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Ecole : une panique masturbatoire
Sur le front des "cerveaux malades", chers à Parick Cohen, il se passe toujours quelque chose.
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Derniers commentaires
peut-être que cette video a déjà été posté http://www.youtube.com/watch?v=kpfaza-Mw4I
Ne négligeons pas le gisement inépuisable de blagues et d'occasion de draguer que constituent les stéréotypes sexistes. Ce qui est grave, c'est de les prendre au premier degré. Heureusement qu'il y a le repoussant spectacle de la bêtise pour nous permettre de progresser. On peut parfaitement imaginer une société ayant éradiqué toutes les formes d'oppression, d'aliénation et d'exploitation des femmes, mais qui continuerait la mise en scène humoristique de la différence sexuelle, un peu comme les " primitifs" adorent ces " parentés à plaisanterie" admirablement analysées par Marcel Mauss. http://www.lefaso.net/spip.php?article35325
Très étonnant que l’on songe seulement en 2014 à leur enseigner la masturbation.
Nous sommes au XXIe siècle ! et l’enseignement de la partouze et du bondage devrait être de mise depuis longtemps.
Nous sommes au XXIe siècle ! et l’enseignement de la partouze et du bondage devrait être de mise depuis longtemps.
ceci va mal finir !!! les cantines qui servent de la viande halal (pas casher ça c'est péché), les sapins de noël interdit (les crèches aussi c'est péché ? ), des enseignants qui donnent des cours de masturbations aux tout petits, d'ici peu on va voir fleurir des armés de couples homos (mariés en plus ) à la sorti des écoles, mains dans la mains, des mamans qui relateront aux oreilles de tous leurs dernières IVG , mais qu'elle est ce monde ? ou des parents s'informent auprès du net, par le biais de facebook, ou de textos,... quand il suffirai de passé la porte de la salle de classe, d'interroger l'instit ? (trop réel peut être ?)
quelque chose va mal, je me demande si faute d'espoir certains ne serait pas entrain de se rouler dans un merdier fantasmagorique, plus puant que la réalité.
quelque chose va mal, je me demande si faute d'espoir certains ne serait pas entrain de se rouler dans un merdier fantasmagorique, plus puant que la réalité.
Sur le front des "cerveaux malades", chers à Patrick Cohen, il se passe toujours quelque chose.
Vous n'allez quand même pas citer cette phrase au début de toutes vos chroniques ! Certes elle est maladroite, mais est-elle complètement fausse ? Un exemple : vous avez vu la l'interview de Dieudonné à la TV iranienne. Honnêtement, il vous a paru totalement sain d'esprit ?
En parlant de science, voici une prise de position très claire qui rappelle quelques évidences en ces temps d'obscurantisme.
Genre : l'appel de Strasbourg
http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2014/01/le-genre-%C3%A0-l%C3%A9cole-lappel-de-strasbourg.html
Genre : l'appel de Strasbourg
http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2014/01/le-genre-%C3%A0-l%C3%A9cole-lappel-de-strasbourg.html
http://www.arretsurimages.net/breves/2014-01-30/Les-enfants-appartiennent-a-l-Etat-la-fausse-citation-d-une-senatrice-id16825
Cher @si,
est-ce que vous pourriez s'il vous plait ne pas reprendre à votre compte l'expression "théorie du genre" ? Le genre est un sujet, un domaine de recherche, ou une notion, pas une "théorie". Cette formulation-là (imposée par des ultra-conservateurs délibérément incultes) désinforme déjà sur ce dont il est question.
Cher @si,
est-ce que vous pourriez s'il vous plait ne pas reprendre à votre compte l'expression "théorie du genre" ? Le genre est un sujet, un domaine de recherche, ou une notion, pas une "théorie". Cette formulation-là (imposée par des ultra-conservateurs délibérément incultes) désinforme déjà sur ce dont il est question.
Cette mesure viole en particulier l’article 26-3 de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 : « Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants. »
Encore une mesure liberticide....
Une de plus....
Une preuve de plus que les fachos ont trouvé le bon filon: se faire appeler anti-facho.
Faites une expérience de pensée: Imaginez juste quelle aurait été la réaction des médias si cette mesure avait été votée par un sénat pro-FN. Qu'auriez-vous lu ? Qu'auriez-vous entendu ? N'auriez-vous vous pas vu les lycéens dans la rue ?
Encore une mesure liberticide....
Une de plus....
Une preuve de plus que les fachos ont trouvé le bon filon: se faire appeler anti-facho.
Faites une expérience de pensée: Imaginez juste quelle aurait été la réaction des médias si cette mesure avait été votée par un sénat pro-FN. Qu'auriez-vous lu ? Qu'auriez-vous entendu ? N'auriez-vous vous pas vu les lycéens dans la rue ?
Un documentaire norvégien très intéressant, que M. Schneidermann ne portera pas à la connaissance de ses lecteurs...
Egalité des sexes en Norvège
L'ex-pays le plus égalitaire du monde deviendra-t-il un repaire de fachos-machos dans les prochaines décennies ?
En tout cas, je suis rassuré, pour l'instant : toujours pas de directives pour nier le fait que les garçons ont plus de testostérone, et les filles, plus d'oestrogènes.
Bientôt, les hormones pour tous ?
Egalité des sexes en Norvège
L'ex-pays le plus égalitaire du monde deviendra-t-il un repaire de fachos-machos dans les prochaines décennies ?
En tout cas, je suis rassuré, pour l'instant : toujours pas de directives pour nier le fait que les garçons ont plus de testostérone, et les filles, plus d'oestrogènes.
Bientôt, les hormones pour tous ?
http://www.youtube.com/watch?v=SaTTuq4RC4U#t=48
manif pour tous
manif pour tous
Nouvelles recommandations européennes sur l’éducation sexuelle : selon les experts, l’éducation sexuelle devrait commencer dès la naissance
http://www.euro.who.int/fr/media-centre/sections/latest-press-releases/new-european-guidelines-on-sexuality-education-experts-say-sexuality-education-should-start-from-birth
il faut apprendre, de 0 à 4 ans, la « masturbation enfantine » et laisser l’enfant exprimer « ses besoins, ses désirs et ses limites »
p38 du rapport de l'OMS
https://www.sante-sexuelle.ch/wp-content/uploads/2013/11/Standards-OMS_fr.pdf
en bonus
http://theoriedugenre.files.wordpress.com/2013/07/snuipp-luttehomophobie-0513.pdf
http://www.euro.who.int/fr/media-centre/sections/latest-press-releases/new-european-guidelines-on-sexuality-education-experts-say-sexuality-education-should-start-from-birth
il faut apprendre, de 0 à 4 ans, la « masturbation enfantine » et laisser l’enfant exprimer « ses besoins, ses désirs et ses limites »
p38 du rapport de l'OMS
https://www.sante-sexuelle.ch/wp-content/uploads/2013/11/Standards-OMS_fr.pdf
en bonus
http://theoriedugenre.files.wordpress.com/2013/07/snuipp-luttehomophobie-0513.pdf
Bof!
Comme le disait (à peu près) Descartes :"la connerie est la chose au monde la mieux partagée".
Comme le disait (à peu près) Descartes :"la connerie est la chose au monde la mieux partagée".
