Sur le vif ....

Ces images m'interpellent ...

http://i749.photobucket.com/albums/xx132/htintin/lignejaune001.jpg
http://i749.photobucket.com/albums/xx132/htintin/lignejaune002.jpg
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... des policiers encapuchonnés comme des casseurs ?

Catherine Barba parle de "blacklistage" de Mailorama.fr par les gros annonceurs comme la Fnac. A ma dernière visite sur ce fabuleux site, je constate que les grandes marques (adultes et enfants) y sont toujours présentes... Faut-il penser qu'une fois le buzz négatif passé, il y a des motivations pour rester présent (à tout prix) avec ce type de partenaires ?
A lire pour la route, la charte déontologique du groupe propriétaire de Mailorama:
http://www.rentabiliweb.org/valeurs.html

Un qui sait toujours si bien faire du buzz, et qui sait encore mieux choisir ses combats c'est le dernier-plus-grand-de-tous-les-philosophes, toujours a la pointe de la defense des valeurs essentielles :

>< Rentabiliweb : BHL défend son ami distributeur de billets ( sur Eco89 ) ><

Après le dîner on alla prendre l’air dans l’avenue où se tenoit une espèce de foire. On dansait, les messieurs daignerent danser avec les paysannes, mais les dames garderent leur dignité. On vendoit là des pains d’épice. Un jeune homme de la compagnie s’avisa d’en acheter pour les lancer l’un après l’autre au milieu de la foule, & l’on prit tant de plaisir à voir tous ces manants se précipiter, se battre, se renverser pour en avoir, que tout le monde voulut se donner le même plaisir. Et pains d’épice de voler à droite & à gauche, & filles & garçons de courir, de s’entasser & s’estropier, cela paroissoit charmant à tout le monde.
Jean-Jacques Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, 1782, Promenade IX
Voilà ! Rentabiliweb en avait rêvé, Rousseau l'avait vu (bon, dans la suite du texte, il fait son insupportable poseur donneur de leçons, mais c'était bien raconté, quand même).

Mme Cash Back, redoutablement séduisante avec ses yeux de biche qui vient pour faire sa pub.

GB un peu mou, sans doute parcequ'il connaît trop ses deux autres interlocuteurs, donc difficile de relancer peut-être quand on connaît à l'avance la teneur des réponses (sauf avec M. France info sur ce qui est buzz et pas buzz...).

Pourquoi ne pas avoir évoqué les actionnaires de Rentabiliweb (Messier, Arnaud, ...) qui récupèrent les dividendes de l'exploitation de sites pour adultes (le Canard enchaîné de cette semaine se serait-il fourré le doigt dans l'oeil ?) ?


C'est ma liberté d'avoir ces impressions forcément subjectives, mais j'ai trop péché par ailleurs pour jeter la (première) pierre à GB...

Merci à Bruanne d'avoir détaillé une partie de mon impression, mais je ne me désabonnerai pas, c'est important de soutenir des initiatives telles qu'ASI dans notre monde médiatique actuel.

http://www.youtube.com/watch?v=4zBOPFFxIjk&feature=player_embedded

Ca, ça mériterait un "arrêt sur image". On peut continuer à faire comme si de rien n'était. Mais ça va devenir de plus en plus compliqué...

Etonnante cette fille qui passe son émission en prenant des postures d'attention totale mais qui ne communique jamais sur autre chose que la dimension économique du sujet. Ces temps ci j'en viens à me demander s'il est encore possible de débattre avec ces personnages et leur langage clos. Tiens je crois que je suis en train de proposer un super sujet d'émission pour bientôt..; Des intervenants extra-journaleux certes mais avec l'idée que l'information n'est pas une marchandise et qu'on peut parler de marchandises sans aucun marchand à la table.
Je finirai par ce triste aveu, à la place des journalistes du plateau je crois bien que ma température corporelle aurait servie de chauffage.

Merci à Guy pour cette émission intéressante.

Concernant la fausse pub interdite pour Sprite, je n'ai pu m'empêcher de penser à une vraie pub censurée pour Perrier... qui date des 70's.

On peut la lire ici.

