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Denis Robert fait saisir les comptes, plus de salaires au "Média"

Le bras de fer entre Denis Robert et "Le Média" se poursuit, depuis que le premier a été licencié pour faute grave par le second en 2020, puis a gagné aux prud'hommes en juin dernier. A la suite de négociations infructueuses – que chaque partie accuse l'autre d'avoir fait chavirer –, Denis Robert a saisi les comptes de la webtélé le 7 juillet, afin de toucher une partie de la somme que lui a attribué le jugement prud'homal. Au "Média", c'est une situation "catastrophique" qui s'annonce : les salaires ne seront pas versés en juillet, indique la direction.

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Des indemnités énormes pour 18 mois de travail.  Au risque de mettre à terre un média indépendant. C'est pas très glorieux. Robert avait déjà été ignoble avec Aude Lancelin, après son licenciement,lors d'une émission sur ASI avec DS (tous les de(...)

Bonjour, voici précisément la conclusion chiffrée du Conseil de prud'hommes : le conseil "requalifie le licenciement pour faute grave [...] en licenciement nul", puis :

"Fixe son salaire mensuel moyen à la somme de 7 447,97 euros bruts pour la période(...)

Tout le monde parle argent, moi je dis quel dommage!

j'aime bien le travail de D. Robert, de Blast ET du Média. Absolument complémentaire et absolument nécessaire...

Quel dommage..!

Derniers commentaires

Denis Robert est un tueur: a-t-il besoin de 300 000 euros? De 110 000 ? De 80 000? Il a des revenus nettement supérieurs aux smicards du Media (dans un autre  article de @si  à charge sur Blast - article que nous désapprouvons pour sa charge non documentée - il est question de 6600€ mensuels de droits d'auteur pour Robert (ça permet de payer moins de charges que si c'était un salaire!!!);  Blast n'a pas contesté cette somme dans son très long droit de réponse à @si et on peut la prendre pour acquise. Sans compter de probables autres revenus: droits d'auteur sur ses lires publiés, probable indemnité de retraite (né en 1958 Robert a pu prétendre à ses droits à la retraite dès 2020 ou 2021).

Donc il a commis une faute morale et humaine: celle de mettre dans la merde des salariés alors que lui ne risque rien; cette faute le disqualifie totalement.

En ce qui me concerne je ne peux plus le reconnaitre comme un homme de gauche; juste un type avide de vengeance (il est clair qu'il veut la mort du Media - pour le grand plaisir des Bolloré, Macron, Le Pen et autres illibéraux) et un type cupide.


Et on peut s'interroger sur ce type qui partout où il passe sème la merde (pas celle d'une opposition à des tous puissants  - il y a longtemps que ça ne lui arrive plus! - mais dans des petites entreprises qui essaient d'être sincèrement à gauche).


c'est juste lamentable

abonné de la premiére heure et persuadé que la communication est le nerf de la guerre j'étais interessé par l'émergence de media qui ne soient pas aux mains des milliardaires copains de Macron et qui diffusent une autre idéologie que celle vehiculée par les medias traditionnels.

Hélas mille fois hélas (peu importe qui a raison ou tort) ces tentatives de créationde nouveaux moyens d'information semblent ne pas devoir être pérennisés.

c'est juste lamentable.

Bonjour

je suis ancien gestionnaire RH à la retraite

mon travail consistait en partie à établir des contrats de travail

je constate que l'employeur pouvait difficilement faire pire 

Je ne connais que ce qui est dit dans l'article, mais d'après celui-ci il me semble que Denis Robert était cadre dirigeant.


Cela veut dire qu'il ne peut pas se faire payer ses heures supplémentaires : https://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/droit-du-travail/detail/article/heures-supplementaires-des-cadres-la-grande-hypocrisie.html#ancre-1 .


D'après cet article, pour être cadre dirigeant, il faut :

"- une grande indépendance dans leur emploi du temps en raison de l’importance de leurs responsabilités ;

  • - une large autonomie dans la prise de décision ;
  • - une rémunération se situant dans les niveaux les plus élevés des systèmes de rémunération en vigueur dans l'entreprise ou établissement."


Ce jugement des prud'hommes me semble donc lunaire... à l'image de la supposée rémunération de Denis Robert...

