8
Commentaires

Élie Hervé, et "l'obsession médiatique" sur les transidentités

Commentaire préféré des abonnés

merci pour cette belle émission, éclairante ; j’ai beaucoup appris. La douceur de l’échange contraste avec la dure réalité du traitement social et médiatique de la transidentité. 

Derniers commentaires

merci pour cette belle émission, éclairante ; j’ai beaucoup appris. La douceur de l’échange contraste avec la dure réalité du traitement social et médiatique de la transidentité. 

Durant l'entretien, la personne invitée banalise nettement le fait qu'un enfant prenne un médicament "qui soigne" (je la cite), à savoir un bloqueur de puberté. La journaliste laisse passer ça. La personne invitée, en critiquant l'observatoire la petite sirène, a mis sous le même chapeau tous les psychanalystes en général en accusant "la psychanalyse" (je la cite) à l'endroit de Caroline Eliacheff. La journaliste laisse passer et semble même soutenir (elle persiste à la présenter comme psychiatre, omet le titre de psychanalyste). 

Dans le fond de la transidentité, c'est ce que nous faisons des enfants qui est la vraie question. Le seul appel à cette question a été de citer le documentaire "petite fille" qui en validant, annule la question que je répète : que faisons nous aux enfants avec ces idées de transidenté. Ne serait-ce pas des questions d'adultes que les enfants subissent jusqu'au risque de les détruire ? Là est une place pour le discours psychanalytique.


Le capitalisme ne sait que détruire les individus qui n’ont pas de pouvoir . Est ce que dans le cercle de pouvoir de poutine il n’y a pas de pd ?Au  front de la honte on le sait , ils en sont kafi de pd .Ça doit les rendre schizo ces pauvres chenu et taisez vous  et surement d’autres honteux  qui bouffe l’oreiller en douce . Ouais , ça c’est inquiétant  cette schizophrénie ...

incroyable prise de parole : merci à elle.

"Laissez-nous tranquilles!" : Carla Antonelli, militante LGBTQ et première femme transgenre élue dans un parlement régional en Espagne, élève la voix pour défendre les droits des personnes transgenres après que le parti d'extrême droite Vox a proposé, sans succès, l'abolition d'une loi régionale concernant les personnes transgenres.


Merci à ASI d'éclairer le débat et de lutter contre certaines fake news et autres paniques morales.

La transidentité n'est vraiment pas un sujet facile et je trouve que le journaliste apporte un regard humain, posé, utile sur la question. Ou les questions...

Une partie de notre cerveau est faite pour simplifier, classifier, alors tout ce qui sort des cases peut rendre mal à l'aise ou maladroit. Mais j'espère qu'un jour on accueillera les transgenres "aussi bien" (et pas aussi mal !) que les personnes racisées, invalides, etc. Et j'espère aussi que chacune et chacun pourra évoluer à sa guise.

Pour l'instant, la majorité CIS blanche n'a pas conduit l'humanité vers l'amour et la concorde universelles - ni au respect du vivant - c'est même l'inverse qui se produit en ce moment -  alors stigmatiser les transgenres c'est vraiment trouver des boucs émissaires  trop faciles.

Pour moi, le format inhabituel peut se justifier. Et se reproduire, surtout lorsqu'il s'agit d'un sujet aussi délicat.

Inviter un expert, il me semble que Milena le faisait - et il y aurait moyen de poursuivre...

La seule chose qui manque un peu - peut-être -, c'est le contexte éditorial de l'interview - et la présentation de l'interviewé. Mais peut être que j'ai écouté d'une oreille distraite le début - et je n'ai pas lu le descriptif - j'ai ouvert la vidéo directement "pour me changer les idées" figurez-vous !!!