Tout compte fait, j'ai bien l'impression que le buzz, c'est finalement de la provoc' à but commerical... Ça n'est pas vraiment nouveau, c'est simplement que le web permet une diffusion plus massive et que les tabous contemporains sont transgressés plus trashement...

http://www.freshngood.com/?p=3246

http://ow.ly/Dxdo

Je viens à peine de commencer l'émission et je me faisais les memes reflexions que Klérian aux propos de D.Abiker sur le "non sujet de société". Une telle allégorie sur la redistribution des richesses, et avec quel cynisme...pas de débat !!! ??
Merci à Tom pour le démasquage rapide.

Cher Guy ou cher M Birenbaum, vous qui réagissez souvent sur votre forum de LJ, et avec qui je partage le "j'aime bien savoir d'où on me parle", (2eme émission, je crois) pourriez vous nous donner votre opinion en la matière et nous éclairer à propos des lacunes sur le CV de la dame ?

A mondialisation : société-tripot !

Tout un nouvel humanisme avec cashback !

Les fils-de-pub sont has been.

Sourire Colgate, discours sur la moralisation du capitalisme et usage approfondie de la novlangue Orwellienne "on va vous donner de l'argent", ça rappelle rien ?

Catherine Barba est membre de "Renaissance numérique". Renaissance numérique, c'est la boite à idée de l'UMP sur l'économie numérique qu'à amené Nathalie Kosciusko-Morizet au moment de la campagne.

Dites, Guy, ce serait pas Abiker qui vous a fourni son numéro de téléphone, par hasard ?

Ce qui est drôle, c'est que les rois du cash-back ont voulu faire du cash-forward et qu'ils se sont plantés.

Chacun son métier.


http://anthropia.blogg.org

Catherine Barba quelle grace, quelle classe et quel charme !

Bouh là, je n'ai pu détacher mes yeux de cette femme.

Au fait, l'émission ça parlait de quoi ?

sic

Sur le fait que distribuer de l'argent n'amène aucun débat.

Je dirai plutot que ça amène un débat qui ne vous intéresse pas.
Quels sujet majeur cela peut-il soulever ?
Vous l'avez pourtant dit vous-même ==> c'est le roi qui distribue des deniers à la populace.

En décryptant ce phénomène sous une certaine grille de lecture, tout devient très clair. : nous avons un parfait exemple d'un situation de lutte des classes.
D'un côté, une population pauvre, ou issue des classes moyennes, prête à faire plusieurs bornes pour se rendre à un endroit où on va distribuer de l'argent.

De l'autre, une équipe d'investisseurs et de commerçiaux, soldats idiots du sarkozysme*, organisant une opération de distribution d'argent en prenant bien soin d'annoncer qu'une partie sera reversée au secours populaire pour se donner bonne conscience.

Au milieu, une préfecture incapable de prendre une décision solide (ne pas déplaire au grand patron qui dézingue un préfet à la minute quand dès qu'une mouche le pique). Un argument d'une tartufferie absolue ===> "nous ne pouvons rien interdire car, constitutionnellement, la liberté de manifester prévaut."
Quand on sait que c'est la préfecture de police qui déclare, on peut rigoler doucement.

La même préfecture de police, par la bouche de ses agents assermentés, se permettent (et ça m'est arrivé) de vous dire :
- vous devez savoir que tout rassemblement de plus de 3 personnes dans l'espace public qui n'a pas été déclaré aux autorités peut déboucher sur une "visite"...

((la "visite" en question, c'est le terme bien joli tout propre pour te dire qu'on va te foutre en garde-à-vue dans une pièce suintant la vieille pisse).

Résultat des courses :
- une société commerciale qui a foutu un boxon pas possible défendu par un Me Fedida (ultra libéral chevronné) en pleine forme.
- des gens qui se sont fait agresser et qui n'ont rien demandé à personne.
- une partie de la population répondant à une offre plus qu'aléchante (des sous !!!) et qui en a pris plein la gueule : comparution immédiate / avocat d'office incapable de suivre le dossier faute de temps.

Me connaissant, en me projetant à la tête d'un Etat (projection totalement mégalo de ma part), j'ai une petite idée du lieu où auraient été déférés le Sieur Bourkis et tous ses petits amis madelino-libéraux compatibles....

Voilà, en gros, David, les questions soulevées par cet acte qui tient du capitalisme et de la technique animale du chacal.

@sicalement,

Cyril.