Pour le moins sceptique sur toute tentative de déconstruction des stéréotypes à l'école quand TOUTE la société véhicule ces mêmes stéréotypes.
Un peu comme dire que le crime c'est mal quand il n'y a que des criminels partout.
Un peu comme dire que le crime c'est mal quand il n'y a que des criminels partout.
Pour côtoyer, contre ma volonté, quelques enseignants gauchistes et irresponsables, je ne peux que valider ces thèses qui sont jugées à tort comme farfelues par l'intelligentsia médiatique
Nombreux sont les enseignants qui dans leur confort matériel et leurs conditions de travail idylliques, conditions que les travailleurs du secteur privé ne connaîtront jamais, incitent les enfants dont ils ont la charge, à pratiquer des actes que la morale catholique réprouve comme la masturbation par exemple !
J'en connais même certains qui incitent leurs élèves à réfléchir sur les effets néfastes du libéralisme et de la mondialisation, pire encore profitent de leurs cours pour jeter l'opprobre sur des chaînes de qualité et des auteurs à succès
Voilà, le résultat du laxisme et de la décomposition des valeurs judéo chrétienne, il est donc temps de réagir et de procéder à un nettoyage idéologique des programmes dans la plupart des disciplines.
Voici mes propositions afin de remettre la notion de productivité et de rendements intellectuels et physiques à l'ordre du jour
Les enseignants de français devront étudier avec leurs élèves les œuvres complètes de Steevy Boulay, grand philosophe français et de Philippe Bouvard, fin lettré et humoriste pétomane de génie.
Les enseignants d'anglais utiliseront comme support pédagogique les discours de GW Bush et travailleront en liaison avec leurs collègues de géographie, qui consacreront un trimestre à l'étude des Etats-Unis et le reste de l'année aux bienfaits de la mondialisation et de la colonisation.
L'Allemand, à compter de la rentrée prochaine, sera la seule langue vivante 2 enseignée en collège et en lycée, les professeurs d'espagnol se verront confier d'autres missions comme la surveillance des épreuves de culture générale, qui se dérouleront chaque semaine, sous la direction de Julien Lepers, le thème retenu sera: les humoristes français de Michel Leeb à Mimy Mathy en passant par Véronique Genest et Laurent Gerra.
Les enseignants d'EPS verront leur temps de travail s'allonger , car dorénavant le sport à l'école occupera la moitié du temps des élèves, chaque semaine , les enfants les plus méritants se verront remettre une photographie géante de David Douillet, ou de Philippe Candeloro et des places pour la finale de la coupe du monde de rugby pour ramasser les ballons, les canettes de bières vides ou quinze jours à Roland Garros comme ramasseur de balles. Les enfants chétifs, indolents ou contestataires ne montrant pas une réelle volonté de pratiquer les exercices physiques demandés seront exclus du collège pour une durée indéterminée, ils seront pris en charge par des unités de la légion basées en Guyane sous les ordres de Bernard Laporte.
En technologie, une unité de production de chaussures de jogging constituera le projet central de l'année pour toutes les classes, les enfants découvriront les joies du travail à la chaîne et pourront avec l'accord de leurs parents toucher un salaire de 5 euros par trimestre. Les bénéfices seront réinvestis dans l'ouverture de centres fermés pour tous les élèves ayant oublié plus d'une fois leurs affaires d'EPS ou leur gomme.
En musique, les enfants découvriront l'œuvre intégrale des interprètes et compositeurs suivants: Johnny Hallyday, Pascal obispo Mireille Mathieu, Faudel, Enrico Macias, Jean Michel Jarre et bien entendu les mal voyants pourront s'éclater avec Gilbert Montagné. Chaque matin, sous la direction du chef d'établissement les enfants de votre collège ainsi que tous les personnels adultes se réuniront pour interpréter dans la joie et l'allégresse notre nouvel hymne national : "allumer le feu" , excepté en Corse et dans le Sud de la France où l'excellent" vol des mille colombes" sera entonné à capella.
Les enseignants et enseignantes du collège devront arborer la même coiffure que Vincent Peillon
Les professeurs qui refuseront de se soumettre à cette directive capillaire seront tondus par les brigades anti-grévistes qui en profiteront pour mettre au pas les dangereux anarchistes qui pullulent dans l'Education Nationale.
Les enseignants de Latin se consacreront exclusivement à l'étude de l'Empire romain et de ses plus grands personnages, Auguste, Néron, Caligula et Septime Sévère.
Les notions de citoyenneté et de démocratie chez les Grecs devront être abordées rapidement et étudiées comme la dégénérescence des systèmes politiques exemplaires tels que l'oligarchie, la tyrannie et la dictature.
En éducation civique, la liberté de la presse sera mise en évidence avec des extraits de journaux télévisés, le 13 heures de TF1 de JP Pernaut et le 20 heures de France 2 constituant d'excellents supports. La presse écrite sera lue chaque jour, chaque établissement sera abonné dès la Toussaint au Figaro, Figaro magazine, et au Figaro madame, la presse locale ne devra pas être négligée, notamment le supplément télé et les pages des sports.
Les professeurs de SVT axeront leurs cours sur l'importance dans l'histoire des personnes de petite taille, la remise en cause des théories de Darwin peut également constituer une piste de travail.
Les professeurs de mathématiques sont priés de ne plus utiliser les chiffres arabes sous peine de reconduite immédiate à la frontière, tout mathématicien devra obtenir un label européen , (excepté la Grèce trop proche de la Turquie), ou français: quelques suggestions Descartes, Christine Bravo, Painlevé, Pascal, et Bernard Tapie ( initiation aux affaires en lycée ).
Des opérations de sensibilisation aux métiers d'avenir seront menés chaque trimestre: les métiers de la surveillance, de la bourse ….des conseils de défiscalisation seront donnés aux enseignants qui accepteront de dépasser de 10 heures leur temps de travail hebdomadaire, qui , à compter du 15 septembre, sera fixé à 48 heures de présence devant les élèves, horaire obligatoire auquel on ajoutera deux heures de permanence le week-end afin de permettre aux professeurs de rencontrer les parents pour des bilans de compétence.
Les enseignants seront notés par les familles et pourront être révoqués en cas de moyenne insuffisante par le chef d'établissement lui même nommé par un collège de 12 sages issus de la bande à Laurent Ruquier .
Nombreux sont les enseignants qui dans leur confort matériel et leurs conditions de travail idylliques, conditions que les travailleurs du secteur privé ne connaîtront jamais, incitent les enfants dont ils ont la charge, à pratiquer des actes que la morale catholique réprouve comme la masturbation par exemple !
J'en connais même certains qui incitent leurs élèves à réfléchir sur les effets néfastes du libéralisme et de la mondialisation, pire encore profitent de leurs cours pour jeter l'opprobre sur des chaînes de qualité et des auteurs à succès
Voilà, le résultat du laxisme et de la décomposition des valeurs judéo chrétienne, il est donc temps de réagir et de procéder à un nettoyage idéologique des programmes dans la plupart des disciplines.
Voici mes propositions afin de remettre la notion de productivité et de rendements intellectuels et physiques à l'ordre du jour
Les enseignants de français devront étudier avec leurs élèves les œuvres complètes de Steevy Boulay, grand philosophe français et de Philippe Bouvard, fin lettré et humoriste pétomane de génie.
