Commentaires
Denisot-Hees, la question qui tue
Et Michel Denisot, inquisiteur impitoyable, planta son regard d'aigle
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Derniers commentaires
J'ai pris l'émission en cours de route. Juste avant que Denisot pose la question qui ne pouvait d'ailleurs qu'avoir cette réponse. Réponse à l'évidence mensongère.
Le style de Denisot peut déplaire et visiblement il déplaît à DS. Mais son journal ne se résume pas à ses propres questions. Le "petit journal" de Yann Barthès n'est pas dans le collimateur de sarko pour rien ; les "guignols" - dont il est de bon ton aussi de dire qu'ils ne sont plus ce qu'ils étaient - continuent et même Omar et Fred dans leur SAV glissent quelques vacheries politiques.
Mais puisque l'on parle de cette horrible émission, j'ai encore vif le souvenir de l'une d'elles où l'on voyait [large]le trio Demorand, Thomas, Guetta descendre allégrement Didier Porte[/large] (Thomas en rajoutant une louche dans Rue 89).
Signalons au passage que si la grille du soir sur France Inter bouge c'est pour laisser place au sieur Demorand pour une tranche de deux heures, un Demorand - grand professionnel et tout - qui avait vu Val virer Pommier à peine arrivé, sans protester !
Le style de Denisot peut déplaire et visiblement il déplaît à DS. Mais son journal ne se résume pas à ses propres questions. Le "petit journal" de Yann Barthès n'est pas dans le collimateur de sarko pour rien ; les "guignols" - dont il est de bon ton aussi de dire qu'ils ne sont plus ce qu'ils étaient - continuent et même Omar et Fred dans leur SAV glissent quelques vacheries politiques.
Mais puisque l'on parle de cette horrible émission, j'ai encore vif le souvenir de l'une d'elles où l'on voyait [large]le trio Demorand, Thomas, Guetta descendre allégrement Didier Porte[/large] (Thomas en rajoutant une louche dans Rue 89).
Signalons au passage que si la grille du soir sur France Inter bouge c'est pour laisser place au sieur Demorand pour une tranche de deux heures, un Demorand - grand professionnel et tout - qui avait vu Val virer Pommier à peine arrivé, sans protester !
Je trouve bizard la présence du terme "enculade" dans cette chronique.
Dear nevermore,
Ciel, c'est à ce point là, pourquoi vous imposez-vous autant de souffrance à lire les écrits de tous ces boeufs? Restez dans votre douloureuse solitude, (votre douloureux isolement?)
Il existe des forums (spécialistes des pontes de poissons en eaux tropicales for example), où transparaît fort peu l'insoutenable lourdeur de l'être.
"Pourquoi tant de haine? pourquoi? " citation humoristique.
Ciel, c'est à ce point là, pourquoi vous imposez-vous autant de souffrance à lire les écrits de tous ces boeufs? Restez dans votre douloureuse solitude, (votre douloureux isolement?)
Il existe des forums (spécialistes des pontes de poissons en eaux tropicales for example), où transparaît fort peu l'insoutenable lourdeur de l'être.
"Pourquoi tant de haine? pourquoi? " citation humoristique.
Jean-Lus Hess (un rapport avec Hermann, peut-être) est non seulement un salaud mais en plus un ponctionnaire (désolé de vous infliger ce pléonasme) il n'a donc aucun scrupule à étouffer le pognon du contribuable pour lui en donner toujours moins !
Ce qui est désagréable !
Encore un qui aura intérêt à garer ses miches pendant la prochaine révolution...
***
Ce qui est désagréable !
Encore un qui aura intérêt à garer ses miches pendant la prochaine révolution...
***
"Nevermore"... attendez... ça signifie bien "plus jamais" in the real life of perfide Albion ? Ouais ? bon... nevermore... si seulement ça pouvait (nous) arriver... quel soulagement...
Nevermore peut il être très explicite? encore plus? j'aimerais comprendre vraiment ce qu'il souhaiterait lire sur le forum, il y a comme un relent de mépris dans son dernier écrit...
petits bourges?
petits bourges?
Des sujets d'indignation j'en vois plein d'autres .... Mais c'est fou ce que les lecteurs d'@si sont consensuels il semble!!!!!!
C'était exactement le sujet de conversation de petites bourges du métro ce soir votre histoire people :
"Et je te le dis je n'écouterai plus france inter maintenant! " Elégantes et rebelles. Mais sûrement pas dans la rue pour défendre les retraites!
Ah la la la lala !
Bouhouhou .... Arrêtons de croire à la fin du monde. Je ne connais pas D Portre sauf pour l'avoir rencontré ici il me semble... donc silence.
Je le découvrirais.
Quant à S Guyot ... vraiment si vous le trouviez drôle c'est que vous avez l'humour un peu triste ...
Ce type des beaux quartiers qui se prenait pour une personnalité de premier plan ... un humour aussi lourd et bas du front que celui des chansonniers des années ....
cinquante ! Au caveau de la république par exemple!!!!
Si encore il avait eu le sens de l'autodérision de papa Choron (qui ne m'avait jamais fait rire, juste le plaisir de la transgression et de l'absurde qui sous de Gaulle s'appréciait... )
Guyon? DE LE PEOPOLADE!
Médiocrité et grandiloquence.
Méchanceté m'en fiche, mais pour que la méchanceté m'intéresse il faut qu'elle m'ouvre l'esprit.
Pas qu'elle se régale de ses tours de piste narcissiques!
Un humour beauf de droite avec la mégalo de gauche... bref tout ce que je ne rêve pas de rencontre ici sinon je vais finir par abandonner la partie.
Niente à voir avec Bedos plus subtil (même s'il le défend - on se demande vraiment par quelles affinités de vieillesse?), ou Desprosges ....
Vous liriez du Guyot dans le texte vous? Qué malheur !
Reprenez vous un peu sur les forums .... Entre le foot et les pseudo comiques vedettes qui se prennent pour des hommes de lettre... AU SECOURS!
On est abreuvés de ces fausses réputations j'étouffe! Pas ici!
J'ai l'impression de me tromper de scène... la grassitude et la "beauferie" semblent avoir changé de camp!
Si être de gauche c'est aimer Guyot et qui d'autre? Ardisson, Rouquier et Naulleau? Qui encore?
Au secours je fiche le camp en Iran .... par exemple!
Au moins je saurais pourquoi il fait si sombre autour de moi!
Révisez vos admirations pour les starlettes de tv et radio, please!
J'ai l'impression qu'on va finir par sombrer dans les forums de réality show bizz... pour ados accros aux médias et à leurs vedettes de papier glacé ...
Par contre deux renvois d'un coup c'est sûr c'est suspect... peut être.
Mais vraiment de là à ne plus écouter france inter le matin! Il faut avoir rien comme autre rebellions à se mettre sous la dent!
C'était pas les infos qui nous intéressaient, pas les chroniques ? pas les analyses? mais ces amuseurs qui se prennent pour des rebelles? Vrai?
On se sent alors comme dans un club de gens accros à la politicaillerie, comme d'autres au tunning ou aux courses!
Pas mieux pas pire! Un passe temps contre l'espoir.
Réveillons nous, on est pas vraiment devenus si vieux et cons?
C'était exactement le sujet de conversation de petites bourges du métro ce soir votre histoire people :
"Et je te le dis je n'écouterai plus france inter maintenant! " Elégantes et rebelles. Mais sûrement pas dans la rue pour défendre les retraites!
Ah la la la lala !
Bouhouhou .... Arrêtons de croire à la fin du monde. Je ne connais pas D Portre sauf pour l'avoir rencontré ici il me semble... donc silence.
Je le découvrirais.
Quant à S Guyot ... vraiment si vous le trouviez drôle c'est que vous avez l'humour un peu triste ...
Ce type des beaux quartiers qui se prenait pour une personnalité de premier plan ... un humour aussi lourd et bas du front que celui des chansonniers des années ....
cinquante ! Au caveau de la république par exemple!!!!
Si encore il avait eu le sens de l'autodérision de papa Choron (qui ne m'avait jamais fait rire, juste le plaisir de la transgression et de l'absurde qui sous de Gaulle s'appréciait... )
Guyon? DE LE PEOPOLADE!
Médiocrité et grandiloquence.
Méchanceté m'en fiche, mais pour que la méchanceté m'intéresse il faut qu'elle m'ouvre l'esprit.
Pas qu'elle se régale de ses tours de piste narcissiques!
Un humour beauf de droite avec la mégalo de gauche... bref tout ce que je ne rêve pas de rencontre ici sinon je vais finir par abandonner la partie.
Niente à voir avec Bedos plus subtil (même s'il le défend - on se demande vraiment par quelles affinités de vieillesse?), ou Desprosges ....
Vous liriez du Guyot dans le texte vous? Qué malheur !
Reprenez vous un peu sur les forums .... Entre le foot et les pseudo comiques vedettes qui se prennent pour des hommes de lettre... AU SECOURS!
On est abreuvés de ces fausses réputations j'étouffe! Pas ici!
J'ai l'impression de me tromper de scène... la grassitude et la "beauferie" semblent avoir changé de camp!
Si être de gauche c'est aimer Guyot et qui d'autre? Ardisson, Rouquier et Naulleau? Qui encore?
Au secours je fiche le camp en Iran .... par exemple!
Au moins je saurais pourquoi il fait si sombre autour de moi!
Révisez vos admirations pour les starlettes de tv et radio, please!
J'ai l'impression qu'on va finir par sombrer dans les forums de réality show bizz... pour ados accros aux médias et à leurs vedettes de papier glacé ...
Par contre deux renvois d'un coup c'est sûr c'est suspect... peut être.
Mais vraiment de là à ne plus écouter france inter le matin! Il faut avoir rien comme autre rebellions à se mettre sous la dent!
C'était pas les infos qui nous intéressaient, pas les chroniques ? pas les analyses? mais ces amuseurs qui se prennent pour des rebelles? Vrai?
On se sent alors comme dans un club de gens accros à la politicaillerie, comme d'autres au tunning ou aux courses!
Pas mieux pas pire! Un passe temps contre l'espoir.