Bonjour, Après lecture de votre article très documenté et je vous en remercie, je ne parviens pourtant toujours pas à avoir une vue globale. Quel est le problème ? Concentration des média? Egos en ballade ? Luttes politiciennes intestines ? Il manque de mon point de vue l'interprétation politique précise de tout cela. Et j'en ai besoin pour me faire une opinion et les actes qui vont avec, comme par exemple réviser mes soutiens.

Des informations sur les  méthodes qui ont permis à Denis Robert d'obtenir 300 000 euros des prudhommes.  https://kouamouo.medium.com/prudhommes-comment-et-pourquoi-denis-robert-a-r%C3%A9clam%C3%A9-400-000-euros-et-obtenu-300-000-pour-4562d(...)

Merci ! Sociétaire / donateur aux deux médias, j'attendais l'article d'@SI pour me faire un avis :) Bon, quel gâchis quand même, Le Média, dans son impulsion initiale, aurait pu aller loin. Depuis, pour l'un comme pour l'autre, c'est la survie et les appels aux dons permanents. Bon, y'a des trucs sympas quand même...

Qui se cache derrière le terme flou "Le Média" quand il s'agit de management ? Qui prend les décisions de virer quelqu'un, de renégocier une décision de justice, de lancer une campagne de cyberharcèlement ? C'est fait collégialement ? Parce que dans cette affaire il y a quand même de gros dysfonctionnements chez le Média et je ne vois pas trop afficher les noms des responsables.


De ceux qui, après le désastre Lancelin, sont allé chercher Robert, lui ont visiblement fait un contrat bancal (rappel : le contrat de travail c'est de gauche, c'est ce qui limite l'exploitation de l'employeur et met sur papier nos droits. Quand on se dit de gauche, on soigne ses contrats de travail), n'ont visiblement pas surveillé pour éviter que ça parte en vrille et ont décidé de le virer pour faute grave juste à cause d'une vidéo.


Est-ce que ce sont les mêmes qui ont pris sur eux de renégocier une décision de justice et de la réduire tellement que ça ne puisse que paraître insultant ? Rappelons que dans cette affaire, un échelonnement sur 2 ans comme c'est évoqué, c'est 5000 euros par mois, ça aurait sans doute permis de tenir jusqu'à l'appel.


Enfin est-ce que ce sont les mêmes qui trouvent pertinent maintenant de lancer une campagne de dénigrement ? Justifiée ou non c'est pas important, je ne suis pas sûr que ça va aider à faire changer d'avis Robert et je ne pense pas non plus que ce sera bien vu au moment de l'appel.


Si Denis Robert est en train de planter le dernier clou dans le cercueil, qui l'a construit avec amour ?

On ne sait pas vraiment pourquoi Denis Robert a rompu les négociations sur la non saisie des comptes, à moins que vous ne le sachiez de source sûre. J'ai tendance à ne plus le croire DU TOUT, et c'est aux journalistes (indépendants du conflit) de nous dire ce qu'il en est. Quant à la campagne de dénigrement, fournir des documents montrant que DR cherchait des mécènes plus que discutables et ceci dans le dos des collègues (cf., une fois de plus, la démission de Maxime Renahy), est-ce une campagne de dénigrement ? 

Que le contrat de travail de DR était bancal, il semble que personne ne le nie, mais ce n'est pas pour cela qu'il est parti, mais lorsque la coopérative a commencé à se mettre en place, avec une échelle de salaires resserrée.

Ah ? il est "parti " ? j'avais entendu dire qu'il avait été "viré" et que ça s'etait réglé au tribunal ....

oui, il a été licencié, donc il est parti. Pour le reste, c'est expliqué par plusieurs personnes ici (voir commentaires de Serge Victor)

Personne ne se cache. A l'époque du licenciement de Denis Robert, Julien Théry était président (bénévole) de l'entreprise de presse Le Média dont l'actionnaire était l'association du Média présidée par Bertrand Bernier. La décision de licencier Denis Robert suite à une vidéo d'insultes et à une tentative de destabilisation du Média relève de la responsabilité de Julien Théry, mais a été évidemment discutée par le bureau de l'association. Cette décision a été approuvée par la section CGT du Média qui avait même déposé un préavis de grève au cas où Denis Robert aurait été maintenu au poste de directeur de la rédaction.

