CNews et l'ARCOM : le problème Roch-Olivier Maistre
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L'Arcom dispose de tous les moyens coercitifs pour obliger les chaînes de Bolloré à remplir leurs obligations légales. Des moyens qu'elle n'utilise pas. Mais de quels moyens dispose le Conseil d'état pour obliger les membres de l'Arcom, nommés par le(...)
On s'imagine déjà le Cnews d'après, celui avec des invités spécialistes des révolutions, historiens de l'école des annales, chercheurs en sciences sociales, observateurs de la LDH, intellectuels anarchistes, journalistes critique médias...
J'ai hâte !
(...)
Peut-être faut-il créer des catégories spécifiques de journalistes :
- les journalistes pétomanes , comme Pascal Prout
- les journalistes légèrement imbibées, comme la Grande Zaza Lévy
- les journalistes qui mériteraient de se faire Maître, comme G.W. G(...)
Derniers commentaires
Demain à 9h, commission sur l'attribution des canaux tnt, asi en direct sur twitch..
Pas vu sur le site.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
bon, voila la réponse du berger à la bergère :
https://www.lejdd.fr/societe/larcom-nest-pas-la-police-de-la-pensee-se-defend-son-president-roch-olivier-maistre-142215
Il faut être vigilant tout de même car des lois ou des façons de faire inventées pour lutter contre l'extrême droite peuvent se retourner contre la gauche plus tard.
Commencer à catégoriser les interventions des journalistes en fonction de leur couleur politique présumée... on peut trouver légitime de chasser les fachos, mais on permet aussi dans un autre contexte - miroir des forme - la chasse au rouge.
Dans la même idée j'ai entendu qu'en Allemagne, pour lutter contre l'AFD et les néos tarés, le pouvoir imaginait fermer le compte en banque des organisations pouvant troubler l'ordre publiqué. OK pour l'AFD, mais demain qu'est-ce qui pourrait empêcher le pouvori de bloquer le compte des organisations écolos ?
C'est d'ailleurs exactement ce qu'il s'est passé avec par exemple le pacte républicain pensé officiellement pour lutter contre les fous de dieu et in fine utile pour museler les assos de gauche.
Je ne vois pas comment mettre en œuvre cette recommandation à moins de ficher tous les intervenants. Veut-on être le seul pays démocratique qui le fera ? Les téléspectateurs ne sont pas idiots, ils savent que quand ils regardent Cnews la couleur de fond est clairement à droite tout comme quand ils regardent les émissions de débat de France 5 la couleur est de gauche pour ne pas dire gauchiste. Idem entre Europe 1 et France inter. Ce n'est pas en censurant ce courant de pensée que cela va le faire disparaitre, au contraire cela lui permet de se victimiser et être en opposition à la bien pensance gauchiste qui a montré son inefficacité pour enrayer le déclin de la France depuis des décennies
C'est mal barré pour que le pouvoir s'attaque aux médias de Bolloré. Comment voulez-vous que l'ARCOM intervienne pour sanctionner le manque de pluralisme de Cnews quand la ministre de la Culture choisit Cnews (après avoir tenu le même discours l'avant veille dans le JDD, un autre média de Bolloré) pour, au contraire, dénoncer le manque de pluralisme dans le service public de l'audiovisuel ?
On se répète mais disons le encore une fois : abolissons la pub !
CNews comme sa grande sœur Fox News sont avant tout des media commerciaux qui doivent rapporter des bénéfices, et ils ont compris que les idées fasciste se vendent très bien et se fabriquent à pas cher.
Sans pub, il y aurait nettement moins d’intérêt pour un Bolloré : contrôler l'opinion c'est bien, mais faire du fric c'est quand-même mieux. D'autant que sans pub il faudrait vendre un abonnement, et ça réduirait pas mal l'audience.
L'abolition de la pub, ça résoudrait des tas de problèmes de société d'un seul coup.
Sortir Cnews de la TNT, un accès gratuit pour les chaînes, ce serait déjà bien. Quand les licences seront renouvelées. Pour l'heure Mabrouk, Praud, Ferrari affûtent les couteaux et se présentent comme des victimes. Je ne vois pas comment l'Arcom va procéder pour transformer le media de propagande réac de Bolloré en télévision ouverte a toutes les opinions.
LCI remplit ses quotas de gauche la nuit
ASi nous a déjà soufflé la solution!
la téléréalité dans un monastère a intéressé 600k téléspectateurs, soit ce que compte la France de KTO !
il ne faut pas regarder, il y a tellement d'autre émissions intéressantes comme "complément d'enquête" hier soir qui a passablement agacé Eli Barnavi, il y avait trop de "mais" à son goût
Al Jazeera est souvent qualifiée de propagandiste mais CdE a déniché une télé libanaise qui fait passer sa grande sœur pour bécassine !