Les enseignants d'anglais utiliseront comme support pédagogique les discours de GW Bush et travailleront en liaison avec leurs collègues de géographie, qui consacreront un trimestre à l'étude des Etats-Unis et le reste de l'année aux bienfaits de la mondialisation et de la colonisation.
L'Allemand, à compter de la rentrée prochaine, sera la seule langue vivante 2 enseignée en collège et en lycée, les professeurs d'espagnol se verront confier d'autres missions comme la surveillance des épreuves de culture générale, qui se dérouleront chaque semaine, sous la direction de Julien Lepers, le thème retenu sera: les humoristes français de Michel Leeb à Mimy Mathy en passant par Véronique Genest et Laurent Gerra.
Les enseignants d'EPS verront leur temps de travail s'allonger , car dorénavant le sport à l'école occupera la moitié du temps des élèves, chaque semaine , les enfants les plus méritants se verront remettre une photographie géante de David Douillet, ou de Philippe Candeloro et des places pour la finale de la coupe du monde de rugby pour ramasser les ballons, les canettes de bières vides ou quinze jours à Roland Garros comme ramasseur de balles. Les enfants chétifs, indolents ou contestataires ne montrant pas une réelle volonté de pratiquer les exercices physiques demandés seront exclus du collège pour une durée indéterminée, ils seront pris en charge par des unités de la légion basées en Guyane sous les ordres de Bernard Laporte.
En technologie, une unité de production de chaussures de jogging constituera le projet central de l'année pour toutes les classes, les enfants découvriront les joies du travail à la chaîne et pourront avec l'accord de leurs parents toucher un salaire de 5 euros par trimestre. Les bénéfices seront réinvestis dans l'ouverture de centres fermés pour tous les élèves ayant oublié plus d'une fois leurs affaires d'EPS ou leur gomme.
En musique, les enfants découvriront l'œuvre intégrale des interprètes et compositeurs suivants: Johnny Hallyday, Pascal obispo Mireille Mathieu, Faudel, Enrico Macias, Jean Michel Jarre et bien entendu les mal voyants pourront s'éclater avec Gilbert Montagné. Chaque matin, sous la direction du chef d'établissement les enfants de votre collège ainsi que tous les personnels adultes se réuniront pour interpréter dans la joie et l'allégresse notre nouvel hymne national : "allumer le feu" , excepté en Corse et dans le Sud de la France où l'excellent" vol des mille colombes" sera entonné à capella.
Les enseignants et enseignantes du collège devront arborer la même coiffure que Vincent Peillon
Les professeurs qui refuseront de se soumettre à cette directive capillaire seront tondus par les brigades anti-grévistes qui en profiteront pour mettre au pas les dangereux anarchistes qui pullulent dans l'Education Nationale.
Les enseignants de Latin se consacreront exclusivement à l'étude de l'Empire romain et de ses plus grands personnages, Auguste, Néron, Caligula et Septime Sévère.
Les notions de citoyenneté et de démocratie chez les Grecs devront être abordées rapidement et étudiées comme la dégénérescence des systèmes politiques exemplaires tels que l'oligarchie, la tyrannie et la dictature.
En éducation civique, la liberté de la presse sera mise en évidence avec des extraits de journaux télévisés, le 13 heures de TF1 de JP Pernaut et le 20 heures de France 2 constituant d'excellents supports. La presse écrite sera lue chaque jour, chaque établissement sera abonné dès la Toussaint au Figaro, Figaro magazine, et au Figaro madame, la presse locale ne devra pas être négligée, notamment le supplément télé et les pages des sports.
Les professeurs de SVT axeront leurs cours sur l'importance dans l'histoire des personnes de petite taille, la remise en cause des théories de Darwin peut également constituer une piste de travail.
Les professeurs de mathématiques sont priés de ne plus utiliser les chiffres arabes sous peine de reconduite immédiate à la frontière, tout mathématicien devra obtenir un label européen , (excepté la Grèce trop proche de la Turquie), ou français: quelques suggestions Descartes, Christine Bravo, Painlevé, Pascal, et Bernard Tapie ( initiation aux affaires en lycée ).
Des opérations de sensibilisation aux métiers d'avenir seront menés chaque trimestre: les métiers de la surveillance, de la bourse ….des conseils de défiscalisation seront donnés aux enseignants qui accepteront de dépasser de 10 heures leur temps de travail hebdomadaire, qui , à compter du 15 septembre, sera fixé à 48 heures de présence devant les élèves, horaire obligatoire auquel on ajoutera deux heures de permanence le week-end afin de permettre aux professeurs de rencontrer les parents pour des bilans de compétence.
Les enseignants seront notés par les familles et pourront être révoqués en cas de moyenne insuffisante par le chef d'établissement lui même nommé par un collège de 12 sages issus de la bande à Laurent Ruquier .
La musique débile qu'écoutent nos jeunes à 90dcb est aussi responsable de leur surdité que la masturbation.
Y a des jours où fatigue.
Il faut quand même être obsédé et quelque peu vicelard pour aller inventer et propager des trucs pareils .Peut-on imaginer des poursuites contre ces malades ?
[quote=Daniel Schneidermann]Sur le front des "cerveaux malades", chers à Patrick Cohen
Attention, chef. Si vous continuez à railler Patrick Cohen, les bien-pensants vont vous mettre dans la charrette des débiles mentaux en compagnie de Bricmont, Dieudonné et Taddei ...
Attention, chef. Si vous continuez à railler Patrick Cohen, les bien-pensants vont vous mettre dans la charrette des débiles mentaux en compagnie de Bricmont, Dieudonné et Taddei ...
La goule (de l'arabe ????? al-ghûl, le « démon », la « créature », la « calamité » ) est une créature monstrueuse du folklore arabe et perse qui apparaît dans les contes des Mille et Une Nuits.
Quand on voit que Thomas Legrand, en tentant un louable effort de pédagogie, se vautre lui-même dans un cliché sexiste:
"On imagine bien que Jean-François Copé explique à ses enfants qu’il n’y a pas de métiers réservés, par nature aux hommes et d’autres aux femmes et que ce n’est pas bien d’insulter une fille qui préfère s’habiller comme un garçon ou jouer au foot. C’est exactement ce qu’ont fait les enseignants de Meaux et des autres écoles qui expérimentent l’ABCD de l’égalité."
On se dit que tout le monde, lui compris, a bien besoin d'un petit cours de déconstruction des stéréotypes.
Une fille ne s'habille pas "comme un garçon", elle s'habille comme elle veut, toujours en pantalon, avec des pulls camioneurs, des baskets... Je suppose que c'est à ce type de look que TL pensait en disant "comme un garçon". Et c'est cela, justement que l'on doit faire -je ne sais si c'est exactement le cas- dans les séance ABCD de l'égalité: remettre en cause le fait même de parler d'habits "de garçon" (les jeans n'ont pas de couilles, que je sache, les robes pas de clitoris, si ? Interrogeons une djellaba et un kilt pour en savoir plus), car c'est une norme sociale historiquement et géographiquement située.
