"Il faut faire une confiance absolue au public d'Internet"
Pour le premier numéro de notre série d'été, rendez-vous à Marne-la-vallée avec un sociologue qui se demande "ce qui fait bouger le compteur du Téléthon ?", ou parfois (plus inquiétant) "comment capturer la force du lien entrant?". Dominique Cardon est chercheur au laboratoire Techniques, territoires et sociétés (LATTS) de l'Université de Paris-Est, et au laboratoire des usages de l'entreprise Orange. Il a publié en 2010 au Seuil La Démocratie Internet, promesses et limites dont il est question dans notre entretien, entre quelques autres considérations sur la pudeur, les hippies et le bouton "Like" de Facebook.
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Derniers commentaires
Cette émission doit être certainement très intéressante, mais je n'arrive pas à dépasser la première question que je me suis posé.
C'est quoi donc le premier métier de ce Cardon? Salarié chez Orange ou Sociologue?
Désespérant...
non pas que les sujets soient initéressants, au contraire, mais voilà je suis juste un "mal entendant" comme on dit.
Et il s'avère que la prise de son + le marmonage de Justine et de ces interlocuteurs m'interdisent d'aller plus loin.
En attendant le sous titrage, faites attention l'année prochaine.
'Vrai journaliste faisant son travail'
See what I mean, David ?
Dominique Cardon
Justine a beau le relancer plusieurs fois sur la question des propos condamnables publiés régulièrement sur internet, le sociologue en reste à sa pétition de principe, le paternalisme, c'est mal, l'esprit libertaire des pionniers, c'est mieux. Reprenant à son compte leur slogan selon lequel "On ne lutte contre les idées les plus insupportables soient-elles qu'avec d'autres idées, pas par la censure"(vers 55'), que rien, hélas, ne permet empiriquement d'étayer.
Cela se saurait depuis le temps.
Un optimiste béat dans la force pédagogique de la raison qui colle mal avec le constat que fait également Cardon (vers 27-28') selon lequel, quelque soit l'esprit critique mobilisé, cela n'a pas de conséquence sur l'acte. Autrement dit, on peut ne pas être dupe et continuer à consommer de la merde.
Difficile dès lors de partager sa confiance dans le public.
yG
Le premier plan, avec Justine qui parle dans ce paysage, était très réussi, bien cadré et net.
Et par la suite, même s'il n'y avait qu'une seule caméra, le changement de position ne rendait pas l'image moins fluide.p
Bref ! On finira par faire de vous un vrai cadreur unique !
Vous approchez de la perfection...
En plus, avec Miss Jolie Justine, vous avez un modèle en or !
Et personne n'y voit de conflit d'intérêt ... En plus d'être ennuyeux, c'est navrant ...
Navrant également de voir à quel point ce chercheur prend des pincettes au sujets d'informations détenues par des sociétés privée car ces informations (concernant des statistiques sur des usagers ) appartiendraient à ces mêmes sociétés. Ainsi un chercheur n'aurait pas le droit de puiser dans des données statistiques anonymes (quoi que d'origine personnelles) concernant les usagers de ces sociétés alors que ces mêmes sociétés se chargent elle de revendre ces même données à d'autres sociétés et ce tous les jours ... on voit où est le pouvoir ... et ils emble parfaitement accepté/validé par notre chercheur et notre journaliste au demeurant sympathiques ...
Navrant que cela ne choque personne ici ...
plusieurs asinautes ont fait des observations et commentaires sur votre comportement d'interviewer. C'est vrai qu'il y a des aspects à améliorer. Je vous fais confiance. C'était votre "première" en solo. C'était déjà très bien. Aller revisionner la première émission de Daniel S.sur
France 5... Vous êtes déjà en avance...
Bye
On retrouve vers 1h20 la question insoluble (du moins scientifiquement): démocratie vs aristocratie.
Je pense qu'il faut sélectionner les meilleurs individus pour diriger une société.