Dans les éléments de contexte, il faut noter que le départ de Rima Abdul Malak ne correspond pas seulement à son léger écart par rapport à la ligne du parti, elle a "menacé" les moulinettes à Bolloré (C8/Cnews), s'ils continuaient leur manège . On a vu les députés sentinelles du LR et RN, on a vu des radios extrême droite (Sud-Radio) monter au créneau et se fâcher tout rouge, contre elle.
Avec Rachida Dati (ce gage Macronien), Bolloré peut dormir sur ses deux oreilles.
"Quand on commence à brider la liberté, on ne sait pas bien où l’on s’arrêtera… Soyons donc très vigilants.""
Désolé de le dire, mais le type qui cite ça est complètement con. La liberté est par définition "bridée".
"Dans la vision du monde, marquée par le grand écrivain réactionnaire Châteaubriand, de cet ancien conseiller de plusieurs gouvernants de droite, "la liberté", s'entend uniquement comme celle de l'actionnaire."
Voilà, on y vient. La liberté du fric doit être garantie, et comme le fric, il va ruisseler.
Personnellement je trouve la décision du conseil d'état et le débat autour à côté de la plaque. Le problème, c'est l'asservissement des journalistes à l'itérêt d'un actionnaire, il faut donc s'attaquer à la déconcentration des médias. Problème, comment la presse se finance-t-elle sans les milliardaires ? C'est à cette question qu'il faut d'abord répondre. il me semble que Julia Caga avait sorti un bouquin qui posait des éléments de réponse.
La question qui se pose, est simplement celle du poids de Bolloré parmi les oligarques français. Quand il a s'agit d'interdire RT-France, il n'y a pas eu de débat (un média que je n'ai jamais regardé, mais pour moi, l'unanimité de la presse pour interdire RT-France me semblait critiquable et le reste aujourd'hui). Alors, maintenant pour C-News (que je ne regarde pas non plus), je trouve que l'on se cache derrière son petit stylo numérique. Les journalistes du service dit public, n'ont pas vraiment non plus beaucoup de marge de manœuvre ni de diversité des sensibilités politiques et sociales. L'ensemble de la presse et de la société avec, a basculé à droite-droite. Dans moins de 4 ans, on verra bien si la question n'est pas devenue obsolète. Est-ce seulement une question de temps pour que tout le monde s'habitue ? Je le crains !
Bien vu malheureusement
Solution foireuse qui donne des billes à la la victimisation, bien pensance, on peut plus rien dire, on dérange.... Il y a pas des arguments juridiques pour enlever l accréditation et donc taper dans le portefeuille, voire des avertissements menaçant d'un retrait de la fréquence sur des points précis (fake news, encouragement à la haine, diffamation) ? Vous forcez pas à revoir l'intégrale de p.
Je profite de l'occasion pour remettre la pétition, s'adressant au président de l'ARCOM : https://speakout.lemouvement.ong/campaigns/non-au-renouvellement-de-lagrement-de-cnews-et-c8
"Non au renouvellement de l'agrément de CNews et C8"
Bien sûr, il y a peu de chances que ça réussisse, mais l'intérêt d'une telle démarche, c'est de se compter et d'avoir des arguments.
A propos des journalistes : je crois qu'il y a beaucoup à apprendre des discussions en sciences et en médecine : qui et qui n'est pas scientifique ou médecin. Cela passe par 1/ des diplômes (ce point se discute, d'ailleurs il n'est pas essentiel pour publier des articles scientifiques), 2/ une méthode, 3/ un vérification par les pairs des dires. Cela a et nécessite toujours (du coup) d'une lenteur, d'un temps de maturation (que les journalistes ont perdu, hors investigations). Croyez bien que les lobbys en tout genre essaient sans cesse "d'accélérer" la recherche, de faire sauter le point 2 et 3, voire le point 1 pour la FNSEA, l'industrie pharmaceutique, etc.). La deuxième implication est que ceux qui ne respectent pas l'étape "méthodes" et "vérifications par d'autres scientifiques" (appelé évaluation par les pairs) ne peuvent publier des articles de sciences, on appelle cela alors autrement : des manuscrits, qui ne sont pas gage de sérieux sur lesquels on peut affirmer dans un débat scientifique. Dans une question aux assises du journalisme à Tours, j'avais tenté d’attirer l’attention de DS sur ce point : Les sciences ont été confrontés à ce problème depuis 2 siècles et ont trouvé des solutions (certes pas parfaites, mais qui encadrent bien tout de même, malgré les coups de butoirs des différents lobbys et politiques)
Les journalistes devraient faire ce distingo entre ce qui relève du journalisme et n'en relève pas, et mettre cette "méthode" dans une loi : est du journalisme un truc qui respecte une méthode et qui a été soumise à un regard extérieur, qui connait ces règles et les pratique, et a été tirée au hasard. Ensuite, le reste relève du contradictoire. Le reste ne doit pas être utilisé ou dit : un débat doit se faire sur des documents méthodiques et vérifiés avec son référencement précis et vérifiable, sinon l'animateur du débat interrompt la personne et lui dit que cet argument est invalide, en a-t-il un autre ? Enfin, dans la méthode inscrire que les points de vue différents doivent être retranscrit factuellement. Bref, ce que font les articles scientifiques depuis au moins un siècle malgré les passions et les débats tout aussi clivant que dans notre société.
