Commentaires
Elkabbach, son micro et son casque
On a beau avoir vu ce qu'on a vu, entendu ce qu'on a entendu
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
J'aurais beaucoup à dire sur les devoirs (de vacances ou pas) d'ailleurs, ou comment se creusent aussi les inégalités sociales...
Mais oui, GPMarcel, tous ces sujets peuvent s'avérer intéressants.... tout dépend de la façon dont on les traite ;)
Mais oui, GPMarcel, tous ces sujets peuvent s'avérer intéressants.... tout dépend de la façon dont on les traite ;)
C'est très interessant ce système de comptage auquel vous faites allusion, Palu.
Vous avez des sources auxquelles se référer, pour la France?
Vous avez des sources auxquelles se référer, pour la France?
Je n'ai pas besoin de voter, ou d'apprécier particulièrement Hollande pour lui reconnaitre, enfin, une forme de courage.
Il est évident qu'il a bel et bien conscience de risquer sa majorité et sa crédibilité auprès de ses sympathisants. Toutefois, il poursuit.
Sans doute parce qu'il est convaincu d'agir utile, et sans doute aussi parce qu'il veut montrer que ce costard de Président lui sied désormais. C'est là la cruelle expérience de l'exercice du pouvoir. Il serait tellement plus confortable pour lui de ne rien faire, à présent.
J'ajouterai qu'il ne vacille pas non plus au sujet d'Emmanuel Macron, malgré les pressions à droite, à gauche.
Intimement, je me demande si Hollande n'est pas en train d'effectuer une vraie transition, vers le vrai social démocrate.
Il est évident qu'il a bel et bien conscience de risquer sa majorité et sa crédibilité auprès de ses sympathisants. Toutefois, il poursuit.
Sans doute parce qu'il est convaincu d'agir utile, et sans doute aussi parce qu'il veut montrer que ce costard de Président lui sied désormais. C'est là la cruelle expérience de l'exercice du pouvoir. Il serait tellement plus confortable pour lui de ne rien faire, à présent.
J'ajouterai qu'il ne vacille pas non plus au sujet d'Emmanuel Macron, malgré les pressions à droite, à gauche.
Intimement, je me demande si Hollande n'est pas en train d'effectuer une vraie transition, vers le vrai social démocrate.
Pourquoi tourner éternellement autour du pot: L'essence de la démocratie c'est la vertu, au sens mozartien du terme ( fin XVIIIème). L'arithmétique électorale - et son avatar folklorique le tirage au sort- ne sont que des incantations modernes (donc déjà démodées) destinées à se protéger contre l'éblouissement ( l'aveuglement) que produit cette satanée morale que j'ai en moi comme la voûte céleste au dessus de moi.
Désolé de faire figure de fausse note dans une harmonie aussi parfaite: le monocorde, mais excusez moi quand même de préciser que ce régime, c'est une démocratie. Ca veut dire quoi? Que c'est la loi du plus grand nombre, dans les urnes.
Alors, le plus grand nombre, êtes vous sûrs qu'il soit dans les rues?
Et la rue, ce n'est pas l'urne, les sondages non plus, d'ailleurs.
D'accord ou pas d'accord avec la loi, moi ça me rassure qu'il y ait encore l'usage d'une certaine autorité, d'un respect de l'ordre (la démocratie, rien d'autre).
Oui, c'est hypocrite cette interdiction de manifester. Hollande devrait dire, "on vous a bien entendu, il n'est plus nécessaire de manifester, de la même façon qu'on a imposé le mariage pour tous malgré les manifs monstrueuses; parce qu'on est convaincu d'agir dans le sens du pays, et on est prêt à en assumer les conséquences (électorales)."
Comme Renaud, j'ai envie d'embrasser un flic, j'ai même envie d'embrasser Hollande (je vous autorise à lui communiquer mes coordonnées personnelles) ;)
Alors, le plus grand nombre, êtes vous sûrs qu'il soit dans les rues?
Et la rue, ce n'est pas l'urne, les sondages non plus, d'ailleurs.
D'accord ou pas d'accord avec la loi, moi ça me rassure qu'il y ait encore l'usage d'une certaine autorité, d'un respect de l'ordre (la démocratie, rien d'autre).