Le contrat de travail de Denis Robert n'était pas bancal et il avait été accepté par lui. Il y a juste eu le volet forfait-jour qu'il n'avait pas signé, erreur que la responsable des affaires financières (amie de Denis Robert qui l'a suivi à Blast) a eu 18 mois pour détecter et corriger. C'était son boulot, comme c'est bien expliqué ici.

(désolé, j'ai cliqué sur le mauvais bouton)
Voici le lien.

Quant aux dirigeants actuels du Média, ils ne se cachent pas plus. Thomas Dietrich est depuis peu le nouveau président du directoire du Média. 

ASI cite le communiqué du 9 juillet de Denis Robert. C'est dommage de ne pas l'avoir analysé plus attentivement, car il recèle un grossier mensonge. En effet, DR écrit à propos du Média : "Il a aussi été condamné pour violation à la liberté d’expression d’un salarié car acculé, j’avais enregistré une vidéo en septembre 2020 pour me défendre suite à mon licenciement."

En réalité, DR a publié cette vidéo (dans laquelle il insulte ses collègues du Média) le 18 septembre 2020. C'est cette vidéo qui a causé son licenciement le 8 octobre 2020, après un entretien préalable le 1er octobre 2020.
Dans son communiqué, Denis Robert inverse donc cause et conséquence.
Voici une falsification qui peut justifier une mise en doute du récit global de Denis Robert sur toute cette affaire, même si ce récit semble avoir convaincu les juges en première instance.

Denis Robert, a qui on doit l'enquête Clearstream file du mauvais coton. Son combat contre Le Media que je ne regarde que rarement laissera des traces.

 Son livre Larry et moi sur Backrock n'est qu'une pâle copie du livre d'Heike Buchter. Cela dit Blast est une bonne initiative.

Entre Chirikou la sorcière (au sein de LFI, on surnomme plutôt la femme du chef la Pompadour), Aude Lancelin et Denis Robert, il n'y en a pas un pour rattraper l'autre. Quand c'est pas le pognon qui les intéresse, c'est le pouvoir. Elle est belle, la gauche, avec de telles figures.

Quel gâchis, quelle tristesse !


Tant pis, on attendra encore 10 ans la première réelle coopérative d'information citoyenne...

Si j'ai bien compris ,on n'est qu'en première instance . La saisie est conservatoire pour éviter que Le Média ne se déclare en faillite. Il faut attendre le jugement de la Cour d' appel.

Robert fait du Robert. Et puis ce salaire, franchement... Demander ça pour diriger un média indé, faut vraiment avoir honte de rien. On est de gauche, mais quand même pas jusque dans le porte-feuille hein ? Vu le personnage, à quand une affaire similaire chez Blast ? Question de temps... - et j'espère sérieusement me tromper.  

En tant que socio de la première heure du Média (j'ai arrêté de contribuer financièrement après l'éviction d'Aude Lancelin) et actuel contributeur financier de Blast (hésitant depuis l'éviction de Serge Faubert), j'ai plusieurs remarques :


-Je trouve dérangeant qu'aucune des personnes du Média qui s'expriment sur cette affaire ne voit le moindre tort du côté du Média, malgré la condamnation. Kouamouo va même jusqu'à remettre simplement en cause la décision. Ces gens sont hors sol !


-J'aimerais que, contrairement à ce qui est en train de devenir une habitude dans ces médias indépendants, on ait le fin de mot de l'histoire sur un certain nombre de points : qui a rompu les négociations après la condamnation du Média, est-ce que le Média a vraiment proposé 50.000 euros comme solde de tout compte, est-ce que le Média n'a vraiment pas cherché à reprendre la discussion après la saisie ? Tout ça doit être bien documenté et est donc facile à vérifier. Si on n'a pas ces informations, c'est par volonté de maintenir le public dans l'ignorance.


-Théophile Kouamouo  est un nom qui revient à chaque nouveau pataquès impliquant le Média. Et ses explications sont à chaque fois plus que spécieuses.


