Emma, entre charge mentale et insultes sexistes
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J’étais très contente avant de regarder la vidéo. Je lis avec beaucoup de plaisir son blog depuis que je l’ai découverte grâce à ASI.
Seulement, pourquoi la questionniez-vous sur cet énergumène ? C’est son problème à lui.
Et pourquoi publier une interv(...)
Magnifique ironie dans le final de DS qui marque un point "Henri-Gontran" en s'empressant d'ajouter à la découverte de l'injonction au sourire que subissent les femmes : "mais regardez, moi, je souris !"
;)
Merci pour cette émission, et l'interview de B. Vives.
En comparant les deux, on se rend nettement compte de la différence :
- d'un coté une personne immature qui a manifestement des problèmes psy à régler, et qui ne contrôle pas vraiment ce qu'il dit(...)
Derniers commentaires
Bon Vivès, c'est fait.
Passons à Sattouf :
https://actualitte.com/article/109771/auteurs/remontes-a-la-surface-des-dessins-de-riad-sattouf-mis-en-cause
On vit une époque fort minable.
Petite question @DS : pourquoi la BD "Amalia" est-elle posée si en évidence sur la table alors qu'au final vous n'en parlez pas ? Est-ce une référence à la dernière émission avec son autrice qui avait indiqué ne pas trop suivre le travail d'Emma ?
Émission passionnante.
J'avais déjà entendu parler d'Emma au moment de "charge mentale" et j'avais bien aimé à la fois les dessins et le concept. Je découvre avec plaisir une autrice qui a plein de choses à dire sur plein de sujets.
Mais, car j'ai un gros mais sur l'émission :pourquoi parler pendant un long moment de la polémique Bastien Vivès (qui m'a l'air d'un sinistre personnage ? C'est pour moi complètement inintéressant. Et cela laisse penser (même si vous vous en défendez en réponse aux commentaires précédents) que, sans cette polémique, Emma n'aurait pas été invitée.
Bref, j'aurais aimé entendre Emma sur plein de choses : sa façon de travailler, sur d'autres thèmes que la charge mentale, sur ses projets futurs...
Il m'a semblé aussi parfois qu'elle était gênée par cette insistance sur Bastien Vivès.
J'apprends dans les commentaires qu'il y a eu une interview de Bastien Vivès sur le site. Ca m'avait échappé. Il faut dire que cette polémique m'a peu intéressée. Je vais quand même aller lire l'interview du coup :-)
Merci pour cette émission qui revient sur la polémique récente sans s'y limiter !
Je ne connaissais pas le visage d'Emma mais seulement son oeuvre et ses interventions sur les RS.
Je partage les convictions d'Emma (féministe, anticapitaliste, antiraciste) et c'était intéressant de l'entendre expliquer ses méthodes de travail, la fabrique de l'oeuvre... Et contrairement à ce qu'elle pense là il me semble que si, investir le sujet des HPI et autres diagnostics psychologiques est politique : par exemple, les tests pour se faire diagnostiquer "HPI" sont très chers et sont à financer par les familles ; il n'y a donc que chez les bourgeois qu'on trouve une foultitude d'enfants "surdoués" (probablement un nombre très surévalué, car j'ai ouï dire que ces tests n'étaient pas fiables scientifiquement) et des enfants difficiles et ascolaires chez les prolétaires. La question est en fait éminemment politique, et cela m'intéresserait que cette autrice traite ce sujet :)