Réveillons nous, on est pas vraiment devenus si vieux et cons?
[quote=vite-dit]Et Michel Denisot, inquisiteur impitoyable, planta son regard d'aigle dans les yeux de Jean-Luc Hees, président de Radio France, invité du Grand journal : "en un mot, y a-t-il eu pression politique ?" Admirable question, implacable dans sa simplicité antique. On parlait évidemment, du licenciement de Porte et Guillon. Le pouvoir était-il intervenu ?
Hees se sut alors acculé.
Aucune issue. Sans doute regretta-t-il amèrement d'avoir accepté l'invitation du Grand journal de Canal+, où les puissants ne sont guère ménagés. Ah, s'il l'attendait, cette question !
Quel coquin ce Daniel!
Déja ce matin François Morel avait, dans sa remarquable chronique, comparé JL Hees avec Domenech et lourdement, si lourdement insisté sur le fait que lui, FM, n'était pas Anelka et n'agissait donc pas comme tel.
Il m'est avis qu'il va avoir du mal à s'asseoir les prochains jours, notre Grand Ayatollah de la Maison Ronde.
Hees se sut alors acculé.
Aucune issue. Sans doute regretta-t-il amèrement d'avoir accepté l'invitation du Grand journal de Canal+, où les puissants ne sont guère ménagés. Ah, s'il l'attendait, cette question !
Quel coquin ce Daniel!
Déja ce matin François Morel avait, dans sa remarquable chronique, comparé JL Hees avec Domenech et lourdement, si lourdement insisté sur le fait que lui, FM, n'était pas Anelka et n'agissait donc pas comme tel.
Il m'est avis qu'il va avoir du mal à s'asseoir les prochains jours, notre Grand Ayatollah de la Maison Ronde.
Depuis très longtemps, les médias européens savent que Sarkozy ne comprend pas la plaisanterie.
Il suffit de lire les commentaires des journalistes sur la plainte qu'il avait déposée lorsque Ryanair avec fait une pub sympa en utilisant la photo de lui et Bruni. Les journalistes hors de France ne pensaient pas du tout que cette plainte aurait pu aboutir... mais en France, si. Sur ce journal, dans l'article intitulé "Sarkozy ne comprend pas la plaisanterie" la journaliste interrogée écrit
"Selon une experte en droit de la presse, il est invraisemblable qu'une telle plainte puisse aboutir, ces faits de la vie privée sont connus de tous depuis longtemps"
et pourtant, en France, on condamne à 60.000 € d'amende une telle publicité, alors que ces messieur-dame ont ameuté les journalistes pour se faire filmer lors de leur déambulation à Euro-Disney.
En Allemagne, par exemple, pays que je connais bien, on a vu Sarkozy an patineuse artistique, une pub pour ntv. Il n'a pas osé porté plainte, car il aurait été ridiculisé. En France, seule Rue89 a repris l'info, à ma connaissance. En tout cas, pas les grands médias.
Le loueur de voiture SIXT a fait une pub avec Angela Merkel dans une situation bien pire avec comme slogan: "Vous avez besoin d'une nouvelle coiffure, louez un cabrio"
Comment a réagi Angela Merkel ? Elle a tout simplement déclaré à un journaliste qui lui demandait comment elle appréciait:
"En contrepartie, Madame Sixt pourrait m'inviter à faire une virée en cabrio"
Dans son pays, les émissions de "Cabaret politique" sont un régal, je les regarde dès que je peux. Il y a un humour très caustique envers les politiques de toutes couleurs, chancelière compris, une liberté de ton totale.
Elle n'existe malheureusement plus en France depuis longtemps - où chacun fait attention à ne pas trop "déplaire" au prince ni à la cour. A part Anne Roumanoff et sa "saucisse au milieu des fayots", pas grand chose au niveau "cabaret politique". Le genre a totalement disparu, mal vu en "cour".
C'est à Voltaire, très apprécié en Allemagne - lui qui avait rejoint l'empereur Frédéric II à Berlin celui-ci lui ayant offert un traitement financier particulier - qu'est attribué cette phrase désormais célèbre: « Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. ». C'est d'ailleurs à Berlin qu'il écrivit "Le siècle de Louis XIV".
Mais apparemment, en France, en "cour", on ne pratique plus cette vision des choses.
Où l'on voit où se loge la petitesse d'esprit et l'esprit de "cour" et où se trouve la maturité démocratique.
Et maintenant, on se sépare des "humoristes" à une heure de "grande écoute" sur la radio dont le chef de l'Etat nomme les dirigeants.
Comment les Français peuvent-ils accepter ces soumissions?
Il suffit de lire les commentaires des journalistes sur la plainte qu'il avait déposée lorsque Ryanair avec fait une pub sympa en utilisant la photo de lui et Bruni. Les journalistes hors de France ne pensaient pas du tout que cette plainte aurait pu aboutir... mais en France, si. Sur ce journal, dans l'article intitulé "Sarkozy ne comprend pas la plaisanterie" la journaliste interrogée écrit
"Selon une experte en droit de la presse, il est invraisemblable qu'une telle plainte puisse aboutir, ces faits de la vie privée sont connus de tous depuis longtemps"
et pourtant, en France, on condamne à 60.000 € d'amende une telle publicité, alors que ces messieur-dame ont ameuté les journalistes pour se faire filmer lors de leur déambulation à Euro-Disney.
En Allemagne, par exemple, pays que je connais bien, on a vu Sarkozy an patineuse artistique, une pub pour ntv. Il n'a pas osé porté plainte, car il aurait été ridiculisé. En France, seule Rue89 a repris l'info, à ma connaissance. En tout cas, pas les grands médias.
Le loueur de voiture SIXT a fait une pub avec Angela Merkel dans une situation bien pire avec comme slogan: "Vous avez besoin d'une nouvelle coiffure, louez un cabrio"
Comment a réagi Angela Merkel ? Elle a tout simplement déclaré à un journaliste qui lui demandait comment elle appréciait:
"En contrepartie, Madame Sixt pourrait m'inviter à faire une virée en cabrio"
Dans son pays, les émissions de "Cabaret politique" sont un régal, je les regarde dès que je peux. Il y a un humour très caustique envers les politiques de toutes couleurs, chancelière compris, une liberté de ton totale.
Elle n'existe malheureusement plus en France depuis longtemps - où chacun fait attention à ne pas trop "déplaire" au prince ni à la cour. A part Anne Roumanoff et sa "saucisse au milieu des fayots", pas grand chose au niveau "cabaret politique". Le genre a totalement disparu, mal vu en "cour".
C'est à Voltaire, très apprécié en Allemagne - lui qui avait rejoint l'empereur Frédéric II à Berlin celui-ci lui ayant offert un traitement financier particulier - qu'est attribué cette phrase désormais célèbre: « Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. ». C'est d'ailleurs à Berlin qu'il écrivit "Le siècle de Louis XIV".
Mais apparemment, en France, en "cour", on ne pratique plus cette vision des choses.
Où l'on voit où se loge la petitesse d'esprit et l'esprit de "cour" et où se trouve la maturité démocratique.
Et maintenant, on se sépare des "humoristes" à une heure de "grande écoute" sur la radio dont le chef de l'Etat nomme les dirigeants.
Comment les Français peuvent-ils accepter ces soumissions?
Médisances que tout cela ! Car franchement, est-ce que JL Hees a une tête à céder aux pressions politiques ?
« Vous croyez que c'est un hasard si je suis viré après une lettre de Christian Estrosi réclamant mon départ, ou des déclarations de Xavier Bertrand sur le même thème? »
" Val et Hees ont été nommés pour casser France Inter"
" Val et Hees ont été nommés pour casser France Inter"
Comme François Morel, je suis (j'étais ?) très attaché à cette station de radio ; c'est (c'était ?) MA radio de référence. Quelle tristesse de l'entendre basculer peu à peu vers un modèle de radio de ... déférence ! Au nom de la différence, en plus ! Tu parles !
Je n'ai pas ouvert le flux qui accompagne mes petits déj quotidiens, ce matin, volontairement, douloureusement mais logiquement. Après avoir écrit au directeur de la com de FI et signé la pétition, je n'allais quand même pas me mettre à écouter le 7/10 comme si de rien n'était ? Non plus !
Daniel, je vous en prie, essayez de les inviter au picnic les 3 licenciés d'inter(*), qu'on les remercie de vive voix !
(*) qui ne sont pas les seuls d'ailleurs à faire les frais du remue-ménage actuel, puisque 6 émissions sont aussi dans la charrette, semble-t-il !
Je n'ai pas ouvert le flux qui accompagne mes petits déj quotidiens, ce matin, volontairement, douloureusement mais logiquement. Après avoir écrit au directeur de la com de FI et signé la pétition, je n'allais quand même pas me mettre à écouter le 7/10 comme si de rien n'était ? Non plus !
Daniel, je vous en prie, essayez de les inviter au picnic les 3 licenciés d'inter(*), qu'on les remercie de vive voix !
(*) qui ne sont pas les seuls d'ailleurs à faire les frais du remue-ménage actuel, puisque 6 émissions sont aussi dans la charrette, semble-t-il !
Émission de soutien et d'hommage aux licenciés d'Inter chez Mermet en ce moment.
J'espère que la direction de France Inter va vite licencier toute l'équipe du journal de ce matin, à 8 h, pour avoir laissé entendre par la voix du délégué du syndicat Quoidéjà? le verbatim des insultes proférées envers l'Inculte par "le" jeune du 93.
Anéfè, j'étais en voiture conduire deux de mes enfants à l'école (6 et 11 ans), et je me demande [s]foutre bien[/s] comment leur expliquer la signification de, je [s]shite[/s] cite : "va te faire enculer, connard".
M. Demorand, auriez-vous la gentillesse de me répondre quant à la manière de fournir une éventuelle [s]foutage de gueule[/s] explication ?
Et en toute logique, j'espère que la direction de Radio France va vite licencier le patron de France Inter, pour avoir laissé entendre par...
Et en toute logique, j'espère que l'Inculte va vite licencier le patron de Radio France, pour avoir laissé entendre par...