Oui, c'est hypocrite cette interdiction de manifester. Hollande devrait dire, "on vous a bien entendu, il n'est plus nécessaire de manifester, de la même façon qu'on a imposé le mariage pour tous malgré les manifs monstrueuses; parce qu'on est convaincu d'agir dans le sens du pays, et on est prêt à en assumer les conséquences (électorales)."
Comme Renaud, j'ai envie d'embrasser un flic, j'ai même envie d'embrasser Hollande (je vous autorise à lui communiquer mes coordonnées personnelles) ;)
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
La démocratie, bien entendu.
Que voulez vous, c'est qui arrive quand on s'omnubile de ce qui se passe chez le voisin et qu'on ne surveille plus son chez soit. Régime faible, police violente.
Que voulez vous, c'est qui arrive quand on s'omnubile de ce qui se passe chez le voisin et qu'on ne surveille plus son chez soit. Régime faible, police violente.
Enfaite l'oligarchie, la dérive de notre régime politique tout ça ça parait évident quand on le sais mais exposer cotidiènement a la propagande sans protection, on fini par devenir aveugle a beaucoup de choses.
Dans la même veine, une autre question brûlerait les lèvres de tout bon journaliste interviewant Hollande :
- Monsieur le Président, il y a dix ans, vous disiez que ’’le 49.3 est un déni de démocratie’’.
Qu'est-ce qui vous a fait changer d'avis sur ce point ?
- Monsieur le Président, il y a dix ans, vous disiez que ’’le 49.3 est un déni de démocratie’’.
Qu'est-ce qui vous a fait changer d'avis sur ce point ?
L'hyperprésidentialisation de la Cinquième République datant formellement du référendum de 1962 (bien que dès sa version de 1958, c'était déjà pas mal...), le petit calcul suivant vous amusera peut être :
Il fallait avoir 21 à l'époque pour voter, donc être né en 1941 ou avant. Les électeurs les plus jeunes d'alors ont donc aujourd'hui 75 ans. Il y a en France aujourd'hui 6 500 000 personnes âgées d'au moins 75 ans.
Si on garde les proportions des résultats de ce référendum (13 millions de Oui, 8 millions de Non, 6,5 millions d'abstention, pour 28 Millions d'inscrits), on peut estimer à la louche qu'au grand maximum, il reste 2,7 millions d'électeurs vivants ayant voté Oui en 1962.
Le corps électoral (2015) est de 44,6 millions d'inscrits. Et donc :
Les électeurs ayant approuvé la constitution de 1962 représentent au plus 6,2 % du corps électoral français actuel...
Il fallait avoir 21 à l'époque pour voter, donc être né en 1941 ou avant. Les électeurs les plus jeunes d'alors ont donc aujourd'hui 75 ans. Il y a en France aujourd'hui 6 500 000 personnes âgées d'au moins 75 ans.
Si on garde les proportions des résultats de ce référendum (13 millions de Oui, 8 millions de Non, 6,5 millions d'abstention, pour 28 Millions d'inscrits), on peut estimer à la louche qu'au grand maximum, il reste 2,7 millions d'électeurs vivants ayant voté Oui en 1962.
Le corps électoral (2015) est de 44,6 millions d'inscrits. Et donc :
Les électeurs ayant approuvé la constitution de 1962 représentent au plus 6,2 % du corps électoral français actuel...
Hollande se caricature. Pour Elkabbach, il y a longtemps que c'est fait. Et nous, nous sommes tellement dégoûtés qu'on n'allume plus la radio, ou très peu et de toutes façons pas Europe 1.
Je crois qu'une grande partie des gens commence à se rendre compte de l'imposture qu'est notre "démocratie", à commencer par DS. Il n'est jamais trop tard.
Mais bon, beaucoup trop de gens vivent encore dans le mythe de notre "république exemplaire", le conte de fée raconté tous les soirs au 20h, et en continu sur BFN TV, pour que le peuple [s]re[/s]prenne réellement le pouvoir.
Il faut dire que se libérer n'est pas facile, il faut aller chercher les gosses à l'école, payer le loyer... et pour certains (une minorité): perdre leurs privilèges.
Ceux qui ont l'argent et le pouvoir ne le lâcherons pas. La lutte continue...
Mais bon, beaucoup trop de gens vivent encore dans le mythe de notre "république exemplaire", le conte de fée raconté tous les soirs au 20h, et en continu sur BFN TV, pour que le peuple [s]re[/s]prenne réellement le pouvoir.