Ensuite, pour émettre un ou deux bémols, cette émission vient malheureusement confirmer ce que je craignais au sujet de cette démarche militante : Emma confirme sans y voir de problème qu'elle n'a lu aucun des livres de Bastien Vivès. Or, contrairement à quelqu'un comme Matzneff qui est un pédocriminel patenté (pas besoin de se fader ses livres, il y a des actes dont il s'est rendu coupable qui suffisent bien pour se faire une idée), on ne reproche à Vivès que ce qu'il a publié (et ces messages d'insultes abjects sur Facebook) ; la moindre des choses serait donc d'aller voir ce qu'on trouve dedans, et pas juste regarder quelques cases qui se baladent. Ne pas le lire, ni les ouvrages dont on parle, ni ceux qui ne sont pas mis en question, c'est l'anti-démarche scientifique dont elle se réclame pourtant. On doit connaître finement ce qu'on critique, sous peine de parler sans savoir et de passer à côté de quelque chose d'important, ce qu'elle confesse au sujet du livre illustré par Anne Guillard. Une oeuvre c'est un contexte, un tout, et on doit les comprendre pour mieux les dénoncer si elles le méritent. Quant à la question d'interdire sa publication à l'avenir (ce qui est de la censure au sens strict, puisqu'on peut tout publier en France et si il y a quelque chose d'illégal la justice s'en saisit à posteriori) elle reste allusive, mais j'ai l'impression qu'au fond oui, elle aimerait que Vivès ne trouve plus d'éditeur, alors que la majeure partie de son travail n'est pas sur l'axe qu'elle lui reproche. La distinction entre les deux n'est pas claire ici et aurait mérité une question supplémentaire (mais bon, puisqu'elle n'a pas lu elle n'aurait pas pu dire grand chose c'est vrai).
J'ai feuilleté La Décharge Mentale en librairie suite à l'affaire Vivès ; j'ai été surprise par le côté cartoon (et assez bâclé aussi) du dessin, qui mettait à distance les actions racontées. Cela ne change rien à l'imbécilité de la démarche, mais ça change pas mal de choses dans sa réception et la densité du discours tenu.
Deuxième problème pour moi : cautionner un harcèlement envers quelqu'un parce que, par le passé, il a été acteur d'un méfait comparable, c'est glaçant. Doit-on être indifférent si un violeur est ensuite violé ? Doit-on même s'en amuser ou s'en réjouir ? Pour moi la réponse est évidemment non. Je voudrais que personne ne viole et que personne ne soit violé. Je veux combattre les différentes oppressions et les violences qui en découlent parce qu'elles font mal ; pas juste parce que je suis en empathie avec une partie de la population.
Bref, merci à DS de continuer à faire le travail, même avec ce pas de côté !
Dans les BD, c'est souvent le méchant qui est plus intéressant que le gentil. Sur @si, c'est la même chose : 175 commentaires pour la retranscription de l'entretien avec Vivès, 39 pour la vidéo d'Emma à l'heure où j'écris ces lignes.
Vivès, c'est le Joker et Emma c'est Batwoman.
I Loooove Emma, et maintenant j'adore encore plus la femme derrière l'autrice ! Merci Daniel !
Quelques remarques quand même :
- Oui la thèse du Berceau des dominations est difficile à admettre... celle du "viol d'aubaine" pour décrire les incesteurs, c'est autrement plus déstabilisant que l'idée qu'il n'y a quelques tordus manipulés par leurs pulsions... j'avoue que j'ai du mal à m'y faire encore, c'est assez terrifiant.
- Bravo pour l'honnêteté vis-à-vis de la hiérarchie persistante entre hommes et femmes (et entre hommes...), Françoise Héritier et Antoinette Fouque expliquent très bien que les femmes sont parfois leurs pires ennemies... L'idée que la femme est associée à la vulnérabilité et l'homme au guerrier a la vie dure... mais en même temps à l'époque où les femmes ne maitrisaient pas leur fécondité et mourraient en couches... c'était pas complètement faux non plus... :-(
- Et pour finir j'espère qu'Emma changera d'avis sur la nécessité de porter plainte après avoir approfondi la thématique de l'inceste... Quelles que soient les chances d'aboutir, les plaintes sont tout de même un signal (et pas une pub - je serais d'ailleurs curieuse de savoir où en sont les ventes de Vivès -- pour ma part je n'en avais jamais entendu parler avant Angoulême).
Bref, oui vraiment, merci ASI !