Et en toute logique, j'espère que le peuple de France va vite licencier l'Inculte, pour avoir fait.
Anéfè, j'étais en voiture conduire deux de mes enfants à l'école (6 et 11 ans), et je me demande [s]foutre bien[/s] comment leur expliquer la signification de, je [s]shite[/s] cite : "va te faire enculer, connard".
M. Demorand, auriez-vous la gentillesse de me répondre quant à la manière de fournir une éventuelle [s]foutage de gueule[/s] explication ?
Et en toute logique, j'espère que la direction de Radio France va vite licencier le patron de France Inter, pour avoir laissé entendre par...
Et en toute logique, j'espère que l'Inculte va vite licencier le patron de Radio France, pour avoir laissé entendre par...
Et en toute logique, j'espère que le peuple de France va vite licencier l'Inculte, pour avoir fait.
J'ai re-visionné la 1e partie du Grand Journal de Canal + dans lequel Jean-Luc Hees était invité. J'ai bien compris ce qui motive le licenciement de Stéphane Guillon de France Inter : l'insulte faite au chef... En revanche, je n'ai toujours pas compris ce qui était reproché à Didier Porte... ou alors est-ce inavouable ? Notez comme lorsque qu'Arianne Massenet pose une question à propos de Didier Porte, le PDG de Radio France répond sur Guillon.
En tout cas, pour un journaliste qui se prétend indépendant, sans réseau politique M. Hees pratique une singulière langue en chêne massif 10 ans de séchage à l'air libre.
En tout cas, pour un journaliste qui se prétend indépendant, sans réseau politique M. Hees pratique une singulière langue en chêne massif 10 ans de séchage à l'air libre.
Très très bonne chronique, hilarante, dommage qu'il n'y ait plus de place pour l'humour sur Inter à 7h 53, sinon vous auriez pu remplacer avantageusement tous ces godelureaux.....
Je voulais revenir sur le raisonnement de Hees : je ne suis pas comme Domenech, j'appuie mon autorité en virant quand il faut virer et en ne faisant pas de cadeaux.
Outre que nous ne savons rien des rapports réels de Domenech avec son équipe, il y a quand même une grosse faille dans son raisonnement.
Si l'autorité est aussi importante, on ne doit pas lui porter ombrage car il est le directeur, il a quand même un problème avec Val.
Je suis des personnes qui ont connu le Val flamboyant de Charlie Hebdo et de ses éditoriaux qui petit à petit sont devenus illisibles et un peu paranos, et malgré ses dérapages avec Siné et le fait qu'il ait accepté de faire directeur lambda à France Inter, je lui fais crédit de cette ancienne période. Disons que je ne comprends pas ce qui lui arrive, et que j'espère qu'il a une conscience comme me le faisait penser ses éditoriaux d'alors.
Et donc je continue le raisonnement par rapport à Hees. C'était Val qui était sur le devant de la scène jusqu'ici, et il avait clairement exprimé, y compris à Didier Porte, qu'il ne virerait pas les huluberlus, et que l'idée était plutôt de déplacer les tranches horaires.
En agissant ainsi, en les virant quand même, Hees sape totalement le peu de crédit qu'avait Val, son sous-directeur. En faisant cela, il sape la sienne.propre puisque ce pouvoir s'appuie sur un système pyramidal : on appuie son pouvoir sur ses immédiats subordonnés, lesquels ont une légitimité pour faire admettre à leurs propres subordonnés leur propre autorité.
Hees, en effet, ne s'appuie plus sur une structure simple et facile à accepter. Comme le fait remarquer François, nous sommes là dans une conception éthologique du pouvoir : un grand singe dominant qui se frappe la poitrine pour impressionner tout le monde, et exclut de la meute ceux qui sont trop impertinents, en menaçant ainsi implicitement tous les autres qui visiblement ne sont pas non plus très dociles. Et c'est d'autant plus impressionnant que Porte et Guillon avaient des pics d'audience faramineux.
En fait, cette attitude éthologique est typique de Sarko. Je me demande vraiment si Sarko n'organise pas des stages ou ne fournit pas de la documentation pour expliquer la dominance éthologique aux gens qu'il côtoie.
Je me pose cette question en entendant Didier Porte raconter que sur Canal, Hees avait prétendu avoir reçu autant de mails le félicitant que de courriels le dénigrant, ce qui est manifestement faux.
C'est vraiment typique du pouvoir actuel, cette sorte d'intox..
Je voulais revenir sur le raisonnement de Hees : je ne suis pas comme Domenech, j'appuie mon autorité en virant quand il faut virer et en ne faisant pas de cadeaux.
Outre que nous ne savons rien des rapports réels de Domenech avec son équipe, il y a quand même une grosse faille dans son raisonnement.
Si l'autorité est aussi importante, on ne doit pas lui porter ombrage car il est le directeur, il a quand même un problème avec Val.
Je suis des personnes qui ont connu le Val flamboyant de Charlie Hebdo et de ses éditoriaux qui petit à petit sont devenus illisibles et un peu paranos, et malgré ses dérapages avec Siné et le fait qu'il ait accepté de faire directeur lambda à France Inter, je lui fais crédit de cette ancienne période. Disons que je ne comprends pas ce qui lui arrive, et que j'espère qu'il a une conscience comme me le faisait penser ses éditoriaux d'alors.
Et donc je continue le raisonnement par rapport à Hees. C'était Val qui était sur le devant de la scène jusqu'ici, et il avait clairement exprimé, y compris à Didier Porte, qu'il ne virerait pas les huluberlus, et que l'idée était plutôt de déplacer les tranches horaires.
En agissant ainsi, en les virant quand même, Hees sape totalement le peu de crédit qu'avait Val, son sous-directeur. En faisant cela, il sape la sienne.propre puisque ce pouvoir s'appuie sur un système pyramidal : on appuie son pouvoir sur ses immédiats subordonnés, lesquels ont une légitimité pour faire admettre à leurs propres subordonnés leur propre autorité.
Hees, en effet, ne s'appuie plus sur une structure simple et facile à accepter. Comme le fait remarquer François, nous sommes là dans une conception éthologique du pouvoir : un grand singe dominant qui se frappe la poitrine pour impressionner tout le monde, et exclut de la meute ceux qui sont trop impertinents, en menaçant ainsi implicitement tous les autres qui visiblement ne sont pas non plus très dociles. Et c'est d'autant plus impressionnant que Porte et Guillon avaient des pics d'audience faramineux.
En fait, cette attitude éthologique est typique de Sarko. Je me demande vraiment si Sarko n'organise pas des stages ou ne fournit pas de la documentation pour expliquer la dominance éthologique aux gens qu'il côtoie.
Je me pose cette question en entendant Didier Porte raconter que sur Canal, Hees avait prétendu avoir reçu autant de mails le félicitant que de courriels le dénigrant, ce qui est manifestement faux.
C'est vraiment typique du pouvoir actuel, cette sorte d'intox..
Insules à Sarkozy, dans le texte, dans le 93.....
Dommage que vous ne précisiez pas que l'homme a fait l'objet d'une ITT de neuf jours suite à son arrestation musclée. Nez cassé, je crois bien!!
Dommage que vous ne précisiez pas que l'homme a fait l'objet d'une ITT de neuf jours suite à son arrestation musclée. Nez cassé, je crois bien!!
Cher @si / DS ,
concernant le décryptage des médias,voilà bien une affaire en or:
ne serait-il pas intéressant et utile pour la culture commune des @sinautes de démonter (déconstruire) dans un cadre à définir, la mise en scène, la fabrication de la dramaturgie télévisuelle du "Grand journal" de M.Denisot, qui est d'une certaine façon une grande réussite :
on croirait vraiment que sa question est spontanée et que la réponse de Hees l'est tout autant, alors que toute la séquence a été répétée ou au moins extrêmement balisée; pour cela il faut pouvoir bien suivre, et il faudrait voir et revoir l'enchaînement et le choix des plans, l'angle et le cadrage des caméras; l'habituelle précision de la réalisation Canal+ assure cette impression de spontaneïté dynamique;
EST-CE BIEN DU VRAI DIRECT D'AILLEURS?
vous pourriez plaisamment illustrer ce démontage critique, cette analyse filmique en quelque sorte, par ce paroxysme que fut le passage à l'antenne, dans des circonstances aussi "borderline", d'Arnault Lagardère "apprenant en direct" dans la même émission qu'il échappe au couperet judiciaire dans l'affaire EADS !
Vos experts n'auraient pas de mal à trouver de très nombreux exemples pour nous aider nous, les asinautes, à progresser en petite cuisine des médias.
Bien à vous et à tous les @sinautes.PhV
PS : eh bien oui, continuons sans faiblir à signer de nos vrais patronymes; le minimum démocratique le requiert!
concernant le décryptage des médias,voilà bien une affaire en or:
ne serait-il pas intéressant et utile pour la culture commune des @sinautes de démonter (déconstruire) dans un cadre à définir, la mise en scène, la fabrication de la dramaturgie télévisuelle du "Grand journal" de M.Denisot, qui est d'une certaine façon une grande réussite :
on croirait vraiment que sa question est spontanée et que la réponse de Hees l'est tout autant, alors que toute la séquence a été répétée ou au moins extrêmement balisée; pour cela il faut pouvoir bien suivre, et il faudrait voir et revoir l'enchaînement et le choix des plans, l'angle et le cadrage des caméras; l'habituelle précision de la réalisation Canal+ assure cette impression de spontaneïté dynamique;
EST-CE BIEN DU VRAI DIRECT D'AILLEURS?
vous pourriez plaisamment illustrer ce démontage critique, cette analyse filmique en quelque sorte, par ce paroxysme que fut le passage à l'antenne, dans des circonstances aussi "borderline", d'Arnault Lagardère "apprenant en direct" dans la même émission qu'il échappe au couperet judiciaire dans l'affaire EADS !
Vos experts n'auraient pas de mal à trouver de très nombreux exemples pour nous aider nous, les asinautes, à progresser en petite cuisine des médias.
