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Ecriture inclusive : panique quai conti !
"Péril mortel pour la langue française".
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Derniers commentaires
C'est bien ce que je disais, Joseph a, enfin, avoué.
C'est lui qui accoucha de Jésus.
Alleluia!!
C'est lui qui accoucha de Jésus.
Alleluia!!
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ha ouais, en plus, le point inclusif est différent du point final en fin de phrase : il se place à mi-hauteur des lettres et non en bas : ·.
les Français sont les génies de la construction des usines à gaz···
les Français sont les génies de la construction des usines à gaz···
Mal placé.e
J'ai de mes ancêtres gaulois.es l'oeil bleu blanc, la cervelle étroite, et la maladresse dans la lutte. Je trouve mon habillement aussi barbare que le leur. Mais je ne beurre pas ma chevelure.
Les Gaulois.es étaient les écorcheurs.euses de bêtes, les brûleurs.euses d'herbes les plus ineptes de leur temps.
D'eux.elles, j'ai : l'idolâtrie et l'amour du sacrilège ; - Oh ! tous les vices, colère, luxure, - magnifique, la luxure ; - surtout mensonge et paresse.
J'ai horreur de tous les métiers. Maîtres et ouvriers.ères, tous paysans.nes, ignobles. La main à plume vaut la main à charrue. - Quel siècle à mains ! - Je n'aurai jamais ma main. Après, la domesticité mène trop loin. L'honnêteté de la mendicité me navre. Les criminels.les dégoûtent comme des châtrés.es : moi, je suis intact, et ça m'est égal.
Mais ! qui a fait ma langue perfide tellement qu'elle ait guidé et sauvegardé jusqu'ici ma paresse ? Sans me servir pour vivre même de mon corps, et plus oisif que le crapaud, j'ai vécu partout. Pas une famille d'Europe que je ne connaisse. - J'entends des familles comme la mienne, qui tiennent tout de la déclaration des Droits de l'Homme. - J'ai connu chaque fils.fille de famille !
Les Gaulois.es étaient les écorcheurs.euses de bêtes, les brûleurs.euses d'herbes les plus ineptes de leur temps.
D'eux.elles, j'ai : l'idolâtrie et l'amour du sacrilège ; - Oh ! tous les vices, colère, luxure, - magnifique, la luxure ; - surtout mensonge et paresse.
J'ai horreur de tous les métiers. Maîtres et ouvriers.ères, tous paysans.nes, ignobles. La main à plume vaut la main à charrue. - Quel siècle à mains ! - Je n'aurai jamais ma main. Après, la domesticité mène trop loin. L'honnêteté de la mendicité me navre. Les criminels.les dégoûtent comme des châtrés.es : moi, je suis intact, et ça m'est égal.
Mais ! qui a fait ma langue perfide tellement qu'elle ait guidé et sauvegardé jusqu'ici ma paresse ? Sans me servir pour vivre même de mon corps, et plus oisif que le crapaud, j'ai vécu partout. Pas une famille d'Europe que je ne connaisse. - J'entends des familles comme la mienne, qui tiennent tout de la déclaration des Droits de l'Homme. - J'ai connu chaque fils.fille de famille !
Une précision et une info.
Précision : le code pour PC a été indiqué par Daniel. Sur Mac, faire : Alt+Maj+F
Info : dans la filiale française d'une multinationale états-unienne, un dirigeant a tenté d'imposer le "person/year" au lieu du "man/year" pour aborder la question des effectifs de l'entreprise. Il a été et est resté tout seul à le faire.
C'était il y a presque 40 ans...
Bonne journée
Précision : le code pour PC a été indiqué par Daniel. Sur Mac, faire : Alt+Maj+F
Info : dans la filiale française d'une multinationale états-unienne, un dirigeant a tenté d'imposer le "person/year" au lieu du "man/year" pour aborder la question des effectifs de l'entreprise. Il a été et est resté tout seul à le faire.
C'était il y a presque 40 ans...
Bonne journée
Il·elle a mis sa peau·elle dans un·e chapeau·elle et son·sa seau·elle dans le·la vaisseau·elle.
" c'est maintenant que vous allez rencontrer le ou la femme de votre vie !"
( un DJ entendu il y a une vingtaine d'années)
( un DJ entendu il y a une vingtaine d'années)
j'ai vu un truc sur FB " tous concerné.e.s" Carrément n'importe quoi. Z'auraient dû écrire " tou.s.tes concerné.e.s"
Merci à l'Académie française pour sa position courageuse,
bien expliquée par Madame Dominique Bona sur France Culture.
bien expliquée par Madame Dominique Bona sur France Culture.
Moi, je vois bien venir le véritable danger, si grave que l'Académie n'ose même pas le nommer: comme l'écritur.e inclusiv.e n'est pas très pratiqu.e, elle risque d'être les prémices à une autre capitulation: on pourrait finir par décider que "le féminin l'emporte", et qu'il suffit qu'il y ait une femme dans un groupe pour que la grammaire passe au féminin. On l'a bien fait, des siècles durant, pour le masculin....
Bon! On ne va pas se prendre la tête.
Dans mon grand age, j'ai connu les Grandes Psychoses Médiatiques:
Des "Blousons Noirs"
Des "Communistes"
Des "Rouges"
Des "Pédophiles"
Nous avons échappé de justesse aux "Vert"
Pour tomber gravement dans celle des "Terroristes" suivi de près par "Islamiste" et "Jihadiste".
Les carottes géopolitiques étant presque cuite du coté du Proche Orient, nous sommes tombé en plein dans celle des "Violeurs"...
Alors franchement l'écriture inclusive, je m'en tape. :-)
Je continuerai à écrire comme je veux. La mode passera...
Dans mon grand age, j'ai connu les Grandes Psychoses Médiatiques:
Des "Blousons Noirs"
Des "Communistes"
Des "Rouges"
Des "Pédophiles"
Nous avons échappé de justesse aux "Vert"
Pour tomber gravement dans celle des "Terroristes" suivi de près par "Islamiste" et "Jihadiste".
Les carottes géopolitiques étant presque cuite du coté du Proche Orient, nous sommes tombé en plein dans celle des "Violeurs"...
Alors franchement l'écriture inclusive, je m'en tape. :-)
Je continuerai à écrire comme je veux. La mode passera...
Deuxième Fiente:
Au sujet de la mode actuelle de mettre à tous les genres les mots au cas où.
Je pense qu'il s'agit d'une mode qui passera parce que au bout d'un moment les citoyens (e, z, etc) auront la flemme une fois le soufflé retombé. Nos bons académiciens (e, s, z,-,aient) feraient bien d'apprendre un peu de sociologie et de psychologie. J'en veux pour preuve la réforme de l'orthographe de je ne sais plus quand, etc. C'est un boulot de linguiste, pas de vieillards ignorants. Une langue vivante est dynamique et se tamponne des normes. Autant l'académie a pu avoir un rôle à ses débuts, quand la langue variait d'une province à l'autre et parfois au sein d'un même texte, au temps elle me semble désuète, notamment par le critère de sélection de ses "experts". D"'institution française dont la fonction est de normaliser et de perfectionner la langue française" à sa fondation, elle est devenue un refuge pour pseudo-écrivains séniles en manque de gloire.
Bref.
Pour ce qui est de cette mode, ma solution au problème serait de réintroduire le genre neutre en français.
Genre qu'on ne retrouve plus que comme des mots comme "ça". Les anglais qui le pratiquent couramment gaspillent beaucoup moins de temps à des querelles pareilles (Au passage, l'une des rare exceptions anglaise est celle des navires qui, curieusement, sont féminins).