"On imagine bien que Jean-François Copé explique à ses enfants qu’il n’y a pas de métiers réservés, par nature aux hommes et d’autres aux femmes et que ce n’est pas bien d’insulter une fille qui préfère s’habiller comme un garçon ou jouer au foot. C’est exactement ce qu’ont fait les enseignants de Meaux et des autres écoles qui expérimentent l’ABCD de l’égalité."
On se dit que tout le monde, lui compris, a bien besoin d'un petit cours de déconstruction des stéréotypes.
Une fille ne s'habille pas "comme un garçon", elle s'habille comme elle veut, toujours en pantalon, avec des pulls camioneurs, des baskets... Je suppose que c'est à ce type de look que TL pensait en disant "comme un garçon". Et c'est cela, justement que l'on doit faire -je ne sais si c'est exactement le cas- dans les séance ABCD de l'égalité: remettre en cause le fait même de parler d'habits "de garçon" (les jeans n'ont pas de couilles, que je sache, les robes pas de clitoris, si ? Interrogeons une djellaba et un kilt pour en savoir plus), car c'est une norme sociale historiquement et géographiquement située.
Pfffff... mais quel pataquès mes aïeux, quel pataquès ! Mon gamin est en crèche depuis deux ans et demie... dans la crèche, justement, qui fut un peu le fer de lance de l'application de ce que d'aucuns appellent "la théorie du genre". En ligne de mire dans les médias il y a quelques mois (visites de ministres, Nadjat Vallaud-Belkacem entre autres, et série de reportage dans la presse écrite et dans les journaux TV). C'est la crèche Bourdarias à Saint-Ouen. Le personnel, il y a huit ans maintenant, est allé en Suède pour discuter, observer et ramener un nouveau projet pédagogique afin de "déconstruire" les stéréotypes... Et c'est (en gros) se basant sur cette expérience (mais pas seulement) que la ministre du droit des femmes a contribué à tisser et imaginer des expériences pilotes vouées à se généraliser peu à peu.
Pour ce que je comprends de l'objectif (et je m'y penche, par la force des choses mais avec plaisir, depuis plus de deux ans), il s'agit essentiellement de réaliser (personnel encadrant et parents) à quel point nous reproduisons des schémas "prêts-à-penser" sur les comportements en fonction du sexe de nos enfants. Il n'est que de regarder les catalogues de jouets au moment des fêtes de fin d'année... les rôles sont puissamment assignés, et plus ou moins consciemment, chacun s'y tient plus ou moins : les petites filles, sur des pages roses, assignées à des jouets ou des déguisements prônant la passivité (princesse dans son château attendant d'être sauvée), à la dînette, à la maternité (poupées en tout genre) etc... Et puis les pages "garçons", je vous fais pas un dessin : camions, voitures, arme, Zorro et tout le tremblement.
Bon, à partir de là, c'est quoi, pratiquement, dans une école ou dans une crèche, le moyen opérationnel pour tenter de gommer un peu cette "ségrégation" garçon / fille", cette "assignation à résidence" promue par la société et plus ou moins consciemment aussi par les parents et les personnels encadrant tout au long de l'enfance ? D'abord, c'est le comportement du personnel encadrant : on essaie d'éviter de valoriser une petite fille uniquement sur le fait qu'elle est jolie et qu'elle est bien sage... ou un petit garçon sur le fait qu'il est costaud et qu'il a pas pleuré quand Quentin lui a foutu un baffe... On va faire attention au vocabulaire qu'on emploie : une petite fille un peu "rentre dedans", qui cavale partout, on va surtout pas la taxer de "garçon manqué" : c'est un vocable affreux quand on y pense ! Non seulement, elle n'est plus une fille, mais en plus, elle est ratée ! Hé ben on évite (et ce n'est qu'un exemple, la réflexion peut aller bien plus loin et elle est riche d'enseignements). Et toute cette sorte de chose...
C'est aussi leur donner accès à des activités totalement mixtes bien que "connotées" sexuellement : on donne le bain aux poupées, aux baigneurs, et cette activité est aussi proposée aux garçons (et nul ne les force à quoi que ce soit entendons-nous bien). On fait de la pâtisserie, des gâteaux, et tout le monde "met la main à la pâte", y compris les garçons. On fait des ateliers bricolage, avec marteau et clous ! Oui oui... et les gamins, qui apprennent surtout par le jeu et le mimétisme (je regarde ce que tu fais et je fais pareil, j'écoute ce que tu dis et je dis la même chose, etc...) sont ensemble, toujours. Et là, comme dans toutes ces activités, le but est le même : par petites touche, au fil des jeux et des années, c'est que le petit garçon qui (en moyenne) va être plutôt enclin à "y aller en force", à être impatient ou un rien brutal, va pouvoir observer que la petite fille, sa copine, ne se comporte pas tout à fait pareil.... elle va être (en moyenne) plus minutieuse, attentive et patiente. Elle va "y aller" plus délicatement, et peut-être, obtenir un meilleur résultat parfois ! En fait, les jeux mettent les petiots dans des situations de résolution de problèmes, parfois aussi dans des situations de devoir résoudre des conflits entre eux... et le but est que chacun constate et intègre peu à peu qu'il y a plus de solutions différentes que leur "inclination naturelle" les pousserait à adopter. Ce n'est pas qu'il faille "féminiser" des garçons et "masculiniser" les filles... c'est juste que chacun, qu'il soit fille ou garçon, se développe dans les premières années de sa vie, avec un potentiel un peu plus large, avec des outils conceptuels et pratiques plus divers face aux situations qu'il rencontre. Et l'arrière pensée, c'est que sur ces bases, deux lignes de forces commencent à se dessiner :
- des enfants, garçons et filles, qui ont été poussés à jouer, donc à apprendre, à vivre, de cette façon là et ENSEMBLE, ça donne des ados puis des adultes un peu mieux à même de se comprendre les uns-les autres, puisqu'ils auront eu des expériences communes qui les auront dotés "d'outils" opérationnels qui sont les mêmes, garçons comme filles.
- ensuite, dans les directions qu'ils seront amenés, garçons et filles, à choisir pour leur avenir (professionnel surtout), le champs des "possibles" sera plus ouvert... dans la société, certes, mais aussi, dans leur tête, dans leurs "goûts", dans leurs talents qui auront pu se révéler ou pas...
Personne ne considère ça comme une "panacée" je pense, mais c'est une façon d'aborder les choses plutôt ouverte, qui privilégie une vraie égalité et une construction du môme plus complète, plus riche et surtout, qui fait de jeunes adultes qui se connaissent mieux... dans la résolution des conflits par exemple (pour plus tard), dans la sphère privée, entre homme et femme, ce ne peut être qu'un plus...
Le projet du gouvernement, c'est en gros ça (avec surement d'autres outils et des objectifs mieux dessinés que celui que je croque moi-même de ma pauvre petite fenêtre) Mais alors je pose la question : qu'est-ce que c'est que ces projets le l'Europe, de l'OMS, qui trouvent quelques applications assez délirantes, effectivement en Suisse ou en Allemagne, et qui viennent polluer une évolution pédagogique qui pourrait s'avérer intéressantes et même salutaire ? Ca oui, et là, ceux qui s'inquiètent et ont tiré la sonnette d'alarme ne sont pas uniquement dans le fantasme. Il fait les écouter. Les projets en cours d'application en Suisse (par exemple, et je conseille à @si d'aller regarder ce qu'en rapporte la presse suisse), c'est vraiment et malheureusement ce qu'en rapportent Farida Belghoul et d'autres... peu importe "d'où ils parlent" d'ailleurs : c'est la réalité. Ne tuons pas le messager si le message est pertinent. MAIS... et là, il faut garder la tête froide, ce n'est PAS le projet actuel du gouvernement français et Farida Belghoul procède par amalgame et procès d'intention en l'occurrence....