Il faut dire que se libérer n'est pas facile, il faut aller chercher les gosses à l'école, payer le loyer... et pour certains (une minorité): perdre leurs privilèges.
Ceux qui ont l'argent et le pouvoir ne le lâcherons pas. La lutte continue...
Comme personne n'a souhaité jusqu'ici la nommer par son nom, il s'agit de la Veme République, qui a été créée en pleine guerre d'Algérie pour finir le sale boulot, et qui n'est vivante aujourd'hui que par le renoncement permanent de tous ceux qui ont refusé de la combattre en tant que telle depuis 50 ans, y compris des forces à gauche de la gauche dont certaines ont plutôt eu tendance à la sanctifier, même indirectement ("Front Républicain", "École républicaine"...) en la prenant pour ce que, de toute évidence, elle n'est pas...
Dans ”Les lois scélérates de 1893-1894” (1899), début du premier texte “Notre loi des suspects” par Francis de Pressensé, journaliste, député, fondateur de la Ligue des Droits de l’Homme :
”La France a connu à plusieurs reprises, au cours de ce siècle, ces paniques provoquées par certains attentats, savamment exploitées par la réaction et qui ont toujours fait payer à la liberté les frais d'une sécurité menteuse.
Sous la monarchie de Juillet, les lois de septembre furent votées sous l’impression de tentatives de régicide, sous le prétexte de la défense de l'ordre social, mais en réalité dans le dessein d'étouffer par la peur le mouvement révolutionnaire qui se poursuivait dans les masses profondes d'un peuple tenu hors l'enceinte du pays légal, et qui avaient cessé de plaire aux anciens carbonari de la Restauration, devenus les conservateurs du nouveau régime auxquels ils devaient places, honneurs et fortune.
Ces lois d'exception furent le commencement de la brouille définitive entre la royauté soi-disant républicaine de la branche cadette et une démocratie dégoûtée de l'hypocrisie du juste milieu, du monopole politique d'une bourgeoisie aussi égoïste et moins décorative que l'ancienne noblesse et de la corruption croissante d'une société asservie au capitalisme.
C'est de l'adoption de ces mesures de salut public que datent, et l'expansion accélérée du socialisme, mis hors la loi par un gouvernement oublieux de ses origines, et le renouveau de l'idéalisme républicain proscrit par les anciens complices des conspirations révolutionnaires de la Restauration, et le dégoût sans borne et sans retour des libéraux, épris de justice et de progrès.”
”La France a connu à plusieurs reprises, au cours de ce siècle, ces paniques provoquées par certains attentats, savamment exploitées par la réaction et qui ont toujours fait payer à la liberté les frais d'une sécurité menteuse.
Sous la monarchie de Juillet, les lois de septembre furent votées sous l’impression de tentatives de régicide, sous le prétexte de la défense de l'ordre social, mais en réalité dans le dessein d'étouffer par la peur le mouvement révolutionnaire qui se poursuivait dans les masses profondes d'un peuple tenu hors l'enceinte du pays légal, et qui avaient cessé de plaire aux anciens carbonari de la Restauration, devenus les conservateurs du nouveau régime auxquels ils devaient places, honneurs et fortune.
Ces lois d'exception furent le commencement de la brouille définitive entre la royauté soi-disant républicaine de la branche cadette et une démocratie dégoûtée de l'hypocrisie du juste milieu, du monopole politique d'une bourgeoisie aussi égoïste et moins décorative que l'ancienne noblesse et de la corruption croissante d'une société asservie au capitalisme.
C'est de l'adoption de ces mesures de salut public que datent, et l'expansion accélérée du socialisme, mis hors la loi par un gouvernement oublieux de ses origines, et le renouveau de l'idéalisme républicain proscrit par les anciens complices des conspirations révolutionnaires de la Restauration, et le dégoût sans borne et sans retour des libéraux, épris de justice et de progrès.”
Bonjour
Quelle décrépitude pour Normal 1er d'aller se confesser chez Elkabach. Prochaine étape C dans l'air et Calvi.
Quelle décrépitude pour Normal 1er d'aller se confesser chez Elkabach. Prochaine étape C dans l'air et Calvi.
Enfin! On va OSER appeler un chat un chat! :)
......... Un REGIME D'EXCEPTION ?
- mais on y est ! il vient même d'être prolongé de 2 mois !
- ah oui ! j'avais oublié .
Alors ELKABACH ?
