mécanisme de fonte basale. La fonte de ces glaciers résulte ainsi d’interactions complexes entre la variabilité océanique, la géologie locale et la variabilité climatique comme l’explique cet article du site des climato-réalistes. Une récente étude publiée en janvier 2017 dans la revue Nature avait d’ailleurs montré que le retrait de Pine Island a commencé dans les années 1940 pour des causes étrangères au réchauffement global.
D’énormes incertitudes dans les mesures gravimétriques que les modèles peinent à réduire
Depuis 2002 la fonte de la masse des glaces polaires est suivie à l’aide d’un instrument satellitaire appelé GRACE qui mesure les variations du champ gravitationnel de notre planète liées à la distribution des masses sur la terre, incluant l’eau et la glace : quand la glace fond et que l’eau de fonte s’écoule dans la mer, ceci est perçu comme une variation du champ gravitationnel. Mais les observations directes ne suffisent pas. En l’espèce, les chercheurs ont eu recours à des modèles pour estimer les évolutions de la masse neigeuse, soit la quantité de neige tombée, moins celle balayée par le vent ou bien qui se sublime, passant directement de l’état solide à celui de vapeur d’eau. D’autre part, comme pour l’élévation du niveau de la mer, l’estimation du rebond isostatique (20 000 ans après la dernière époque glaciaire, la croûte terrestre poursuit son ajustement), affecte notablement les mesures gravimétriques de GRACE, ce que reconnaissent d’ailleurs explicitement les auteurs de l’étude :
Nous trouvons des écarts considérables au sein des estimations du bilan massique de surface ainsi que de l’ajustement isostatique glaciaire pour l’Antarctique de l’Est ; la plus grande incertitude concerne le taux moyen de gain de masse sur la période 1992-2017 (5 ± 46 milliards de tonnes par an) .
CONCLUSION
Comme l’écrit le Dr David Whitehouse du GWPF, 25 années d’observations ne permettent pas de dire si cette évolution résulte du réchauffement climatique ou d’un comportement cyclique. La perte de glace dans l’ouest de l’Antarctique étant due à l’intrusion d’eau chaude, Il est probable que de tels changements soient déjà survenus. A supposer que la perte de masse de 2 720 milliards de tonnes de glace soit exacte : le volume du continent antarctique étant d’environ 30 millions de km3, soit 30 millions de Gt de glace (à 1 de densité pour arrondir), une perte de 2 720 Gt représenterait donc 0,01% de la masse globale, on reste dans des ordres de grandeur négligeables voire non mesurables. Les ordres de grandeur négligeables assortis d’importants intervalles d’incertitude assénés par cette étude devraient inciter les commentateurs à la plus grande prudence dans l’interprétation de ses résultats. A lire les réactions de la presse, il n’en est rien : « Depuis cinq ans, les glaces fondent à un rythme presque trois fois plus élevé qu’avant. Une menace pour des centaines de millions des personnes », titrait Le Monde (tout en nuances) le 13 juin 2018.
Le nombre de signataires (l’article est cosigné par 85 scientifiques de 42 institutions issues de 17 pays) n’ajoute rien à la confiance, au contraire. Il évoque plus une pétition qu’un travail d’équipe. Il semble qu’un consensus de type GIEC soit en train de s’organiser autour de« la fonte de l’Antarctique ». Quant à la revue Nature, si l’on avait encore des doutes sur le caractère politique de sa ligne éditoriale, il suffit pour s’en convaincre de lire l’abstract d’une autre étude intitulée « Choisir le futur de l’Antarctique » opportunément publiée le 13 juin 2018 (le même jour que la première étude). « Certains changements que vit l’Antarctique actuellement sont d’ores et déjà irréversibles. Mais nous pouvons encore éviter le pire » assure l’un des co-auteurs , Martin Siegert, professeur à l’Imperial College London (propos rapportés par le magazine en ligne Futura-sciences). Il suffit nous disent les auteurs, (parmi lesquels on trouve la française Valérie Masson-Delmotte), « de prendre des mesures ambitieuses pour limiter les émissions de gaz à effet de serre et mettre en place des politiques qui réduisent la pression anthropique sur l’environnement…».