Seulement voilà : on connait le caractère péremptoire de certains plans fomentés à Bruxelles ou dans d'autres instances internationales et leur propension à nous revenir par la fenêtre lorsqu'on les fout à la porte (les TUE et TFUE, les gazs de schiste et même toute la politique économique libérale "pensée" ailleurs, qu'on ne veut pas ici, qui ne fonctionne nulle part, mais qui est appliquée quand même... et on en passe)... Et là, même si le signal d'alarme nous vient "d'où on aime pas", ce n'est pas pour ça qu'il faut éteindre une certaine vigilance sur le sujet ou même pire, prendre par principe le chemin inverse par simple réaction instinctive. Le projet du gouvernement, je pense qu'il faut plutôt tenter de l'aider à se mettre peu à peu en place, tout en regardant de très près de quelle façon évoluera le projet pédagogique qui le sous-tend. Les questions de savoir si oui ou non, l'école est le lieu de l'apprentissage sexuel, à quel âge, par des enseignants ou des associations, si il faut l'imposer, le proposer... tout ça est un chantier ouvert et qui doit faire l'objet de discussions profondes. Et les réglementations assez délirantes qui se mettent place depuis 2011 en Suisse et en Allemagne (concernant les petits : 4 à 8 ans !) peuvent légitimement faire l'objet d'une attention toute particulière afin que la discussion sereine puisse naître en France AVANT que les fantasmes (qui sont déjà lancés plein gaz) ne créent tellement de bruit médiatique et de perturbation sociale qu'il deviendra impossible de séparer le bon grain de l'ivraie.
Pour ce que je comprends de l'objectif (et je m'y penche, par la force des choses mais avec plaisir, depuis plus de deux ans), il s'agit essentiellement de réaliser (personnel encadrant et parents) à quel point nous reproduisons des schémas "prêts-à-penser" sur les comportements en fonction du sexe de nos enfants. Il n'est que de regarder les catalogues de jouets au moment des fêtes de fin d'année... les rôles sont puissamment assignés, et plus ou moins consciemment, chacun s'y tient plus ou moins : les petites filles, sur des pages roses, assignées à des jouets ou des déguisements prônant la passivité (princesse dans son château attendant d'être sauvée), à la dînette, à la maternité (poupées en tout genre) etc... Et puis les pages "garçons", je vous fais pas un dessin : camions, voitures, arme, Zorro et tout le tremblement.
Bon, à partir de là, c'est quoi, pratiquement, dans une école ou dans une crèche, le moyen opérationnel pour tenter de gommer un peu cette "ségrégation" garçon / fille", cette "assignation à résidence" promue par la société et plus ou moins consciemment aussi par les parents et les personnels encadrant tout au long de l'enfance ? D'abord, c'est le comportement du personnel encadrant : on essaie d'éviter de valoriser une petite fille uniquement sur le fait qu'elle est jolie et qu'elle est bien sage... ou un petit garçon sur le fait qu'il est costaud et qu'il a pas pleuré quand Quentin lui a foutu un baffe... On va faire attention au vocabulaire qu'on emploie : une petite fille un peu "rentre dedans", qui cavale partout, on va surtout pas la taxer de "garçon manqué" : c'est un vocable affreux quand on y pense ! Non seulement, elle n'est plus une fille, mais en plus, elle est ratée ! Hé ben on évite (et ce n'est qu'un exemple, la réflexion peut aller bien plus loin et elle est riche d'enseignements). Et toute cette sorte de chose...
C'est aussi leur donner accès à des activités totalement mixtes bien que "connotées" sexuellement : on donne le bain aux poupées, aux baigneurs, et cette activité est aussi proposée aux garçons (et nul ne les force à quoi que ce soit entendons-nous bien). On fait de la pâtisserie, des gâteaux, et tout le monde "met la main à la pâte", y compris les garçons. On fait des ateliers bricolage, avec marteau et clous ! Oui oui... et les gamins, qui apprennent surtout par le jeu et le mimétisme (je regarde ce que tu fais et je fais pareil, j'écoute ce que tu dis et je dis la même chose, etc...) sont ensemble, toujours. Et là, comme dans toutes ces activités, le but est le même : par petites touche, au fil des jeux et des années, c'est que le petit garçon qui (en moyenne) va être plutôt enclin à "y aller en force", à être impatient ou un rien brutal, va pouvoir observer que la petite fille, sa copine, ne se comporte pas tout à fait pareil.... elle va être (en moyenne) plus minutieuse, attentive et patiente. Elle va "y aller" plus délicatement, et peut-être, obtenir un meilleur résultat parfois ! En fait, les jeux mettent les petiots dans des situations de résolution de problèmes, parfois aussi dans des situations de devoir résoudre des conflits entre eux... et le but est que chacun constate et intègre peu à peu qu'il y a plus de solutions différentes que leur "inclination naturelle" les pousserait à adopter. Ce n'est pas qu'il faille "féminiser" des garçons et "masculiniser" les filles... c'est juste que chacun, qu'il soit fille ou garçon, se développe dans les premières années de sa vie, avec un potentiel un peu plus large, avec des outils conceptuels et pratiques plus divers face aux situations qu'il rencontre. Et l'arrière pensée, c'est que sur ces bases, deux lignes de forces commencent à se dessiner :
- des enfants, garçons et filles, qui ont été poussés à jouer, donc à apprendre, à vivre, de cette façon là et ENSEMBLE, ça donne des ados puis des adultes un peu mieux à même de se comprendre les uns-les autres, puisqu'ils auront eu des expériences communes qui les auront dotés "d'outils" opérationnels qui sont les mêmes, garçons comme filles.
- ensuite, dans les directions qu'ils seront amenés, garçons et filles, à choisir pour leur avenir (professionnel surtout), le champs des "possibles" sera plus ouvert... dans la société, certes, mais aussi, dans leur tête, dans leurs "goûts", dans leurs talents qui auront pu se révéler ou pas...
Personne ne considère ça comme une "panacée" je pense, mais c'est une façon d'aborder les choses plutôt ouverte, qui privilégie une vraie égalité et une construction du môme plus complète, plus riche et surtout, qui fait de jeunes adultes qui se connaissent mieux... dans la résolution des conflits par exemple (pour plus tard), dans la sphère privée, entre homme et femme, ce ne peut être qu'un plus...