Ben !!!! il ne l' a pas oublié lui :
il interviewe le Président d'un régime d'exception avec
le respect de la loi concernant les libertés "limitées" de la presse !
- mais on y est ! il vient même d'être prolongé de 2 mois !
- ah oui ! j'avais oublié .
Alors ELKABACH ?
Ben !!!! il ne l' a pas oublié lui :
il interviewe le Président d'un régime d'exception avec
le respect de la loi concernant les libertés "limitées" de la presse !
Vous le savez M. Schneiderman; protofachiste.
Mon cher matinaute,
Il me semble que la réponse à la question posée à la fin de la chronique de ce jour 17 mai 2016 est facile.
Ce régime s'exerce dans un pays qui jadis fut le Sarkozistan... aujourd'hui c'est le Holladistan. Peu de choses (sinon rien) n'ont changé.
L'historien Ernest Lavisse a écrit autrefois à propos de l'Ancien Régime : "La monarchie française est une monarchie absolue tempérée par la désobéissance."
On peut donc dire que la Vème République est une monarchie élective encouragée par la courtisanerie des médias.
Il me semble que la réponse à la question posée à la fin de la chronique de ce jour 17 mai 2016 est facile.
Ce régime s'exerce dans un pays qui jadis fut le Sarkozistan... aujourd'hui c'est le Holladistan. Peu de choses (sinon rien) n'ont changé.
L'historien Ernest Lavisse a écrit autrefois à propos de l'Ancien Régime : "La monarchie française est une monarchie absolue tempérée par la désobéissance."
On peut donc dire que la Vème République est une monarchie élective encouragée par la courtisanerie des médias.
Bah, ca sent la fin tout ca....
En realite, nous le savons tous. Nous savons que 2017 arrive. D'ailleurs, tout ce printemps social, ces Nuits Debout, c'est avant tout notre geste desespere, a Gauche, pour tenter d'inventer un autre possible devant l'impasse qui se rapproche de semaines en semaines.
Mai 2017....
L'etat des forces en France aujourd'hui :
Ceux qui veulent "sortir du cadre" :
1) Ceux qui attendent patiemment 2017 pour tout faire peter avec un bulletin MPL, qu'ils adherent a l'ensemble du programme FN, ou pas.
2) Ceux qui tentent désespérément de trouver une voie de sortie par la gauche, quitte a aller dans l'experimental
Ceux qui ne veulent pas forcement sortir d'un cadre :
1) Parcequ'il les privilegie : une minorite.
2) Parcequ'ils ont peur de l'experimental (pas forcement a tord d'ailleurs). Pris comme des lapins dans les phares, ils sont de plus en plus nombreux a voir arriver la catastrophe mais n'osent pas bouger.
Rien d'original la dedans, c'est le propre des situations de crises. Il faut faire quelque chose, mais personne n'est certain de savoir exactement quoi, a part quelques minorites qui essayent de convaincre les autres d'aller dans telle ou telle direction. Le genre de situations ou l'incertitude est grande et radicale. Ou il faut prendre certains risques.
En realite, nous le savons tous. Nous savons que 2017 arrive. D'ailleurs, tout ce printemps social, ces Nuits Debout, c'est avant tout notre geste desespere, a Gauche, pour tenter d'inventer un autre possible devant l'impasse qui se rapproche de semaines en semaines.
Mai 2017....
L'etat des forces en France aujourd'hui :
Ceux qui veulent "sortir du cadre" :
1) Ceux qui attendent patiemment 2017 pour tout faire peter avec un bulletin MPL, qu'ils adherent a l'ensemble du programme FN, ou pas.
2) Ceux qui tentent désespérément de trouver une voie de sortie par la gauche, quitte a aller dans l'experimental
Ceux qui ne veulent pas forcement sortir d'un cadre :
1) Parcequ'il les privilegie : une minorite.
2) Parcequ'ils ont peur de l'experimental (pas forcement a tord d'ailleurs). Pris comme des lapins dans les phares, ils sont de plus en plus nombreux a voir arriver la catastrophe mais n'osent pas bouger.
Rien d'original la dedans, c'est le propre des situations de crises. Il faut faire quelque chose, mais personne n'est certain de savoir exactement quoi, a part quelques minorites qui essayent de convaincre les autres d'aller dans telle ou telle direction. Le genre de situations ou l'incertitude est grande et radicale. Ou il faut prendre certains risques.
