Hanouna : un transfuge nommé Cardoze
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Hier, on fêtait le cinquantenaire du putsch au Chili et de la mort de Salvador Allende
Quand on lit sous la plume de Daniel Schneidermann le résumé du parcours de ce transfuge et les compliments de lêcheur de merde qu'il profère à l'égard de celui don(...)
Désormais, dans les médias, la prostitution se fait sans se cacher. C'est peut-être un progrès, en fait.
Lordon a toujours refusé de s'incruster dans les mainsream pour ne pas perdre son âme.
Manifestement Cardoze en est dépourvu. Ce n'est pas un journaliste, maïs un mercenaire.
Il pourra participer avec Roussel à la diabolisation de la Nupes.
Il ser(...)
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Lundi il sera question de précisions, de comparaisons foireuses avec les années 30 et peut être d'excuses . Ou pas !
Vous écrivez "le Figaro de Dassault semble se ranger dans le camp Bolloré. ". Pourquoi "semble" ? Quand on y retrouve des signatures comme Eugénie Bastié, Mathieu Bock-Koté ... c'est déjà le cas depuis un bout de temps. Le Figaro glisse vers l'extrême droite depuis des mois...
Vous écrivez "le Figaro de Dassault semble se ranger dans le camp Bolloré. ". Pourquoi "semble" ? Qua
"Tu ne mord pas la main qui te nourrit" disait il à Louis Boyard.... ça ne vaut pas pour le service public apparemment...
Le reniement est tellement gros qu'on ne peut pas ne pas penser à l'agent double lol. Ça fait penser à la description de l'habitus du retournement par Bourdieu concernant l'écrivain qui dirigeait la revue littéraire tel quel et dont j'ai oublié le nom.
Lamentable Cardoze dont le passage a Complètement d'enquête avait transformé l'émission en quasi clone des programmes raccoleurs de M6, W9, NRJ 12, etc.
Décidément, c'est de famille ! Le père, Michel Cardoze, est lui aussi passé du côté obscur. Ancien journaliste communiste, il a finalement collaboré à Boulevard Voltaire, le site de Robert Ménard. Sa proximité avec Ménard a fait qu'il a failli devenir le conseiller culturel du maire de Béziers. Mais il a renoncé au dernier moment.
on s'en fou c'est du pipi ce chat ce type d'émission
Merci pour la chronique. Oulala ça a va vraiment trembler à Complètement d'enquête : C. Hanouna a aussi annoncé que ça irait "très vite". On sent pas du tout oh non non que ça va être torché et que ça va se résoudre à 2 - 3 anecdotes de looser sur le plateau. On sent vraiment qu'il a tout compris à l'investigation. Comme si C. Hanouna avait produit la moindre enquête valable dans sa vie. Comme si on avait a craindre ça. Prendre pour crédible ce genre d'annonce c'est intérioriser une menace complètement fantasmatique, intérioriser qu'il y a du vrai dans "quand je mets mon nez quelque part, je fais tout péter", c'est donner à C. Hanouna le crédit de sa puissance alors qu'en dehors de son blabla de plateau, de sa clique à plat ventre devant lui, il n'est capable de rien ou en tout ça n'a jamais donné d'indice d'une quelconque compétence. On n'est pas obligé d'entretenir sa boursuflure...
L'empire Bolloré plus tapageur (et pour l'heure le plus fasciste) que les autres, est un empire parce que le gouvernement le souhaite et il le souhaite d'autant plus que la permissivité générale est grande. La presse alternative est tellement atomisée et repliée sur ses lecteurs qu'il n'y a pas de lutte. Pour le reste, l'étron attire les mouches quoi de plus normal.
Un Cardoze et pour moi la dose est pleine.
C'est un quatre-quatre complet avec plein de oui-non dedans
Le maxi est atteint.
Aux abris.
Nus vivons une époque formidable
Il dit quoi, le proverbe ?
« À père avare, fils prodigue »
Parce que Michel Cardoze c'était un communiste authentique (ce n'est pas parce qu'il a claqué la porte du parti un peu après moi que je dis ça, bien sûr).
Et ce communiste authentique a engendré un transfuge par conviction. Parce que son rejeton est un journaliste (sic) engagé. Engagé dans la promotion de son ego.
Parce que son rejeton est un journaliste engagé mais ça dépend des engagements, comme disait Guy Bedos, je crois.
Une pensée pour son père qui doit faire des double axel et triple salto arrière dans sa tombe.