Cela aurait aussi le mérite de prévenir les querelles qui se poseront lorsque les transgenres et autres cas intermédiaires voudront introduire leur grain de sel.
Pour prévenir la guerre des sexes, vive le neutre!
Au sujet de la mode actuelle de mettre à tous les genres les mots au cas où.
Je pense qu'il s'agit d'une mode qui passera parce que au bout d'un moment les citoyens (e, z, etc) auront la flemme une fois le soufflé retombé. Nos bons académiciens (e, s, z,-,aient) feraient bien d'apprendre un peu de sociologie et de psychologie. J'en veux pour preuve la réforme de l'orthographe de je ne sais plus quand, etc. C'est un boulot de linguiste, pas de vieillards ignorants. Une langue vivante est dynamique et se tamponne des normes. Autant l'académie a pu avoir un rôle à ses débuts, quand la langue variait d'une province à l'autre et parfois au sein d'un même texte, au temps elle me semble désuète, notamment par le critère de sélection de ses "experts". D"'institution française dont la fonction est de normaliser et de perfectionner la langue française" à sa fondation, elle est devenue un refuge pour pseudo-écrivains séniles en manque de gloire.
Bref.
Pour ce qui est de cette mode, ma solution au problème serait de réintroduire le genre neutre en français.
Genre qu'on ne retrouve plus que comme des mots comme "ça". Les anglais qui le pratiquent couramment gaspillent beaucoup moins de temps à des querelles pareilles (Au passage, l'une des rare exceptions anglaise est celle des navires qui, curieusement, sont féminins).
Cela aurait aussi le mérite de prévenir les querelles qui se poseront lorsque les transgenres et autres cas intermédiaires voudront introduire leur grain de sel.
Pour prévenir la guerre des sexes, vive le neutre!
Marrant comme débat. l'Académie française est devenue le bouffon de la République.
Le jeu de la mort et des 40viellards comme disait Maupassant. Faut dire que les critères de sélection y sont simples:
1- que les autres vieillards vous supportent
2- que vous ayez écrit un bouquin ou qu'un nègre l'ait écrit pour vous.
Niveau qualification, on repassera...
Mais quitte à bouffonner, autant que je ponde ma fiente, qui sera double, car répondant à deux sujets distincts.
Alt+xxxx.
Permet sous Windows d'écrire un caractère en balançant son code utf-8. Utf-8: norme de codage des caractères qui recense dans les 65000 caractères (164), y compris des caractères spéciaux comme le retour à la ligne, le caractère "suppr", etc.
Problème : suivant le système d'exploitation, la manière d'afficher un caractère utf-8 varie. De plus, quand on se retrouve confronté à Internet, plusieurs problèmes s'en mêlent.
1- le navigateur web ne sait pas toujours afficher la totalité des 65000 caractères...
2- le web (HTML) a sa propre norme d'affichage de caractères, proche mais différente d'utf-8.
3- les systèmes anti-piratages (ex: validation de formulaire) sont souvent faits pour refuser les caractères un peu exotiques. Ou les supprimer d'office. Par exemple les caractères spéciaux sont presque toujours supprimés (parce qu'un "suppr", ça peut faire des dégâts). Comme les programmateurs sont des feignasses et les utilisateurs des dangers publiques (ironies), traditionnellement le programmateur n'autorise qu'un nombre limité de caractères non ordinaires et interdit tout le reste.
Bref, cher Daniel, bon courage pour jouer de l'UTF-8.
Le jeu de la mort et des 40viellards comme disait Maupassant. Faut dire que les critères de sélection y sont simples:
1- que les autres vieillards vous supportent
2- que vous ayez écrit un bouquin ou qu'un nègre l'ait écrit pour vous.
Niveau qualification, on repassera...
Mais quitte à bouffonner, autant que je ponde ma fiente, qui sera double, car répondant à deux sujets distincts.
Alt+xxxx.
Permet sous Windows d'écrire un caractère en balançant son code utf-8. Utf-8: norme de codage des caractères qui recense dans les 65000 caractères (164), y compris des caractères spéciaux comme le retour à la ligne, le caractère "suppr", etc.
Problème : suivant le système d'exploitation, la manière d'afficher un caractère utf-8 varie. De plus, quand on se retrouve confronté à Internet, plusieurs problèmes s'en mêlent.
1- le navigateur web ne sait pas toujours afficher la totalité des 65000 caractères...
2- le web (HTML) a sa propre norme d'affichage de caractères, proche mais différente d'utf-8.
3- les systèmes anti-piratages (ex: validation de formulaire) sont souvent faits pour refuser les caractères un peu exotiques. Ou les supprimer d'office. Par exemple les caractères spéciaux sont presque toujours supprimés (parce qu'un "suppr", ça peut faire des dégâts). Comme les programmateurs sont des feignasses et les utilisateurs des dangers publiques (ironies), traditionnellement le programmateur n'autorise qu'un nombre limité de caractères non ordinaires et interdit tout le reste.
Bref, cher Daniel, bon courage pour jouer de l'UTF-8.
Vous voulez tellement être cool que vous racontez de plus en plus souvent de la grosse merde. C'était la minute de râlerie pas construite. Pour un propos construit - et documenté - d'une féministe sur le sujet, voir les récents articles de Peggy Sastre. Le reste n'est que fariboles.
Enseignante à la retraite et militante syndicale, j'ai toujours combattu cette adjonction de "e" mal accrochés depuis que cette mauvaise habitude est apparue à bas bruit dans quelques textes revendicatifs et tracs syndicaux distribués en manifestation dans les années 8O.
Non seulement les textes deviennent imprononçables et illisibles, mais ils sont aussi truffés de contresens ou d'imprécisions.
Exemples tirés de votre texte :
1_ "je parle de Finkielkraut, ce n'est pas par hasard. Ce "péril mortel", ça sent tout de même son Finkielkraut. Il les a tous maraboutés, ou quoi ? "
Pourquoi n'écrivez-vous pas : il les a touts.es marabouté.e.s... sachant qu'il y a tout de même huit femmes à l'Académie ?
2_ votre avant-dernier paragraphe est un modèle du genre :
"Ce genre de phrases, on est en train de réaliser qu'on nous les a mises dans la tête. On n'est pas né.e.s. avec. Combien sommes-nous, à réaliser en ce moment que nous avons été prisonniers de notre regard d'hommes, et d'une vaste narration collective exclusivement construite par les hommes ?
Vous venez de parler exclusivement des hommes dans vos § précédents. Pourquoi ce soudain féminin ? D'autant que vous continuez à ne parler que des hommes dans la phrase suivante.
3_ "Et si nous avons été si longtemps prisonniers...] Ici, vous auriez pu, pour être cohérent avec le début de votre § écrire "prisonnier.ère.s" puisque les femmes sont autant enfermées dans leurs préjugés que les hommes.
4_ Un seul exemple : j'entends ce matin à France Culture qu'il existe, à l'Assemblée Nationale, un "référent harcèlement". Et qu'il (elle ?) refuse toute interview. Oui, nous ne rêvons pas. Aujourd'hui. Pas de doute possible : il s'agit d'une référente, en l'espèce la déontologue de l'Assemblée, Mme Agnès Roblot-Troizier et sa cheffe (sic) de cabinet
Quant à la règle de proximité je me demande en quoi écrire ou dire : "les camions et les voiture sont vertes" est plus égalitaire que "les camions et les voitures sont verts".
A moins d'inventer un genre neutre et de reconstruire une nouvelle langue, ce qui n'est pas demain la veille, je ne vois pas comment on pourrait aller plus loin que quelques aménagements (au minimum, féminisation des noms de fonctions par exemple). En attendant, s'il faut faire apparaître le féminin dans les textes, au moins écrivons les mots en entier : "les agriculteurs et agricultrices au fil des temps" sera toujours plus lisible pour un enfant de 8 ans que "les agriculteur.rice.s" utilisé dans le livre des éditions Hatier.