Bien à vous et à tous les @sinautes.PhV
PS : eh bien oui, continuons sans faiblir à signer de nos vrais patronymes; le minimum démocratique le requiert!
Je viens de l'enregistrer :il est ovationné ! Et Stéphane Bern annonce qu'il sera là à la rentrée (lui S.Bern) et qu'il accueillera Didier Porte même viré quand il le voudra ! Chapeau ! Cliquez ici pour télécharger le MP3
A écouter la chronique de François Morel de ce matin. le lien ici
Communiqué du syndicat CGT de Radio Rance :
Les pantins de l’Élysée se démasquent.
Ça y est, c’est fait ! Il n’aura fallu qu’une année à MM. Hees et Val pour
mettre en application leur mission commandée directement par Nicolas
Sarkozy : mettre au pas les chaînes de Radio France et, en particulier, la
plus écoutée : France Inter.
Tous les mensonges de Hees assurant, dès son arrivée, de ses bonnes
intentions, garanties du sceau de son passé d’intègre et prestigieux
journaliste ; les références maintes fois reprises d’un passé
contestataire de Val à Charlie Hebdo n’auront trompé personne, ni les
salarié-e-s ni les auditeurs. Tout le monde le savait pertinemment : ces
deux hommes sont les porte-flingues d’un président qui veut la peau de
toute contestation, de toute objection sur les antennes du service public.
D’un président qui prépare l’avenir. Son avenir.
Tout le monde le savait, mais tout le monde se demandait quand et comment
l’assaut allait
être porté. 2012, fin des travaux ?…
Le 23 juin, dans ses adieux aux auditeurs, Guillon fait mine de se
tromper, la fin des travaux de la maison de la radio n’est pas prévue pour
2012. Mais il s’agit bien de la fin des grandes manœuvres du pouvoir… pour
conquérir une nouvelle fois l’Élysée ! Avec un bilan aussi désastreux et
une chute vertigineuse dans les sondages, il faut sortir la grosse
artillerie de la propagande pour espérer remporter ces élections.
Après les médias privés, restait la mise au pas du service public. Nous y
sommes ! Et MM. Hees et Val, nommés pour ce faire, déminent
consciencieusement en bons soldats les grilles de Radio France, que
certains aimeraient tant rebaptiser « la voix de son maître ». Opération
qui permettra de porter haut et fort, sans opposition éditoriale, l’appel
de leur général.
Le travail de sape des grilles de rentrée de Radio France (France Inter
mise au pas éditorial, France Musique lancée sur des orientations
concurrentielles, nouvelle brimade de la création sur France Culture…)
orchestré par le quartier général de l’Élysée ne leurre personne. Le
pouvoir en place veut se servir de la radio de service public comme
porte-voix de son bilan, de ses projets électoralistes
Messieurs les directeurs, vos agissements scandaleux pilotés par l’Élysée
ne feront pas taire et n’endormiront pas les salariés ni les auditeurs.
C’est la liberté d’expression que vous foulez au pied !
Et votre guerre des grilles fait des morts : les producteurs, les
chroniqueurs… Vous, les troufions du gouvernement, vous allez devoir
compter sur la détermination des personnels et des auditeurs de Radio
France qui ne veulent pas voir leur entreprise, leur service public
asservi aux causes les plus viles, anéanti pour des fins serviles.
Messieurs Hees et Val, vous dites ne plus vouloir de petits tyrans à Radio
France, eh bien… partez, alors !
La CGT appelle tous les salariés, tous les auditeurs à organiser la
riposte à cette attaque et à se retrouver tous ensemble, devant les locaux
de Radio France dans les régions, devant la
Maison de la Radio à Paris, pour une journée nationale de mobilisation, le
1er juillet.
Paris, le 24 juin 2010.
CGT Radio Rance.
Alors, les parisiens, c'est le moment de vous mobiliser, puisque vous êtes sur place.
Communiqué du syndicat CGT de Radio Rance :
Les pantins de l’Élysée se démasquent.
Ça y est, c’est fait ! Il n’aura fallu qu’une année à MM. Hees et Val pour
mettre en application leur mission commandée directement par Nicolas
Sarkozy : mettre au pas les chaînes de Radio France et, en particulier, la
plus écoutée : France Inter.
Tous les mensonges de Hees assurant, dès son arrivée, de ses bonnes
intentions, garanties du sceau de son passé d’intègre et prestigieux
journaliste ; les références maintes fois reprises d’un passé
contestataire de Val à Charlie Hebdo n’auront trompé personne, ni les
salarié-e-s ni les auditeurs. Tout le monde le savait pertinemment : ces
deux hommes sont les porte-flingues d’un président qui veut la peau de
toute contestation, de toute objection sur les antennes du service public.
D’un président qui prépare l’avenir. Son avenir.
Tout le monde le savait, mais tout le monde se demandait quand et comment
l’assaut allait
être porté. 2012, fin des travaux ?…
Le 23 juin, dans ses adieux aux auditeurs, Guillon fait mine de se
tromper, la fin des travaux de la maison de la radio n’est pas prévue pour
2012. Mais il s’agit bien de la fin des grandes manœuvres du pouvoir… pour
conquérir une nouvelle fois l’Élysée ! Avec un bilan aussi désastreux et
une chute vertigineuse dans les sondages, il faut sortir la grosse
artillerie de la propagande pour espérer remporter ces élections.
Après les médias privés, restait la mise au pas du service public. Nous y
sommes ! Et MM. Hees et Val, nommés pour ce faire, déminent
consciencieusement en bons soldats les grilles de Radio France, que
certains aimeraient tant rebaptiser « la voix de son maître ». Opération
qui permettra de porter haut et fort, sans opposition éditoriale, l’appel
de leur général.
Le travail de sape des grilles de rentrée de Radio France (France Inter
mise au pas éditorial, France Musique lancée sur des orientations
concurrentielles, nouvelle brimade de la création sur France Culture…)
orchestré par le quartier général de l’Élysée ne leurre personne. Le
pouvoir en place veut se servir de la radio de service public comme
porte-voix de son bilan, de ses projets électoralistes
Messieurs les directeurs, vos agissements scandaleux pilotés par l’Élysée
ne feront pas taire et n’endormiront pas les salariés ni les auditeurs.
C’est la liberté d’expression que vous foulez au pied !
Et votre guerre des grilles fait des morts : les producteurs, les
chroniqueurs… Vous, les troufions du gouvernement, vous allez devoir
compter sur la détermination des personnels et des auditeurs de Radio
France qui ne veulent pas voir leur entreprise, leur service public
asservi aux causes les plus viles, anéanti pour des fins serviles.
Messieurs Hees et Val, vous dites ne plus vouloir de petits tyrans à Radio
France, eh bien… partez, alors !
La CGT appelle tous les salariés, tous les auditeurs à organiser la
riposte à cette attaque et à se retrouver tous ensemble, devant les locaux
de Radio France dans les régions, devant la
Maison de la Radio à Paris, pour une journée nationale de mobilisation, le
1er juillet.
Paris, le 24 juin 2010.
CGT Radio Rance.
Alors, les parisiens, c'est le moment de vous mobiliser, puisque vous êtes sur place.
Je me demande pourquoi Jean-luc Hees a accepté de poste de président de Radio-France.
Manifestement, il n'est pas fait pour ça. Il perd les pédales.
Je l'aimais bien autrefois, lorsqu'il faisait de l'antenne.
Son flegme un peu mélancolique.
Ils commençait toujours son émission par une petit papier plutôt bien foutu. Comme d'ailleurs Pierre Bouteiller, que cite Morel dans sa chronique nostalgique. C'était son "matinautes", en quelque sorte.
Comment peut-il avouer aussi sottement qu'il a pris sa décision sur un coup de tête, en regardant Doménech à la télévision? Avouer publiquement qu'il a la trouille de sa propre faiblesse !
C'est dingue, non ?
Manifestement, il n'est pas fait pour ça. Il perd les pédales.
Je l'aimais bien autrefois, lorsqu'il faisait de l'antenne.
Son flegme un peu mélancolique.
Ils commençait toujours son émission par une petit papier plutôt bien foutu. Comme d'ailleurs Pierre Bouteiller, que cite Morel dans sa chronique nostalgique. C'était son "matinautes", en quelque sorte.
Comment peut-il avouer aussi sottement qu'il a pris sa décision sur un coup de tête, en regardant Doménech à la télévision? Avouer publiquement qu'il a la trouille de sa propre faiblesse !
C'est dingue, non ?
Une chose à suivre : la partie 1 du Grand Journal de C+ où Hess est interviewé est introuvable sur le site de C+, alors que les parties 2 et 3 sont présentes.
Et si, une fois par semaine, ASI nous offrait une matinale radio, histoire d'avoir quelquechose à écouter lors de la journée sans France inter que je compte instaurer à la rentrée prochaine ?
Salut amical.
Jean-Luc
Salut amical.
Jean-Luc
Test d'humour:
Amis asinautes, répétez après moi: «J'encule Schneidermann!» Encore! Plus fort! Répétez: «J'encule Schneidermann!» ça fait du bien, non? Et en plus c'est de l'humour.
Amis asinautes, répétez après moi: «J'encule Schneidermann!» Encore! Plus fort! Répétez: «J'encule Schneidermann!» ça fait du bien, non? Et en plus c'est de l'humour.
????
Cher Monsieur, je n'encule que les incompétents .
Puisque c'est de l'humour, que nous sommes entre abonnés, on peut y aller, non? Pour choyer une liberté d'expression chèrement acquise et l'empêcher de tourner en rond.
Et hop! «J'encule Schneidermann!»
Et hop! «J'encule Schneidermann!»
????
[quote=Léo Ferré]Les hommes qui pensent en rond ont les idées courbes.
Et les idées deviennent courbes par simple déplacement de la perspective.
Et les idées deviennent courbes par simple déplacement de la perspective.
Si je fais dire, au sein d'un texte humoristique, à quelqu'un qui est connu pour détester Schneidermann et pour tenter désespérément de ne pas trop le montrer : "J'encule Schneidermann", ça fera probablement rire la plupart des @sinautes. S'il faut déplacer la perspective pour prouver à quel point on est sectaires, faites-le correctement.