Le projet du gouvernement, c'est en gros ça (avec surement d'autres outils et des objectifs mieux dessinés que celui que je croque moi-même de ma pauvre petite fenêtre) Mais alors je pose la question : qu'est-ce que c'est que ces projets le l'Europe, de l'OMS, qui trouvent quelques applications assez délirantes, effectivement en Suisse ou en Allemagne, et qui viennent polluer une évolution pédagogique qui pourrait s'avérer intéressantes et même salutaire ? Ca oui, et là, ceux qui s'inquiètent et ont tiré la sonnette d'alarme ne sont pas uniquement dans le fantasme. Il fait les écouter. Les projets en cours d'application en Suisse (par exemple, et je conseille à @si d'aller regarder ce qu'en rapporte la presse suisse), c'est vraiment et malheureusement ce qu'en rapportent Farida Belghoul et d'autres... peu importe "d'où ils parlent" d'ailleurs : c'est la réalité. Ne tuons pas le messager si le message est pertinent. MAIS... et là, il faut garder la tête froide, ce n'est PAS le projet actuel du gouvernement français et Farida Belghoul procède par amalgame et procès d'intention en l'occurrence....
Seulement voilà : on connait le caractère péremptoire de certains plans fomentés à Bruxelles ou dans d'autres instances internationales et leur propension à nous revenir par la fenêtre lorsqu'on les fout à la porte (les TUE et TFUE, les gazs de schiste et même toute la politique économique libérale "pensée" ailleurs, qu'on ne veut pas ici, qui ne fonctionne nulle part, mais qui est appliquée quand même... et on en passe)... Et là, même si le signal d'alarme nous vient "d'où on aime pas", ce n'est pas pour ça qu'il faut éteindre une certaine vigilance sur le sujet ou même pire, prendre par principe le chemin inverse par simple réaction instinctive. Le projet du gouvernement, je pense qu'il faut plutôt tenter de l'aider à se mettre peu à peu en place, tout en regardant de très près de quelle façon évoluera le projet pédagogique qui le sous-tend. Les questions de savoir si oui ou non, l'école est le lieu de l'apprentissage sexuel, à quel âge, par des enseignants ou des associations, si il faut l'imposer, le proposer... tout ça est un chantier ouvert et qui doit faire l'objet de discussions profondes. Et les réglementations assez délirantes qui se mettent place depuis 2011 en Suisse et en Allemagne (concernant les petits : 4 à 8 ans !) peuvent légitimement faire l'objet d'une attention toute particulière afin que la discussion sereine puisse naître en France AVANT que les fantasmes (qui sont déjà lancés plein gaz) ne créent tellement de bruit médiatique et de perturbation sociale qu'il deviendra impossible de séparer le bon grain de l'ivraie.
Certes, la masturbation a eu de fâcheuses conséquences sur l'appareil auditif de Beethoven, mais n'a pas diminué son génie.
Et si l’éducation nationale arrêtait son constructivisme radical pour ce remettre à apprendre à lire, écrire, compter; ça éviterai peut être les malentendus, non ?
L’endoctrinement des enfants par l’état n’est-il pas un critère des sociétés totalitaires ? N’est-ce pas aux parents de faire l’éducation de leurs enfants et à l’école d’enseigner ?
Questions qui appellent des réponses de bon sens devenues, aujourd’hui, impies…
L’endoctrinement des enfants par l’état n’est-il pas un critère des sociétés totalitaires ? N’est-ce pas aux parents de faire l’éducation de leurs enfants et à l’école d’enseigner ?
Questions qui appellent des réponses de bon sens devenues, aujourd’hui, impies…
"Non, vos enfants ne devront pas se masturber à la Maternelle". Cat article parviendra-t-il, mieux qu'un SMS, jusqu'aux familles turques, gitanes, ou maghrébines, qui ont retiré leurs enfants de l'école de Strasbourg ? Comment le leur faire parvenir ?
Outre que rien ne permet d'affirmer que c'est le seul passage sur la masturbation à la maternelle qui est en cause dans ce retrait (cela pourrait parfaitement être l'ensemble des valeurs sexistes et homophobes véhiculés par ce "cerveau malade"), il ne servirait à rien de chercher à rassurer ces familles-là, cela serait encore donner des gages à leurs valeurs, car, quant bien même la masturbation ne serait pas prohibée à la maternelle, que l'école chercherait activement à déconstruire les stéréotypes sexués et sexuels, ce n'est pas elle, l'éducation nationale, qui irait dans le mauvais sens, bien au contraire.
Ce n'est là que la suite de la guerre permanente et, hélas, nécessaire dans laquelle est impliquée l'éducation nationale contre les valeurs non seulement rétrogrades, mais surtout méprisables, que nombre de familles, véritables petites dictatures, remplis de tyrans nullement éclairés, véhiculent encore de nos jours.
Tout ne se vaut pas et les valeurs de certaines familles ne valent pas d'être entendues, mais combattues.
Il faut l'assumer, pas le nier ou le renier.
Ces familles-là ne sont pas tant coupées du monde, qu'elles ne prêtent l'oreille qu'aux délires qui confortent leurs gerbantes et bêtement héritées visions du monde. Il ne sert donc à rien de chercher à rétablir la "vérité" pour elles, elles n'en ont cure.
yG
Outre que rien ne permet d'affirmer que c'est le seul passage sur la masturbation à la maternelle qui est en cause dans ce retrait (cela pourrait parfaitement être l'ensemble des valeurs sexistes et homophobes véhiculés par ce "cerveau malade"), il ne servirait à rien de chercher à rassurer ces familles-là, cela serait encore donner des gages à leurs valeurs, car, quant bien même la masturbation ne serait pas prohibée à la maternelle, que l'école chercherait activement à déconstruire les stéréotypes sexués et sexuels, ce n'est pas elle, l'éducation nationale, qui irait dans le mauvais sens, bien au contraire.
Ce n'est là que la suite de la guerre permanente et, hélas, nécessaire dans laquelle est impliquée l'éducation nationale contre les valeurs non seulement rétrogrades, mais surtout méprisables, que nombre de familles, véritables petites dictatures, remplis de tyrans nullement éclairés, véhiculent encore de nos jours.
Tout ne se vaut pas et les valeurs de certaines familles ne valent pas d'être entendues, mais combattues.
Il faut l'assumer, pas le nier ou le renier.
Ces familles-là ne sont pas tant coupées du monde, qu'elles ne prêtent l'oreille qu'aux délires qui confortent leurs gerbantes et bêtement héritées visions du monde. Il ne sert donc à rien de chercher à rétablir la "vérité" pour elles, elles n'en ont cure.
yG
Vous oubliez de citer les bon cathos. On les a entendu dans leurs manif prétendre exactement cela…
Cette histoire de rumeur imbécile qui fait que certains élèves ne sont pas envoyés à l'école me relie à ce qui m'est arrivé en début de semaine.
Je discute avec de bonnes amies à moi de l'affaire Hollande/Treierweiller, du côté croustillant. Mes amies n'ont pas de culture médiatique ni politique particulière.
L'une raconte l'histoire des vases de Sèvres que Valoche aurait cassées. Je rigole en disant que c'est une rumeur, qu'il a été prouvé que c'était totalement faux. Elles me tombent toutes les trois dessus en expliquant que c'est forcément vrai parce que "C'est Internet qui le dit".
J'essaie d'expliquer le truc, mais l'argument va revenir tout le temps : c'est vrai parce que c'est sur Internet.
Et elles n'en démordront pas. Je ne pourrai jamais m'expliquer, parce que l'argument d'internet engloutit tout.
Comme ça n'a pas beaucoup d'importance, je n'insiste pas. Admettons que je pourrai en reparler plus tard... Ces nanas n'ont pas un niveau d'éducation très élevé... Est-ce utile de leur expliquer bla bla bla information, vérification de l'information, démocratie, prise de décision bla bla bla. ?