Face à l’alarmisme climatique la science est impuissante
19 septembre 2019 / Association des climato-réalistespar Richard Lindzen, professeur émérite en sciences de l’atmosphère, Massachusetts Institute of Technology.
Cet article paraît aujourd’hui-même en espagnol dans le journal Expansion. ( Traduit en français par Benoît Rittaud )
En tant que scientifique qui a travaillé sur les problèmes des sciences de l’atmosphère, climat compris, pendant plus de 50 ans, je doute que la science soit en mesure de contribuer au discours actuel sur un changement climatique catastrophique qui serait provoqué par l’homme. Ce que je veux dire, c’est qu’il s’agit d’un problème politique et que, de ce fait, il est entre les mains du public, et plus particulièrement de la classe dirigeante. Pour l’essentiel, ces groupes ignorent tout des sciences du climat, et même de la science tout court. Confrontés à des informations contradictoires, ils peuvent choisir ce qu’ils veulent croire — ou se servir de la fausse affirmation selon laquelle « 97% des scientifiques sont d’accord » comme d’une béquille.
Un exemple simple illustre le problème. L’année 1998 a été un maximum dans la moyenne mondiale de température, par rapport à une moyenne de trente ans dans les stations météos. Mais depuis deux décennies, il n’y a plus de tendance significative, et les quelques changements survenus sont généralement beaucoup moins importants que ceux prévus par les modèles. Il y a de petites fluctuations, bien sûr, notamment une pointe de température associée au phénomène El Niño en 2014-2016, qui a été suivie d’une chute. De nombreux scientifiques des deux bords ont appelé « pause » cette absence de tendance. De leur côté, les promoteurs de l’alarmisme en ont profité pour affirmer que beaucoup des « années les plus chaudes enregistrées » dataient de cette période.
Peu de gens ont été capable de saisir qu’une telle observation ne contredit nullement l’existence d’une « pause ». Il est clair en effet que même si l’anomalie de température (c’est-à-dire l’éart par rapport à la moyenne sur 30 ans) était restée absolument la même après 1998, toutes les années suivantes auraient été les années les plus chaudes jamais enregistrées !
La vérité, c’est qu’un citoyen perspicace n’a pas besoin des détails de la science pour s’apercevoir que quelque chose ne va pas du tout dans cette histoire. Un tel citoyen peut ainsi observer que toutes les prescriptions censées permettre de lutter contre le réchauffement climatique sont bien antérieures à leur lien avec celui-ci. Des politiques très similaires impliquant le contrôle du secteur de l’énergie et l’élimination du charbon ont été proposées il y a longtemps, à une époque où on les justifiait par les inquiétudes sur les pluies acides et les craintes d’un… refroidissement global.
Ce citoyen peut aussi se demander pourquoi ces prescriptions politiques insistent invariablement sur la nécessité de se focaliser sur un et un seul des nombreux éléments qui concernent cette problématique du réchauffement (à savoir les niveaux de CO2). Pourquoi les alarmistes n’accordent-ils pas la même attention à la question de l’adaptation ? D’une manière générale, une telle approche serait pourtant à la fois moins chère et plus flexible, en plus d’impliquer un mode d’action dans lequel les êtres humains sont particulièrement doués — la preuve en est que nous sommes capables de vivre dans des régions qui vont de l’Arctique à l’équateur.
Si ce citoyen sait compter, il peut aussi se rendre compte qu’aucune des politiques proposées n’aura d’impact significatif sur le climat, indépendamment de ce que l’on pense de la physique sous-jacente. En réalité, il s’agit de nous demander des sacrifices qui n’auront en tout état de cause qu’un effet purement symbolique. Ce sera un simple affichage de vertu.
