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Dans "Le Parisien", l'avocate de Bedos en simple "chroniqueuse"

Dans une chronique pour "le Parisien", l'avocate Julia Minkowski s'est insurgée contre "le culte des victimes". Elle y dénonce la tendance de notre société à "fouiller" dans la vie de personnalités pour "les faire tomber". À aucun moment cependant, le journal ne précise que Julia Minkowski vient de défendre... Nicolas Bedos, condamné le 22 octobre pour agressions sexuelles. Il a fait appel.

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On est bien d'accord qu'en raison de la jurisprudence "main sur le jean" toute femme est en droit de mettre un grand coup de genou dans les c... d'un Bedos quelconque. 

La défense imparable sera alors "mais Monsieur le Juge, j'ai tapé dans son pa(...)

La réponse de Nicolas Charbonneau, directeur de la rédaction du Parisien est grotesque tant il est évident que c'est l'avocate de Bedos et non la chnoniqueuse qui parle dans son papelard.

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Son son droit à la mauvaise foi dans un tribunal (où un autre avocat la mettra en évidence) n'est pas remis en question dans cet article.
Ici la mauvaise foi est librement déroulée dans un media sans contradiction ni remise en contexte, et sans remar(...)

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Le Parisien c'est Bernard Arnault non? Celui qui détient le groupe de presse le mieux subventionné par l'Etat; à la tête duquel se trouve un certain Macron; grand ami du premier... Après sa sortie masculino-imbécile sur Depardieu, EM compte sur ses amis pour défendre le sexisme patriarcal... Cette avocate devrait encore faire un effort: indiquer la marque du jean; son fabriquant pourra ainsi orienter sa publicité sur le côté irrésistible de ses produits; et BA récolter les bénéfices de la publicité cachée...Et le bracelet électronique ça se cache sous un jean?

comme n'importe qui est trainé dans la boue des qu'il est soupconné de quelque chose on peut se poser la question de savoir pourquoi les gens plus ou moins connus aurait droit a un meilleurs traitement, il semble aussi que ceux qui ont des comportement condamnable ne sont pas la majorité.

Dommage que la punition ne puisse etre d'etre mis dans la situation mais dans le corps de la victime, juste pour evaluer le "rien" que c'est.

Les femmes complices de la masculinité toxique sont hélas nombreuses...

Pour preuve celles qui votent Trump.


Dans "why patriarchy persists", les auteures ont tenté de comprendre pourquoi.

L'attrait pour le leader soit-disant charismatique vient d'une projection sur l'invulnérabilité supposée du leader violent. S'il viole, c'est qu'il n'a pas peur de se perdre dans ses émotions et de perdre l'amour.

Son insensibilité nous protège (soit-disant) de la peur de souffrir et notre peur de la mort.


Ce faisant, on adule les Mussolini, Hitler, etc. qui nous emmènent à la mort.


Il serait temps que ces mécanismes psychologiques soient compris des masses.

Elire des leaders empathiques plutôt que toxiques... pour l'instant, on n'en prend pas le chemin, bien au contraire, hélas.

MOI, je trouve scandaleux de vouloir empêcher la brave Julia, héroïne de la liberté d'expression, de se transformer en victime des méchants censeurs qui la critiquent. Pourquoi entraver la carrière de cette self-made woman si talentueuse et exemple pour toutes les femmes ?

 (Pour éviter tout quiproquo je précise que je suis une femme qui condamne formellement ce que je viens d'écrire!)

Voilà en 2024 ce que sont devenus nos médias , et ça va surement pas s' arranger , y'a qu'a voir ce qu'il se passe aux states . On a beau jeu de parler des russes ou de l'azerbadjian , ça fait parti du truc d'ailleurs .. Le XXI me siècle sera spirituel ou ne sera pas ...Ben ,il sera pas ! Vends propriétés proximités mer , campagne et montagne pour vivre les derniers jours au milieu de la beauté .Pendant que j'irai cramer du CO2 autour de la planète .

