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Grève à Radio France : la crainte d'un futur sans documentaire

Une grève, plus une tribune contre le projet de fusion de l'audiovisuel public, plus de vives contestations contre l'éventuel licenciement de Guillaume Meurice. Ça chauffe à Radio France. Derrière la mobilisation : les craintes de bouleversements sociaux mais aussi, éditoriaux. Notamment, celle de voir disparaître les longs reportages sonores. Un collectif de documentaristes lance l'alerte depuis plusieurs semaines.

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https://reporterre.net/France-Televisions-debranche-l-ecologie-des-militants-verts-de-rage

Guillaume Meurice est viré.


Le petit Manu à sa Bribri a dissous.


Business as usual.


a part des éléments de langage y a rien pour justifier cette "réforme" si ce n'est la logique dogmatique liberale , fusionner c'est bien !

LSD semble conserver sa qualité pour l'instant. 

La Fabrique de l'histoire citée dans l'article n'existe plus depuis 3 ans. Elle a été remplacée par le Cours de l'histoire, beaucoup moins chère à produire (le documentaire hebdomadaire de l'émission quotidienne a sauté).

Ce article d'Arrêt sur Image est manifestement le résultat un gros travail mais j'aurais aimé plus de détails sur ce que signifie la formule "projet de fusion de l'audiovisuel public". S'agit-il de fusionner Radio France et France Télévisions, par exemple ?

Macron gère le service public - pas seulement celui de l’information - comme la Nouvelle Calédonie. Méprisant et déconnecté du réel depuis toujours. Se rappeler en 2014 l’une des premières manifestations misogynes de son intelligence et de sa sensibilité de tableur Excell :

"Les salariées de Gad sont pour beaucoup illettrées"

Il est grand temps que les journalistes défendent leur métier.


Et chacun d'entre nous devrait se mobiliser pour défendre sa propre profession car tous les métiers sont attaqués.

L'uberisation, l'auto-entreprenariat, les nouvelles règles du chômage et des retraites, l'apparition de l'IA, sont autant de coups contre les métiers et ceux qui les occupent.


Le néo capitalisme  est une menace pour l'homme et pour la démocratie. Il faudrait arrêter de regarder les acquis s'effondrer les uns après les autres. Notre bien-être, notre bonheur, notre dignité sont en jeu.

Cela a commencer lors de la suppression de" La bas si j'y suis."

Ne pas faire de vague au pouvoir,qui place ses ami-e-s et ses adhérent-e-s.

Merci de porter jusqu'ici les témoignages des documentaristes dont je soutiens le travail et les revendications. 


Je pense qu'il y a bon nombre d'auditeurs fidèles des reportages et documentaires sur le terrain qui ont pu constater leur appauvrissement ces dernières années (sur France Culture notamment) et personnellement je le regrette beaucoup. 


Les podcasts c'est autre chose qu'un reportage radiophonique de terrain et il est important de garder une diversité de formats et de contenus, dont certains propres à la radio. 


Défendons la radio publique de qualité qu'on aime et qui nous ressemble !

Ah le beau monde nouveau qui nous attend, né de ces charognards qui dépècent ce dont ils ont hérité pour n'en laisser que les os, retirant l'humain, la réflexion, la multiplicité

et en plus ils usent de stratagèmes de politicards : "Si la direction assure préserver les heures de documentaire, c'est parce qu'elle y inclut d'autres types de format. " comme leur tricherie pour éviter de compter en temps de parole leurs interventions télévisées ou radiophoniques


Lorsque j'ai débarqué en France, j'ai découvert une offre radio avec France Inter et France Culture qui m'a enchanté par sa diversité : à l'époque il n'aurait pas été possible d'entendre sur la BBC Radio 4 des émissions comme "Du jour au lendemain" ou d'autres comme "Le Flamenco" ou sur la musique Africaine


Un monde nouveau desséché et appauvri


Quel bel héritage vont laisser Macron et sa bande de penseurs banquiers

"On n'aura plus du tout la notion de rendez-vous à l'antenne. Et ça, ça dit quelque chose politiquement. L'individualisation de l'offre crée une somme d'individus, alors que le fait d'écouter la même chose à une même heure est une manière de fédérer les gens, faire collectif, susciter du débat" 

C'est tellement vrai !
C'est la fin de France Inter, en fait. Dire que je me délectais dès 13 ans en écoutant " pas de panique", puis, "les flagrants délires", "bienvenue à bord du Titanic",  "les maitres du mystères", "la-bas si j'y suis", bien sûr.... j'en oublie plein !
Puis, très récemment, la terre au carré et le Grand Dimancle Soir
Bande d'enfoirés de dirigeants de merde !
Pardon, j'ai la nostalgie et la
j'ai l'impression d'être un dinosaure, de ne rien reconnaître. 


France inter :  Ecoutez la fin de la différence!

Bon mon message a merdé, et j'ai la flemme de réécrire mon pavé ! .

Le slogan de France Inter dans les années 70 était "la radio pour ceux qui ont quelque chose entre les oreilles..."  Aujourd'hui, il y a déjà beaucoup de vent entre les oreilles et demain on y mettra de la merde !

oups:


Votez pour moi : dessins de presse, actualité politique, caricatures

L'audiovisuel, encore un service public que les macronards veulent détruire. Et en profitant de l'occasion,pour virer toutes les voix discordantes. Probable que Salamé, Demorrand, Aram ne participeront pas à cette grève. Ils n'ont rien à craindre. Ils ont toujours su relayer "la bonne parole"

Les fusions, on connaît le fonctionnement. Réduire les coûts en virant les fortes têtes .

Espérons que toutes les victimes de ces intégristes néolibéraux , documentaristes , petites mains du journalisme , profiteront des JO, pour faire entendre leurs revendications. Et seront rejoints par d'autres personnels des services publics.

C'est le moment où jamais. Après il sera trop tard.

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