Dès que quelque chose peut être perçu comme insulte, il y a tentation de censure par un groupe. Rien à voir avec la politique. Alors? «J'encule Schneidermann»?
Votre idée est un peu balourde, voir bête. La preuve si vos messages sont effacés on ne perd pas grand chose.
Elle a bon dos la perception.
Vous ne croyez donc pas que la grossièreté des mots, qui n'insultaient pas directement une personne n'est qu'un prétexte pour se débarrasser de la lueur d'intelligence lucide que représentait l'humour. L'exemple de votre message n'est pas pertinent comme exemple car dénué d'humour dans sa "présentation" et car il vise directement une personne, à supposer qu'il n'est là que comme un exemple pour une démonstration bien sûr.
La perception n'est pas en cause, c'est l'"émission", que votre message qui veut être démonstratif évoque, et mal.
Vous faites la démonstration que l'humour est souvent censuré ou récrié par les gens qui ne le comprennent pas.
Ce qui n'empêche pas que dans le cas précis dont on parle la censure s'est appliquée par quelqu'un qui a très bien compris ce que l'humour de Porte, Guillon, ou Morel visait et qui ne le supporte plus.
On comprend donc qu'on vous censure, efface votre message (et le mien avec).
Elle a bon dos la perception.
Vous ne croyez donc pas que la grossièreté des mots, qui n'insultaient pas directement une personne n'est qu'un prétexte pour se débarrasser de la lueur d'intelligence lucide que représentait l'humour. L'exemple de votre message n'est pas pertinent comme exemple car dénué d'humour dans sa "présentation" et car il vise directement une personne, à supposer qu'il n'est là que comme un exemple pour une démonstration bien sûr.
La perception n'est pas en cause, c'est l'"émission", que votre message qui veut être démonstratif évoque, et mal.
Vous faites la démonstration que l'humour est souvent censuré ou récrié par les gens qui ne le comprennent pas.
Ce qui n'empêche pas que dans le cas précis dont on parle la censure s'est appliquée par quelqu'un qui a très bien compris ce que l'humour de Porte, Guillon, ou Morel visait et qui ne le supporte plus.
On comprend donc qu'on vous censure, efface votre message (et le mien avec).
L'humour - surtout l'humour - est une question de références. Lorsque Desproges, Bedos, Coluche attaquaient et usaient de grossièretés - et non de vulgarité -, il représentaient un discours minoritaire.
Plus de vingt ans plus tard, ce discours est dominant et est devenu vulgaire. Bête et méchant, mais sans second degré car majoritaire. Le langage de Porte, Guillon, Sarkozy et Anelka est le même. Il encule à longueur de phrases à des fins personnelles. Fini le collectif pour faire tomber l'adversaire (le «grand capital» comme disait Georges). Les luttes sont des luttes d'égos.
Polac qui se faisaient virer avec son Droit de réponse de TF1, cela avait un autre panache. Comme Schneidermann qui se faisait virer de la Cinq. Ils faisaient réfléchir.
France Inter, l'équipe de France de foot, le gouvernement, l'ambiance est partout la même (merci François Morel). Le langage aussi y est partout le même (merci Régis Debray). On attaque Val et Hess sans donner le moindre crédit à ce qu'ils disent. Ils ont fauté en acceptant d'être nommés par Sarkozy. Certes. Mais essayons tout de même de comprendre ce qu'ils disent.
Plus de vingt ans plus tard, ce discours est dominant et est devenu vulgaire. Bête et méchant, mais sans second degré car majoritaire. Le langage de Porte, Guillon, Sarkozy et Anelka est le même. Il encule à longueur de phrases à des fins personnelles. Fini le collectif pour faire tomber l'adversaire (le «grand capital» comme disait Georges). Les luttes sont des luttes d'égos.
Polac qui se faisaient virer avec son Droit de réponse de TF1, cela avait un autre panache. Comme Schneidermann qui se faisait virer de la Cinq. Ils faisaient réfléchir.
France Inter, l'équipe de France de foot, le gouvernement, l'ambiance est partout la même (merci François Morel). Le langage aussi y est partout le même (merci Régis Debray). On attaque Val et Hess sans donner le moindre crédit à ce qu'ils disent. Ils ont fauté en acceptant d'être nommés par Sarkozy. Certes. Mais essayons tout de même de comprendre ce qu'ils disent.
Bedos n'est pas mort, attention quoi.
Ils étaient minoritaires? Comment ça, pourquoi plus que les humoristes actuels? Ils sont arrivés à un moment où la gauche n'avait jamais été au pouvoir, ou bien était au pouvoir. donc je ne pense pas que vous voulez dire minoritaires par rapport à la période politique. Voulez-vous dire qu'ils étaient minoritaires dans le sens où ils étaient les seuls à user de gros mots? Et alors quoi? Roulez en voiture et voyez tout le monde des années 60 aux années 2010, qui se défoule à coup de noms d'oiseaux, rien de minoritaire ou majoritaire. Le contexte y est pour beaucoup dans la grossièreté ou la vulgarité.
Pour l'humour, sortir du contexte, quoi de plus naturel en somme.
Personnellement Coluche à la radio faisait un jour rire gras des prolos se voulant virils, à côté de moi, en disant Monique deux qui la tiennent etc. et en lisant une histoire "drôle" (d'un auditeur) avec le mot viol à tout bout de champs et tout le monde était ravi, sauf moi. Il était un peu dépassé par ce que les gens projetaient sur lui et ne maîtrisait pas tellement son personnage public. Un peu comme Jamel Debbouze, persuadé que d'avoir été pauvre donne le droit d'être riche sans état d'âme et donneur de leçon parce qu'on a vu les deux faces de l'existence. Pour moi des comiques sans conscience politique qui alignent des perles de contradictions confuses quand on leur demande leur avis sur le monde. Au stade où en sont les restos du cœur, on peut penser que ça y est on a compris les limites de l'application de ses principes d'action politique à Coluche.. En faire un mythe pour mieux anéantir les comiques actuels, il ne mérite pas cette récupération quand même. Et Didier Porte, plus vulgaire que Coluche? bof, en tout cas plus cohérent et cultivé politiquement et je préfère rire à son humour à lui.
En essayant de mieux comprendre votre provocation, je crois discerner que votre objection serait recevable s'il s'agissait d'analyser le succès de ces humoristes, à la vulgarité et la grossièreté plus directe et différentes, propre à notre époque (mais c'est pas à cause des mots d'Anelka qu'on peut dire ça, je vous ferais remarquer), mais votre objection n'est pas recevable pour aider à comprendre pourquoi on les éjecte de francintaire, sans parachutes, dorés ou non. Si on juge qu'ils ont détourné "la matinale" de son objectif, on les avise de leurs torts et on corrige le tir en les mettant dans des émissions autres ou à un moment plus judicieux de la matinale. Même en abordant le problème par votre angle plus critique, je ne vois pas ce qui justifie qu'on ne reconnaisse pas le succès et l'audience qu'ils apportaient.
Ils étaient minoritaires? Comment ça, pourquoi plus que les humoristes actuels? Ils sont arrivés à un moment où la gauche n'avait jamais été au pouvoir, ou bien était au pouvoir. donc je ne pense pas que vous voulez dire minoritaires par rapport à la période politique. Voulez-vous dire qu'ils étaient minoritaires dans le sens où ils étaient les seuls à user de gros mots? Et alors quoi? Roulez en voiture et voyez tout le monde des années 60 aux années 2010, qui se défoule à coup de noms d'oiseaux, rien de minoritaire ou majoritaire. Le contexte y est pour beaucoup dans la grossièreté ou la vulgarité.
Pour l'humour, sortir du contexte, quoi de plus naturel en somme.
Personnellement Coluche à la radio faisait un jour rire gras des prolos se voulant virils, à côté de moi, en disant Monique deux qui la tiennent etc. et en lisant une histoire "drôle" (d'un auditeur) avec le mot viol à tout bout de champs et tout le monde était ravi, sauf moi. Il était un peu dépassé par ce que les gens projetaient sur lui et ne maîtrisait pas tellement son personnage public. Un peu comme Jamel Debbouze, persuadé que d'avoir été pauvre donne le droit d'être riche sans état d'âme et donneur de leçon parce qu'on a vu les deux faces de l'existence. Pour moi des comiques sans conscience politique qui alignent des perles de contradictions confuses quand on leur demande leur avis sur le monde. Au stade où en sont les restos du cœur, on peut penser que ça y est on a compris les limites de l'application de ses principes d'action politique à Coluche.. En faire un mythe pour mieux anéantir les comiques actuels, il ne mérite pas cette récupération quand même. Et Didier Porte, plus vulgaire que Coluche? bof, en tout cas plus cohérent et cultivé politiquement et je préfère rire à son humour à lui.
En essayant de mieux comprendre votre provocation, je crois discerner que votre objection serait recevable s'il s'agissait d'analyser le succès de ces humoristes, à la vulgarité et la grossièreté plus directe et différentes, propre à notre époque (mais c'est pas à cause des mots d'Anelka qu'on peut dire ça, je vous ferais remarquer), mais votre objection n'est pas recevable pour aider à comprendre pourquoi on les éjecte de francintaire, sans parachutes, dorés ou non. Si on juge qu'ils ont détourné "la matinale" de son objectif, on les avise de leurs torts et on corrige le tir en les mettant dans des émissions autres ou à un moment plus judicieux de la matinale. Même en abordant le problème par votre angle plus critique, je ne vois pas ce qui justifie qu'on ne reconnaisse pas le succès et l'audience qu'ils apportaient.
Le langage, le contexte, le dispositif.
Avec l'arrivée de Canal + dans les 80's, une nouveau langage est apparu, brisant peu à peu le règne des chansonniers (Amadou etc.) Les Guignols ont ringardisé le Bébête show. Les Nuls ont dit "bite" et "cul" à l'antenne sans recourir à la naïveté provinciale (Moncuc de Prévost et Desproges dans la Lorgnette de Martin). Personne ne parlait comme ça à l'antenne avant l'arrivée de la gauche au pouvoir en 81. Décalage. Rires.