Un étage plus loin : ce qui n'est pas du journalisme : l'appeler autrement. Et dire et redire que ça n'a rien à faire dans le débat publique, et ne peut être subventionné par le Commun, seulement par le privé et sur des moyens privés. Par exemple, hop, cnews à99%, ça gicle sur internet, par satellite, ou tout autre diffusion privée. Quand ils auront des débats sur des investigations de journalismes avec une méthode et une évaluation par des pairs tirés au hasard et en double-aveugle, alors ils pourront revenir dans le giron commun des ondes publiques.
Il va falloir statuer que quand on saute d'une actualité à une autre dans l'émotion et l'indignation du moment, ce n'est donc pas du journalisme mais de l'éditorialisme. Avec ce prisme, de fait, cnews & cie ne sont pas des chaines d'info en continue, mais des chaines d'éditorialismes, et donc n'ont rien à faire sur la TNT financé par nos impots. A l'inverse, beaucoup de travaux d'ASI, du monde diplo, de Off-investigation, etc. c'est à mettre sur le service publique (onde radio en podcast ou tnt pour les vidéos).
L'erreur si on suit l'experience scientifique est l'arcom ou un comité fixe qui évalue, l'évaluation par les pairs, c'est un tirage au sort dans un pools de gens avec des publications proches en thème. Avec un tirage au sort de 3 pairs pour évaluer un article ou une vidéo avant publication comme "article ou média de journalisme", moins de corruption et de colusions possibles.
Bolloré ne possède pas seulement des médias de merde, mais également des usines de merde.
M'est d'avis qu'il bousculera pas grand chose. Oula faut pas bousculer l'ordre en place mon brave M.
Navalny est mort , vive Assange !
"Souvent la foule trahit le peuple " Toujours l'oligarchie trahit le peuple !
Peut-être faut-il créer des catégories spécifiques de journalistes :
- les journalistes pétomanes , comme Pascal Prout
- les journalistes légèrement imbibées, comme la Grande Zaza Lévy
- les journalistes qui mériteraient de se faire Maître, comme G.W. Goldmachin,
- les journalistes qui souffrent d'une langue suburrale , à force de lécher des endroits pas très propres, comme la Sainte Patronne des Garagistes,, son mari, son beau-frère presque sénile, et son fils méritant ....
- les journalistes qui mériteraient une bon réglage et un rodage de soupapes, comme Lolo Ferrari
- les journalistes à écharpe rouge, Docteur en toutologie, comme Cricri
- les " jouralistes " animateurs, têtes à claques, comme Hanoucca - ca
- les journalistes " économiques " , avec une faible formation en Economie, comme Nique-Nique
et bien d'autres qui ont tendance à faciliter mon transit intestinal.
Peut-être qu'en appliquant la Charte des journalistes, on avancerait déjà un peu ?
Difficile de décompter le temps de parole d'un invité qui peut dérouler tranquillement son argumentaire et celui à qui on ne laisse pas le temps de répondre... Les usagers pris en otage qui ont la parole et les syndicats qui ne l'ont pas. La FNSEA qui a la parole et la Conf qui ne l'a pas.... Tout le monde a des exemples de ce genre...
Difficile de prouver qu'une St Cricq (et combien d'autres !) est une journaliste d'opinion et pourtant, quand on l'écoute, on comprend assez vite que la gauche n'est pas sa tasse de thé...
Bien sûr la décision du Conseil d’Etat est une bonne nouvelle et bien sur DS a raison l’application va en être plus que délicate.
Au-delà de la victoire symbolique qui est toujours bonne à prendre, la question du pluralisme dans les médias va au-delà de la question de Cnews et c’est un débat un peu récurrent sur Arrêt sur image.
Propagande grossière des uns, propagande subtile des autres, quelle est la plus dangereuse ?
Cnews n’est pas une chaîne d’informations mais une chaîne de propagande. C’est clair, ce n’est pas pour autant acceptable mais c’est sans ambiguïté. Ceux qui la regardent ne sont pas trompés sur la marchandise.
Qu’en est-il des autres médias des milliardaires ?
Aujourd’hui, cette question ne se pose pas dans l’absolu, ce n’est pas qu’une question théorique de principe, un sujet de dissertation pour élève de terminal. Cette question se pose alors que le RN est aux portes du pouvoir.