Effectivement, l'écriture inclusive ne se limite pas à ajouter des points et des e. Mais franchement, ne serait-il pas plus utile (ou urgent) de mettre toute l'énergie dépensée ici pour faire tout simplement appliquer les lois contre les discriminations qui existent déjà et éventuellement les améliorer ?
Non seulement les textes deviennent imprononçables et illisibles, mais ils sont aussi truffés de contresens ou d'imprécisions.
Exemples tirés de votre texte :
1_ "je parle de Finkielkraut, ce n'est pas par hasard. Ce "péril mortel", ça sent tout de même son Finkielkraut. Il les a tous maraboutés, ou quoi ? "
Pourquoi n'écrivez-vous pas : il les a touts.es marabouté.e.s... sachant qu'il y a tout de même huit femmes à l'Académie ?
2_ votre avant-dernier paragraphe est un modèle du genre :
"Ce genre de phrases, on est en train de réaliser qu'on nous les a mises dans la tête. On n'est pas né.e.s. avec. Combien sommes-nous, à réaliser en ce moment que nous avons été prisonniers de notre regard d'hommes, et d'une vaste narration collective exclusivement construite par les hommes ?
Vous venez de parler exclusivement des hommes dans vos § précédents. Pourquoi ce soudain féminin ? D'autant que vous continuez à ne parler que des hommes dans la phrase suivante.
3_ "Et si nous avons été si longtemps prisonniers...] Ici, vous auriez pu, pour être cohérent avec le début de votre § écrire "prisonnier.ère.s" puisque les femmes sont autant enfermées dans leurs préjugés que les hommes.
4_ Un seul exemple : j'entends ce matin à France Culture qu'il existe, à l'Assemblée Nationale, un "référent harcèlement". Et qu'il (elle ?) refuse toute interview. Oui, nous ne rêvons pas. Aujourd'hui. Pas de doute possible : il s'agit d'une référente, en l'espèce la déontologue de l'Assemblée, Mme Agnès Roblot-Troizier et sa cheffe (sic) de cabinet
Quant à la règle de proximité je me demande en quoi écrire ou dire : "les camions et les voiture sont vertes" est plus égalitaire que "les camions et les voitures sont verts".
A moins d'inventer un genre neutre et de reconstruire une nouvelle langue, ce qui n'est pas demain la veille, je ne vois pas comment on pourrait aller plus loin que quelques aménagements (au minimum, féminisation des noms de fonctions par exemple). En attendant, s'il faut faire apparaître le féminin dans les textes, au moins écrivons les mots en entier : "les agriculteurs et agricultrices au fil des temps" sera toujours plus lisible pour un enfant de 8 ans que "les agriculteur.rice.s" utilisé dans le livre des éditions Hatier.
Effectivement, l'écriture inclusive ne se limite pas à ajouter des points et des e. Mais franchement, ne serait-il pas plus utile (ou urgent) de mettre toute l'énergie dépensée ici pour faire tout simplement appliquer les lois contre les discriminations qui existent déjà et éventuellement les améliorer ?
Ah le beau débat que voila...
Juste une précision pour apporter ma pierre à l'édifice (branlant).
Nous sommes nous posé la question du devenir de l'écriture tout court ?
M'enfin, regardez comment vos marmots écrivent sur un smartphone ou un clavier, ça permet de relativiser grandement sur l'hypothétique impact de l'écriture inclusive....
Juste une précision pour apporter ma pierre à l'édifice (branlant).
Nous sommes nous posé la question du devenir de l'écriture tout court ?
M'enfin, regardez comment vos marmots écrivent sur un smartphone ou un clavier, ça permet de relativiser grandement sur l'hypothétique impact de l'écriture inclusive....
Qu'est-ce qu'on aime ces beaux débats d'idées qui tournent à vide!J'étais professeur sans e de mathématiques (féminin pluriel) et ma soeur professeur également (toujours sans e) de français et latin (singuliers masculins). Je n'ai fait aucun lien entre ce codage héritier d'une histoire pluriséculaire et le machisme ambiant dans notre société. Bien convaincu en étudiant la langue allemande que "le" se traduisait souvent par "die" et "la " par "der" quand ce n'était pas "das". C'est une DOCTORESSE qui était notre médecin de famille et non une docteure (que refuse mon correcteur orthographique). Je frémis en pensant aux dictées (les moutonsss de Topaze) et me remémore les vigoureux débats que j'ai eu avec un de mes fils qui refusait obstinément de mettre un e à des mots comme "larme" sous prétexte qu'on y entend pas le e final. Pour donner un semblant de justification j'avais encore la présence de mon père qui prononçait ce e final et faisait la distinction entre "brin" et "brun" mais était-il bien français?
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[quote=Daniel]Tous les hommes un peu réveillés, ces jours-ci, sont en train de rembobiner le film de leur vie d'homme.
Mince, je ne dois pas être bien réveillé parce que dans ma vie ce genre d'histoire n'est jamais arrivé. Personne n'a forcé la main de personne coté sexe, et personne ne pense que personne doit coucher pour réussir. C'est peut être générationnel. Après tout ma génération est celle qui a descendu de plusieurs cran sur les bizutages, qui me semblent confusément faire partie du même héritage.
Ceci dit, le harcèlement dans la rue est une réalité bien vivace. Effectivement ça j'ai hâte que ça s'arrête.
Mince, je ne dois pas être bien réveillé parce que dans ma vie ce genre d'histoire n'est jamais arrivé. Personne n'a forcé la main de personne coté sexe, et personne ne pense que personne doit coucher pour réussir. C'est peut être générationnel. Après tout ma génération est celle qui a descendu de plusieurs cran sur les bizutages, qui me semblent confusément faire partie du même héritage.
Ceci dit, le harcèlement dans la rue est une réalité bien vivace. Effectivement ça j'ai hâte que ça s'arrête.
Je me disais qu'avec le net progrès des élèves à l'écrit, féminiser la langue par inclusion serait un pur bonheur pour les enseignants...
faut.e arrêt.e.r le.s conne.r.i.e.s
Il y a plein de choses qui gagneraient à être féminisées dans la langue française :
- Le retour de l'accord de proximité, qui d'ailleurs il me semble était la norme avant le XVIII siècle
- La règle de majorité (si un groupe est composé à majorité de femmes, l'accord se fait au féminin : "vous êtes prêtes ?")
- La féminisation des noms de métiers qui ne le sont pas encore
- L'emploi de mots épicènes (par exemple, quand ça n'altère pas le sens, préférer "cinéastes" à "réalisateurs et réalisatrices")
- Pourquoi pas adopter certains nouveaux mots composites (comme "Celleux" pour "Ceux et celles") : j'avoue que pour l'instant ça choque un peu mon œil, mais ce n'est peut-être qu'une question d'habitude, et c'est applicable à l'oral)
- Et le cas échéant, revenir au bon vieux dédoublement ("les électrices et les électeurs")
Par contre, l'écriture inclusive, je trouve que c'est un cas exemplaire de fausse bonne idée. Je pensais à la base que ma réticence venait d'un manque d'habitude, mais après 5 ans à évoluer dans une bulle facebook qui l'utilise abondamment, je continue de trouver ça complètement foireux. Les défauts de cette méthode sont innombrables :
- Cela n'a pas d'équivalent à l'oral : ça dissocie donc écrit et oral dans le langage, ce qui me semble intenable à long terme.