L'argent ça n'a pas d'interêt
wow

Il y a le bruit, le buzz, et le même (de l'anglais "internet même"), consécration ultime du buzz . La plupart du temps c'est du bruit, parfois c'est du (vrai) buzz, et le même, c'est hyper rare mais on est tous tombés sur un en surfant. J'aurais bien aimé avoir un vrai créateur de buzz (non marketing), càd un acteur du ouaibedeuxpointzéro (genre Mozinor ! un vrai créateur de videos qui buzzent), pas deux observateurs et une commerciale, désolé de le dire mais j'ai trouvé que ça tournait un peu en rond.

Et en plus le buzz a été fait initialement par planetreduction.com, comme on peut le voir ici et là sur ces vidéos mises en ligne le 27 janvier 2009.

Le problème résultant des sites comme "Jefaismesdevoirs.com" ou de l'émeute de mailorama n'est pas, à mon sens, celui du buzz.

La preuve en est que le débat n'a pas apporté grand chose de ce côté là. Passé la définition, que dire ? Faire une échelle des buzz, ou mieux, une balance des bons et des mauvais buzz, des buzz rapportant à la une des questionnements sociétales nouveaux, et de l'autre ceux qui sont éculés... Tous ces buzz sont forcément à relier à notre société, et certains sont plus racoleurs ou transgressifs que d'autres,
mais quoi ?

Si je dis que le cas mailorama n'est pas le problème du buzz, c'est que ce qui m'importe au fond dans ce cas précis, c'est que la mentalité de ce jeune homme (qui a à peu près mon âge) m'inquiète. Il est apparemment de ces gens, nombreux, qui courent derrière l'IDEE avec laquelle ils feront (enfin) fortune. Et cet homme qui court derrière l'idée géniale qui va le rendre célèbre et riche, voulait faire courir lui-aussi des gens derrière un bus plein d'argent ! C'est merveilleux.

Vu de cette manière la mentalité de ce jeune Boukris ne parait plus si éloignée des gens qui se sont rendus sur place samedi. Je ne veux pas le dédouaner de son idée misérable entendons-nous bien, ni enfoncer des miséreux. Je trouve évidemment cruel et abominable de faire courir des morts de faim (ce qui est sûrement éxagéré pour la plupart, mais bon) derrière un bus publicitaire. Mais le rapprochement m'est venu à l'esprit. Ce monde publicitaire, l'idéologie colportée par ce "buzz" n'a en soi pas choqué les gens qui se sont rendus là-bas. Je veux, dire, ils en voulaient d'avantage si j'en crois les vidéos, aux autorités qui auraient fait annuler l'événement, plutôt qu'au publicitaire lui même, et cela m'interpelle.

Le problème réel que cela révèle je crois, c'est l'absence grandissante de jugement en interne du bien et du mal (au sens de ce que le JE juge comme bon ou mauvais), une absence totale de Surmoi. Ce "jeune entrepreneur qui innove" (sic) s'en remet à l'Etat, aux institutions pour débattre de sa morale. S'il n'y a pas de loi, c'est que j'ai le droit de le faire, quel mal y aura-t-il alors ? Pourquoi fais-tu cela ? Parce que je peux. Ainsi il faudrait une règle pour tout... pour une déresponsabilisation collective.

Du propre aveux de Boukris, la morale n'est pas son affaire, il a des avocat qui ont traité la chose pour lui, à la place de son cerveau, juridiquement.

Voilà en tous cas, à titre personnel, ce sur quoi ce buzz-là m'a fait réfléchir.

Merci pour l'émission.

Lu sur le site ;
« Mailorama.fr, est proposés par la société RENTABILIWEB EUROPE (ci-après « Mailorama.fr »), sise 53 rue Vauban – 69006 LYON, SARL au capital de 12.000 Euros ».

Je passe souvent devant cette adresse.
Il me semble que c’est une boutique, (qui vend du service informatique ?) et à déjà plusieurs fois changé d’enseigne.
Je vous fait un compte-rendu demain…

societe.com, SARL au capital de 12 000 €, et activité : Edition de logiciels applicatifs - 5829C
code NAF 5829 C
La gérante est « Corinne CHATAL », Vice-présidente du Groupe Rentabiliweb ?
Là c’est l’arnaque, il me semble que dans une SARL (dont 12 000 euros était le capital minimum pour la création), le titre du dirigeant est Directeur, le gérant étant responsable pénalement.
On peut dans une SARL être Directeur-Gérant, ; Directeur administratif et Gérant ; etc. ; mais ni Président [uniquement SA et SAS] et à fortiori Vice-président.
Pas très sérieux toussa…
Un titre pour péter plus haut que son QI ?
rigolorama.fr

46:30 Internet n'est pas un media, mais un "bistro". Bien dit !