Merci à ASI d'avoir donné la parole à Emma. Je ne sais pas si elle fait véritablement avancer quoi que ce soit. La "propagande" c'est un terme de facho. Elle ne veut pas rencontrer Vivès, elle "connai[t] ce genre de personne" : pas besoin de justice, Emma a déjà jugé. Pas besoin de parler non plus. Le masque est tombé, je ne crois pas que Vivès veuille faire l'apologie de la pédophilie, mais "le sectarisme" qu'on reproche à Emma semble bien réel. Et c'est flippant. Ça me rappelle une collègue qui me demandait si je pouvais prévenir ma meuf d'une manif féministe : je lui ai dit que je voulais venir et elle a rigolé, genre "mais non tu es le problème, pas la solution". On ne s'en sortira qu'en incluant, qu'en étant subtil, intelligent. Les hommes sont formatés et les femmes aussi. Il faut parler à tout le monde, pas à son petit cerce de fans...
Vraiment très intéressant ! Merci Daniel.
Emma se montre ici plus convaincante que lors de son entretien sur le Média où elle déclarait tout de même qu'il est inutile de débattre hors de la sphère des gens qui partagent la même opinion.
Après, parler de choses qu'on n'a pas lues me gêne toujours. De même que tout interpréter avec une grille de lecture préconçue. Ici, le prisme féministe. Ce serait un peu comme attendre ou chercher le moindre indice qui viendrait confirmer ce que l'on pense.
Je regrette que l'appel à l'instauration d'une auto censure en amont de la sélection des albums du festival d'Angoulême n'ait pas été évoqué. C'est dommage.
Par contre Daniel a toujours autant de mal à parler des VSS (et une personne sur dix, minimum, qui a été victime de pédocriminalité, c'est un phénomène de société de même ampleur que ce qui est dénoncé par Emma).
Merci ASI pour donner la parole à Emma !
Hâte de voir d'autres autrices et auteurs de BD engagés !
Version anglaise et risque de contresens.
Gas lighting , j'aurais tendance à penser que ça veut dire "éclairage au gaz"
Quel rapport avec les suffragettes ?
Si quelqu'un a une idée ...
Bonjour, je n'ai pas terminé pu cette émission parce que la partie sur la pédocriminalité était vraiment étrange et... mal préparé ? Emma vous parle de pédocriminalité, vous reprenez en boucle sur la pédopornographie (qui en est une des conséquences directes d'ailleurs) ; en minimisant à répétition et de manière particulière l'aspect systémique de la culture de l'inceste et de la pédocriminalité dans notre société.
Insister sur cette question qui n'en n'est pas une "c'est quand même beaucoup moins courant l'inceste, qu'un homme qui ne met pas ses chaussettes dans le lave linge"........ De une vous n'en savez rien puisqu'un des problèmes majeurs de la culture de l'inceste est la culture du silence! Du tabou et donc du peu de recherches, du peu d'écoute, des détournements collectifs, sociétaux, familiaux du regard. Ca n'est pas parce que tout le monde refuse d'en parler ou valide cette image erronée de ce qu'est la famille, que l'inceste est rare. C'est plutôt l'inverse, c'est "la norme" familiale à laquelle tout le monde refuse de se confronter. Lisez donc Le berceau des dominations.
De deux, quand bien même ça serait moins courant qu'un homme qui ne fout pas ses chaussettes dans le lave-linge... un inceste sera toujours un inceste de trop. D'où l'importance de cesser enfin de minimiser cette réalité comme si une histoire d'inceste n'était qu'un cas isolé, un fait divers, un bug dans le système... Non ! C'est le système, c'est systémique, c'est la culture familiale, patriarcale, paternaliste, violente, sexiste dans laquelle on vit et on baigne. Donc au même titre que la charge mentale, raconter les mécanismes de la pédocriminalité est indispensable. merci à Emma pour tout sont taff.
Je ne connaissais pas Emma avant, et merci Daniel de nous l'avoir fait découvrir.