-Puisque Denis Robert a l'intention de publier une lettre ouverte, qu'il en profite donc pour nous parler de cette lettre à Claude Grundman-Brightman , et aussi des circonstances du licenciement de Serge Faubert.


-"Au Média comme à Blast, on dit avoir conscience de l'image de guerre fratricide" : Pour l'instant, je ne vois pas en quoi Blast est concerné par ce conflit.


-Je trouve très bizarre que "Denis Robert (...) alerte sur la proximité idéologique de Thomas Dietrich avec Jean-Luc Mélenchon" et qu'en même temps Serge Faubert affirme avoir été évincé de Blast parce qu'il aurait écrit un sujet critique sur LFI. Il y a là une incohérence.


-La vidéo de Thomas Dietrich affirme beaucoup de choses mais n'apporte aucune preuve.

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Il a donné de son temps sans compter. Pas vraiment.

ASI : est-ce qu'on pourrait savoir pourquoi DR dit que la video du Média ment ? Sur quel point précis et quelle est la bonne version ? Est-ce qu'on pourrait savoir pourquoi et comment ont achoppé les négociations suite au jugement des prudhommes ? 

Par ailleurs, pourquoi généralement (et exception faite de cet article précis) ASI est si sévère, partiel et même partial avec le Média ? Y a-t-il quelque part des inimitiés personnelles ? 

J’ai l’impression qu’on a, avec Le Media (pataquès avec Chirouki, Ancelin, Robert) une belle metaphore de ce qu’aurait été le pouvoir exercé par JL Melenchon, non,?

Fatigue ...


Bon.


1) la moindre des choses : merci ASI pour ces explications très détaillées, on y voit plus clair


2) putain, ils font chier ceux-là. Au point d'envisager le désabonnement des deux.


3) maintenant, mon côté "je vois le mal partout par déformation pro" : la somme attribuée par les prud'hommes me paraît démesurée. Surtout depuis le passage de Ma€ron. Je connais pas les plafonds, mais ce jugement n'est-il pas au delà ? Au taquet au moins ? Où je veux en venir ? Ma parano me pousse à l'hypothèse suivante : un téléguidage du jugement, vers le maximum, pour se débarrasser de Le Média ? Oui, ma parano se porte bien, merci !

Je n'ai même pas envie de plonger la tête dans toute cette m. mais... quel gâchis !

Tout le monde parle argent, moi je dis quel dommage!

j'aime bien le travail de D. Robert, de Blast ET du Média. Absolument complémentaire et absolument nécessaire...

Quel dommage..!

Thomas Dietrich affirme en effet à ASI "travailler à trouver une solution pour que les salaires soient payés pendant l'été et que le média puisse continuer (sans bien sûr demander de l'aide aux socios, dont les petites retraites et les Smic n'ont pas à payer pour nos turpitudes judiciaires)" [c'est moi qui souligne] : faut-il y voir un début d'aveu de la part du Média ?

Pour le reste, j'en suis réduit (comme la plupart d'entre nous) à conjecturer à partir des versions des uns et des autres, autant dire que je ne sais rien. Mais tout de même, il y a un truc qui me chiffonne : voilà un employeur de gauche qui, non content d'être condamné par la justice prudhommale, s'assied sur la décision des juges. Du strict point de vue social, je dois dire que ça coince plus qu'un peu.

Je précise que je suis (du verbe suivre) ni Le Média, ni Blast : je n'ai donc aucune préférence rédactionnelle ni aucune sympathie a priori (et guère plus a posteriori) pour l'un ou pour l'autre des protagonistes.

Ah, et puis ça aussi : entre Lap qui gazouille un français tout de même assez approximatif et Robert qui parle d'étalonnement à la place d'étalement, je me dis que quelques cours de grammaire et de vocabulaire élémentaires ne seraient sans doute du luxe pour personne dans cette lamentable affaire.

...bref , qui pourra au bout du compte se payer une Ferrari ?

Et c'est reparti pour un tour !


Le media, drama permanent, échec total.