- Ça découpe et fait hoqueter les phrases, jusqu'à rendre la lecture pénible : le souci vient notamment du fait d'utiliser des signes de ponctuations qui ont déjà un sens rythmique (établir des pauses) - à la limite, la parenthèse ici, qui n'indique pas de pause, s'y prêtait mieux, mais c'est un peu tendax, symboliquement, de mettre le féminin entre parenthèses...
- C'est inapplicable sur les textes longs ou soucieux d'un musicalité de la langue, et notamment en littérature.
- Ça continue à mettre le masculin en base, et le féminin en option
Bref, autant ça peut faire sens dans les textes où il y a adresse directe à la personne qui lit, et où la lecture n'est pas faite pour être continue (par exemple : dans un formulaire), autant je trouve que c'est une solution foireuse pour tout le reste, et bien dans l'air moral et narcissique de l'époque : puisque, de fait, l’œil bute sur le mot qui se trouve cisaillé par l'écriture inclusive, ça attire surtout l'attention sur la différence entre sexes... Au final, ça provoque exactement le contraire de l'effet recherché, et me semble plus servir à agiter un drapeau à chaque mot pour signifier la splendeur morale de la personne qui écrit, plutôt que d'aider à pallier les différences.
Ça n'empêche pas que l'absence d'un genre neutre, en français, pose de nombreux problèmes, qui appellent une solution. Mais cela ne doit pas obliger à opter pour les plus foireuses, et de s'évertuer à les appliquer contre toute logique. Et malgré tout le ridicule achevé de la déclaration paniquée de l'académie française (une belle foire de clowns sans légitimité : sauf erreur de ma part, il n'y a pas de linguistes là-dedans), j'ai un peu le sentiment que les vraies solutions ne pourront venir que d'un usage populaire, naturellement installé...
- Le retour de l'accord de proximité, qui d'ailleurs il me semble était la norme avant le XVIII siècle
- La règle de majorité (si un groupe est composé à majorité de femmes, l'accord se fait au féminin : "vous êtes prêtes ?")
- La féminisation des noms de métiers qui ne le sont pas encore
- L'emploi de mots épicènes (par exemple, quand ça n'altère pas le sens, préférer "cinéastes" à "réalisateurs et réalisatrices")
- Pourquoi pas adopter certains nouveaux mots composites (comme "Celleux" pour "Ceux et celles") : j'avoue que pour l'instant ça choque un peu mon œil, mais ce n'est peut-être qu'une question d'habitude, et c'est applicable à l'oral)
- Et le cas échéant, revenir au bon vieux dédoublement ("les électrices et les électeurs")
Par contre, l'écriture inclusive, je trouve que c'est un cas exemplaire de fausse bonne idée. Je pensais à la base que ma réticence venait d'un manque d'habitude, mais après 5 ans à évoluer dans une bulle facebook qui l'utilise abondamment, je continue de trouver ça complètement foireux. Les défauts de cette méthode sont innombrables :
- Cela n'a pas d'équivalent à l'oral : ça dissocie donc écrit et oral dans le langage, ce qui me semble intenable à long terme.
- Ça découpe et fait hoqueter les phrases, jusqu'à rendre la lecture pénible : le souci vient notamment du fait d'utiliser des signes de ponctuations qui ont déjà un sens rythmique (établir des pauses) - à la limite, la parenthèse ici, qui n'indique pas de pause, s'y prêtait mieux, mais c'est un peu tendax, symboliquement, de mettre le féminin entre parenthèses...
- C'est inapplicable sur les textes longs ou soucieux d'un musicalité de la langue, et notamment en littérature.
- Ça continue à mettre le masculin en base, et le féminin en option
Bref, autant ça peut faire sens dans les textes où il y a adresse directe à la personne qui lit, et où la lecture n'est pas faite pour être continue (par exemple : dans un formulaire), autant je trouve que c'est une solution foireuse pour tout le reste, et bien dans l'air moral et narcissique de l'époque : puisque, de fait, l’œil bute sur le mot qui se trouve cisaillé par l'écriture inclusive, ça attire surtout l'attention sur la différence entre sexes... Au final, ça provoque exactement le contraire de l'effet recherché, et me semble plus servir à agiter un drapeau à chaque mot pour signifier la splendeur morale de la personne qui écrit, plutôt que d'aider à pallier les différences.
Ça n'empêche pas que l'absence d'un genre neutre, en français, pose de nombreux problèmes, qui appellent une solution. Mais cela ne doit pas obliger à opter pour les plus foireuses, et de s'évertuer à les appliquer contre toute logique. Et malgré tout le ridicule achevé de la déclaration paniquée de l'académie française (une belle foire de clowns sans légitimité : sauf erreur de ma part, il n'y a pas de linguistes là-dedans), j'ai un peu le sentiment que les vraies solutions ne pourront venir que d'un usage populaire, naturellement installé...
- Mal placé -
Si l'usage est tout-puissant, Dieu n'existe pas, donc tout est permis, même l'écriture inclusive (sic) !
Une belle chronique . Je ne suis pas sûr cependant que l'évolution de a langue se décrète .surtout ," l'instabilité" linguistique me paraît critiquable . au journal de France-culture de vendredi 12h 30 , l' Académicienne Danielle Sallenave a critiqué l'écriture inclusive et a souligné les risques qu'elle présentait.
Un débat sur le sujet sur le site de TV5MONDE : http://information.tv5monde.com/terriennes/ecriture-inclusive-de-quoi-parle-t-le-debat-sur-tv5monde-et-terriennes-197895
ah, ben, même ici, on n'est pas sortis de l'auberge.
Vivement la forêt.
Vivement la forêt.
Ça y est, vous aussi, cher Daniel, vous craquez ?
Alors je pense qu'il faut aller plus loin : dénoncer toute discrimination langagière, quelle qu'elle soit :
En tant qu'individu-de-sexe-masculin-de-naissance (pour l'instant), je m'insurge contre les pratiques sexistes et demande solennellement qu'on cesse de me désigner comme PERSONNE, et non comme PERSON, comme VICTIME, et non VICTIN, ESTAFETTE et non ESTAFET, FIGURE et non FIGURIN, VEDETTE et non VEDET, TÊTE d'affiche et non TÊTON, ALTESSE et non ALTET, ou autre SIRLOIN pour SILHOUETTE, etc.
Cela dit sans aucun amertun, naturellement.
Alors je pense qu'il faut aller plus loin : dénoncer toute discrimination langagière, quelle qu'elle soit :
En tant qu'individu-de-sexe-masculin-de-naissance (pour l'instant), je m'insurge contre les pratiques sexistes et demande solennellement qu'on cesse de me désigner comme PERSONNE, et non comme PERSON, comme VICTIME, et non VICTIN, ESTAFETTE et non ESTAFET, FIGURE et non FIGURIN, VEDETTE et non VEDET, TÊTE d'affiche et non TÊTON, ALTESSE et non ALTET, ou autre SIRLOIN pour SILHOUETTE, etc.
Cela dit sans aucun amertun, naturellement.
Je viens de téléphoner à Georges Perec.
Je lui ai dit rapidement: "il va falloir que vous ajoutiez des "e", dans votre ouvrage, La Disparition."
J'ai entendu un coup de feu.
Il venait de se suicider.
Heureusement qu'il était déjà mort.
La lipogrammatique ne sera plus.
Un autodafé supplémentaire.
Comment faire des hommelettes sans casser des "e"?
Je lui ai dit rapidement: "il va falloir que vous ajoutiez des "e", dans votre ouvrage, La Disparition."
J'ai entendu un coup de feu.
Il venait de se suicider.
Heureusement qu'il était déjà mort.
La lipogrammatique ne sera plus.
Un autodafé supplémentaire.
Comment faire des hommelettes sans casser des "e"?