Il nous fera son show de départ comme Joffrin dans quelques mois ou années ,après avoir accumulé quelques billets, a la faveur du recrutement d'un nouvel editorialiste avec lequel sa déontologie ou ce qu'il en reste est incompatible.
Il commence a franchement saouler le hanouna .... normalement un clown médiatique ca monte vite en popularité mais ca redescend vite aussi.
Lordon a toujours refusé de s'incruster dans les mainsream pour ne pas perdre son âme.
Manifestement Cardoze en est dépourvu. Ce n'est pas un journaliste, maïs un mercenaire.
Il pourra participer avec Roussel à la diabolisation de la Nupes.
Il sera au bon endroit.
N’insultez pas les mercenaires !
Lordon est un intellectuel brillant mais qui s'enivre parfois de son talent. Dans ce billet de blog de la Pompe à phynance "Vouloir perdre, vouloir gagner" , il critique fortement l'intersyndicale CGT, CFDT, FO et les accuse de n'avoir eu aucune stratégie pendant la contestation de la réforme des retraites. Il faut lui rappeler qu'en 2016, durant "Nuit debout" dont il était le théoricien le plus en vue, ce mouvement n'avait strictement aucune revendication concrète. On a vu mieux comme stratégie revendicative.
Je suis assez d'accord avec lui sur l'absence de stratégie syndicale pendant le mouvement contre le projet de destruction des retraites
Ce n'est pas des manifs tous les 15joiurs qui allaient faire reculer Macron
Oui bien sur Jeanel mais la grève générale ne se décrète pas et même si nous savions que Macron ne reculerait pas, les manifs ont permis de rester debout face au mépris et à la croyance libérale de Macron.
"Ce n'est pas des manifs tous les 15joiurs qui allaient faire reculer Macron"
Je suis moins exigeante... ou plus résignée que vous, j'ai déjà trouvé miraculeux que l'intersyndicale reste unie ou presque jusqu'à la fin des manifs.
Le problème, c'est que la condition de l'unité, c'était de mettre un sacré bémol sur la radicalité. Sinon la CFDT, le syndicat jaune, ne suivait pas. Là dessus, Lordon a mille fois raison.
"c'était de mettre un sacré bémol sur la radicalité"
Vous avez complètement raison, cette question se pose sans arrêt. Mon idée, c'est qu'on devrait pouvoir "en même temps" participer à un truc unitaire, sans que cela implique de fermer sa gueule sur les divergences. Genre "on est d'accord sur 1, 2 et 3, mais en désaccord sur 4 et 5.
Ça aurait en plus l'avantage d'instruire le peuple, qui ne comprend rien parfois à des querelles, camouflées sous de fausses animosités personnelles.
Vous me direz que rien ne nous empêche de réfléchir? Un peu, si: le brouhaha fait autour des "petites phrases" nous embrouille beaucoup, et je ne suis pas loin de penser que c'est volontaire.
"Ce n'est pas des manifs tous les 15joiurs qui allaient faire reculer Macron"
La critique est aisée mais l'art est difficile.
Pour avoir été responsable syndical (sur le terrain, pas déchargé) pendant toute ma carrière, je témoigne qu'il est très difficile de maintenir le volontarisme des salarié au delà d'une semaine de grève. Une exception notable, les grèves de 95 contre la réforme Juppé.
Tiens, ça concernait déjà les retraites...
Plus que transfuge, plutôt vermifuge d'Hanouna
( Hanouna, le ténia du Paf )
Hier, on fêtait le cinquantenaire du putsch au Chili et de la mort de Salvador Allende
Quand on lit sous la plume de Daniel Schneidermann le résumé du parcours de ce transfuge et les compliments de lêcheur de merde qu'il profère à l'égard de celui dont le nom ne mérite pas d'être écrit, on pense aussitôt à tous ceux qui restent malgré les ans fidèles, fidèles à leurs origines, fidèles à leurs engagements
Et on est pris d'une admiration sans fin pour ces gens, ils sont comme des diamants qui brillent en comparaison de ces obscurs transfuges qui assombrissent tout
Hier j'ai eu l'occasion de rencontrer des vieux exilés de Santiago du Chili, j'ai eu l'immense honneur d'en saluer quelques-uns. Ces gens provoquent chez ceux qui les rencontrent du respect, un respect qui fait grandir ceux qui l'éprouvent.
Désormais, dans les médias, la prostitution se fait sans se cacher. C'est peut-être un progrès, en fait.
Bof! Un de plus qui s'assoit, non seulement sur des principes, mais surtout sur des valeurs, au nom du fric.
A nous de tenir la liste à jour...
