Covid : "On a du sang sur les mains"
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Bonjour. Le titre est une citation issus de l'entretien, qui est elle-même une citation prononcée par un journaliste scientifique interrogé par Mme Sebbah. Cette citation incarne parfaitement l'état d'esprit des journalistes interrogés. Si le titre e(...)
J'espère que c'est du second degré... car sinon, vous avez écrit le message le plus débile de l'année 2023 sur ces forum.
Raoult et Peronne sont ce qu'on appelle communément des charlatans: le "remède" qu'ils ont proposé ne fonctionnent pas, et augmen(...)
DR a été l'incompétence incarnée de la science française:
- spécialiste des publications à la chaine qu'il signait toute, il se gargarisait d'être le plus grand spécialiste du sujet... qu'il n'a pas compris (il faut qu'il monte sur une trottinette)
- m(...)
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Excellente émission, merci beaucoup et bonne continuation !
Merci pour l'émission, qui me laisse cependant sur ma faim, comme souvent au sujet du covid. On n'a vraiment pas fini de déchiffrer cette histoire (cf. l'émission d'Arte sur les effets pas du tout secondaires du vaccin).
Pas un mot des derniers débats sur l'origine du covid ? Qui montrent bien qu'il y a eu enfumage dès le début sur le labo "chinois" ? On n'a toujours pas de certitude à ma connaissance, mais de la fumée il y en a bien eu... Cf. le livre de Brice Perrier que vous aviez invité à l'époque il me semble.
Je trouve aussi la description du Lancet Gate assez légère : qui avait intérêt à décrédibiliser le traitement ? Pour l'intérêt de qui ? Raoult n'a peut être pas guéri autant qu'il le prétend, mais il avait un boulevard pour être plus pédagogique que les autorités, systématiquement à côté de la plaque.
Je me rappelle même d'un Veran présentant via une chercheuse Inserm des statistiques "démontrant" que le couvre-feu était efficace contre un des variants et pas un autre, et personne n'a hurlé à l'invraisemblance...
Continuer à qualifier de "vaccin" une injection qui ne vous empêche ni de contracter le virus ni de contaminer autrui, c'est encore de l'enfumage...
Bref, non décidément l'histoire n'est pas terminée... et je pense que les gouvernements et certains labos/patrons de presse ont beaucoup plus de sang sur les mains que les journalistes.
Si le temps long scientifique est difficilement compatible avec le temps court médiatique, on s'est aussi rendu compte qu'il était assez difficilement compatible avec le temps peut-être encore plus court de l'urgence médicale. On oublie un peu vite que si la population était un peu pressée, c'était pour des raisons très concrètes, pas simplement à cause du sens du spectacle du monde des médias.
M. Didier Raoult à été le journaliste au cours de cette pandémie en plus d'un sachant professionnel qui s'engage avec courage. La démonstration par la justice rendue à Christian Perronne.
Avec tout le respect que j'ai pour les journalistes je leur conseil de fermer leur gueule quand ils ne savent pas car aujourd'hui vous vous êtes mis en cause, comme le système de santé, comme . , comme . , etc
Très bonne émission...
Il y a point qui m'a marqué, pendant l'épisode covid, c'est la question des solutions hydroalcoliques. Comment, alors que l'on est producteur d'alcool, et de glycérine, et que l'eau oxygénée est un composant courant (les trois composants nécessaires pour faire une solution d'après l'OMS), comment avait-il pu y avoir une pénurie ?
Et pourquoi, alors que la confection de la solution est à la portée de n'importe qui et que tous les composants étaient disponibles dans les supermarchés, les représentants des pharmaciens ont défilé sur les plateaux pour expliquer que c'était tout à fait déconseillé d'en réaliser, avec des arguments souvent ridicules (entre autres, le risque de brûlure car le mélange est exotermique -c'est vrai qu'il l'est, mais pas à ce point-, ou le fait que la glycérine -que l'on utilise pour les soins des bébés, par exemple- pouvait servir à fabriquer des explosifs-ce qui est vrai aussi, au demeurant- ! ).
Bref, j'ai l'impression que les alertes des pharmaciens n'étaient pas complètement désintéressées et je serais très intéressé par une étude fouillée sur la question...
Du coup, il y a un journaliste scientifique à Arret sur Image ?
Super emission !
Y'a un bouquin qui vient de sortir , un statisticien , et son bouquin est dans la meilleure veine du complotisme .Est ce qu'on saura un jour si le covid a été de l'incompétence et de la trouille matiné d'opportunisme ...Zut la question est vite répondue ...
Merci pour cette émission même si j'aurais voulu en apprendre plus sur le travail des journalistes scientifiques.
Cela fait des années que je m'inquiète de la faible connaissance scientifique des journalistes (non scientifiques) et des politiques.
Et cela a bien sûr culminé avec le covid qui a envahi nos vies mais aussi les médias.
Concernant les journalistes scientifiques, je pense qu'ils font ce qu'ils peuvent mais que leur influence est très faible dans les rédactions (et on ne parle même pas des chaînes d'infos en continu).
Je pense quand même que la vulgarisation devrait être une de leur tâche. Il faut que cette vulgarisation soit bien faite. Mais difficile de parler de science sans expliquer la science. Et difficile de faire comprendre au plus grand monde sans vulgariser.
Moi, ce qui me consterne, c'est l'absence de compréhension mathématique ou scientifique de base de la plupart des journalistes (non scientifiques).