Les Chats.tes
Les amoureux.ses fervents.tes et les savants.tes austères
Aiment également, dans leur mûre saison,
Les chats.tes puissants.tes et doux.ces, orgueil de la maison,
Qui comme eux.elles sont frileux.ses et comme eux.elles sédentaires.
Amis.es de la science et de la volupté,
Ils.elles cherchent le silence et l’horreur des ténèbres ;
L’Erèbe les eût pris pour ses coursiers.ières funèbres,
S’ils.elles pouvaient au servage incliner leur fierté.
Ils.elles prennent en songeant les nobles attitudes
Des grands sphinx. .ettes,.es?( j'ai trouvé!!:sphinges) allongés.es au fond des solitudes,
Qui semblent s’endormir dans un rêve sans fin ;
Leurs reins féconds sont pleins d’étincelles magiques
Et des parcelles d’or, ainsi qu’un sable fin,
Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques.
A corriger car je ne maîtrise pas l'écriture inclusive. Aidez-moi!
Les amoureux.ses fervents.tes et les savants.tes austères
Aiment également, dans leur mûre saison,
Les chats.tes puissants.tes et doux.ces, orgueil de la maison,
Qui comme eux.elles sont frileux.ses et comme eux.elles sédentaires.
Amis.es de la science et de la volupté,
Ils.elles cherchent le silence et l’horreur des ténèbres ;
L’Erèbe les eût pris pour ses coursiers.ières funèbres,
S’ils.elles pouvaient au servage incliner leur fierté.
Ils.elles prennent en songeant les nobles attitudes
Des grands sphinx. .ettes,.es?( j'ai trouvé!!:sphinges) allongés.es au fond des solitudes,
Qui semblent s’endormir dans un rêve sans fin ;
Leurs reins féconds sont pleins d’étincelles magiques
Et des parcelles d’or, ainsi qu’un sable fin,
Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques.
A corriger car je ne maîtrise pas l'écriture inclusive. Aidez-moi!
Question fondamentale engageant l'avenir de l'humanité: faut-il dire ce tableau représente un nu ou bien ce tableau représente une nue?
Question très secondaire: le glyphosate fait-il une différence entre les hommes et les femmes?
Question très secondaire: le glyphosate fait-il une différence entre les hommes et les femmes?
En relisant vite fait l'ensemble des commentaires, je suis assez abasourdi·e de voir la teneur de certains!...
Ah on en est encore là!
Mais quelle résistance rance pour faire juste évoluer la langue dans un sens progressiste! ..
On n'a pas été si choqué·e·s, il me semble, quand on a décidé de confondre désormais un jeûne avec un jeune...
Ah vous voulez de VRAIS SUJETS?!!!
Je vous propose celui-là:
Que dire alors de la langue de cochon qui s'est introduit dans l'intimité d'asia argento? Faut il oui ou non remettre en question cette langue là? Et avec elle l'histoire de classement des "crimes contre l'HUMANITÉ" or not crimes contre l'humanité"!
Marlène Schiappa,secrétaire d'état à l'égalité homme femme(!), nous l'a très bien expliqué hier soir: Pour un viol qui n'est pas censé être "un crime contre l'humanité", le délai de prescription pour se porter en justice n'est que de 10 ans ( 30 ans depuis peu je crois pour les mineurs)
Quand on a été violé·e, c'est pour toute la vie!!
Quand est ce que les femmes rentreront dans l'universel de la langue et de l'Humanité?
Quand est ce que le féminin rentrera dans la langue?!
A défaut d'attendre la langue des cochons porcs qui chipotent, eux aussi, j'en suis sûr·e, sur les "alt flèche f" ( merci pour l'info, je ne m'en lasse pas!·················)
Ah on en est encore là!
Mais quelle résistance rance pour faire juste évoluer la langue dans un sens progressiste! ..
On n'a pas été si choqué·e·s, il me semble, quand on a décidé de confondre désormais un jeûne avec un jeune...
Ah vous voulez de VRAIS SUJETS?!!!
Je vous propose celui-là:
Que dire alors de la langue de cochon qui s'est introduit dans l'intimité d'asia argento? Faut il oui ou non remettre en question cette langue là? Et avec elle l'histoire de classement des "crimes contre l'HUMANITÉ" or not crimes contre l'humanité"!
Marlène Schiappa,secrétaire d'état à l'égalité homme femme(!), nous l'a très bien expliqué hier soir: Pour un viol qui n'est pas censé être "un crime contre l'humanité", le délai de prescription pour se porter en justice n'est que de 10 ans ( 30 ans depuis peu je crois pour les mineurs)
Quand on a été violé·e, c'est pour toute la vie!!
Quand est ce que les femmes rentreront dans l'universel de la langue et de l'Humanité?
Quand est ce que le féminin rentrera dans la langue?!
A défaut d'attendre la langue des cochons porcs qui chipotent, eux aussi, j'en suis sûr·e, sur les "alt flèche f" ( merci pour l'info, je ne m'en lasse pas!·················)
Je lis que plusieurs contributeurs s'inquiètent du fait qu'avec l'écriture inclusive les jeunes lecteurs vont être mis en difficulté car ce qu'on lit ne correspond pas à ce qu' on entend.
Je ne suis pas fan de l'écriture inclusive mais cet argument me fait rigoler.
Car JUSTEMENT entrer dans l'écrit c'est se défaire de ce qu'on entend.
Personne ne fait des phrases en parlant, les majuscules et la ponctuation, on les apprend dans l'écrit.
Beaucoup plus de graphèmes que de phonèmes dans notre langue : ça aussi on l'apprend en apprenant à lire et écrire.
Des lettres muettes à tous les coins de phrase, des exceptions à tout va...
Je pense qu'un enfant peut apprendre AUSSI l'écriture inclusive, si on n'a pas mieux.
Je ne suis pas fan de l'écriture inclusive mais cet argument me fait rigoler.
Car JUSTEMENT entrer dans l'écrit c'est se défaire de ce qu'on entend.
Personne ne fait des phrases en parlant, les majuscules et la ponctuation, on les apprend dans l'écrit.
Beaucoup plus de graphèmes que de phonèmes dans notre langue : ça aussi on l'apprend en apprenant à lire et écrire.
Des lettres muettes à tous les coins de phrase, des exceptions à tout va...
Je pense qu'un enfant peut apprendre AUSSI l'écriture inclusive, si on n'a pas mieux.
Hors sujet, mais dans le thème.
Depuis quelques années, de nombreux lieux disposent, dans les toilettes, d'un espace spécifique pour changer les bébés. C'est très bien.
Sauf que d'après mes constats ( au hasard de mes déplacements) c'est très très très souvent un espace inclus du côté des toilettes " femmes".
À chaque fois ça m'énerve.
Ce qui est d'autant plus idiot que ( fort heureusement) ça fait bien longtemps que je ne change plus les couches d'aucun enfant.
J'ai même vu un panneau, dans les toilettes femme qui disait " mesdames, pour vos enfants des couches, lingettes et petits pots disponibles à l'accueil du magasin"
Du coup, suis allée voir si la même chose était indiquée chez les hommes : non.
Il faudrait collecter ces merveilles de notre époque...
Depuis quelques années, de nombreux lieux disposent, dans les toilettes, d'un espace spécifique pour changer les bébés. C'est très bien.
Sauf que d'après mes constats ( au hasard de mes déplacements) c'est très très très souvent un espace inclus du côté des toilettes " femmes".
À chaque fois ça m'énerve.
Ce qui est d'autant plus idiot que ( fort heureusement) ça fait bien longtemps que je ne change plus les couches d'aucun enfant.
