Gloire et dangers du journalisme et des médias
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Commentaires préférés des abonnés
J'ai abandonné Jeux d'influence au début de la 2e saison : les militant écologistes sont mal écrits et mal joués, c'est effarant !
D'ailleurs, ça ferait un bon sujet d'émission : pourquoi tant de films et séries échouent à ce test de la représentation(...)
Bonjour,
Merci beaucoup pour cette émission passionnante. En discutant autour de moi j'ai cherché le nom des intervenants et je m'aperçois qu'ils ne sont pas mentionnés dans le texte descriptif de l'émission. Serait-il possible de les ajouter ?
(...)Super emission , il se regarde des films quand il dort Djoumi ou bien ? y'a pas a dire , la passion c'est contagieux .
Derniers commentaires
Merci beaucoup pour cette émission que je viens de visionner très tardivement.
Je suis toujours mitigé sur la différence entre journaliste et enquêteur. M. DJOUMI en parle brièvement au début de l'émission pour définir les termes du sujet. Cela s'applique pour l'ouvrage de Madame Aude LANCELIN.
Peu de romans policiers/noirs/enquête/thriller ont été écrits par des journalistes. Je parle sous le contrôle de DS.
La séquence sur CAPA ne peut pas m'empêcher de penser à cette excellente analyse de M. GUNTHERT.
Avait-il été prévu de parler de Masques de Monsieur Claude CHABROL ? Le Figaro l'avait mis en vente avec le Figaro Magazine.
Ce film constitue une mise en abime entre le journalisme et la télévision divertissante.
Je prends connaissance de ce programme avec retard, mais le commentaire que je souhaite partager ici me semble concerner beaucoup de vos émissions précédentes (et peut-être, je le crains, à venir). Les références cinéphiliques des intervenant-es (y compris Rafik Djoumi, qui tient à l’occasion le rôle d’historien, citant ici un film signé par Hawks en 1940, là un Wilder de 1952*) sont le plus souvent restreintes aux productions dites mainstream (et c’est en cela conforme à l’intitulé du programme : “Post-pop”), mais aussi limitées dans le temps. Ce qui conduit à l’abus, selon moi, d’expressions telles que : “C’est le premier film qui…” ou : “N’est-ce pas la première fois que…”
Pour venir à notre sujet (en gros, le journalisme à l’écran), je signale qu’en 2004 (il y a presque vingt ans), Jean-Michel Frodon (alors directeur des Cahiers du cinéma, pas allergique à la culture dite pop si l’on croit son pseudonyme) avait choisi de titrer son introduction à Print the legend (citation de Ford, mais dont la couverture est illustrée par une image de Welles), l’ouvrage collectif coédité avec le Festival international du film de Locarno : “Depuis la nuit des temps”. C’est dire si – sans même remonter à L’Affaire Dreyfus de Méliès (1899, soit quatre ans après la mise au point du cinématographe Lumière, il y a vraiment très très longtemps) – la problématique n’est pas nouvelle… Et qu’il serait bienvenu de préciser plus souvent les limites de votre corpus.
(*) Lequel adaptera la même pièce que Hawks en 1974.
En voyant le sujet, j'étais persuadé que Rafik Djoumi allait proposer une extrait d'Anchorman ou sa suite. Bon, ça faisait peut-être trop d'emissions de suite avec des comédies américaines ;)
merci pour cette interessant tour d'horizon un chouïa narcissique sur la relation des journalistes avec le pouvoir et leurs lecteurs/spectateurs..
Excellentes émissions, beaucoup d'infos sur l'info, peut-être un bémol sur la non-distinction support papier et image, peut-être une autre fois dans vos carnets!!
décompensation tout court n'a pas de sens, elle peut-être psychique mais aussi cardiaque, pulmonaire etc
décompensation psychotique oui
ou bouffée délirante aiguë dans la sémiologie française
Ha, "lorem ipsum" : message subliminal ?
Petite remarque
Les hommes parle beaucoup plus que la femme
elle fait un peu tapisserie
c'est un peu désagréable !
D'autant que Djoumi à un ton, il me semble, plein de certitudes...
Donc émission pas si agréable que cela...
J'ai abandonné Jeux d'influence au début de la 2e saison : les militant écologistes sont mal écrits et mal joués, c'est effarant !
D'ailleurs, ça ferait un bon sujet d'émission : pourquoi tant de films et séries échouent à ce test de la représentation du militantisme ? Avec un problème récurrent de crédibilité des scènes de manif, discours militants, réunions...
Et qu'est ce qui fait que parfois, au contraire, ça marche ? Comme dans 120 battements par minute, La belle saison, ou Pride...
"J'ai abandonné Jeux d'influence au début de la 2e saison : les militant écologistes sont mal écrits et mal joués, c'est effarant !"
Même constat, c'était carrément ridicule d'invraisemblance. Peut être que c'est politique? Après avoir décrit avec tant de punch le monde des lobbies, de la corruption, des coups tordus, il fallait se "recentrer" en ridiculisant le monde des militants.
Il s'est peut être passé quelque chose au moment du financement de la seconde saison? "Ouais... c'était pas mal, mais si vous voulez continuer... "
Plus qu'un complot des producteurs, je pense qu'il faut plus simplement miser que la méconnaissance de l'équipe : c'est à vérifier, mais on peut imaginer que ceux qui écrivent, filment et jouent mal le militantisme en ont peu ou pas fait l'expérience.
Ce que tend à corroborer le contre-exemple de 120 battement par minute : Robin Campillo a fait partie d'Act Up, Antoine Reinartz a travaillé dans des associations, Adèle Haenel milite dans la vraie vie...
Oui, bien sûr. Être militant, ça facilite le fait de savoir comment ça se passe vraiment. Mais un scénariste, un acteur, un cinéaste, un producteur non militants pourraient (devraient) aussi se documenter. Sérieusement.
Ici, c'est tellement bête qu'il faut envisager que la caricature pourrait être volontaire.
Pas (encore) vu Jeux d’influence, mais assez d’accord avec l’interrogation concernant la “mé-représentation” générale du militantisme (à la seule exception, à mes yeux, de 120 battements…).
Les fictions mettant en scène les journalistes sont rarement enthousiasmantes. Alors pourquoi ne pas préférer un bon documentaire ? Je suis tombé l'autre jour sur un documentaire passionnant, mettant en scène des photographes de presse d'une grande humanité, loin de l'image que l'on peut se faire des photographes de guerre rendus (apparemment) insensibles à force de côtoyer le pire de ce que l'humanité est capable. Ce documentaire, « Ukraine, des photographes dans la guerre », était proposé en première partie d'une émission spéciale de La Chaine Parlementaire.
Super emission , il se regarde des films quand il dort Djoumi ou bien ? y'a pas a dire , la passion c'est contagieux .
Bonjour,
Merci beaucoup pour cette émission passionnante. En discutant autour de moi j'ai cherché le nom des intervenants et je m'aperçois qu'ils ne sont pas mentionnés dans le texte descriptif de l'émission. Serait-il possible de les ajouter ?