L'avis de DS est contraire, ainsi que celui de Dominique Cardon, dont la phrase la plus discutable et la plus polémique (je pense qu') "Il faut faire une confiance absolue au public d'internet" a été choisie comme titre représentatif, selon la logique habituelle de la presse.
L'avis de Justine sur la question reste indéterminé, ce qui est à mon avis la marque d'une intervieweuse intelligente.
Quoi qu'il en soit, c'est un plaisir de prendre connaissance des travaux d'un laboratoire de recherche dont les thèmes d'étude sont passionnants, et l'idée des liens supplémentaires est parfaite.
On sent un vrai cheminement de pensée entre les émissions de Maja de l'année dernière, qui avaient pour objet d'interviewer les gourous d'internet, et les émissions que celle-ci semble annoncer, qui adoptent un poste d'observation plus analytique.
Donc Bravo Justine!!!
PS: Emission des matins de France Q avec Gérald Bronner comme invité, sur à peu près le même sujet (avec un avis différent, comme quoi la sociologie est intéressante mais pas omnipotente...)
PG
Ca fait un moment que je n'ai plus qu'un écran noir.
Merci d'avance ;-)
Certains commentaires que j'ai survolé ont un effet d'abîme assez comique, puiqu'on aborde justement la question du public qui regarde ce qu'il aime détester :-)
Je regrette qu'à 3'44", J.Brabant n'ait pas saisi l'opportunité de creuser le sujet de l'évaluation des opinions. A RTL, D.Cardon dit avoir travaillé sur "comment évaluer les opinions convenables qui peuvent passer à l'antenne et celles qui ne méritaient pas de passer à l'antenne. Evaluer qu'une opinion est stable ou n'est pas stable".
Voilà un sujet particulièrement intéressant. A bien des égards, il rappelle les rouages de la "fabrique du consentement", et de la "pensée unique". Il aurait été extrêmement profitable de questionner D.Cardon sur les critères retenus et plus généralement sur les outils d'évaluation des opinions.
Au lieu de ça, on est resté à la superficie. Mais cette première partie est assez rafraîchissante et incontestablement effleure la sociologie.
La seconde partie quant à elle quitte petit à petit les aspects sociologiques, qui restent toutefois sporadiquement encore présents pour Flickr, pour n'être plus qu'un banal questionnement technique sur le fonctionnement du référencement Google. Assez ennuyeux du reste puisque là aussi, la journaliste ne semble pas vouloir rentrer dans le détail, et au final, on assiste in fine à une lecture en diagonale de la page wikipédia du pagerank.
Ce que je me demande surtout, c'est quel est l'intérêt de s'entretenir avec un sociologue, si c'est pour lui poser des questions techniques. Interviewer un SEO par exemple aurait tout aussi bien fait l'affaire pour cette deuxième partie.
Pour cette deuxième partie, j'ai également la désagréable impression d'avoir assisté à un exposé naïvement militant dégoulinant de bons sentiments: la méchante Orange qui tond la laine sur le dos de sociologues consentants, la nécessaire censure contre les méchants pédophiles nazis sur les internets mondiaux, Google et Twitter en collabo'... bref pas tout à fait du niveau d'un sociologue comme D.Cardon.
D.Cardon
Excellente émission avec un petit bémol cependant. Les questions de Justine m'ont paru pertinentes mais j'aurais aimé qu'elle évite de constamment couper la parole à son interlocuteur pour les poser, c'est pénible.
http://jargonf.org/wiki/programmateur
http://fr.wiktionary.org/wiki/programmateur
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9veloppeur
emission profonde et a renouveller qui va au coeur de la construction et de la fourniture de l information. c est mieux que d inviter des politiques qui vendent leur com dans des émissions creuses ou ASI passe 1h30 à essayer de faire cracher une demi info interessante. c est mieux aussi que les émissions sur l economie ou ASI a malheureusement de grosses lacunes et est beaucoup trop orienté du fait de ces lacunes (assister systématiquement au Melanshow est la preuve de ces lacunes.....)