J'ai même vu un panneau, dans les toilettes femme qui disait " mesdames, pour vos enfants des couches, lingettes et petits pots disponibles à l'accueil du magasin"
Du coup, suis allée voir si la même chose était indiquée chez les hommes : non.
Il faudrait collecter ces merveilles de notre époque...
Bonjour Daniel,
Pour saisir le fameux [large]point médian[/large] sur son clavier, la combinaison de touches est :
* sur un clavier Macintosh/Apple : [large]Alt[/large] (maintenir) [large]+ Maj[/large] (maintenir) [large]+ F[/large]
* sur tous les autres claviers : [large]Alt[/large] (maintenir) [large]+ 0,1,8,3[/large] (touches du pavé numérique)
[large]De même,[/large] il existe un code pour saisir à peu près tous les caractères typographiques non mis à l'évidence sur le clavier. Ainsi,
[large]Alt+0171 «[/large] (guillemet chevron ouvrant)
[large]Alt+0187 »[/large] (guillemet chevron fermant)
[large]Alt+0151 —[/large] (tiret quadratin)
[large]Alt+0145 ‘[/large] (guillemet simple ouvrant)
[large]Alt+0146 ’[/large] (guillemet simple fermant ; apostrophe)
[large]Alt+0147 “[/large] (guillemet double ouvrant)
[large]Alt+0148 ”[/large] (guillemet double fermant)
etc, etc
N'hésitez pas à revenir vers moi au besoin
Bien à vous
Kiril Isakov
Pour saisir le fameux [large]point médian[/large] sur son clavier, la combinaison de touches est :
* sur un clavier Macintosh/Apple : [large]Alt[/large] (maintenir) [large]+ Maj[/large] (maintenir) [large]+ F[/large]
* sur tous les autres claviers : [large]Alt[/large] (maintenir) [large]+ 0,1,8,3[/large] (touches du pavé numérique)
[large]De même,[/large] il existe un code pour saisir à peu près tous les caractères typographiques non mis à l'évidence sur le clavier. Ainsi,
[large]Alt+0171 «[/large] (guillemet chevron ouvrant)
[large]Alt+0187 »[/large] (guillemet chevron fermant)
[large]Alt+0151 —[/large] (tiret quadratin)
[large]Alt+0145 ‘[/large] (guillemet simple ouvrant)
[large]Alt+0146 ’[/large] (guillemet simple fermant ; apostrophe)
[large]Alt+0147 “[/large] (guillemet double ouvrant)
[large]Alt+0148 ”[/large] (guillemet double fermant)
etc, etc
N'hésitez pas à revenir vers moi au besoin
Bien à vous
Kiril Isakov
Perso, l'écriture inclusive me fait penser aux Monty Pythons...
Sur l'accord par proximité, je me demande si on pourrait le faire, peut-être en gardant les deux possibilités.
Sur Wikipedia, ils donnent des exemples et encore chez Racine la règle n'est pas fixée et on a les deux. Pourquoi dans un contexte préférait-il l'accord de proximité et dans un autre le masculin ?
Faudrait regarder, mais ça ne m'étonnerait pas que ce soit lié à une neutralisation des genres avec la valeur neutre du masculin évoquée par Jombie plus haut.
Cf l'ambigüité du "on", pronom indéfini ou personnel : "on est blanc quand on est couvert de plâtre" pour l'indéfini, on n'accorde pas donc on a du masculin par défaut par rapport à du personnel genré comme "on est vertes de rage".
Le français langue dégénérée ? Neutre perdu remplacé par un masculin de fainéant parce qu'on n'était pas foutus de faire des déclinaisons un peu sophistiquées ?
.
Sur l'accord par proximité, je me demande si on pourrait le faire, peut-être en gardant les deux possibilités.
Sur Wikipedia, ils donnent des exemples et encore chez Racine la règle n'est pas fixée et on a les deux. Pourquoi dans un contexte préférait-il l'accord de proximité et dans un autre le masculin ?
Faudrait regarder, mais ça ne m'étonnerait pas que ce soit lié à une neutralisation des genres avec la valeur neutre du masculin évoquée par Jombie plus haut.
Cf l'ambigüité du "on", pronom indéfini ou personnel : "on est blanc quand on est couvert de plâtre" pour l'indéfini, on n'accorde pas donc on a du masculin par défaut par rapport à du personnel genré comme "on est vertes de rage".
Le français langue dégénérée ? Neutre perdu remplacé par un masculin de fainéant parce qu'on n'était pas foutus de faire des déclinaisons un peu sophistiquées ?
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On n’a pas modifié les claviers pour avoir – de manière simple - les accents sur les majuscules, ou la cédille dessous le C, et on voudrait les modifier pour le point milieu ????? Non, mais allô, quoi !
Utiliser l'affaire Weinstein ou d'autres problèmes réels pour défendre une manière moche d'écrire uniquement revendiquée par quelques SJW illuminé(e)s (j'en profite pour montrer une manière bien plus naturelle de signifier la même chose, n'impliquant pas de donner au point un sens qu'il n'a jamais eu en français en bouleversant complètement les règles grammaticales (début de nouvelle phrase etc..), ni de créer un nouveau sign, dans les cas où il y aurait un intérêt à ne pas se contenter d'un usage du genre actuellement utilisé pour le neutre*) ne grandit pas vraiment Daniel qui semble prêt à s'attaquer à bien des moulins à vent emporté par l'élan de son éternelle croisade contre Finkie (si compréhensible que soit une envie récurrente de s'en prendre à cet ignoble personnage).
* Ce qui soit dit en passant ne flatte pas particulièrement les hommes, non mais quoi on n'a même pas notre propre genre rien qu'à nous, c'est plutôt les masculinistes qui devraient s'en plaindre je trouve. Devraient revendiquer qu'on passe en langue allemande, tiens, les femmes ont leur propre genre.. qui s'avère aussi être celui de la plupart des arbres, des plantes vertes et des chiffres quand le masculin, lui, reçoit les planètes et la lune ; les jeunes filles sont dotées du tant envié genre neutre (das Mädchen), sans doute car pas encore baisables ; et quand plus grandes elles ont enfin un déterminant c'est "die", le même qu'un pluriel, laissant finalement à l'homme son "der" bien à lui... :)
* Ce qui soit dit en passant ne flatte pas particulièrement les hommes, non mais quoi on n'a même pas notre propre genre rien qu'à nous, c'est plutôt les masculinistes qui devraient s'en plaindre je trouve. Devraient revendiquer qu'on passe en langue allemande, tiens, les femmes ont leur propre genre.. qui s'avère aussi être celui de la plupart des arbres, des plantes vertes et des chiffres quand le masculin, lui, reçoit les planètes et la lune ; les jeunes filles sont dotées du tant envié genre neutre (das Mädchen), sans doute car pas encore baisables ; et quand plus grandes elles ont enfin un déterminant c'est "die", le même qu'un pluriel, laissant finalement à l'homme son "der" bien à lui... :)
Si la graphie ne correspond pas à ce que l'on prononce, c'est bien mal engagé.
Quid par ailleurs des jeunes élèves qui apprendraient à lire avec une telle écriture ?
C'est l'usage qui fait la langue, et pas une norme artificielle, fût-elle académique ou « féministe ».
D'ailleurs la réforme de 1990, qui l'applique réellement ? Qui, à part quelques manuels scolaires, écrit vraiment nénufar ou ognon ?
Enfin, puisque Desproges a été évoqué, il se moquait certes des gâteux de l'Académie (« c'est là qu'il y a les croûtes et c'est là qu'il y a les mies ») et San-Antonio avec (les « gagamédiciens »), mais aussi de la manie du politiquement correct : « françaises, français, belges, belges ».