J'avais lâché le Charlie par lassitude envers son hypocrite islamophobie (bon, aussi parce que je journal était devenu objectivement nul à d'autres niveaux), mais même à l'époque, je n'aurais pas imaginé qu'il se mette sur les rangs de la transphobie. Parce que j'ai le souvenir d'un soutien assez ferme aux identités, bin, LGB du moins. Je me serais attendu à ce que ça s'étende à tout le spectre des identités de genre. Je réussis à être déçu de ce journal, ce qui, à ce stade, leur demande de creuser profond. Mais je suis presque curieux des postures de Fourest sur le sujet, du coup.    


Curiosité plus saine : le contenu de cet entretien serait assez équivalent à une émission d'ASI normale, pourquoi ce format spécial ? Pour une raison pratique liée au nombre d'invitées ? Le cas échéant, le plateau aurait pu être étoffé, ou sinon, il me semble qu'il y a déjà eu des émissions avec un.e seul.e invité.e dans le passé. Une vidéo "interview" donne un peu l'impression d'une importance moindre, marginale, par rapport aux émissions-phares d'ASI...  

Bonsoir à vous, quand je dis vous, je pense à Schneidermann, le représentant que j'ai connu à la télé et des idées qu'il soutenait (à savoir le "métajournalisme" ou critique du média par le média ), où, me semble-t-il, le souci de l'OBJECTIVTE et de l'IMPARTIALITE  sont de mises., Et bien, ce soir, en écoutant le débat - qui n'en  était pas un - sur le livre "Transphobia" - sujet évidemment polémique censé être ouvert sur le débat - j'ai été déçue de voir qu'en face de l'invité-e, il y avait une partialité. Je suis abonnée (à peu prix, et maintenant, je me dis - HEUREUSEMNENT - ). Je suis un peu désespérée car ce sujet sur la transidentité m'intéresse. Et la conversation était une conversation et non un débat. La condescendance était de mise. Caroline Eliacheff est désormais - à i'ssue de cet entretien - d'extême droite. D'ailleurs, la journaliste ne sait pas qu'elle PEDOPSYCHIATRE  car elle n'a cessé de dire qu'elle était psychiatre. (j'ai ressenti qu'il y avait même un doute sur son titre par rapport à son intonation de voix - je trouve que c'est grave parce que Caroline Eliacheff est bien pédopsychiatre et non psychiatre - elle en témoigne). J'ai suivi l'entretien qui ne m'encourageait pas à poursuivre la ligne éditoriale d'arrêt sur images. Je dirais en quelques mots ce que j'ai ressenti en écoutant l'entretien :

- j'ai entendu un parti pris, grave. L'observatoire la petite sirène a été traité d'extrême droite. Il me semble que c'est à questionner. 

pour ma part, il y a des choses que je ne cautionnes pas par rapport à la trans---sition, est-ce que cela fait de moi quelqu'un d'extrême droite ? non. Mais c'est dur de l'exprimer, même sur " Arrêts sur images "

Cet entretien était dirigé vers une pensée.

Pourquoi ne pas donner la parole à la psychanalyse ? Monsieur Schneidermann, pensez-vous qu'elle n'a rien à dire ?

 Christell Briard

DÉCOUVRIR NOS FORMULES D'ABONNEMENT SANS ENGAGEMENT

(Conditions générales d'utilisation et de vente)
Pourquoi s'abonner ?
  • Accès illimité à tous nos articles, chroniques et émissions
  • Téléchargement des émissions en MP3 ou MP4
  • Partage d'un contenu à ses proches gratuitement chaque semaine
  • Vote pour choisir les contenus en accès gratuit chaque jeudi
  • Sans engagement
Devenir
Asinaute

5 € / mois
ou 50 € / an

Je m'abonne
Asinaute
Généreux

10 € / mois
ou 100 € / an

Je m'abonne
Asinaute
en galère

2 € / mois
ou 22 € / an

Je m'abonne
Abonnement
« cadeau »


50 € / an

J'offre ASI

Professionnels et collectivités, retrouvez vos offres dédiées ici

Abonnez-vous

En vous abonnant, vous contribuez à une information sur les médias indépendante et sans pub.