En revanche, pas merci pour l'avoir interrogé aussi longuement sur Vivès.
Encore une preuve que la société nous formate pour être indulgent avec ce genre de personne (toujours des hommes au passage)...
Bonjour Christophe, auriez-vous préféré que la parole ne lui soit pas donnée sur cette agression dont elle a été victime ?
Bien sur que si, mais là, ça fait la moitié de l'interview et j'ai eu l'impression qu'à des moments, elle aurait préféré parler d'autre chose que de ce looser, mais vous avez remis inlassablement une pièce dans la machine...
Exactement, 23 minutes sur une émission d'une heure et sept minutes. Et dans une interview, c'est l'intervieweur qui choisit ses thèmes, et le temps qu'il leur consacre (vieux débat). Cela dit, chacun a parfaitement le droit de trouver que c'est trop !
Je n'ai pas eu l'impression qu'elle aurait préféré parler d'autre chose. Il n'y a pas eu de redite, comme le laisse un peu supposer votre "inlassablement". C'était intéressant qu'elle aille jusqu'au bout du pourquoi elle jugeait inefficace d'entrer dans le jeu que lui a mis en route. Et je crois que ça profiterait effectivement à la notoriété de Vivès. Je ne connaissais pas son existence avant (ni celle d'Emma d'ailleurs) et même si je n'ai pas envie moi de le découvrir plus (contrairement à Emma) j'imagine qu'un nouveau lectorat peut se créer pour lui.
Merci pour cette émission, et l'interview de B. Vives.
En comparant les deux, on se rend nettement compte de la différence :
- d'un coté une personne immature qui a manifestement des problèmes psy à régler, et qui ne contrôle pas vraiment ce qu'il dit/fait, et ne fait preuve d'aucune remise en question.
- de l'autre une personne qui se documente, réfléchit avant d'agir, et n'hésite pas à faire des autocritiques, et essaie de faire avancer des cause qui bénéficieront au plus grand nombre.
Le truc qui me gêne dans la série de DS sur le sujet Vivès, c'est cette impression d'une certaine indulgence vis-à-vis de d'un auteur prétendument surdoué. Indulgence que DS tente de compenser en invitant Emma dans cette émission ? Où je découvre le concept de Hannah Gadsby : la ligne rouge n'est pas loin de sauver le pote Bastien !
P.S.1 : je me suis rappelée avoir offert Polina à ma fille quand elle avait une douzaine d'années, sur la foi des critiques élogieuses et sans la lire de mon côté. Elle en a dix de plus aujourd'hui et quand nous avons évoqué "l'affaire", elle m'a avoué avoir trouvé cette BD dérangeante, sans pouvoir expliquer pourquoi. Je l'ai donc lue, et j'avoue que la "subtilité" m'a sauté aux yeux dès la couverture ! La relation entre la jeune danseuse et son professeur exigeant est pour le moins équivoque et me paraît effectivement de nature à déranger les petites filles...
P.S.2 : j'aime beaucoup les dessins (et le féminisme) d'Emma, merci de l'avoir invitée !
Le tableau de chasse d'Emma s'étoffe.
L'histoire a sans doute été oublié, mais Emma a déjà lancé par le passé (en 2018) une fatwa par réseau social interposé qui a visé les autrices et particulièrement l'illustratrice Anne Guillard et sa série des Pipelettes, destinée aux ados.
150 000 personnes ont signé la fatwa pour un livre tiré à 5000 exemplaire. Guillard, dégoûtée a mis fin à la série. L'objet du litige ? Je vous le laisse découvrir.