Reste que Desproges et Dard écrivaient bien, eux.
Au fait, sur Mac, le point médian c'est alt+maj+ F
Quid par ailleurs des jeunes élèves qui apprendraient à lire avec une telle écriture ?
C'est l'usage qui fait la langue, et pas une norme artificielle, fût-elle académique ou « féministe ».
D'ailleurs la réforme de 1990, qui l'applique réellement ? Qui, à part quelques manuels scolaires, écrit vraiment nénufar ou ognon ?
Enfin, puisque Desproges a été évoqué, il se moquait certes des gâteux de l'Académie (« c'est là qu'il y a les croûtes et c'est là qu'il y a les mies ») et San-Antonio avec (les « gagamédiciens »), mais aussi de la manie du politiquement correct : « françaises, français, belges, belges ».
Reste que Desproges et Dard écrivaient bien, eux.
Au fait, sur Mac, le point médian c'est alt+maj+ F
C'est Alt+0183 pour écrire le "point médian".
C'est peut être moche mais tant qu'on n'aura pas un genre qui inclu les deux genres ou qui et neutre, je n'ai rien contre cette solution qui est plus élégante qu'une parenthèse...
N'en déplaise aux immortels.
C'est peut être moche mais tant qu'on n'aura pas un genre qui inclu les deux genres ou qui et neutre, je n'ai rien contre cette solution qui est plus élégante qu'une parenthèse...
N'en déplaise aux immortels.
Peut-être qu'au lieu de manifester une certaine obsession pour Finkielkraut, vous auriez pu commencer par considérer l'unanimité de l'académie en la matière, hommes et femmes confondus, et toutes opinions politiques confondues.
Cela aurait eu comme inconvénient de ne pas pouvoir plaquer arbitrairement une grille de lecture progressiste/conservateur sur un sujet qui mérite mieux.
Peut-être eut-il fallu également cesser de répéter l'ânerie selon laquelle "le masculin l'emporte sur le féminin", et commencer par rappeler que la difficulté en français ne vient pas de l'odieux patriarcat, mais de l'absence de genre neutre.
En l'espèce, les arguments soulevés par les académiciens, tant sur la complexité de l'écriture inclusive que sur l'impossibilité de lire le mot "agricult.rice.eur(s)" à l'oral, ou encore sur la francophonie, ne sont pas que ridicules et méritent peut-être un peu mieux que du sarcasme.
Enfin, il faut rappeler à toutes fins utiles que, naturellement, une langue évolue avec le temps, dans son orthographe, sa syntaxe, et son vocabulaire, mais que pour autant l'évolution de la langue ne peut pas être dictée par une vision idéologique venue d'en haut et de tel ou tel groupe de pression bien intentionné. Si la langue évolue, c'est par les usages, qui s'imposent et finissent par être "ratifiés" dans les dictionnaires et les grammaires.
Reste donc à savoir si l'écriture inclusive saura s'imposer comme un usage chez les utilisateurs réels de la langue, en dehors des cercles les plus prompts à adopter n'importe quelle stupidité du moment qu'elle colle avec l'idéologie du moment, ou pas. Bon courage.
Cela aurait eu comme inconvénient de ne pas pouvoir plaquer arbitrairement une grille de lecture progressiste/conservateur sur un sujet qui mérite mieux.
Peut-être eut-il fallu également cesser de répéter l'ânerie selon laquelle "le masculin l'emporte sur le féminin", et commencer par rappeler que la difficulté en français ne vient pas de l'odieux patriarcat, mais de l'absence de genre neutre.
En l'espèce, les arguments soulevés par les académiciens, tant sur la complexité de l'écriture inclusive que sur l'impossibilité de lire le mot "agricult.rice.eur(s)" à l'oral, ou encore sur la francophonie, ne sont pas que ridicules et méritent peut-être un peu mieux que du sarcasme.
Enfin, il faut rappeler à toutes fins utiles que, naturellement, une langue évolue avec le temps, dans son orthographe, sa syntaxe, et son vocabulaire, mais que pour autant l'évolution de la langue ne peut pas être dictée par une vision idéologique venue d'en haut et de tel ou tel groupe de pression bien intentionné. Si la langue évolue, c'est par les usages, qui s'imposent et finissent par être "ratifiés" dans les dictionnaires et les grammaires.
Reste donc à savoir si l'écriture inclusive saura s'imposer comme un usage chez les utilisateurs réels de la langue, en dehors des cercles les plus prompts à adopter n'importe quelle stupidité du moment qu'elle colle avec l'idéologie du moment, ou pas. Bon courage.
Hier, répondant à un contradicteur, je réaffirmais mon droit à commenter l'accessoire, le futile.
Ceux qui, dans ce forum, reprochent à DS d'aborder un sujet tout à fait secondaire par rapport à d'autres, cruciaux, comme la casse du code du travail, l'augmentation de la CSG, les cadeaux offerts aux plus riches... etc, s'égarent.
Débattre ponctuellement de l'écriture inclusive, n'empêche pas d'être attentif aux problèmes sociétaux les plus essentiels.
J'ose espérer qu'il l'est autant que moi.
Ceux qui, dans ce forum, reprochent à DS d'aborder un sujet tout à fait secondaire par rapport à d'autres, cruciaux, comme la casse du code du travail, l'augmentation de la CSG, les cadeaux offerts aux plus riches... etc, s'égarent.
Débattre ponctuellement de l'écriture inclusive, n'empêche pas d'être attentif aux problèmes sociétaux les plus essentiels.
J'ose espérer qu'il l'est autant que moi.
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Un seul mot BRAVO Daniel!
En espérant que les temps sont venus pour soulever le couvercle des vieilles fictions, croyances dans lesquelles nous mijotons! ... Mais les marabouté-e-s sont encore nombreux-ses, hélas... ;)
Car " si nous avons été si longtemps prisonnier-E-s, alors pourquoi ne pas admettre l'hypothèse que nous le soyions encore aujourd'hui ?"
Mais vous avez raison, quand le voile se soulève un peu au ciel de nos fictions, il est impossible de faire complètement marche arrière... Continuons.
En espérant que les temps sont venus pour soulever le couvercle des vieilles fictions, croyances dans lesquelles nous mijotons! ... Mais les marabouté-e-s sont encore nombreux-ses, hélas... ;)
Car " si nous avons été si longtemps prisonnier-E-s, alors pourquoi ne pas admettre l'hypothèse que nous le soyions encore aujourd'hui ?"
Mais vous avez raison, quand le voile se soulève un peu au ciel de nos fictions, il est impossible de faire complètement marche arrière... Continuons.
et pendant ce temps là, on ne parle pas du vrai pb qui vaille : à travail égal, salaire égal !
Egal·e ???
Egal·e ???
Parmi les rares mots hermaphrodites, le mot " amour".
disparition de l'idée même du neutre : être toujours genré.e.s, voilà à quoi nous condamne l'écriture dite inclusive :(
"agriculteur.rice.s, aux artisan.e.s et aux commerçant.e.s"
Je proteste: l'agriculteur , l'artisan, le commerçant voient leur profession écrite sans amputation, alors que l'existence des femmes n'est évoquées que par un .rices.,. un e.s.un autre .e.s.
Le féminin apparaît comme un ajout qui n'existe que parce qu'il y a avant un masculin
.
Je proteste: l'agriculteur , l'artisan, le commerçant voient leur profession écrite sans amputation, alors que l'existence des femmes n'est évoquées que par un .rices.,. un e.s.un autre .e.s.
Le féminin apparaît comme un ajout qui n'existe que parce qu'il y a avant un masculin
.
Si vous êtes sur MacOs, en clavier français, le point en hauteur est sur alt + shift + f, vous voilà bien renseigné·e·s.