Si notre citoyen était, en outre, familier avec la nature de la science, il pourrait savoir que la quasi-totalité des preuves soi-disant définitives justifiant la panique ne sont pas réellement des preuves scientifiques. En réalité, une preuve (evidence) scientifique ne vaut que si elle permet des prévisions non ambiguës, et non pas simplement si elle nous est néfaste ou choquante. Certaines des soi-disant preuves sont à l’opposé de ce que la physique prévoit. Notre citoyen pourrait également savoir que la « certitude » n’est pas la marque de la science. Bien au contraire, celle-ci insiste sur la nécessité du scepticisme dans la recherche. C’est particulièrement vrai pour les sujets complexes et très jeunes tels que le climat, alors même que ceux qui se font les promoteurs du « problème climatique » affirment qu’ils savent avec certitude la cause du changement climatique, un simple bouton de contrôle qui serait le CO2. Un gaz qui se trouve par ailleurs être essentiel à la vie.
Tous ces éléments convergent pour affirmer le caractère politique de la question. Les détails peuvent certes différer d’un endroit à un autre. Ainsi, aux États-Unis le climat est en grande partie une question partisane : la gauche soutient « la lutte contre le changement climatique » parce qu’elle croit en un renforcement du pouvoir de l’État, alors que la droite a tendance à être sceptique parce qu’elle croit en la liberté individuelle. En Europe, le problème semble plutôt lié à l’opposition entre concentration de pouvoir et souveraineté. Dans ces deux régions toutefois, l’alarmisme climatique a en commun d’être devenu un élément central du politiquement correct. La crainte de s’en démarquer semble être particulièrement forte parmi les « élites éduquées ».
La prétendue « crise climatique » n’est nullement une question scientifique, malgré toutes les tentatives d’invoquer la soi-disant « autorité » de la science. S’inquiéter des implications que l’on impute à des fluctuations si petites qu’elles en sont virtuellement impossibles à mesurer, ainsi qu’à de douteuses observations de fluctuations de la température moyenne à la surface du globe, est une pure bêtise. Argumenter dessus, c’est lui faire trop d’honneur.
Il n’en est pas moins intéressant de savoir ce que la science nous dit. Rien dans les données aujourd’hui disponibles n’indique que quelque chose d’inédit est en train de se produire. Même le groupe de travail 1 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climate (GIEC) onusien — la seule partie du GIEC à s’occuper de science — reconnaît que les phénomènes tels que les sécheresses, les inondations, les ouragans, et ainsi de suite, ne montrent aucune tendance perceptible. Certes, en raison du fait que les observations disponibles sont relativement récentes, il y en aura toujours pour aller un peu vers le haut ou vers le bas, mais rien de tout cela n’est inhabituel, ni ne peut être lié de façon claire à une augmentation du CO2.
La seule raison à l’inquiétude tient simplement à ce que les modèles (qui le plus souvent se trompent) suggèrent qu’il est « envisageable » qu’il y ait un problème. Il s’agit là d’une base extrêmement faible pour transformer toute la société, détruire le secteur de l’énergie, augmenter le prix de l’électricité tout en en réduisant la disponibilité, empêcher le développement des régions les plus pauvres du monde, gaspiller des milliards de dollars et favoriser la peur, voire l’hystérie.
Depuis que j'ai lu un article dans le magazine "challenge" (récupéré gratuitement hein) à propos du luxe français qui fait face à de grosses baisses de vente à Hong-Kong à cause des manifestation pro-démocratique plus rien ne m'étonne.
Le recyclage marche en politique pourquoi ne marcherait il pas pour les emballages
pour moi métaboliser c'est prendre conscience de l'urgence et commencer une transition vers un mode de vie contraignant et militant (grosse modo greta avec son bateau, en un peu moins extreme). juste dire j'ai compris le problème, sermonner tout le monde et ne rien changer c'est de l'hypocrisie.
Je ne pense pas métaboliser cette année mais j'y pense sérieusement.
Concernant la petite jeune fille Greta, je me demande si les dirigeants font justes semblant de noyer le poisson ou si c'est l'hubris.
En tout cas pour rappel, il y a 10 ans mon fils après avoir regardé un reportage sur des évènements relatifs au bouleversement climatique, nous dit en s'asseyant à table:
"Vous les parents, là, un jour vous allez payer"...