Avec Sarkozy, ce langage est arrivé au plus haut niveau de la nation. Il n'y a plus de décalage. Tout le monde parle le "casse toi pauv' con" à l'antenne. Les politiques font du One man show (merveilleuses présidentielles).
Quant au dispositif des (ex) chroniques matinales de France Inter... Le Tribunal des flagrants délires me revient à la mémoire: on disait tout en face de l'invité, lui donnant la possibilité réagir. Ah! Merveilleuses chroniques de Desproges et Rego déclamées en présence de Le Pen qui se tortillait sur son siège. Dans les matinales de France Inter, il y avait non seulement mélange des genres (humour et information), mais il n'y avait plus de passerelles entre les deux, tant l'expression humoristique était extrême et tant l'invité n'était pas là. En "arrivance", privé de son droit de parole sauf à paraître à côté de la plaque lorsque son interview commençait bien plus tard, de fait hors contexte lui aussi.
Bref, Val et Hess sont coupables d'avoir accepté leurs postes (Val est aussi coupable d'avoir viré Siné - mais Siné est coupable d'avoir divisé les lecteurs de Charlie Hebdo sans rien offrir sur la durée comme au bon vieux temps du Droit de Réponse de Polac). Mais cela ne doit pas dispenser d'écouter leurs arguments. Ni de reconnaître que les humoristes - Guillon surtout - n'ont fait que provoquer leur direction pendant de très longs mois. C'est ce qu'il cherchait celui là. Non?
Et Didier Porte? Ce soir je comprends mieux ce qu'il a pu ressentir après son "J'encule Sarkozy". Ce matin, avec mon "J'encule Schneidermann", je savait que je faisais une connerie. La communauté des asinautes m'a - au mieux - ignoré ou remis en place fermement. C'est ce que je cherchais. Qu'elle se défende. Parce que c'est aussi naturel à mes yeux que la réaction de France Inter vis-à-vis de "ses" humoristes. Mais comme Porte - si j'en crois la Ligne jaune et à ma humble échelle - j'avais le boules après. Même si ma situation est plus tranquille: actionnaire - en quelque sorte - et non salarié. Bienvenue Didier.
Avec l'arrivée de Canal + dans les 80's, une nouveau langage est apparu, brisant peu à peu le règne des chansonniers (Amadou etc.) Les Guignols ont ringardisé le Bébête show. Les Nuls ont dit "bite" et "cul" à l'antenne sans recourir à la naïveté provinciale (Moncuc de Prévost et Desproges dans la Lorgnette de Martin). Personne ne parlait comme ça à l'antenne avant l'arrivée de la gauche au pouvoir en 81. Décalage. Rires.
Avec Sarkozy, ce langage est arrivé au plus haut niveau de la nation. Il n'y a plus de décalage. Tout le monde parle le "casse toi pauv' con" à l'antenne. Les politiques font du One man show (merveilleuses présidentielles).
Quant au dispositif des (ex) chroniques matinales de France Inter... Le Tribunal des flagrants délires me revient à la mémoire: on disait tout en face de l'invité, lui donnant la possibilité réagir. Ah! Merveilleuses chroniques de Desproges et Rego déclamées en présence de Le Pen qui se tortillait sur son siège. Dans les matinales de France Inter, il y avait non seulement mélange des genres (humour et information), mais il n'y avait plus de passerelles entre les deux, tant l'expression humoristique était extrême et tant l'invité n'était pas là. En "arrivance", privé de son droit de parole sauf à paraître à côté de la plaque lorsque son interview commençait bien plus tard, de fait hors contexte lui aussi.
Bref, Val et Hess sont coupables d'avoir accepté leurs postes (Val est aussi coupable d'avoir viré Siné - mais Siné est coupable d'avoir divisé les lecteurs de Charlie Hebdo sans rien offrir sur la durée comme au bon vieux temps du Droit de Réponse de Polac). Mais cela ne doit pas dispenser d'écouter leurs arguments. Ni de reconnaître que les humoristes - Guillon surtout - n'ont fait que provoquer leur direction pendant de très longs mois. C'est ce qu'il cherchait celui là. Non?
Et Didier Porte? Ce soir je comprends mieux ce qu'il a pu ressentir après son "J'encule Sarkozy". Ce matin, avec mon "J'encule Schneidermann", je savait que je faisais une connerie. La communauté des asinautes m'a - au mieux - ignoré ou remis en place fermement. C'est ce que je cherchais. Qu'elle se défende. Parce que c'est aussi naturel à mes yeux que la réaction de France Inter vis-à-vis de "ses" humoristes. Mais comme Porte - si j'en crois la Ligne jaune et à ma humble échelle - j'avais le boules après. Même si ma situation est plus tranquille: actionnaire - en quelque sorte - et non salarié. Bienvenue Didier.
moi, ce qui me gêne dans l'enculage, ce sont toutes les connotations méprisantes qu'il comporte. "hé, enculé", "j'encule tartempion", pour moi, ce sont des insultes, ce n'est pas de l'humour. l'humour, c'est une construction linguistique, verbale, sémantique, qui permet au rieur de voir une réalité autrement, d'un autre point de vue. dire que schneidermann est un enculé par X, c'est utiliser une pratique sexuelle lourdement connotée dans nos sociétés pour rabaisser l'image qu'on a de quelqu'un. c'est insultant, ça n'est pas drôle, parce qu'il n'y a aucune élaboration autour. c'est un peu le problème de nos 2 poils à gratter, et des humoristes actuels, confondre le gros pet gras avec un discours. mais bon, ils font autre chose aussi. je trouve juste que c'est inutile de participer à cette confusion.
À mon avis l'insulte, telle qu'employée par Anelka, est en train de perdre sa connotation sexuelle et avilissante dans la bouche des djeuns. L'expression est utilisée dans le sens "hors de ma vue".
Et l'expression, dans son utilisation par l'humoriste en titre d'asi, Didier Porte, ne doit pas être prise au sens littéral, voire au premier degré, puisque tel un diamant elle était enchâssée dans un métal qui, même si il n'était pas de l'or, suffisait à la détourner de l'insulte pure et dure.
Et l'expression, dans son utilisation par l'humoriste en titre d'asi, Didier Porte, ne doit pas être prise au sens littéral, voire au premier degré, puisque tel un diamant elle était enchâssée dans un métal qui, même si il n'était pas de l'or, suffisait à la détourner de l'insulte pure et dure.
Je ne connais pas bien le statut actuel de l'enculade. Il me semble qu'il garde une charge assez sévère, par rapport au con français ou au maláka grec qui, eux, peuvent être complètement inoffensifs dans certains contextes (voire utilisés comme ponctuation dans certains milieux) tout en récupérant toute leur force dans d'autres circonstances. Peut-être qu'enculé glisse dans cette direction, ce qui serait sans doute normal. Pour le moment, il me semble que ça reste un très gros mot pour grosses colères. Pas forcément lié à une représentation sodomite en particulier, mais juste envoyé comme terme tabou générique. "Je [concept choc générique] toi". L'équivalent du lancer de caca ou de la gifle au poisson avarié, et pour lequel n'importe quel gros mot ou terme transgressif peut faire l'affaire. Lorsqu'un mot transgressif sera usé jusqu'à la banalité par son usage répété, un autre le remplacera pour les cas qui requièrent une intensité inhabituelle, et le premier rejoindra l'arsenal des insultes à intensité ordinaire. Il y a sans doute des linguistes qui se spécialisent là-dedans.
Mais je ne suis pas convaincu non plus par l'expérience jnt. Si je suis d'accord que l'humour post-Nuls, sur canal plus et ailleurs, ne consiste à peu près plus qu'en une recherche désespérée du "truc qu'on ose pas dire et qu'on dit quand même, tihihi", on ne peut pas sortir de son contexte une vulgarité bien enchâssée (comme dit Poisson) dans un texte tout structuré. Le "sarkozy enculé" n'est en soi qu'une insulte, mais elle joue son rôle dans une narration spécifique, au même titre que tel mot hyperviolent enchâssé dans une chronique stylée de Desproges. Un bon écrivain peut jouer sur les sauts de registres sans être défini par la "grossièreté" du mot le moins huppé de son lexique. Dans un bon texte, chaque mot a sa place - en particulier dans l'humour où l'incongru et le contre-pied sont des moteurs cruciaux. Le sens vient du dialogue entre les mots (et entre leurs registres), et se perd lorsque le mot est retiré pour être observé entre des brucelles.
Bref, il y a un monde entre un "J'encule Schneidermann" suivi d'un ange qui passe, et une chronique de cinq minutes dont "J'encule Schneidermann" serait un élément. Le sens du premier est contenu tout entier dans la citation, le sens du second (et son intensité) dépend entièrement du texte dans lequel il s'intègre. Comme dirait Lucas, le jour où @si invitera Morandini, et Porte dans sa chronique lui suggérera de se vider de tous ses "j'encule Schneidermann" en chemin, je ne pense pas que Schneidermann se sentira insulté par Porte.
Et il y a un monde entre les oh là là vilains mots de Porte ou Desproges, et les grosses coucouilles à Bigaro qui, elles, constituent l'intégralité du discours. J'espère ne pas être trop balourd en rappelant la Préface de Ferré au milieu d'une discussion consacrée à l'humour, mais la poésie est un domaine très cousin.
"On ne prend les mots qu'avec des gants : à "menstruel" on préfère "périodique", et l'on va répétant qu'il est des termes médicaux qui ne doivent pas sortir des laboratoires et du codex. Le snobisme scolaire qui consiste à n'employer en poésie que certains mots déterminés, à la priver de certains autres, qu'ils soient techniques, médicaux, populaires ou argotiques, me fait penser au prestige du rince-doigts et du baise-main. Ce n'est pas le rince-doigts qui fait les mains propres, ni le baise-main qui fait la tendresse. Ce n'est pas le mot qui fait la poésie, c'est la poésie qui illustre le mot."