Mais le lendemain, à la cantine avec mes collègues, qui eux et elles, ont le niveau d'éducation requis et la culture politique afférente, je me trouve devant un autre problème. Ces dernières années, à chaque fois qu'il y avait une discussion sur un fait d'actualité, j'étais la personne qui faisait remarquer que j'avais lu sur Mediapart que.... Un certain vent de scepticisme accompagnait mes propos.
Puis il y a eu l'affaire Bettencourt et d'autres affaires, et Sarkozy est parti et on n'en parle plus guère. Et ce que disait Mediapart a pris de l'importance.
Et maintenant, quand nous discutons d'un fait d'actualité et que visiblement, d'après les sources, qui se contredisent, quelque chose n'est pas clair, il y a toujours quelqu'un pour me demander : Et qu'est-ce qu'ils disent sur Mediapart ? (mais ça signifie en général la presse en ligne).
Et si Mediapart a l'explication, cela tranche la question.
J'en ai tiré comme conclusion, en fait c'est évidemment ponctuel parce que ça ne concerne que ma vie, que la presse mainstream est devenue tellement étrange et inutile aux yeux de tous qu'on se raccroche à ce qu'on peut.
Pour les gens qui n'ont ni le temps ni les moyens, pour des tas de raisons, de consulter internet, ils se retrouvent avec deux médias de fait : d'une part les informations sur Internet, et d'autre part, la personne qui a regardé et fait le tri, pour leur restituer l'information. Mais malgré tout, ils ont l'impression de pouvoir davantage faire confiance à ces deux médias, qui sont de fait des filtres redoutables et absolument pas fiables, que la presse mainstream qui est totalement décrédibilisée, parce qu'elle se décrédibilise elle-même en permanence, sans même en avoir conscience. De vieilles habitudes que les médias ont gardées, de manipulation de l'opinion (le TCE), de manipulations par des experts (Sarkozy et ses UBM), et de j'en-foutisme par rapport aux faits généralisé (toute personne qui connaît un domaine et dont la presse dit n'importe quoi...), et j'en passe. Et tout ça, c'est un problème de décrédibilisation des médias.
Et là, avec Farida Belghoul, on est en plein dedans, cette jeune femme a acquis le statut de leader d'opinion pour des raisons bien définies, et désormais, tout ce qu'elle dit de choses qu'elles a vues sur internet est parole d'évangile. Sans parler, à travers les réseaux sociaux, de ce qui est dit qu'elle dit.
C'est une catastrophe absolue, et je ne pense pas que le fait que les personnes qui se fient à ces informations aient une éducation de petit niveau et des repliements identitaires change quelque chose : c'est juste que c'est plus visible chez eux. Mais c'est toute la société qui a ce problème, et c'est la porte ouverte au populisme réel (le peuple pense que...., donc j'ai raison) à travers des canaux que personne ne peut contrôler. Et la manif pour tous est à la fois le résultat de cet état de fait, mais également un miroir qui renvoie toutes ces contradictions au visage de la société partagée entre le dédain, le déni, et le trouble.
Les temps sont durs et tout peut arriver.
Je discute avec de bonnes amies à moi de l'affaire Hollande/Treierweiller, du côté croustillant. Mes amies n'ont pas de culture médiatique ni politique particulière.
L'une raconte l'histoire des vases de Sèvres que Valoche aurait cassées. Je rigole en disant que c'est une rumeur, qu'il a été prouvé que c'était totalement faux. Elles me tombent toutes les trois dessus en expliquant que c'est forcément vrai parce que "C'est Internet qui le dit".
J'essaie d'expliquer le truc, mais l'argument va revenir tout le temps : c'est vrai parce que c'est sur Internet.
Et elles n'en démordront pas. Je ne pourrai jamais m'expliquer, parce que l'argument d'internet engloutit tout.
Comme ça n'a pas beaucoup d'importance, je n'insiste pas. Admettons que je pourrai en reparler plus tard... Ces nanas n'ont pas un niveau d'éducation très élevé... Est-ce utile de leur expliquer bla bla bla information, vérification de l'information, démocratie, prise de décision bla bla bla. ?
Mais le lendemain, à la cantine avec mes collègues, qui eux et elles, ont le niveau d'éducation requis et la culture politique afférente, je me trouve devant un autre problème. Ces dernières années, à chaque fois qu'il y avait une discussion sur un fait d'actualité, j'étais la personne qui faisait remarquer que j'avais lu sur Mediapart que.... Un certain vent de scepticisme accompagnait mes propos.
Puis il y a eu l'affaire Bettencourt et d'autres affaires, et Sarkozy est parti et on n'en parle plus guère. Et ce que disait Mediapart a pris de l'importance.
Et maintenant, quand nous discutons d'un fait d'actualité et que visiblement, d'après les sources, qui se contredisent, quelque chose n'est pas clair, il y a toujours quelqu'un pour me demander : Et qu'est-ce qu'ils disent sur Mediapart ? (mais ça signifie en général la presse en ligne).
Et si Mediapart a l'explication, cela tranche la question.
J'en ai tiré comme conclusion, en fait c'est évidemment ponctuel parce que ça ne concerne que ma vie, que la presse mainstream est devenue tellement étrange et inutile aux yeux de tous qu'on se raccroche à ce qu'on peut.
Pour les gens qui n'ont ni le temps ni les moyens, pour des tas de raisons, de consulter internet, ils se retrouvent avec deux médias de fait : d'une part les informations sur Internet, et d'autre part, la personne qui a regardé et fait le tri, pour leur restituer l'information. Mais malgré tout, ils ont l'impression de pouvoir davantage faire confiance à ces deux médias, qui sont de fait des filtres redoutables et absolument pas fiables, que la presse mainstream qui est totalement décrédibilisée, parce qu'elle se décrédibilise elle-même en permanence, sans même en avoir conscience. De vieilles habitudes que les médias ont gardées, de manipulation de l'opinion (le TCE), de manipulations par des experts (Sarkozy et ses UBM), et de j'en-foutisme par rapport aux faits généralisé (toute personne qui connaît un domaine et dont la presse dit n'importe quoi...), et j'en passe. Et tout ça, c'est un problème de décrédibilisation des médias.
Et là, avec Farida Belghoul, on est en plein dedans, cette jeune femme a acquis le statut de leader d'opinion pour des raisons bien définies, et désormais, tout ce qu'elle dit de choses qu'elles a vues sur internet est parole d'évangile. Sans parler, à travers les réseaux sociaux, de ce qui est dit qu'elle dit.
C'est une catastrophe absolue, et je ne pense pas que le fait que les personnes qui se fient à ces informations aient une éducation de petit niveau et des repliements identitaires change quelque chose : c'est juste que c'est plus visible chez eux. Mais c'est toute la société qui a ce problème, et c'est la porte ouverte au populisme réel (le peuple pense que...., donc j'ai raison) à travers des canaux que personne ne peut contrôler. Et la manif pour tous est à la fois le résultat de cet état de fait, mais également un miroir qui renvoie toutes ces contradictions au visage de la société partagée entre le dédain, le déni, et le trouble.
Les temps sont durs et tout peut arriver.