Je ne sais pas si les Dirigeants ont bien compris la menace (de) Greta...
Al Quaida et consorts risquent de passer de joyeux amateurs dans le futur.
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Des scientifiques de 13 pays écrivent au secrétaire général de l’Onu pour dénoncer l’alarmisme climatique
Un courrier signé par 500 scientifiques et professionnels, dont 40 pour la France, vient d’être adressé à António Guterres, secrétaire général des Nations unies, ainsi qu’à Patricia Espinosa Cantellano, secrétaire exécutive de la Convention-cadres des Nations unies sur les changements climatiques.
Lancée par Guus Berkhout, géophysicien professeur émérite à l’université de La Haye (Pays-Bas), cette initiative est le fruit d’une collaboration de scientifiques et associations de treize pays. Publiée au moment où l’agenda international place une nouvelle fois le climat en tête des préoccupations, cette « Déclaration Européenne sur le Climat » est destinée à faire savoir qu’il n’y ni urgence ni crise climatique. Elle appelle donc à ce que les politiques climatiques soient entièrement repensées, et reconnaissent en particulier que le réchauffement observé est moindre que prévu, et que le gaz carbonique, loin d’être un polluant.
Professeur Guus Berkhout
Catsheuvel 93, 2517 KA La Haye
guus.berkhout@clintel.org
Le 23 septembre 2019.
S. António Guterres, Secrétaire général des Nations Unies,
Siège des Nations Unies,
New York, NY 10017, États-Unis d’Amérique.
Patricia Espinosa Cantellano, Secrétaire exécutive,
Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques,
Secrétariat de la CCNUCC, Campus des Nations Unies, Platz der Vereinten Nationen 1, 53113 Bonn, Allemagne.
Vos Excellences,
Il n’y a pas d’urgence climatique.
Un réseau mondial de plus de 500 scientifiques et professionnels expérimentés du climat et des domaines connexes a l’honneur d’adresser à Vos Excellences la Déclaration européenne sur le climat, jointe en annexe, dont les signataires de la présente lettre sont les ambassadeurs nationaux.
Les modèles de circulation générale du climat sur lesquels la politique internationale est actuellement fondée sont inadaptés. Il est donc cruel aussi bien qu’imprudent de préconiser le gaspillage de milliers de milliards de dollars sur la base des résultats de modèles aussi imparfaits. Les politiques climatiques actuelles affaiblissent inutilement le système économique, mettant des vies en danger dans les pays à qui est refusé l’accès à une énergie électrique permanente et bon marché.
Nous vous exhortons à suivre une politique climatique fondée sur une science solide, sur le réalisme économique et sur une attention réelle vis-à-vis de ceux qui sont frappés par des politiques d’atténuation coûteuses et inutiles.
Nous vous demandons d’inscrire cette Déclaration à l’ordre du jour de votre prochaine session à New York.
Nous vous invitons également à organiser avec nous début 2020 une réunion de haut niveau, constructive, entre des scientifiques de réputation mondiale des deux côtés du débat sur le climat. Cette réunion rendra effective l’application du juste et ancien principe, aussi bien de bonne science que de justice naturelle, selon lequel les deux parties doivent pouvoir être pleinement et équitablement entendues. Audiatur et altera pars !
Bien respectueusement,
Déclaration européenne sur le climat :
Il n’y a pas d’urgence climatique
Ce message urgent a été préparé par un réseau mondial de 500 scientifiques et professionnels. Les sciences du climat se doivent d’être moins politisées, tandis que la politique climatique se doit d’être davantage scientifique. Les scientifiques doivent aborder de façon ouverte les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions d’un réchauffement planétaire, et les dirigeants politiques doivent évaluer de façon dépassionnée les bénéfices réels et les coûts envisagés à l’adaptation au réchauffement climatique, ainsi que les coûts réels et les bénéfices envisagés de l’atténuation.