https://www.facebook.com/EmmaFnc/posts/pfbid0J8LRDKKBhU7NmiAbxeVAWX53yxZMpq5fPzhuXVXWeYuWQLx9tmj3ctCwyJmEbJ5Kl
https://www.bubblebd.com/9emeart/bd/actualites/anne-guillard-abandonne-ses-personnages-les-pipelettes-apres-la-polemique-autour-du-livre-on-a-chope-la-puberte
https://actualitte.com/article/20345/tribunes/apres-la-polemique-on-a-chope-la-puberte-j-arrete-de-dessiner-les-pipelettes/commentaires/6
J'aime bcp l'honnêteté et la rigueur intellectuelle dans le travail d'Emma
Si elle compte s'intéresser à la pedo-criminalité il faut absolument qu'elle lise cet ouvrage : Le Berceau des dominations - Anthropologie de l'inceste par Dorothée Dussy
Si j'ai bien compris, Emma aime faire "avancer les choses"... Il faut savoir que Dorothée Dussy s'en est retournée étudier les abeilles tant elle était révoltée, blasée et désespérée de voir combien dans le domaine des crimes subis par les enfants rien ne bougeait..
Bon courage à Emma donc dont les bd sont vraiment très éclairantes et utiles et la foi très agréables à lire
Très content de la voir s'exprimer en interview depuis peu. Je suis un lecteur de ses BD qui méritent leur succès.
En tant que dessinateur également, je me demande souvent comment participer à la "propagande" dont elle parle (peu importe la thématique, tant qu'il s'agit d'une lutte d'intérêt général) mais j'ai du mal à me sentir légitime et peur de tomber à côté.
Son travail est donc inspirant de par le courage qu'elle a eu à s'exprimer par le dessin qui bien qu'élémentaire "fait le taff", et par l'intelligence qu'elle a su donner à son propos.
Magnifique ironie dans le final de DS qui marque un point "Henri-Gontran" en s'empressant d'ajouter à la découverte de l'injonction au sourire que subissent les femmes : "mais regardez, moi, je souris !"
;)
J’étais très contente avant de regarder la vidéo. Je lis avec beaucoup de plaisir son blog depuis que je l’ai découverte grâce à ASI.
Seulement, pourquoi la questionniez-vous sur cet énergumène ? C’est son problème à lui.
Et pourquoi publier une interview de l’énergumène le même jour ? Osef de ses problèmes de mascu. Emma publie des sujets très intéressants, elle. Et je trouve que ses dessins dégagent de l’humour.
D’ailleurs, ça se voit qu’elle reste très polie, mais n’acquiesce pas quand vous dites « merci Bastien ? » ou « c’est ce qui fait que c’est compliqué ». Manifestement, elle ne partage pas vos sentiments pour votre mâle alpha surdoué…
J’aurais préféré des questions sur l’anticapitalisme, ses BD sur les mouvements sociaux.
Dernier point, selon une enquête Ipsos de 2020, 10% des Françaises et Français sont des victimes d’inceste (surtout les Françaises). D’où une certaine sensibilité au sujet. L’inceste, comme toutes les violences sur les enfants sont particulières. Il y a une part d’amnésie. Et, un enfant ne va pas au commissariat pour porter plainte contre son bourreau. Il n’en parle pas.
Intéressant.
Très lucide sur "l'inutilité" des plaintes contre Vivès, malgré son opposition à son travail, évidemment.
"Je considère qu'un auteur a une responsabilité sociale".
Ca résume bien son point de vue.
Mais finalement, c'est placer l'auteur sur le plan de la morale sociale du moment (forcément mouvant, au passage), ce qui est paradoxalement un frein à l'expression d'un auteur. Quoi qu'on en pense, c'est une incitation à l'autocensure, a minima la mesure d'un auteur. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose ? Un auteur peut-il "tout" dire ? Tout faire ? Où placer la limite ?
C'est je pense, la question à se poser, et c'est ici ce qui distingue les deux "tenants" du conflits.
Je conseille très vivement à tous et toutes la lecture des BD d'Emma! (Qui m'ont fait crier un "mais c'est EXACTEMENT ça!!!!" à chaque fois). L'intime est politique.
Une sacrée découverte pour moi ! Merci Daniel !
Merci Daniel.
Super femme réellement engagée que l'on prend beaucoup de plaisir à découvrir.
Tiptop.