Scène vécue. Celà dit une remarque: un service nommé par l'executif a démenti une rumeur qui était défavorable à l'executif. Malheureusement pour eux, même si c'est vrai, ils ne sont pas les mieux placés pour démentir. Moi je choisis de les croire, mais j'ai conscience que je fais un acte de foi que je ne peut en aucun cas revendiquer comme une marque de culture politique. Vu d'ici, celles qui y croient mordicus comme vous qui croyez mordicus que c'est une rumeur sont en fait dans le même camp, celui des gens prêt à considérer comme des points acquis des choses sur lesquels ils ont objectivement des information de troisième main exclusivement. Mais alors, on ne peut parler de rien ? Ben, dogmatiquement, effectivement, de pas grand chose. Mais en mettant les formes nécessaires pour distinguer ressenti, opinion, estimation raisonnable et faits consensuels, on peut parler de tout, c'est la bonne nouvelle :)
Le problème n'est pas de savoir quelle est la rumeur, le problème, c'est que le seul argument pour prouver que c'était vrai, c'est que "c'était sur Internet".
C'était suffisant pour ces personnes. Cela voulait tout dire.
Si le fait que ce soit sur internet, contrairement aux médias mainstream, est en soi une preuve, c'est quand même un problème.
C'était suffisant pour ces personnes. Cela voulait tout dire.
Si le fait que ce soit sur internet, contrairement aux médias mainstream, est en soi une preuve, c'est quand même un problème.
Médiapart se fait tailler un joli costard par Acrimed pour ses commentaires un peu "légers" sur le nid d'amour de [s]Hollande et Gayet[/s] Gayet et Hollande.
Sur tous les sondages médias internet est jugé comme le moins fiable de tout, et même moi qui le défend je le pense aussi sur la moyenne de ce qu'on y trouve. Pas sur que votre anecdote soit significative...
Je suis absolument d'accord avec tout cela.
C'est bien la raison pour laquelle j'ai du mal à ne pas m'étrangler quand les éditocrates habituels (Joffrin et Barbier en tête) réclament des subventions publiques ou des Grenelle de la presse sous prétexte qu'il en va de la santé de la démocratie mais n'acceptent pas de voir que le succès de ce genre de rumeurs (et plus largement le succès des théories soraliennes, complotistes, etc.) montre qu'en cela, ils ont échoué. Ils préfèrent s'en prendre à des boucs-émissaires (le meilleur étant bien sûr "Internet", si tant est qu'ils sachent vraiment ce que ça désigne) plutôt que de se remettre en cause et de se demander pourquoi ils sont devenus incapables de toucher le public.
Et, aux vieilles habitudes que vous énumérez, il me semble qu'il faudrait rajouter un certain mépris du public. J'ai l'impression que beaucoup de médias (écrits comme télévisuels) considèrent que le public ne veut pas être confronté à la complexité du monde, qu'il suffit de balancer quelques mots-clés pour faire semblant de lui expliquer (et apaiser une vague conscience déontologique) et pouvoir ainsi passer à de l'infotainment qui est, comme chacun sait, ce que veut "vraiment" le public. Résultat : comme on ne lui propose pas grand chose dans les médias que des analyses extrêmement parcellaires, des avis d'experts vaguement jargonnant, des articles qui ne mettent que rarement en perspective ce qui tient des faits et ce qui tient plutôt de l'interprétation ou de la théorie (c'est flagrant sur les sujets économiques où les intervenants ne présentent jamais les postulats et les présupposés de leurs théories), le public se tourne vers des charlatans qui proposent des réponses fallacieuses mais faciles à appréhender.
C'est bien la raison pour laquelle j'ai du mal à ne pas m'étrangler quand les éditocrates habituels (Joffrin et Barbier en tête) réclament des subventions publiques ou des Grenelle de la presse sous prétexte qu'il en va de la santé de la démocratie mais n'acceptent pas de voir que le succès de ce genre de rumeurs (et plus largement le succès des théories soraliennes, complotistes, etc.) montre qu'en cela, ils ont échoué. Ils préfèrent s'en prendre à des boucs-émissaires (le meilleur étant bien sûr "Internet", si tant est qu'ils sachent vraiment ce que ça désigne) plutôt que de se remettre en cause et de se demander pourquoi ils sont devenus incapables de toucher le public.
Et, aux vieilles habitudes que vous énumérez, il me semble qu'il faudrait rajouter un certain mépris du public. J'ai l'impression que beaucoup de médias (écrits comme télévisuels) considèrent que le public ne veut pas être confronté à la complexité du monde, qu'il suffit de balancer quelques mots-clés pour faire semblant de lui expliquer (et apaiser une vague conscience déontologique) et pouvoir ainsi passer à de l'infotainment qui est, comme chacun sait, ce que veut "vraiment" le public. Résultat : comme on ne lui propose pas grand chose dans les médias que des analyses extrêmement parcellaires, des avis d'experts vaguement jargonnant, des articles qui ne mettent que rarement en perspective ce qui tient des faits et ce qui tient plutôt de l'interprétation ou de la théorie (c'est flagrant sur les sujets économiques où les intervenants ne présentent jamais les postulats et les présupposés de leurs théories), le public se tourne vers des charlatans qui proposent des réponses fallacieuses mais faciles à appréhender.
Et la manif pour tous est à la fois le résultat de cet état de fait,
Non, la manif pour tous (je parle des manifestants en général, pas des organisateurs) est le reflet d'un authentique fond conservateur dans la société française (AMHA). Ce n'est pas la même chose que les allumés complotistes façon Soral-Belghoul, même s'il y a sûrement quelques convergences localisées.
Non, la manif pour tous (je parle des manifestants en général, pas des organisateurs) est le reflet d'un authentique fond conservateur dans la société française (AMHA). Ce n'est pas la même chose que les allumés complotistes façon Soral-Belghoul, même s'il y a sûrement quelques convergences localisées.
Mais alors , que faîtes vous sur internet !!!!!
Ce que vous dénoncer concernant internet est tout aussi possible avec la presse papier, tv, radio .. et pourtant ...
Ce que vous dénoncer concernant internet est tout aussi possible avec la presse papier, tv, radio .. et pourtant ...
Tiens, comment se fait-il que les "stéréotypes sexuels" deviennent, à l'extrême droite, "stéréotypes du genre" ? Il y a des mots qui doivent leur écorcher la gueule.
Je suis allé voir la page FaceBook du mouvement en question, on y trouve quelques allusions aux sectes sataniques pédophiles qui auraient des protections en haut lieu, et plus généralement la grande méga compilation des peurs haineuses et qui se croient raisonnées.
Et une orthographe déplorable.
Fidèle à mon amour pour la contrepèterie, je dénonce cette perturbation des masses...
Et une orthographe déplorable.
Fidèle à mon amour pour la contrepèterie, je dénonce cette perturbation des masses...
Ohlala! Dès qu'on veut pas aller à poil à la gaypride avec une langue de belle-mère dans les fesses, Daniel fronce les sourcils!
pauvres gamins ,qui doivent endurer ces "transferts" de misères sexuelles et politiques des adultes..
Confirmation est donc faite qu'une certaine (F)rance a depuis longtemps touché le fond, maintenant elle creuse!
De l'influence de certains arriérés mentaux sur une France en pleine régression intellectuelle.