Un article de plus d'ASI contre cette Julia Minkowski. On peut ne pas l'aimer et/ou ne pas aimer ce qu'elle dit, c'est très bien. Mais on ne voit pas ce qu'il y a d'extraordinaire ou scandaleux à ce qu'elle défende d'autres clients impliqués dans des affaires du même ordre (" Elle n'est autre que l'avocate du réalisateur Benoit Jacquot"). Ça alors ! J'avais compris que c'était son métier, en effet. Un article précédent l'avait plus ou moins qualifiée de blondasse à la voix perçante, s'irritant de ses interventions sur les plateaux télé. Quant à ses écrits dans le Parisien, ce n'est quand même pas la première avocate qui tient chronique, fût-elle irritante. Que cela nous plaise ou non "remettre en cause la parole de victimes " est dans la logique dans sa fonction de pénaliste, qu'elle peut exercer au-delà du prétoire. Sur le fond, la valorisation de la victimité - qui n'est pas propre à la sphère de Metoo ou des ASS - est un sujet contemporain qui interroge non sans raison historiens et philosophes mais passons.  Passons aussi sur les commentaires insistants et quasi indignés de lecteurs sur ses choix de compagnon. Ce qui est inquiétant, c'est la propension croissante dans la gauche - même ici et même sous la plume d'honnêtes journalistes dont je partage sans doute à peu près les idées politiques - à trouver condamnable l'exercice des droits de la défense, y compris, oui, son droit à la mauvaise foi et même pour un assassin. Craignons que cette délégitimation de l'avocat, bien dans l'air du temps, ne nous revienne en boomerang contre nous, ou les nôtres.

L'article traite du manque d'honnêteté du Parisien. Ce journal n'est pas le seul à contribuer au confusionnisme des citoyens, problème qui me semble plus inquiétant que la délégitimisation des avocats qui sont tout à fait capables de le faire eux-mêmes.

Il me semble qu'ASI suggère juste que les médias qui la publient signalent d'où elle parle (ce qui est une vieille tradition comme revendication).

Son son droit à la mauvaise foi dans un tribunal (où un autre avocat la mettra en évidence) n'est pas remis en question dans cet article.
Ici la mauvaise foi est librement déroulée dans un media sans contradiction ni remise en contexte, et sans remarquer que cette mauvaise foi est au service d'une affaire en cours. Un média de propagande donc.

Où avez-vous pêché que la fonction de l'avocat ne s"exerce  qu'au tribunal ? C'est à peu près ce qu'on reproche aux dictatures. Même antipathique, même blonde, même avec une voix désagréable, même mariée à un ex-ministre de Macron, même peu féministe, même de droite, cette Julia Minkowki que je ne connais pas parle et écrit où elle veut en faveur de son client, fût-il accusé (et en l'occurrence pas définitivement jugé) de tous les crimes. Après, c'est aux médias et à ses adversaires - parties civiles notamment - de la contredire. Elle-même est dans son rôle et s'en offusquer ou s'employer à la flinguer pour cela est une pente dangereuse.

"parle et écrit où elle veut en faveur de son client,"


Il me semble (à me souvenir de l'article) que ce qui pose problème c'est qu'elle ne se présente pas comme telle. Mais comme simple chroniqueuse. Sans mentionner, justement qu'elle parle en défense de son client. 

Si elle ramène le sujet à sa spécialité, on notera tout de même qu'elle semble avoir été inspiré par le titre d'un essai récent de l'historien François Azouvi (Du héros à la victime : la métamorphose contemporaine du sacré), qui lui même semble une déclinaison de l'idée d'un passage d'une culture de l'honneur (puis de la dignité) à celle victimaire, développée notamment par les sociologues américains Bradley Campbell et Jason Manning (The Rise of Victimhood Culture, 2018) et avant eux par diverses figures de l'Intellectual Dark Web, et, sous une forme plus primaire, par la droite en général. Ce qui fait de son article tout de même un truc assez tendance (si pas trop celle d'ASI).

CV plus complet, qui permet de mieux comprendre son attirance pour le pardon :


"Elle est mariée à Benjamin Griveaux : ils se rencontrent en lorsqu'elle envoie un CV afin de rédiger des notes juridiques pour Dominique Strauss-Kahn en vue de l'élection présidentielle de 2007 et qu'il travaille aussi dans l'équipe de campagne. Le couple a trois enfants."

