Gays et confinement : le "Progrès" (Lyon) homophobe ?
Samedi 18 avril, un article du Progrès (Lyon) sur la sexualité des gays en période de confinement a provoqué l'émoi de la communauté LGBT pour ses propos perçus comme discriminants. Les différents protagonistes s'expliquent.
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Commentaires préférés des abonnés
Eh bien, très tendancieux ce message pour ne pas dire pire.
"La communauté aime que l'on parle d'elle mais accepte mal la critique". C'est qui "la communauté"? D'où tirez-vous qu'il s'agit d'une entité homogène avec des intentions aussi précises(...)
Quand ça vient de Lyon, on peut présumer l'homophobie sans trop se risquer.
Amis catho-intégristes, salut!
"le titre de la première page pouvait être choquant", mais précise que "ce n’est ni la journaliste ni moi qui l’avons choisi".
Noter que, une fois de plus, se pose la question de "Qui choisit les titres?" et dans quel but.
(...)Derniers commentaires
Le Progrès de Lyon est homophobe, c'est notoire.
Islamophobe aussi. Vous allez pouvoir en juger dès leur prochain article sur le ramadan qui débute demain.
Le communautarisme est une calamité.
"le titre de la première page pouvait être choquant", mais précise que "ce n’est ni la journaliste ni moi qui l’avons choisi".
Noter que, une fois de plus, se pose la question de "Qui choisit les titres?" et dans quel but.
Est-ce de l'homophobie que de mettre en lumière une pratique qui existe vraiment ? La mise en lumière est faite aussi sur la sexualité des hétérosexuels, à d'autres égard, et d'autres moment. Le problème est que cette communauté aime que l'on parle d'elle mais accepte mal la critique.
Que cela stigmatise, je suis d'accord. Mais au lieu de crier au scandale, la communauté LGBT pourrai tout simplement répondre par effet miroir et rendre visible les gays invisibles. Je m'explique.
Il existe des gays qui sont dit "hors-milieu", entendons "qui vivent hors de cette communauté LGBT". Ils sont gays et se fondent dans la masse sans vouloir être estampillés gay. Il ne pense pas gay systématiquement pour se cultiver, se restaurer, ou bien dans leurs relations sociales.
Ce hors-milieu là, n'est pas mis suffisamment visible. Pourquoi ne pas faire taire les attaquants en rendant visible ces individus que l'on ne pourrait pas stigmatiser ou difficlement ?
Et alors, pour les hétéros confinés tout seuls, la sexualité, ils s’en passent, trouvent-ils des astuces pour la vivre physiquement, ou restent-ils que dans le virtuel, l’abstinence ?
Quand ça vient de Lyon, on peut présumer l'homophobie sans trop se risquer.
Amis catho-intégristes, salut!