Depuis "Charlie", des médias plus sensibles aux victimes du terrorisme ?
Le fait que les attentats de janvier 2015 aient ciblé, entre autres, une rédaction, a ébranlé le regard porté par les médias sur le terrorisme. C'est le constat de plusieurs journalistes qui ont couvert les attaques, il y a dix ans. La proximité avec le sujet a initié une prise en compte plus sensible du statut de victime. Elle a cependant contribué à invisibiliser d'autres victimes, non-journalistes, regrettent certain·es.
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Commentaires préférés des abonnés
*les médias plus sensibles aux victimes du terrorisme "
Concernant les victimes du terrorisme israélien en Palestine, le moins que l'on puisse dire, c'est que ce n'est pas flagrant
Je me faisais récemment la même réflexion qu'à la fin de l'article à propos de l'attentat de Nice, qui a pourtant fait 86 morts (!!!) et plus de 400 blessés. Distance avec Paris, arrivé en plein été, "lassitude" médiatique des attentats... ? Je n'ose(...)
En lisant cet article, fort bien fait au demeurant, je n'arrivais pas à faire taire cette petite voix dans ma tête qui me disait :
Mais où étaient ces braves gens pendant que l'armée israélienne assassinait plus de deux cent de leurs collègues, souven(...)
Derniers commentaires
En lisant cet article, fort bien fait au demeurant, je n'arrivais pas à faire taire cette petite voix dans ma tête qui me disait :
Mais où étaient ces braves gens pendant que l'armée israélienne assassinait plus de deux cent de leurs collègues, souvent avec toute leur famille, dans la bande de Gaza ?
Puisque cette profession est peuplée d'autant d'humanistes si soucieux de la vie humaine, pourquoi aucune organisation de journaliste n'a-t-elle pris la défense de leurs collègues palestiniens ?
Pourquoi ces journalistes si intègres reprennent ils le décompte mensonger de Reporter Sans Frontières ?
Selon Patricia Tourancheau, avec l'attentat de Charlie, "la profession est une cible".
Non, pas toute la profession. Aujourd'hui, tandis que des journalistes sont sous protection policière, d'autres sortent librement dans la rue, en toute quiétude, et dorment sur leurs deux oreilles.
Aucun de leurs éditoriaux ou de leurs articles ne risque de leur attirer des menaces de mort.
*les médias plus sensibles aux victimes du terrorisme "
Concernant les victimes du terrorisme israélien en Palestine, le moins que l'on puisse dire, c'est que ce n'est pas flagrant
L’aute jour j’aientendu babeau qui disait le contraire des ces diatribes habituels , parce qu’il etait personnellement touché par le sujet .Et mieux un mec de cnews , qui défendait les profs parce que sa femme est prof et qu’il connait le probleme .En fait ces truffes , parlent de ce qu’ils ne connaissent pas dans pratiquement tous les cas , c’est comme ces salopards de politicards , ils entravent que chi a la vie , la vraie , pas celle dans les coqueteles ou sans etre jamais entre sorti du 7 eme ou jamais de sa propriété du puy , enfin qui ‘a jamais souffert quoi , à part peut etre parce qu’on leur a refusé de baiser maman quelques fois .
tout dépends d'où se place l'observateur! du côté des colonisateurs comme BHL ce matin sur France-Culture, ou du côté des résistants qui ne rêvent que d'indépendance, dussent-ils instaurer la charia
Je me faisais récemment la même réflexion qu'à la fin de l'article à propos de l'attentat de Nice, qui a pourtant fait 86 morts (!!!) et plus de 400 blessés. Distance avec Paris, arrivé en plein été, "lassitude" médiatique des attentats... ? Je n'ose pas imaginer quels facteurs peuvent expliquer que cet attentat pourtant extrêmement traumatisant semble si peu mentionné.