Cette dramatique situation n’arrive pas de nulle part. Bien sur plusieurs facteurs sont en cause, mais les médias ont apporté leur pierre à cette catastrophe annoncée. Les journalistes de valeurs actuelles sont devenus peu à peu incontournables sur tous les plateaux. Et les idées du RN repris même sur le service public (voir lors du vote de la loi immigration : G.Borstein et A. Uzan déchaînés qui ont fait sortir S.Rousseau de ses gonds face à leurs arguments odieux.).
Le RN qui porte cravate à l’extérieur et cravache à l’intérieur a été minutieusement dédiabolisé alors que dans le même temps la FI a été systématique diabolisée. Le lamentable épisode de l’hommage à R. Badinter en est l’illustration.
A partir du moment où la FI a eu des députés, les journalistes se sont positionnés dans les interviews comme opposants et non comme interviewers.
Le face à face Latrouse/Panot de ce matin sur BFM en est un exemple parfait. La journaliste haineuse contre les cheminots grévistes et incrédule que Panot n’adhère pas aux arguments éculés du premier ministre d’extrême droite Israélien : Israël se défend.
Il est évident que si les milliardaires ont investi dans les médias c’est essentiellement pour asseoir leur pouvoir économique et politique. Quand le capitalisme est en crise il mise sur l’extrême droite et la guerre, c’est hélas une loi d’airain. C’est ce que font ces médias en ce moment.
Les milliardaires jouent leur partition via les cartes de presse à leur service. C’est logique.
On comprend moins le jeu de média dit de gauche comme médiapart qui en tapant continuellement et méthodiquement sur LFI font aussi le jeu de l’extrême droite (voir sur le blog de Leaument : Nos idiots utiles dans la classe médiatique ou dans le monde diplomatique : Le journalisme français, un danger public).
Ce qui est subtilement distillé est souvent plus dangereux que ce qui l’est sans masque.
Ils seront responsables devant l’histoire de la venue de l’ED au pouvoir.
« Ne faudrait-il pas distinguer "journalistes" et journalistes ? Questions sacrilèges, mais après tout, puisqu'à CNews, on adore "bousculer les tabous et le politiquement correct", allons-y ! »
Si vous voulez distinguer « journalistes » et journalistes, autrement dit journalistes et propagandistes, il y aura un sacré ménage à faire dans tous les médias. Et pas seulement sur CNews .
On pourrait déjà dégager les milliardaires propriétaires des médias. Ne comptons pas sur les carpettes de l’Arcom pour cette tâche. D’ailleurs si ils y ont été nommés, c’est bien pour les capitalistes au pouvoir ne soient pas trop bousculer.
Il faut espérer que le personnel de l'ARCOM n’est pas trop « has been » pour prendre la mesure des révolutions de son temps.
En l’occurrence ce qui saute aux yeux quand on s’intéresse un peu aux IA de type LLM (ChatGPT par exemple) c’est l’obséquiosité médiane qui constitue indiscutablement leur marque de fabrique.
Une IA branchée en permanence sur les programmes d’une chaine de télévision est capable de mettre en évidence le déséquilibre cumulé des opinions diffusées (quel que soit l’émetteur), déséquilibre mesuré par rapport à une médiane qui est la position intrinsèque de l’IA. Cette position peut être acquise grâce à l’ingurgitation de milliers d’heures de programmes soigneusement sélectionnés par l’ARCOM.
Charge ensuite aux programmateurs de chaque chaine ainsi qu’aux animateurs, pour peu qu’ils en aient le savoir-faire, de diversifier les invitations et de tenir leur plateau comme il se doit afin de s’approcher de l’équilibre prescrit par l’ARCOM.
Bien entendu, ce contrôle "à la sortie", n’est pas incompatible avec la méthode traditionnelle "en amont" de diversification des invités et de l’équilibre de leur temps de parole, l’IA se chargeant d’y ajouter la partie habituellement aveugle du journalisme purement d’opinion.
Bref, vivre avec son temps c’est encore le moyen de se défaire de l’influence de ces réactionnaires ‘moisis’ comme disent les djeuns.
L'Arcom dispose de tous les moyens coercitifs pour obliger les chaînes de Bolloré à remplir leurs obligations légales. Des moyens qu'elle n'utilise pas. Mais de quels moyens dispose le Conseil d'état pour obliger les membres de l'Arcom, nommés par le pouvoir, à faire leur boulot ?
On s'imagine déjà le Cnews d'après, celui avec des invités spécialistes des révolutions, historiens de l'école des annales, chercheurs en sciences sociales, observateurs de la LDH, intellectuels anarchistes, journalistes critique médias...
J'ai hâte !
Et en plus ça pourrait servir d'exemple au service publique.