Ca parait effroyablement évident à répéter, mais ce n'est pas un "enculé" qui définit la qualité de l'humour. Ni dans un sens, pour ceux qui prétendent que Porte est mauvais à cause de ça, ni dans l'autre, pour ceux qui croient que Bigard est bon à cause de ça.
Mais je ne suis pas convaincu non plus par l'expérience jnt. Si je suis d'accord que l'humour post-Nuls, sur canal plus et ailleurs, ne consiste à peu près plus qu'en une recherche désespérée du "truc qu'on ose pas dire et qu'on dit quand même, tihihi", on ne peut pas sortir de son contexte une vulgarité bien enchâssée (comme dit Poisson) dans un texte tout structuré. Le "sarkozy enculé" n'est en soi qu'une insulte, mais elle joue son rôle dans une narration spécifique, au même titre que tel mot hyperviolent enchâssé dans une chronique stylée de Desproges. Un bon écrivain peut jouer sur les sauts de registres sans être défini par la "grossièreté" du mot le moins huppé de son lexique. Dans un bon texte, chaque mot a sa place - en particulier dans l'humour où l'incongru et le contre-pied sont des moteurs cruciaux. Le sens vient du dialogue entre les mots (et entre leurs registres), et se perd lorsque le mot est retiré pour être observé entre des brucelles.
Bref, il y a un monde entre un "J'encule Schneidermann" suivi d'un ange qui passe, et une chronique de cinq minutes dont "J'encule Schneidermann" serait un élément. Le sens du premier est contenu tout entier dans la citation, le sens du second (et son intensité) dépend entièrement du texte dans lequel il s'intègre. Comme dirait Lucas, le jour où @si invitera Morandini, et Porte dans sa chronique lui suggérera de se vider de tous ses "j'encule Schneidermann" en chemin, je ne pense pas que Schneidermann se sentira insulté par Porte.
Et il y a un monde entre les oh là là vilains mots de Porte ou Desproges, et les grosses coucouilles à Bigaro qui, elles, constituent l'intégralité du discours. J'espère ne pas être trop balourd en rappelant la Préface de Ferré au milieu d'une discussion consacrée à l'humour, mais la poésie est un domaine très cousin.
"On ne prend les mots qu'avec des gants : à "menstruel" on préfère "périodique", et l'on va répétant qu'il est des termes médicaux qui ne doivent pas sortir des laboratoires et du codex. Le snobisme scolaire qui consiste à n'employer en poésie que certains mots déterminés, à la priver de certains autres, qu'ils soient techniques, médicaux, populaires ou argotiques, me fait penser au prestige du rince-doigts et du baise-main. Ce n'est pas le rince-doigts qui fait les mains propres, ni le baise-main qui fait la tendresse. Ce n'est pas le mot qui fait la poésie, c'est la poésie qui illustre le mot."
Ca parait effroyablement évident à répéter, mais ce n'est pas un "enculé" qui définit la qualité de l'humour. Ni dans un sens, pour ceux qui prétendent que Porte est mauvais à cause de ça, ni dans l'autre, pour ceux qui croient que Bigard est bon à cause de ça.
[quote=Léo Ferré]N'oubliez jamais que ce qu'il y a d'encombrant dans la morale, c'est que c'est toujours la morale des autres.
C'est amusant, je me suis fait la même réflexion que vous Daniel, je me disais que la personne qui a nommé Val et Hees devrait les convoquer pour qu'ils rendent des comptes sur la pagaille qu'ils sont en train de mettre à France Inter.
Je le disais avec un peu d'ironie sans doute.
Admirable chronique de Morel en effet. Mais sûrement la dernière. Quelle tristesse.
Maintenant j'attends l'heure du fou du roi, entendrons-nous Porte ?
Et puis après que faire ? éteindre définitivement sa radio ?
J'ai rempli ma déclaration d'impôts hier. L'envie de cocher la case "aucune de vos résidences n'est équipée d'un téléviseur" était très forte. Cela fait belle lurette que je ne regarde plus la télé, il restait France Inter. L'actionnaire que je suis a bien envie de se désengager, vu le mépris avec lequel on le traite et la soupe qu'on semble maintenant vouloir lui servir.
Je me souviens de ce "Ligne jaune" où Daniel disait ne pas vouloir submerger les @sinautes de contenu.
Et bien pour ma part je sens que je vais avoir besoin de contenu supplémentaire... La transformation de France Inter, ce que risque de devenir Le Monde, tout ça va me laisser du temps de cerveau disponible que, bien évidemment, je ne suis pas prête à confier à TF1.
Alors comme beaucoup d'entre nous je me mets à rêver de retrouver Guillon, Morel, et surtout Porte sur @si, sans trop savoir sous quelle forme ce serait possible.
Eh bien voilà, abonnée de la première heure, c'était ma première participation dans le forum.
Trop indignée cette fois, besoin de le dire.
Maintenant que c'est fait je m'en vais écrire à Val, à Hees, au médiateur d'Inter, à Porte, à Morel, à Guillon, à Bern, à Demorand, à Legrand... Il paraît que le standard et les réclamations d'Inter explosent, il faut que ça continue car après (j'ai presque envie de dire malheureusement) ce sera les vacances, et le silence.
Je le disais avec un peu d'ironie sans doute.
Admirable chronique de Morel en effet. Mais sûrement la dernière. Quelle tristesse.
Maintenant j'attends l'heure du fou du roi, entendrons-nous Porte ?
Et puis après que faire ? éteindre définitivement sa radio ?
J'ai rempli ma déclaration d'impôts hier. L'envie de cocher la case "aucune de vos résidences n'est équipée d'un téléviseur" était très forte. Cela fait belle lurette que je ne regarde plus la télé, il restait France Inter. L'actionnaire que je suis a bien envie de se désengager, vu le mépris avec lequel on le traite et la soupe qu'on semble maintenant vouloir lui servir.
Je me souviens de ce "Ligne jaune" où Daniel disait ne pas vouloir submerger les @sinautes de contenu.
Et bien pour ma part je sens que je vais avoir besoin de contenu supplémentaire... La transformation de France Inter, ce que risque de devenir Le Monde, tout ça va me laisser du temps de cerveau disponible que, bien évidemment, je ne suis pas prête à confier à TF1.
Alors comme beaucoup d'entre nous je me mets à rêver de retrouver Guillon, Morel, et surtout Porte sur @si, sans trop savoir sous quelle forme ce serait possible.
Eh bien voilà, abonnée de la première heure, c'était ma première participation dans le forum.
Trop indignée cette fois, besoin de le dire.
Maintenant que c'est fait je m'en vais écrire à Val, à Hees, au médiateur d'Inter, à Porte, à Morel, à Guillon, à Bern, à Demorand, à Legrand... Il paraît que le standard et les réclamations d'Inter explosent, il faut que ça continue car après (j'ai presque envie de dire malheureusement) ce sera les vacances, et le silence.
Bonjour,
J'ai lu dans un forum hier une petite phrase qui m'a bien plut :
"les bouffons ne sont plus à l'antenne, ils sont à la direction" Et nous avons un bouffon en chef avec not' p'tit mètre ou le guide suprême des riches.
Bon ça commence à bien faire, la coupe déborde !!!
J'ai lu dans un forum hier une petite phrase qui m'a bien plut :
"les bouffons ne sont plus à l'antenne, ils sont à la direction" Et nous avons un bouffon en chef avec not' p'tit mètre ou le guide suprême des riches.
Bon ça commence à bien faire, la coupe déborde !!!
Si je comprends bien, le grand journal est devenu le builletin interne de France Inter.
Au lieu de rencontrer directement son personnel, Jean-Luc Hees préfère s'adresser à ces serveurs de soupe.
A noter dans la chronique de Morel la pique lancée à Guy Carlier qui devrait tenter de critiquer Lagardère avant de donner des leçons de liberté de parole.
Au lieu de rencontrer directement son personnel, Jean-Luc Hees préfère s'adresser à ces serveurs de soupe.
A noter dans la chronique de Morel la pique lancée à Guy Carlier qui devrait tenter de critiquer Lagardère avant de donner des leçons de liberté de parole.
oui, bien morel, merci pour le lien.
quand on pense que sur la même antenne, il y a eu le tribunal des flagrants délires !!!
mais aussi, on a été vraiment très cons, de ne pas avoir réagi quand le-petit-nain-de-l'élysée s'est arrogé le droit de placer ses pions serviles où il voulait, et pas seulement à radio france (faisons la liste, pour se faire peur !). c'est nous, public, qui aurions dû nous affoler de cette dérive du petit tyran blingbling, parce que ça, c'est une VRAIE dérive dictatoriale, digne d'une république bananière.
on voit ce que ça donne au bout du compte : la suppression pure et simple de l'humour sur un service public ! c'est consternant, et ça fait tout simplement peur. peur pour l'état mental et moral de ce pays !
quand on pense que sur la même antenne, il y a eu le tribunal des flagrants délires !!!
mais aussi, on a été vraiment très cons, de ne pas avoir réagi quand le-petit-nain-de-l'élysée s'est arrogé le droit de placer ses pions serviles où il voulait, et pas seulement à radio france (faisons la liste, pour se faire peur !). c'est nous, public, qui aurions dû nous affoler de cette dérive du petit tyran blingbling, parce que ça, c'est une VRAIE dérive dictatoriale, digne d'une république bananière.
on voit ce que ça donne au bout du compte : la suppression pure et simple de l'humour sur un service public ! c'est consternant, et ça fait tout simplement peur. peur pour l'état mental et moral de ce pays !
Daniel, je vous sens énervé, ça tombe bien, je le suis aussi et ça s'aggrave tous les jours, comme pour vous.
j'irai cracher sur leurs tombes, c'est une image je mourrai avant eux vu la vie que cette société m'accorde, à tous ces "bouffons" qui nous enculent à longueur de journée.
Ils nous traitent comme du bétail et moi je ne supporte pas la manière dont on traite le bétail.
ils sont assis sur leurs privilèges et leurs euros, leur manque d'éthique, de morale, de sens de l'honneur, d'humanité, de compassion, il conviendrait de les en déloger rapidement. La colère monte mais malheureusement ça ne suffira pas si on ne trouve pas à fédérer ces indignations individuelles.