Des facteurs naturels aussi bien qu’anthropiques provoquent un réchauffement
Les archives géologiques révèlent que le climat terrestre varie depuis que la planète existe, avec des phases naturelles froides et chaudes. Le Petit Âge glaciaire n’a pris fin que tout récemment, vers 1850. Il n’est donc pas étonnant que nous vivions aujourd’hui une période de réchauffement.
Le réchauffement est beaucoup plus lent que prévu
Le monde s’est réchauffé à un rythme inférieur à la moitié de ce qui était initialement prévu, et inférieur à la moitié de ce à quoi on pouvait s’attendre en se fondant sur le forçage anthropique net et le déséquilibre radiatif. Cela nous indique que nous sommes bien loin de comprendre le changement climatique.
La politique climatique s’appuie sur des modèles inadéquats
Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes, et ne sont guère exploitables en tant qu’outils décisionnels. De plus, ils exagèrent probablement les effets des gaz à effet de serre tels que le CO2. Enfin, ils ignorent le fait qu’enrichir l’atmosphère en CO2 est bénéfique.
Le CO2 est l’aliment des plantes, le fondement de toute vie sur Terre
Le CO2 n’est pas un polluant. Il est essentiel à toute la vie sur Terre. La photosynthèse est un bienfait. Davantage de CO2 est une bonne chose pour la nature, cela fait verdir la Terre : le CO2 supplémentaire dans l’air a favorisé un accroissement de la biomasse végétale mondiale. Il est par ailleurs bon pour l’agriculture, accroissant les rendements des récoltes dans le monde entier.
Le réchauffement climatique n’a pas provoqué davantage de catastrophes naturelles
Il n’y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses ou autres catastrophes naturelles analogues, ni qu’il les rendrait plus fréquentes. En revanche, les mesures d’atténuation du CO2 sont, elles, aussi dévastatrices que coûteuses. Ainsi, les éoliennes tuent les oiseaux et les chauves-souris, et les plantations d’huile de palme détruisent la biodiversité des forêts tropicales.
L’action politique doit respecter les réalités scientifiques et économiques
Il n’y a pas d’urgence climatique. Il n’y a donc aucune raison de s’affoler et de s’alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique néfaste et irréaliste de neutralité carbone proposée pour 2050. En attendant que de meilleures approches voient le jour, ce qui se produira certainement, nous avons amplement le temps de réfléchir et de nous adapter. L’objectif de la politique internationale doit être de fournir une énergie fiable et bon marché, de façon permanente, et dans le monde entier.
Les ambassadeurs de la Déclaration européenne sur le climat :
Guus Berkhout, professeur (Pays-Bas)
Richard Lindzen, professeur (États-Unis)
Reynald Du Berger, professeur (Canada (francophone))
Ingemar Nordin, professeur (Suède)
Terry Dunleavy (Nouvelle-Zélande)
Jim O’Brien (République d’Irlande)
Viv Forbes (Australie)
Alberto Prestininzi, professeur (Italie)
Jeffrey Foss, professeur (Canada anglophone)
Benoît Rittaud, maître de conférences (France)
Morten Jødal (Norvège)
Fritz Varenholt, professeur (Allemagne)
Rob Lemeire (Belgique)
Viconte Monkton of Brenchley (Royaume-Uni)
métaboliser le changement climatique ! Ah, si c'était possible, de le transformer, de le réduire en petits morceaux, le changement climatique ! Arrêtons d'utiliser un vocabulaire scientifique hors de propos !
Ben oui quoi... moi d'abord... Les autres après ! On verra... (ça va, j'ai bien métabolisé votre chronique, Daniel ?)
Je ne veux pas en rajouter, mais quand vous dites "Greta Thunberg, comme une très grande partie de sa génération, a naturellement métabolisé", je pense que c'est une erreur. Oui une bonne (grande ?) partie de la jeunesse d'une certaine classe sociale favorisée a pris conscience du problème majeur qui nous préoccupe. Mais je ne pense pas que ce soit le cas de la jeunesse de l'autre classe sociale, la défavorisée, la plus nombreuse.