Pauvres british, déjà privés de tutoiement, et n'ayant plus que la météo comme sujet de discussion !
Rappelons que les femmes mettent au monde aussi bien les hommes qu'elles-mêmes. Un petit correctif grammatical pour corriger cette asymétrie, est-ce si choquant ?
Je ne pense pas que l'écriture inclusive soit une bonne idée. Ca allourdit la lecture (et l'écriture) on finira par se lasser.
Pourtant c'est pas les solutions qui manquent. On pourrait alterner et décider que le neutre c'est le féminin pour les 1000 prochaines années (ou plus rigolo, changer tous les ans).
On pourrait aussi créer un neutre, ou mieux encore créer un masculin et garder notre masculin actuel comme neutre.
Ca donnerait :
boulanger (n), boulangère(f), boulangéro(m)
présentateur (n), présentatrice (f), présentatroce (m)
J'aurai du faire académicien
Pourtant c'est pas les solutions qui manquent. On pourrait alterner et décider que le neutre c'est le féminin pour les 1000 prochaines années (ou plus rigolo, changer tous les ans).
On pourrait aussi créer un neutre, ou mieux encore créer un masculin et garder notre masculin actuel comme neutre.
Ca donnerait :
boulanger (n), boulangère(f), boulangéro(m)
présentateur (n), présentatrice (f), présentatroce (m)
J'aurai du faire académicien
Le problème numéro un: le nombre de postes non pourvus:https://www.arretsurimages.net/forum/read.php?3,1575171,1579679#msg-1579679
A car is a car,
A horse is a horse,
A man is NOT a woman,
A piece of bread is not a part of pudding...
And so on...
Ah, les Anglais, quel.le.s types!
A horse is a horse,
A man is NOT a woman,
A piece of bread is not a part of pudding...
And so on...
Ah, les Anglais, quel.le.s types!
"De toutes manières, les actrices ont toujours dû coucher pour décrocher les rôles". Ou bien : "quand elles disent non, ça veut dire oui".
Quel genre d'hommes ou de femmes cautionne ce genre de phrases ?
Pensez-vous qu'elles s'insinuent vraiment dans la tête de la plupart d'entre eux, d'entre elles ?
Qu'une majorité d'entre nous ne considère pas que c'est du grand n'importe quoi ?
Je ne veux pas dire que nous n'acceptons pas malgré nous, inconsciemment, une forme de domination masculine, mais de là à tolérer les réflexions les plus grossièrement sexistes...
Quel genre d'hommes ou de femmes cautionne ce genre de phrases ?
Pensez-vous qu'elles s'insinuent vraiment dans la tête de la plupart d'entre eux, d'entre elles ?
Qu'une majorité d'entre nous ne considère pas que c'est du grand n'importe quoi ?
Je ne veux pas dire que nous n'acceptons pas malgré nous, inconsciemment, une forme de domination masculine, mais de là à tolérer les réflexions les plus grossièrement sexistes...
Ah ce Weinstein, quand même !
Il a déclenché un tsunami qui a balayé des siècles d'attitudes patriarcales, et le monde est devenu meilleur.
Le glyphosate et les inégalités n'ont qu'à bien se tenir.
Il a déclenché un tsunami qui a balayé des siècles d'attitudes patriarcales, et le monde est devenu meilleur.
Le glyphosate et les inégalités n'ont qu'à bien se tenir.
"La disparition" a résolu la situation.
les gens qui portent l'écriture inclusive et le reste de la panoplie sont tout autant une secte crétine que les copains de Finkelkraut
ils portent une idéologie hors sol et une vision très contestable des rapports homme-femme, avec force raccourcis, simplismes, culpabilisations, etc. (comme les mecs d'en face, en fait...) et surfent sur l'inculture ambiante pour mettre en place leur lobbying
je refuse de me sentir concerné par leur bullshit et je ne me reconnais pas dans la civilisation qu'ils proposent
ils portent une idéologie hors sol et une vision très contestable des rapports homme-femme, avec force raccourcis, simplismes, culpabilisations, etc. (comme les mecs d'en face, en fait...) et surfent sur l'inculture ambiante pour mettre en place leur lobbying
je refuse de me sentir concerné par leur bullshit et je ne me reconnais pas dans la civilisation qu'ils proposent
Donc, dans l'émission du jour, le présentateur oralise le féminin inclus ?
Mais alors, comment savoir si celle ou celui qui écrit : la voiture et le camion sont verts applique la règle du masculin l'emportant sur le féminin, ou celle de la proximité ?
Le problème, la question, sont posé·e·s.
Le problème, la question, sont posé·e·s.
Rappelons que la devise de la république est constituée de trois mots féminins.
Honte à moi, je n'ai pas tout d'abord compris ce que c'était "écriture inclusive". J'avoue avoir du mal à me convaincre de l'extrême dangerosité de la chose. Mais peut être est-elle là: à force de glissements, et si un jour on trouve malcommode de mettre des points partout au milieu des mots, on pourrait décider que "quand on parle des femmes on parle aussi des hommes", et que le féminin l'emporte sur le masculin. On mettrait ainsi tout, partout, au féminin, ou alors on réserverait le masculin aux situations où il n'y a que des hommes, même l'Académie n'y résisterait pas.
Ou alors, on pourrait alterner: tant de siècles où "le masculin l'emporte", puis tout autant de siècles où "le féminin l'emporte". Ce qui nous laisse un peu de temps pour réfléchir, et d'ailleurs notre "civilisation" aura peut être, d'ici là, disparu pour d'autres motifs.
Ou alors, on pourrait alterner: tant de siècles où "le masculin l'emporte", puis tout autant de siècles où "le féminin l'emporte". Ce qui nous laisse un peu de temps pour réfléchir, et d'ailleurs notre "civilisation" aura peut être, d'ici là, disparu pour d'autres motifs.
A choisir, il vaut mieux laisser la Langue à quarante vieilles peaux qu'à des journalistes.
Je ne savais pas que Finkielkraut était membre d'une secte....
Je ne savais pas qu'il était si important, et surtout si utile de triturer la langue pour faire progresser l'humanité.
Je ne savais pas avoir été si méchant, si longtemps.
Je ne savais pas que Daniel Schneidermann pouvait être si haineux.
J'en apprends beaucoup, ce matin.
Je ne savais pas qu'il était si important, et surtout si utile de triturer la langue pour faire progresser l'humanité.
Je ne savais pas avoir été si méchant, si longtemps.
Je ne savais pas que Daniel Schneidermann pouvait être si haineux.
J'en apprends beaucoup, ce matin.
je n'ai qu'un avis pratique et en l'occurrence l'écriture inclusive ne l'est pas. A lire c'est mal de crâne assuré. Ca donne une excuse à DS pour taper sur finkel, alors on ne va pas se priver !
Occasion de revoir cet excellent episode de Monsieur Manatane.
https://www.youtube.com/watch?v=5wpqD6b9d98
Occasion de revoir cet excellent episode de Monsieur Manatane.
https://www.youtube.com/watch?v=5wpqD6b9d98
.....·····
"Il parait qu'il faut faire Alt + 1083"
A moins qu'il ne faille faire : Alt+0183 ?
A moins qu'il ne faille faire : Alt+0183 ?
Rappelons le réquisitoire de Pierre Desproges contre d'Ormesson et l'académie française. https://www.youtube.com/watch?v=uygPt_7XiS0
L'insignifiance de ce communiqué n'a d'équivalence que son outrance.
L'insignifiance de ce communiqué n'a d'équivalence que son outrance.
Dans une chronique , avoir Finkielkraut et le terme " vieille peau ", réunis, est assez jouissif ....
So what?