globalement les gens de droite ont de grosses lacunes en socio et les gens de gauche en economie ce qui aboutit a des solutions inadaptées et simplistes
Voilà qui pourrait constituer le fil directeur, ou, plutôt: la tresse directrice de la série estivale d'émissions. Particulièrement attendue est sans doute déjà celle de la confrontation avec les "bourdieusiens". Or la diffusion de "l'émission Cardon" nous a d'ores et déjà fourni le moyen de nous libérer de leur domination.
Je ne dis rien de Justine Brabant car elle mérite mieux que des compliments.
Euh... mais la technique n'était pas du tout pré-existante et ne s'est pas imposée comme descendue du ciel. Il a fallu inventer les protocoles Internet, créer de toute pièce ces techniques.
"Tim Berners-Lee, un informaticien du CERN inventa le World Wide Web en 1990. À l'origine, la Toile (ou le web, comme on le surnomme) fut conçue et développée pour répondre au besoin de partage d'informations entre scientifiques travaillant dans différentes universités et instituts aux quatre coins du monde."
Croyez-vous que Tim Berners-Lee imaginait que nous ( le grand public ) utiliserions encore ce truc 23 ans après ? C'était conçu pour les chercheurs !
Vous semblez penser que la mise en place de ce type de réseau est simple hors c'est complexe et surtout coûteux.
En effet faire un réseau de réseau dans mon village peut être envisageable mais le faire à l'échelle de la planète requiers d'importants travaux d'infrastructures qui ont du être adaptées à ces nouveaux usages. Il faut aussi une forme de planification dans la répartition des plages d'adressage IP (ce qui est discutable vu la façon dont elles étaient réparties mais il faut au moins s'entendre un minimum).
Ce que je cherche à dire c'est que le développement d'Internet et de la Toile (au sens de réseau mondial) tels que nous les connaissons ne peut pas se faire de façon "virale". C'est comme dire que le développement du train s'est fait de façon virale, ça a je pense peu de sens.
Si vous reprenez un papier de D.Israel qui remonte à quelques années: l'Iphone commençait à être bien installé et c'était le début de l'Ipad et de sa concurrence dans les tablettes. En substance, son papier était une enquête sur les achats de Noël en reprenant du Libération, du Le Monde qui s'affolaient sur la ruée sur les tablettes et les smartphones, tandis que D.Israel relativisait ces chiffres avec un certain mépris (ou au moins une certaine méprise): à l'époque les tél portables type Nokia bas de gamme avec des touches mécaniques et un écran de montre à quartz représentaient un volume plus important que les smartphone et les tablettes.
Et de conclure dans une "célébration mutuelle" avec nombre d'autres @sinautes que ce n'était là que des gadgets à la mode complètement futiles et hors de prix et que cette mode était superfétatoire et totalement éphémère...
L'avenir lui donna hautement raison avec l'effondrement des ventes de PC et l'envolée des ventes de smartphones et de tablettes ^__^
Une telle méprise m'avait beaucoup choquée, à tel point que je m'en souviens encore... A l'époque, il n'a pas compris les usages, mais quand on était de la partie, l'iPhone dès les dépôts de brevets, on savait tous que ça ferait un carton et serait une révolution dans la téléphonie. A tel point que j'ai pris des actions Apple à cette époque (et c'est bien la seule fois de ma vie) et que je ne regrette pas le moins du monde cet investissement.
Ca fait des années que dans le milieu professionnel de l'informatique on dit que l'Internet est une invention majeure de l'humanité comparable à l'imprimerie. Le grand public et les médias commencent à peine à comprendre pourquoi.
Je ne sais pas si les S.Jobs, les P.Allen, les B.Gates, les L.Ellison devisaient sur l'Internet: mais une chose est sûr, ils savaient et ont su prévoir et anticiper... et même activement participer à ce que l'informatique change le monde.