53:38 ... " A quoi ça sert le buzz? A faire du buzz" (GB)
A quoi ça sert de faire une émission qui parle de buzz? A faire une émission qui parle de buzz.

Non mais sans rire, ces communicants, ou commerciaux (comment doit-on les appeler?): regardez la fille lancer aux 2 journalistes en face d'elle qui viennent de raconter que Boukris les avait prévenus: "Il a appelé tous les journalistes QUI COMPTENT." Mais elle ne comprend pas que ça se voit gros comme des maisons, ses ficelles pour flatter? On se prétend "mère la morale" mais on ne met pas en avant un look Boutin.
Et l'autre, à chaque fois le même argument avant ses plantages: "J'ai trois agences qui bossent dessus, j'ai sept avocats qui bossent dessus". Ce type s'exprime par mots-clefs, pas fichu dirait-on de faire un lien logique!
Consternant.
Je m'étonne qu'on n'ait pas du tout mentionné le type à nattes collées qui était derrière, ceci dit.

Émission décevante.

C'était déséquilibré, deux analystes de buzzs et une qui crée les buzzs. J'ai trouvé que Catherine Barba n'a pas beaucoup parlé, je n'ai pas retenu de chose intéressante de sa part. À part que j'ai à peu près compris le "cash back".

La trame de l'émission est moyenne. Pourquoi avoir choisi ces buzzs? Le premier est un fait d'actualité. Le deuxième montre que celui qui a fait le buzz précédent est un récidiviste. Mais le troisième j'ai pas bien compris le rapport avec les deux autres... Je pense qu'on aurait dû partir sur des bonnes bases en définissant ce qu'est le buzz.

Guy était en petite forme comme l'a montré sa conclusion shakespearienne.

Se désabonner or not se désabonner telle est la question

Si j'ai bien compris le "principe" du cash-back, je n'arrive toujours pas à comprendre comment on peut dire qu'on fait "gagner" de l'argent aux gens sur un site dont le principe est tout de même d'en dépenser à l'achat (j'aimerais bien savoir de quoi d'ailleurs) ?
Cette façon de se draper dans le manteau de la vertu me gêne pour ne pas dire plus. Elle n'a pas dit "Nous, on fait gagner de l'argent, on ne fait pas de bénéfices". Mais elle n'a pas dit le contraire non plus. Tout doucement elle semble vouloir insinuer l'idée que son site d'achat est altruiste et généreux. Une belle entourloupe.

16:40 ... "une petite boîte qui n'a pas les moyens de se payer du 20h à TF1, c'est génial de pouvoir utiliser des moyens alternatifs pour avoir une grosse visibilité..."

A cette heure-là, sur TF1, c'est bien le journal, non ? Les "informations" ? Amusante, cette fille, comme elle a intégré un fait qui échappe aux "boeufs" dont parlait Gavroche sur un autre forum...

Pour moi, le buzz réussi c'est justement tout ce qui échappe au contrôle, au calcul, au plan com', à l'info tendance canal historique. C'est le gars tout seul qui fait la nique aux géants de la com' avec sa vidéo, en réinventant leurs méthodes, pour un million de fois moins cher. C'est ça la "guérilla marketing", la guerre faite aux géants avec des bouts de ficelle, trois élastiques et deux crottes de nez (pardon pour l'image), tout le reste c'est de la pub, même bien ficelée, faite par des professionnels qui veulent faire du pognon un point c'est tout.

En l'occurrence, leur "guérilla" s'est transformée sur ce coup-là en "Bérésina marketing", et un échec cuisant pour des "pro" sans scrupules fait toujours son petit effet dans le microcosme, celui de faire mesurer à ces gens cyniques qu'on ne manie pas impunément des concepts de bobos en mal de sensations, des idées fumeuses d"intellectuels" déconnectés, que la réalité est plus brutale que leur vision du monde se limitant à leur loft douillet, leur stock de coke et leurs plans carrière. Le "boomerang marketing", voilà un nouveau concept à creuser, découvert spontanément par l'incurie de ces idiots décadents.