"Les gens souffrent, les gens meurent, des écosystèmes entiers s’effondrent.Nous sommes au début d'une extinction massive & tout ce dont vous parlez, c’est d’argent & de contes de fées d'une croissance économique éternelle"
il n'empêche que :
Le président de la République et le Premier ministre abordent septembre avec respectivement 36% et 38% de bonnes opinions, selon le baromètre politique.
qu'est-ce qu'il vont aller s'emmerder à se remettre en question ?
Macron invite les jeunes à aller dépolluer des plages. Poirson invite Thunberg à se retrousser les manches. La capitulation de la politique face à l'économique est actée. Ces gens ne représentent plus rien que la collaboration. Mais ils ne se sentent aucune responsabilité, car que peuvent-ils si dans ce système la majorité du peuple ne se constitue pas dans une résistance héroįque ? Je suis calme de tempérament, mais ces derniers temps, je sens que j'atteinds mes limites.
Je pense néanmoins que l’erreur serait de se laisser entrainer par ses émotions.
L’émotion, elle laisse à penser que la voiture électrique ne pollue pas, que le diesel est toujours moins bien que l’essence, que les camions au gaz c’est toujours mieux que les camions au diesel, qu’il faut vite aussi abandonner le nucléaire et que l’éolienne et le solaire sont la solution à tous les problèmes.
On s’est affranchis de cette émotion pour accepter l’idée quotidiennement empiriquement démentie que la terre tourne autour du soleil et non l’inverse. Et pour accepter que le climat se réchauffe et que c’est à cause de l’homme.
Alors, dans les solutions à ce problème climatique, il faut aussi faire les évaluatiosn techniques et scientifiques nécessaires pour éviter les fausses bonnes idées qui coûtent de l’énergie et ne règlent rien voire empirent la situation.
Métaboliser ?
Ce qui me rappelle je ne sais plus qui, pris d'une envie de pisser irrépressible au milieu de je ne sais plus quelle réunion, se lève et dit à la cantonade avant de sortir : "urgence métabolique !"
Plutôt que de comprendre, métabolisons.
Je n'avais pas écouté notre président ni sa secrétaire d'état.
On touche le fond du fond avec ces blaireaux (métaphore anomale pour la biodiversité).
"S'asseoir autour d'une table pour se retrousser les manches et réfléchir à des solutions" on reconnait bien là nos DRH complétement déconnectés.
Quand à aller nettoyer les plages on l'a déjà fait dunoeud et par rapport à un voyage en jet d'un milliardaure et tes convois de voitures quand tu te déplace il y aurait un problème que Greta aurait vu avant toi?
Ils soont définitivement nuls (et je suis gentil).
"S'asseoir autour d'une table pour se retrousser les manches ", c'est un élément de langage récurrent du gouvernement qu'on entend depuis quelques mois sur cette question. Ils ne savent répondre que ça. On travaille, nous !
Sauf que, est-ce aux citoyens de trouver des solutions ? Qui a fait les grandes écoles ? Qui a accepté un poste à l'exécutif ? On pourrait leur répondre que c'est à eux de trouver des solutions, de résoudre les problèmes. C'est leur boulot, pas nécessairement le nôtre. Et puis, c'est se moquer du monde quand on sait ce qu'ils font de nos avis dans les "grands débats", les "grandes consultations", les "comités ceci ou cela".
En résumé, ils n'agissent qu'à la marge, bien insuffisamment, ils n'écoutent pas et ils nous disent ensuite de venir travailler avec eux.
Le Guardian commence-t-il à métaboliser ? Surprenant article pour un journal qu'on ne qualifierait pas d'étendard de la gauche radicale…
https://www.theguardian.com/commentisfree/2019/sep/19/life-earth-wealth-megarich-spending-power-environmental-damage
Macron lui métabolise derrière la table
Y a un problème, on fait une réunion
mais c'est lui qui parle et dirige
Gilets Jaunes : Grand Débat
Climat : Convention Citoyenne
Macron est capable d'aller voir un mourant et de lui proposer une table ronde
Cela me rappelle une réplique habituelle d'un feuilleton radiophonique Britannique qui dure depuis les années 50,
The Archers : y a un problème, "let's boil the kettle" uniquement pour boire une bonne tasse de thé, pas trop pour réfléchir
Maintenant sur la condamnation de la France et l'Allemagne quand on a Ikea sous la main... tandis que Trump s'attribue le Nobel de la Paix
Cqfd. Bravo !