Il aurait été honnête qu'Arrêt sur Images fasse valoir mon droit au contradictoire au sujet du courrier détaillant le contenu des enquêtes du Média envoyé par Denis Robert à Claude Grundman-Brightman. Denis Robert dit  : "Ce courrier, j'avais prévenu toute la rédaction, on en avait débattu, ils étaient presque tous d'accord". Et il affirme que j'étais "parfaitement au courant". Bien sûr que je ne l'étais pas. Il suffit de consulter les journalistes de l'époque pour se rendre compte qu'il ment. Nous savions qu'il était en pourparlers avec cette dame, des pourparlers auxquels n'avaient été associés aucun membre de la direction. Et la ligne rouge de ces pourparlers était : "pas de contrepartie à d'éventuels dons de mécènes". Bien entendu, le droit de regard sur les enquêtes puis les interventions pour se plaindre d'une vidéo sur Black Lives Matter sont des contreparties...

Pourquoi la lettre adressée à Claude Grundman-Brightman ais "n'apparaît pas dans le jugement des prud'hommes et n'a pas été versée comme preuve par le Média pour justifier le licenciement pour faute grave de Robert en 2020" ? Si la journaliste d'ASI nous l'avait demandé, on lui aurait expliqué que nous avons découvert cette lettre APRÈS le licenciement de Denis Robert, et qu'elle ne pouvait donc pas être invoquée dans sa procédure. Mais cette lettre décrit les clivages et le contexte qui ont alimenté la crise. L'introduction de financement de mécènes à l'agenda douteux faisait partie. Au moins un courriel interne témoigne des réticences de l'équipe.

Merci ! Excellent article :)

Si tout ça peut enfin nous débarrasser de ce pitoyable échec qu'à été et est toujours le Media je crie hourra ! Il était temps...

Chikirou virée, Lancelin contente. Lancelin virée, Robert heureux. Robert viré, pas content.

J'ai bien aimé les trois, mais force est de constater que malgré un lancement originel très long et préparé, les écueils n'ont pas été repérés et que ceux-là, entre autres, ont pété les plombs.

En fait il semblerait qu'il soit strictement impossible d'avoir un media indépendant et gratuit.

Et que le monde des journalistes ne soit pas rose.

Ne pas engager ses enfants dans cette carrière de mercenaire.


Pour Denis Robert : Rénahy, Branco, Faubert, Le Media, ça commence à faire, non ? Un syndicat, bientôt ?

Des indemnités énormes pour 18 mois de travail.  Au risque de mettre à terre un média indépendant. C'est pas très glorieux. Robert avait déjà été ignoble avec Aude Lancelin, après son licenciement,lors d'une émission sur ASI avec DS (tous les deux semblaient bien copains)

Il persiste dans son bras de fer avec Le Media .

Un type un peu trop égocentrique. Dans ses editos il passe la moitié du temps à parler de lui.  Blast, à part son enquête sur le Qatar, n'apporte pas grand chose au niveau de l'info.

Dietrich et Koumao paraissent plus authentiques. Dommage qu'ils n'aient pas pu travailler ensemble plus longtemps. Ils avaient fait du bon boulot. Gros problème d'ego apparemment . Voir ces petites entités s'auto détruire c'est désespérant   Surtout devant le délabrement de la presse en général .

Merci pour votre enquête en tout cas.

Je pense qu’il s’en fout et qu’il pense que ça ne fera pas trop de bruit, et aussi qu’il table sur le fait que les medias indépendants en accès libre qui ne sont pas des fosses à purin se comptent sur les doigts d’un lépreux. Mais là le gauchiste qui s’écharpe à coup cent milles euroboules, paye ta crédibilité gros.


Y’a un code du travail et il faut le respecter, mais non on n’ira pas te plaindre avec des coups sous la ceinture comme celui-là. Et je dis ça je me reconnais plus dans la ligne éditoriale de Blast Que du Média hein. Mais là. Ouch. La confiance, ça se perd gros.

Je ne comprends absolument rien aux chiffres et pourtant c'est la base de tout.


Denis Robert a travaillé 19 mois au Media sans etre payé ?

Le media est condamné à 110 000euros mais quelle partie correspond au licenciement abusif et au Paiement des heures de travail ?


SI Denis Robert touche finalement l'argent du Media ca lui fait combien de salaire mensuelle (en net) si on l'étale sur 19 mois ?

Septante mille euros pour dix-neuf mois de travail ?

Je vois que je ne joue pas dans la cours des grands. Ni même dans celle des moyens.

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