Quant à la dame, sympathique au demeurant, qui s'agite sur le terrain de la morale concernant Failorama, mais qui estime que si la fausse pub du soda -qui est vile à souhait, véhiculant les pires codes en la matière- fait vendre, eh ben banco et boum shankar, tout ce qui fait vendre est bon, laissez-moi rire sur sa conception de la morale, qui doit s'expliquer simplement en terme de parts de marché.

Elle a grossi, Victoria Beckham.
Du cerveau ? Pas sûr.

Guy et sa montre de playmobil,
Pas comme Julien Dray.

Le buzz, le buzzing,
Champignons de la consternation.

Préfère encore les bugs.

Jd

P.S.
hommage et dédicace au gamma style...

Le buzz, c'est le buzz, qui fait buzzer le buzz, qui buzze des buzzes à l'intention des buzzeurs qui agitent le buzzer pour buzzer.

CQFD. Mais finalement intéressant. J'aurais aimé peut-être des trucs sur les political games ou les marketing games, du type dont parle David Abiker, à propos de Volvo et de l'escalier piano, comment de manière souterraine nous pubpolluer.

C'était l'étape suivante du buzz, le trois-couches, le mille-feuille idéologique dont on ne trouve la crème Montblanc qu'à la dernière bouchée, quand on a oublié que c'était de l'idéologie au service du produit ou d'un parti. Comme l'ami Coppé, qui avait commandé un jeu vidéo (appel d'offres à gros budget) sur le budget de la France, façon de montrer de manière ludique que construire un budget national, c'est le job bien fait de l'UMP aux manettes. Ce n'est pas seulement le storytelling, c'est la stratification idélogique, avec le double effet kiss-cool, on croque, ça a l'air bon, puis on tombe sur le fresh effect, trop tard, t'es dedans.

http://anthropia.blogg.org

Parfois, et c'est le cas pour cette Ligne J@une, le visionnage d'une émission d'@SI me laisse perplexe.
Est-ce moi qui ai loupé une marche en rentrant ou quoi ?! Parce que je ne comprends pas bien où va le
débat, certains détails du sujet initial deviennent des autoroutes, et au final ma pensée se met à divaguer
toute seule, comme si elle essayait de compenser le déficit éditorial de la discussion qu'on lui propose.

L'expérience (et peut-être la fainéantise certes) m'ont enseignées que dans ces cas-là il n'était pas forcément
constructif de se poser mille questions et d'aller chercher plus loin la réponse logique : l'émission d'aujourd'hui
est malheureusement quelque peu ratée. C'est en tous cas le constat que je fais ce soir, non sans déception.

Comme l'atteste bien le lien vidéo proposé par "Stanley MILGRAM" ci-dessus, le buzz peut être expliqué
d'une manière infiniment plus claire et concise que ce que nous propose la Ligne J@une dans cette émission.

D'autre part, la gravité des évènements qui se sont produits à Paris (suite au fiasco de l'opération marketing)
méritait il me semble un traitement plus sérieux de la part de l'équipe, et des questionnements dépassant
de loin celui du buzz médiatique. C'est une question sociétale et politique de fond qui s'exprime ici, non ?!

Apprendre de la bouche d'une VRP en mini-jupe affichant un sourire Colgate en guise de cerveau, que finalement
le buzz n'est qu'une forme de publicité, je ne suis pas sûr que cela fasse avancer énormément notre information
ni notre sens critique. Écouter David Abiker tourner avec nervosité autour de son nombril non plus, d'ailleurs.

D'habitude j'apprécie beaucoup la Ligne J@une et l'incontestable talent de son présentateur, mais là c'était très mou.

Bref... on fera mieux la prochaine fois, pas grave ! Bonne continuation ;-)

J'attends avec impatience la réaction des @sinautES
héhé,
les gueuses sont bien traitées ;-))
bof, vous avez l'habitudes (indéfinies)
A plus
PS:
ce message ne concerne que les nanas,
sans rancune
gamma

On peut maintenant télécharger la vidéo !
Chaque chapitre fait environ 100 Mo et il faut plus de 15 minutes pour le télécharger, (soit un débit de 100 Kb ?)

...rectificatif moins de 10 minutes (je regardais un chapitre en live en en enregistrant un autre).

Buzz marketing et buzz viral..
explication de texte en vidéo