Après l'ADN mis à toutes les sauces voici le métabolisme. Utilisation par des gens qui n'ont aucune idée de la physiologie, puisque justement le métabolisme permet de détruire ce qu'on mange en petits morceaux pour utiliser les "briques" pour faire autre chose dans le corps. Le terme me paraît totalement foireux.
plus que retourner l'emballage,
arrêtons la production et donc la vente de tous ces produits dangereux pour la santé, exemples : le scandale des poches d'eau dans les pays pauvres, les boissons trop sucrées et aux multiples additifs...
il devrait y avoir obligation de robinets d'eau gratuite à la place de chaque distributeur et bientôt chacun aura dans son sac un petit gobelet pour se servir
DS: "Ça donne la mesure du chemin restant à parcourir."
Oui...sauf que le chemin, il commence sérieusement à être derrière nous, non?...
A-t-on si bien métabolisé quand on croit encore que les systèmes politiques et économiques actuels contiennent la solution ?
Ces gens là sont des criminels. Pires que les nazis, en fait. Les morts vont se compter en centaines de millions. Il faut les arreter.
d'abord arreter de travailler pour eux. Ensuite arreter d'utiliser leurs monnaies (euros, dollards). Et enfin creer des oasis de vie, autonomes en energie, nourriture et justice.
et bientot il faudra les neutraliser: les empecher de continuer à tout detruire et les mettre devant leur irresponsabilité criminelle.
Tiens... Je n'ai pas encore métabolisé alors ....!
Mais est-ce que ça n'a pas toujours été le cas ?
On a connu la menace communistes qui chez certains était obsessionnelle aussi au point de mettre en place le genre d'opération Condor mettant à feu et à sang toute l'Amérique du sud...
Sauf que là c'est pour le bien de la planète ( ah merde, c'est ce qu'ils disaient aussi les Kissinger et autres consorts )
Oups.......Je sens que je vais en énerver plus d'un...
;-))
"Greta Thunberg, gonflée de colère, ne devrait pas lancer "comment osez-vous ?" aux dirigeants qui l'écoutent."
Et qui l'applaudissent passionnément. Cela m'a semblé indécent, limite obscène. Désespérant en tout cas. Lamentable. Comment osent-ils?
Pourquoi consigner les emballages plastiques qui de toute façon nécessitent des opérations de transformation pour être recyclé et qui d'autre part ne peuvent être inclus dans une économie circulaire puisque le plastique se détériore à chaque recyclage. Si on peut faire des polaires avec des bouteilles plastiques, les polaires ne sont pas recyclables.
Par contre la consigne des bouteilles de verre permettrait non pas leur recyclage mais leur réutilisation, qui demande infiniment mois d'énergie, et qui permettrait à terme de remplacer le plastique pour les emballage de liquide.
Encore une utilisation biaisée de l'argument écologique pour perpétuer une pratique polluante, l'usage des matière plastiques.
Exactement comme les vignettes crit'air dont le seul critère est l'age de la voiture, ce qui abouti à considérer une twingo de 2005 comme plus polluante qu'une porche Cayenne de 2015 (véhicule V8 de plus de 2 tonnes!). Bref on utilise l'argument écologique pour inciter à acheter des voitures.
On dirait bien que Daniel commence à métaboliser ?
Je me demande combien de temps ça va prendre dans le reste de la population.
Ça donne surtout la mesure que ce n'est pas ces gens là qui nous sortirons de la situation dramatique où l'on se trouve (politique, financier, industriel, bourgeois, média moutonnier…). Plus le temps passe, plus, inexorablement, je me surprends à penser que l'on échappera pas à la violence pour changer d'horizon et pourtant, pourtant, ça n'était pas moi qui pensais comme ça il y quelques années…