Au moment du covid, j'avais compris assez vite (et je ne m'en glorifie pas, il me semble que nous étions très nombreux) concernant les données covid qu'elles variaient beaucoup au cours de la semaine notamment en raison de la moindre remontée de données le WE et qu'il fallait moyenner sur une semaine pour avoir une tendance (ou au minimum comparer des jours comparables : un lundi avec un lundi, un samedi avec un samedi...).
Pourtant cette évidence a tardé à s'imposer chez certains médias.
Sinon, le SRAS, même s'il y a dû avoir des cas au Japon, c'était plutôt la Chine, Hong-Kong, le Vietnam, Singapour, Toronto au Canada.
Concernant le temps scientifique qui n'est pas le même que le temps médiatique, c'est une évidence particulièrement mise en évidence par le covid avec son besoin d'infos fraîches permanent.
Même si je suis d'accord avec le fait que la science évolue aussi avec des controverses scientifiques, attention aussi à ne pas mélanger les réelles controverses scientifiques et les controverses médiatiques, genre un médecin du sport qui n'a aucune connaissance épidémiologique qui dit des absurdités sur Cnews, totalement contraire au consensus scientifique du moment. Là ce n'est pas une controverse scientifique, c'est juste une absurdité énoncée par quelqu'un qui veut faire parler de lui (et qui trouve un média complaisant).
Tiens et pour parler des vraies controverses scientifiques, une occasion de rappeler qu'un Français, Alain Aspect, a eu le prix Nobel de Physique récemment car il a imaginé et réalisé (dans les années 80) des expériences qui permettaient de résoudre une vieille controverse sur la mécanique quantique entre Einstein et Bohr qui dataient des années 30...
Un peu trop long pour le temps médiatique.
Pour le covid, on ne pouvait pas attendre 50 ans :-)
très éclairant sur les notions de controverse et de consensus, merci ! (à réutiliser dans plein de conversations, ces notions...)
Trois commentaires seulement au moment où j'écris et on a déjà les covidoneuneus qui ont rappliqué.
🥱🥱🥱
Un commentaire d'ordre général sur les débats :
Le mépris est un des moyens d'empêcher la pensée critique de s'exprimer. Or vivre en démocratie c'est accepter le dissensus inévitable dans un groupe humain. Le refuser témoigne donc d'un rétrécissement de la pensée qui veut mener, au bout du bout, à la pensée unique, et par là-même, pourrait alimenter les rouages d'un système totalitaire, plus ou moins visible.
Répéter les éléments de mépris diffusés par les "Autorités" traduit à mon sens :
- soit l'impossibilité d'oser être soi, d'être singulier (immaturité psychique, impossibilité d'assumer ses pensées par terreur de se sentir seul)
- soit l'auto-censure par crainte de "sortir du cocon de la pensée dominante" (quand bien même ses fondements seraient sujets à controverse, ou même de l'ordre de la croyance sans réel fondement). Donc de la soumission pour éviter toute sanction (punition, exclusion du groupe, poursuites judiciaires des opposants, harcèlement, privation totale de moyens financier / mort économique...). On comprend qu'on y réfléchit à deux fois... Surtout avec des enfants à nourrir, etc.
- soit l'expression d'une angoisse d'être déstabilisé par des questions inconfortables car elles au fond, elles risque de toucher juste. Donc on les raille, ce qui permet de pointer du doigt l'interlocuteur et ainsi de rester confortablement dans son déni.... Même si le réel vienne toquer régulièrement à sa porte (contaminations et transmission malgré " l'injection génique", scandales de corruption des élites européennes et les contrats caviardés hors de contrôle des peuples, effets indésirables graves et massifs, morts subites, y compris chez des jeunes, baisse des naissances...)
Bref, un peu de respect pour les "covidoneuneus".
Peut-être que demain, ils formeront "le groupe témoin" qui permettra d'établir le taux de sur-mortalté comparé aux vaccinés ?
... Cette dernière assertion est juste une supposition, une idée en l'air pour amener mon point :
Qui a des certitudes aujourd’hui quant aux effets Covid pour les 10 années à venir ? Rares sont-ils, car la réelle science c'est le doute. Par opposition au " scientisme", qui veut des garanties et de la certitude pour conjurer l'angoisse. Mais qui empêche la diversité des idées... ce qui n'est ni sain ni souhaitable en science.
Vous n'êtes pas d'accord avec tout ou partie de mon propos ? Parfait. Ne changez rien. L'effondrement des illusions est très douloureux. Alors pas d'urgence.
Merci de votre lecture jusqu'ici :)Travaux très intéressants, qui soulignent l'intérêt du temps long. Je retiens en particulier, l'envie de bien faire et la frustration de certains journalistes scientifiques de ne pas pouvoir informer correctement. Très bonne idée d'émission, et interview éclairante, bravo ASI !
Étant plutôt covido-sceptique par culture scientifique, j'ai trouvé le traitement du COVID par ASI relativement mauvais, mais je suppose que c'était une tâche impossible...
En revanche, une petite pique pour finir : la place laissée par ASI aux journalistes scientifiques est encore pire : il n'y en a aucun chez vous ;) Question d'échelle et de finances, je suppose, mais ça me semble une erreur, du point de vue "facile" de lecteur qui est le mien. S'il faut garder un enseignement de tout ça , je dirais qu'il faut d'urgence faire entrer la culture scientifique dans le journalisme (et la politique), elle a une place trop marginale dans notre pays dirigée par des littéraires (sciences po, ena, avocats...) et dans ses médias...
je n'ai pas vu l'entretien mais le titre me semble très putaclic.