Vous voulez des noms? B.Bayart a crée FDN: le plus ancien FAI en France. Demandez-lui si c'était juste pour être connecté avec les chercheurs du CERN.
carrément le bannissement définitif !
dur dur le capitaine.
gamma
Trouvez-vous moi quelqu'un qui a compris ce qui se passait: IBM ? Bill Gates ? Steve Jobs ? France-telecom avec son Minitel ? Les "hippies" californiens ? Guttenberg ? Un nom !
(...) Leur cahier des charges explicite fut de mettre un place un réseau décentralisé, sans aucun centre névralgique, afin de résister à une attaque nucléaire de grande ampleur, c'est à dire anéantissant la moitié du territoire, quelque soit la moitié concernée. Aussi contre-intuitif que cela puisse paraitre, la solution technique adoptée, le "réseau de réseaux", qui est par nature horizontale tendance libertaire/anarchiste est bien le fruit d'une décision stratégique militaire ! Du coup, cela me semble relativiser le rôle de la génération "hippie" dotée d'une soi-disant "vision", qui ressemble beaucoup à un âge d'or mythique qui n'a jamais réellement existé, si ce n'est dans leur imagination.(...)
On pourrait aussi voir cette option militaire comme l'opposition entre le mode de combat conventionnel et le mode guérilla. Le mode guérilla est une stratégie logique de résistance en position de faiblesse, quand on ne peut assurer de centralisation des forces. En fait, les hippies et les militaires se rejoignent assez naturellement face à une même situation : survivre en état "minoritaire", quand le pouvoir "majoritaire", et notamment le contrôle de noeuds de circulation physique ou d'information, est aux mains de l'adversaire ou n'existe plus.
Et en fait, à mon sens, les 10 dernières années ont vu se reconstituer un espace "majoritaire" avec la massification des usages : l'utilisateur lambda a besoin de Google, Facebook etc. comme centres de repérage, pôles définissant l'espace commun, comme il apprécie un "JT de 20h", le scandale dont "tout-le-monde-parle", la "République-une-et-indivisible", "Paris-capitale-de-la-France" etc.; des lieux communs, des temps communs, des sites commun, là où on se (s'y) retrouve.
Et du coup, les pouvoirs institutionnels, organes officiels de la communauté, ne vont pas manquer d'investir ces lieux d'une manière ou d'une autre. L'affaire PRISM ne me semble d'ailleurs que l'application des stratégies de combat en situation de contrôle du territoire : contrôle des voies de communication et traque des "guérilleros".
Du côté des geeks, le genre hippie-technophile des débuts, il est probable que le développement du web social soit peu apprécié : adieu la communauté d'intelligence, revoilà l'espace commun de la "bêtise", le buzz, l'affect, le like, et toute cette normativité des sites-où-il-faut-être ("t'as un Facebook ? Viadeo ? LinkedIn ? Google+ ?"). Et quand D. Cardon évoque le côté "intello" de Google, c'est sans doute en faisant abstraction de l'évolution actuelle : Google+ ou même l'achat de Youtube visent la captation de ce web "bête", affectif, où il s'agit d'aimer et être aimé, détester et se faire détester (jouissance des trolls...).
En plus du fait que vous vous exprimez très bien (n'écoutez pas les trollesques qui prétendent que ça ne va pas, pas assez fort, mon matos est pourri, et il n'y a pas eu de problème), et déroulez la question de façon longue et pointue sans ennuyer, vous connaissez admirablement bien votre sujet. Si bien que l'interviewé peut reprendre au vol la question et la développer de façon appropriée. De plus, il est en confiance, sans peur d'être déformé, et peut expliquer sereinement ce qu'il a à dire.
Et vous avez lu ses livres avant de l'interviewer, et pas que les pages 1, 100 et de fin ! Alleluiah ! Et vous avez suffisamment de bagages pour les comprendre...