Sans déconner,
Faut-il s'étonner
De s'étonner?
Faut-il s'étonner
De s'étonner?
F.A.S.C.I.S.T.E !
Que le président de la République trouve opportun d'aller servir la soupe à un clown de la radio d'un fils à papa multimillionnaire, c'est instructif.
Pendant ce temps, les zinvstisseurs comptent leur dividendes.
Pendant ce temps, les zinvstisseurs comptent leur dividendes.
Sur le ras le bol des commerçants de Rennes, voici ce qu'ont placardé les commerçants de la place Ste-Anne. Les nuisances de viennent pas forcément de ceux désignés par nos beaux média libres.
https://pbs.twimg.com/media/Cimg71HW0AA3WRJ.jpg
https://pbs.twimg.com/media/Cimg71HW0AA3WRJ.jpg
La 5e est devenue une république bananière et son président, bien qu'élu, ne rend des comptes à personne. C'était déjà le cas de ses prédécesseurs mais c'est de plus en plus évident. Les seules sanctions pour le président actuel seront la prochaine gifle électorale qui se profile et le coup de pied au c.. qu'il a bien cherché.
Quant à Mr Elkabbach, il y a bien longtemps qu'il n'est plus que la serpillière complaisante que les puissants de ce monde apprécient pour nettoyer leurs semelles. C'est même le secret de sa longévité dans notre monde médiatique.
Quant à Mr Elkabbach, il y a bien longtemps qu'il n'est plus que la serpillière complaisante que les puissants de ce monde apprécient pour nettoyer leurs semelles. C'est même le secret de sa longévité dans notre monde médiatique.
Mais comment qualifier un régime qui, à l'Assemblée, fait passer sans débat une telle loi ? Comment qualifier un régime qui, prétextant le terrorisme, interdit de manifester contre cette loi ? Comment s'appelle un régime dans lequel le chef de l'Etat peut être confronté une heure à des journalistes professionnels, titulaires d'une carte de presse, sans même que cette question lui soit posée ?
J'appelle ça la France monsieur, la France du Général de Gaulle !
J'appelle ça la France monsieur, la France du Général de Gaulle !
C’est une carpette résistante et à double adhérence, droite et gauche confondues, l’Elkabbach...
Après tout il a raison puisque cela lui permet de passer une bonne République et sûr qu’il va encore officier avec la prochaine présidence ; c’est un Molière, ce gars.
Après tout il a raison puisque cela lui permet de passer une bonne République et sûr qu’il va encore officier avec la prochaine présidence ; c’est un Molière, ce gars.
Je me demande si tout cela va vacciner les gens de gauche à voter PS (au 1er et au 2nd tour).
Il faut une bonne dose de .. de ... disons d'optimisme pour " considérer " Elkabbach comme étant un journaliste ....
Vous êtes bien sympathique, Daniel, mais épargnez moi vos analyses politiques.
Mais comment qualifier un régime qui, à l'Assemblée, fait passer sans débat une telle loi ? Comment qualifier un régime qui, prétextant le terrorisme, interdit de manifester contre cette loi ? Comment s'appelle un régime dans lequel le chef de l'Etat peut être confronté une heure à des journalistes professionnels, titulaires d'une carte de presse, sans même que cette question lui soit posée ?
J'appelle ça la France, monsieur, et pas n'importe laquelle: la France du Président Sarkollande !
EDIT: joel israel a été plus rapide d'une minute :p
Mais comment qualifier un régime qui, à l'Assemblée, fait passer sans débat une telle loi ? Comment qualifier un régime qui, prétextant le terrorisme, interdit de manifester contre cette loi ? Comment s'appelle un régime dans lequel le chef de l'Etat peut être confronté une heure à des journalistes professionnels, titulaires d'une carte de presse, sans même que cette question lui soit posée ?
J'appelle ça la France, monsieur, et pas n'importe laquelle: la France du Président Sarkollande !
EDIT: joel israel a été plus rapide d'une minute :p
"Je ne cèderai pas", a-t-il assuré sur Europe 1. "
A mort il y va, Hollande. Il parle de Rémi Fraisse, mais son décès ne lui a pas suffi.
Il ira à donf'
Il ira à mort.
A mort il y va, Hollande. Il parle de Rémi Fraisse, mais son décès ne lui a pas suffi.
Il ira à donf'
Il ira à mort.
Un régime de bananes.