"Auditionné par la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) le , Benjamin Griveaux reconnaît, selon Le Point, « être l'auteur des vidéos qui ont déclenché l'affaire qui porte désormais son nom ». Il déclare aux enquêteurs avoir envoyé cinq ou six vidéos entre mai et à Alexandra de Taddeo, étudiante en droit dont il avait fait la connaissance en ligne, et ne l'avoir rencontrée qu'une seule fois, en août. Celle-ci affirme que Benjamin Griveaux l'a ajoutée sur Facebook Messenger en avril 2018 et qu'ils se sont rencontrés une fois en mai pour « une relation sexuelle consentie ». Elle dit avoir gardé les vidéos pour se protéger. Deux vidéos ont été rendues publiques par Piotr Pavlenski, compagnon d'Alexandra de Taddeo, à l'insu de cette dernière selon les déclarations de Taddeo à la police. Benjamin Griveaux porte plainte contre X pour atteinte à la vie privée. L'activiste russe déclare qu'il a d'autres vidéos d'hommes politiques et que l'affaire Griveaux n'est qu'un « début ».

Pendant sa garde à vue, les quatre téléphones portables et l'ordinateur d'Alexandra de Taddeo sont saisis. Selon les sources de Marianne, toutes les conversations avec Benjamin Griveaux ont été effacées avant cette saisie, ainsi que la ou les vidéos qu'elle lui a envoyées. Des expertises judiciaires sont ordonnées pour tenter de récupérer les fichiers supprimés."


Je trouve délicieuse l'expression « toucher le jean ».

Il m'est arriver plusieurs fois de toucher le jean de jeunes femmes, en particulier l'entre-jambes.

Elles ne se sont jamais plaintes. 

Il faut juste remarquer qu'elles n'étaient pas dans le jean et que je faisais la lessive.

Elle a un trauma, son conjoint avec qui elle a trois enfants, (on vit une drôle d'époque tellement glauque, trop de vie privée je le reconnais*), il a été piégé de la sorte pour de vrai. Elle croit que c'est vrai tout le temps. C'est décrit par la science, on fait rentrer la réalité, quitte à la modifier, dans le cadre de nos croyances impératives. Et non pas nos croyances s'ajustent à la réalité objective.


Mais qu'il n'y ait plus aucun rédacteur en chef, directeur de rédaction, qui se préoccupe du respect des lecteurs qui sauf exception sont vulnérables à la manipulation, c'est incroyable. 

La perte de confiance, c'est irrécupérable. Ils s'en fichent car ce ne sont plus les lecteurs qui les nourrissent. 


* Ouf qu'il y a Kasbarian, pas de parents, pas de rien sur wiki, des lieus, un lycée privé et l'essec.


Elle est également l'avocate de benoit jacquot...

On est bien d'accord qu'en raison de la jurisprudence "main sur le jean" toute femme est en droit de mettre un grand coup de genou dans les c... d'un Bedos quelconque. 

La défense imparable sera alors "mais Monsieur le Juge, j'ai tapé dans son pantalon".

La réponse de Nicolas Charbonneau, directeur de la rédaction du Parisien est grotesque tant il est évident que c'est l'avocate de Bedos et non la chnoniqueuse qui parle dans son papelard.

J'ai grandi avec des parents juristes, mère avocate, père magistrate et dieu merci ils ne m'ont pas éduqué comme cette dame le souhaite. Si j'étais victime du moindre attouchement, quelqu'il soit, je devais leur en parler et charge à eux, en tant que parent de faire ce qu'il fallait.

Je me demande comment cette femme éduque ces propres enfants. 

Par ailleurs, elles a un comportement de white fem dans toute sa splendeur. Donneuse de leçon à tout va!

 Si un homme noir ou arabe faisait la même chose, elle s'attaquerait aux femmes qui préféreraient se taire et continuer leur vie.

Que madame se contente de subir les humiliations que lui inflige son époux (le statut social lui important plus que sa dignité) et qu'elle laisse les autres femmes se défendre si elles le souhaitent.

Madame ,l'avocate n'est pas n'importe quelle avocate parisienne.


https://fr.wikipedia.org/wiki/Julia_Minkowski

Minkowski et Fourest , même combat pour défendre les pauvres Personnalités persécutées...


S'il me restait des larmes, j'en pleurerais ...

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