L'Afrique vous a fait un bien fou ! J'espère que vous allez rester et faire d'autres émissions, dont vous aurez eu ou non l'idée. En tout cas, cette idée-là, c'était de la balle. J'attends les autres émissions avec impatience...
Si vous étiez un peu plus sympa au pique-nique, ce serait encore mieux !
Je m'interroge sur le fait que j'ai été "gênée" dans mon appropriation de l'information transmise par l'émission par : le cadrage des personnes, le fait que la journaliste soit pratiquement tout le temps filmée de côté et un peu moins pour M. Caron mais tout de même aussi, la gestuelle ou plutôt les postures de la journaliste les bras croisés par moment, le regard dirigé sous la table et non sur la personne interviewée, le manque de préparation des séquences de "surf" sur internet à titre d'introduction et d'illustration ... Au final je me demande si un montage d'images filmées de caméras placées à différents angles pour voir le visage des personnes qui s'exprimaient au moment de leurs propos, une sequence montée avec la version démo de flickr, ... bref une forme plus classique d'émission n'aurait pas été plus favorable à une thématique dense comme celle-ci. J'ai apprécié l'articulation de l'émission, l'invité, la thématique, etc. mais je ne me suis pas sentie "invitée" à écouter activement cette émission, à participer en quelque sorte. Aussi je pourrai difficilement m'entousiasmer à son propos et donc la promouvoir autour de moi. En conséquence, je me demande où placer le curseur en terme de forme entre la volonté de montrer les choses telles qu'elles se sont passées, un réalisme "brute" et le fait d'habiller les choses, afin d'en faciliter la compréhension voire l'appropriation dans le but d'obtenir un effet ricochet auprès du public. Qu'en pensez-vous ? Suis-je passée à côté d'une quelconque volonté éditoriale ?
Je reste néanmoins un peu sur ma faim avec les questions qui sont effleurées à la fin de l'émission mais pas assez approfondies sur le PageRank et l'algo de Google Actu (et toujours cette question sur l'oeuf et la poule. Ou la poule et l'oeuf ? damned !) sur lesquels monsieur Cardon nous donne des réponses qui semblent si ce n'est dogmatiques au moins de l'ordre de la croyance.
En tout cas une belle entrée en matière pour cette série de l'été :)
Keep up the good work !
Oui, je suis d'accord sur le constat mais il me semble que cela n'est ni nouveau, ni restreint au web; je reconnais que je n'y avais jamais prêté attention avant, mais quand j'y réfléchi c'était et c'est la même chose dans les bars que je fréquentais ou que je fréquente encore.
--
Vivement la suite !
Nous lui avons consacré un article : Gérald Bronner ou le côté obscur de la sociologie
L'émission elle-même est passionnante de bout en bout, jusque dans ses aspects les plus techniques, et les compléments écrits apportés par Justine Brabant sont très éclairants. Vous avez même anticipé la seule critique qui me soit venue en tête lors de mon visionnage : je manquais de points de repère et de contexte, n'ayant qu'une vision très partielle de la discipline sociologique, une carte commentée en direct est venue combler mes lacunes. Je pense d'ailleurs qu'il est très pertinent de la faire établir en fin d'émission, puisque beaucoup des concepts sur lesquels elle s'appuie nécessitent les explications préalablement livrées lors de l'entretien pour être appréhendés.
Ps : un détail de presque rien, mais il est un peu plus gênant dans le cadre des émissions hors les murs étant donné la qualité très moyenne du son et de l'image : Justine, vous serait-il possible (à l'avenir) d'articuler un peu plus ? ;-)
Vous allez vous compléter avec Bohler.
Du grand @si à priori.
En tout cas l'idée est TRES TRES TRES TRES bonne!
Par ailleurs, je vois des actes d'une émission sur Dailymotion ici, mais il manque le premier et surtout, je ne vois pas où on peut la trouver sur le site ?
Si quelqu'un sait ?