Hier Jacques Généreux était sur Libération, son analyse et ses propositions étaient limpides, simplement il faudrait que le plus grand nombre ait accès à cette manière d'envisager les problèmes actuels mais les médias sont là qui veillent au grain, télévision publique et privée, radio publique ( on constate ce que devient France Inter et sa direction de larbins, ce matin il fallait entendre le chapelet de conneries de Colombani que Demorand savourait ) et privée étouffent le plus possible cette autre approche qui remettrait en cause les privilèges dont jouit une minorité. Il reste quelques sites, comme le votre, l'édition, un peu de presse écrite alors que peut-on faire pour réveiller les consciences et pour sortir de l'isolement de la colère ?
Ce matin, j'aurais voulu poser une question à Lagarde ( France Inter) sur la flambée du prix du gaz et ses conséquences sur la vie de dizaines de milliers de gens, en prenant mon propre exemple, j'ai voulu demander si on attendrait que des gens meurent de froid chez eux, pour intervenir et considérer le gaz comme un service public, comme avant, en ne permettant plus aux actionnaires de GDF Suez de se goinfrer, la question a été posée en toute fin d'intervention, éludée par Lagarde qui a promis d'y réfléchir à la fin de l'année...
300 000 foyers qui subissent les coupures de gaz et le chiffre va gonfler avec le chômage, la précarité, la misère qui gagne du terrain, affaiblissement du pouvoir d'achat et les mesures antisociales concoctées par ceux qui ne se posent jamais la question de la température qui fait chez eux. Je me suis laissée dire qu'une réforme des APL était en préparation qui diminuerait, ou plus encore, pour les propriétaires, ce qui mettrait énormément de gens en difficulté majeure. Ils les touchent pour rembourser les crédits ! Certains pourront s'enrichir sur les ventes au tribunal, comme aux Etas-Unis dont le président aime tant l'idéologie néolibérale qui la caractérise.
Tous ensemble, peut-être pourrions mettre un terme à cette dégringolade sociale.
j'irai cracher sur leurs tombes, c'est une image je mourrai avant eux vu la vie que cette société m'accorde, à tous ces "bouffons" qui nous enculent à longueur de journée.
Ils nous traitent comme du bétail et moi je ne supporte pas la manière dont on traite le bétail.
ils sont assis sur leurs privilèges et leurs euros, leur manque d'éthique, de morale, de sens de l'honneur, d'humanité, de compassion, il conviendrait de les en déloger rapidement. La colère monte mais malheureusement ça ne suffira pas si on ne trouve pas à fédérer ces indignations individuelles.
Hier Jacques Généreux était sur Libération, son analyse et ses propositions étaient limpides, simplement il faudrait que le plus grand nombre ait accès à cette manière d'envisager les problèmes actuels mais les médias sont là qui veillent au grain, télévision publique et privée, radio publique ( on constate ce que devient France Inter et sa direction de larbins, ce matin il fallait entendre le chapelet de conneries de Colombani que Demorand savourait ) et privée étouffent le plus possible cette autre approche qui remettrait en cause les privilèges dont jouit une minorité. Il reste quelques sites, comme le votre, l'édition, un peu de presse écrite alors que peut-on faire pour réveiller les consciences et pour sortir de l'isolement de la colère ?
Ce matin, j'aurais voulu poser une question à Lagarde ( France Inter) sur la flambée du prix du gaz et ses conséquences sur la vie de dizaines de milliers de gens, en prenant mon propre exemple, j'ai voulu demander si on attendrait que des gens meurent de froid chez eux, pour intervenir et considérer le gaz comme un service public, comme avant, en ne permettant plus aux actionnaires de GDF Suez de se goinfrer, la question a été posée en toute fin d'intervention, éludée par Lagarde qui a promis d'y réfléchir à la fin de l'année...
300 000 foyers qui subissent les coupures de gaz et le chiffre va gonfler avec le chômage, la précarité, la misère qui gagne du terrain, affaiblissement du pouvoir d'achat et les mesures antisociales concoctées par ceux qui ne se posent jamais la question de la température qui fait chez eux. Je me suis laissée dire qu'une réforme des APL était en préparation qui diminuerait, ou plus encore, pour les propriétaires, ce qui mettrait énormément de gens en difficulté majeure. Ils les touchent pour rembourser les crédits ! Certains pourront s'enrichir sur les ventes au tribunal, comme aux Etas-Unis dont le président aime tant l'idéologie néolibérale qui la caractérise.
Tous ensemble, peut-être pourrions mettre un terme à cette dégringolade sociale.
Un bon journaliste avide d éthique comme JM Apathie aurait pu évoquer comment se manifestent les pressions sur lémédias :
- sans les révélations courageuses d Eric Fotterino directeur du "Monde " qui aurait su comment Sarkozy exerçait ses pressions dans le bureau présidentiel
- l'armée d attaché de presse et de communication du pouvoir reste t-elle sans agir , ni parler , ni téléphoner toute leurs longues journées de travail ??
Nous prend t -on pour des naïfs et des gogos pour ne pas savoir comment se passent les pressions ??? attend t -on de l Elysée un communiqué de presse pour être persuadés ???
- sans les révélations courageuses d Eric Fotterino directeur du "Monde " qui aurait su comment Sarkozy exerçait ses pressions dans le bureau présidentiel
- l'armée d attaché de presse et de communication du pouvoir reste t-elle sans agir , ni parler , ni téléphoner toute leurs longues journées de travail ??
Nous prend t -on pour des naïfs et des gogos pour ne pas savoir comment se passent les pressions ??? attend t -on de l Elysée un communiqué de presse pour être persuadés ???
Une seule réponse à cette maison qui ressemble à s'y méprendre à l'ancienne O.R.T.F. avec sa cohorte de journalistes aux ordre du château.
Ne plus se brancher sur ce médiat, s'abonner à asi, médiapart, etc..
Un citoyen actionnaire de ces radios (pas majoritaire comme l'on suppute)
Ne plus se brancher sur ce médiat, s'abonner à asi, médiapart, etc..
Un citoyen actionnaire de ces radios (pas majoritaire comme l'on suppute)
Une petite erreur factuelle s'est glissée dans la chronique de DS, saurez-vous la retrouver ?
Ici la réponse: S'il restait, dans le tourbillon d'enculades qui constitue l'essentiel de l'actualité [s]de cette fin de saison[/s] de ce début de siècle...
Tiens, c'est marrant, le correcteur d'orthographe me propose 'bousculades' et 'engueulades' à la place 'd'enculades'...quel euphémisme...hum hum je me demande si mon correcteur ne serait pas sarkozyste !
Enfin il me propose aussi 'reculades', et là ça me va beaucoup mieux d'un coup !
Ici la réponse: S'il restait, dans le tourbillon d'enculades qui constitue l'essentiel de l'actualité [s]de cette fin de saison[/s] de ce début de siècle...
Tiens, c'est marrant, le correcteur d'orthographe me propose 'bousculades' et 'engueulades' à la place 'd'enculades'...quel euphémisme...hum hum je me demande si mon correcteur ne serait pas sarkozyste !
Enfin il me propose aussi 'reculades', et là ça me va beaucoup mieux d'un coup !
En réalité, que reproche hees à Domenech?
Pas la gestion calamiteuse de son équipe, après tout hees fait pareil.
Non, ce qu'il lui reproche c'est de ne pas s'être comporté comme un vrai chef, qui ordonne et impose à ses gars le silence et l'obéissance. Et il s'est dit "moi j'ordonne, et les autres s'exécutent. Je ne serai pas un faible".
Très intéressante, sa réponse à Denisot. Elle montre bien son coté "grand singe", gorille qui frappe sa poitrine en gueulant.
Et son infériorité intellectuelle manifeste vis-à-vis d'une vrai humain comme François Morel...
Pas la gestion calamiteuse de son équipe, après tout hees fait pareil.
Non, ce qu'il lui reproche c'est de ne pas s'être comporté comme un vrai chef, qui ordonne et impose à ses gars le silence et l'obéissance. Et il s'est dit "moi j'ordonne, et les autres s'exécutent. Je ne serai pas un faible".
Très intéressante, sa réponse à Denisot. Elle montre bien son coté "grand singe", gorille qui frappe sa poitrine en gueulant.
Et son infériorité intellectuelle manifeste vis-à-vis d'une vrai humain comme François Morel...
Pendant ce temps-là, sur France Inter, Christine Lagarde ne cache même plus le fait que si la réforme des retraites doit produire des effets rapides, c'est parce que lémarchés nous regardent. Pas un journaliste pour lui poser la question qui devrait logiquement s'ensuivre, pourtant: "mais alors, est-ce que cela veut dire que vous mettez de côté des options qui rendraient la réforme plus juste, mais qui produiraient des effets à plus long terme?" (alors qu'elle avait elle-même ouvert la porte, en disant qu'une augmentation de la durée de cotisation n'aurait pas un effet assez rapide).
Magnifique et dernière chronique de François Morel ce matin à France Inter : Hees en prend plein la gueule :Ecoutons la ici et n'oublions pas.
C'est clair que Morel lui a bien réglé son compte, et qu'il a dit à la face du monde ce qu'il pensait du gugusse. Bien fait.
D'autant que si je ne me trompe pas hees aimait bien Morel, et je suis à peu près sûr (mais ce n'est que mon sentiment) qu'il pensait à le recaser ailleurs. Je pense que ce n'est plus d'actualité, maintenant...
Bien grillé le hees.
D'autant que si je ne me trompe pas hees aimait bien Morel, et je suis à peu près sûr (mais ce n'est que mon sentiment) qu'il pensait à le recaser ailleurs. Je pense que ce n'est plus d'actualité, maintenant...
Bien grillé le hees.
Retrouvez le papier délectable de Morel ce matin!
Une chose est sûre, Daniel, vous avez mangé du lion depuis quelques jours..... Probablement pour le plus grand bonheur des zasinautes, en tout cas pour le mien... Vous devriez peut être postuler pour la tranche matinale d'Inter non?