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"Ils viennent parler du mariage, on finit avec les viols"
Et si les "fixeurs" des banlieues se rebellaient ? En quelques jours, deux de ces collaborateurs, rémunérés par des journalistes pour s'introduire en banlieue se sont élevés, chacun à sa manière, contre deux médias. Qu'est-ce qu'un fixeur, exactement ? En quoi son travail se différencie-t-il de celui d'un journaliste ? Et pourquoi voudrait-il combattre ceux qui l'emploient ?
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http://www.marianne2.fr/Apres-le-Point-Bondy-Blog-piege-par-la-banlieue_a198975.html
Je rigole.
Je rigole.
Vous évoquez dans cette émission l'absence à la télévision de reportages sur la vie à l'intérieurs des quartiers que je qualifierai de difficiles. Je tenais à vous signaler l'existence d'un excellent documentaire sur le sujet intitulé "L'ombre du Minotaure" de Sonia Cantalapiedra. Je viens de le visionner en DVD (L'Harmattan et Zaradoc), que m'a prêté sa réalisatrice et le moins que je puisse dire c'est qu'il est très loin de tout ce que l'on peut voir sur le sujet.
Sorti en 2009, tourné à la Grande Borne (Grigny), il traite, pendant 80 minutes, des intentions de son architecte, Emile Aillaud, de la vie de ses habitants, jeunes et moins jeunes, et des difficultés des pouvoirs publics et des associations locales. Entrecoupé par des reportages de 1973 il met en lumière l'évolution de cette cité, du contexte sociale, de ses habitants.
Je ne sais pas s'il a été diffusé à la télévision mais il démontre la possibilité de réaliser un document audiovisuel proche des gens, de leur vie sans tomber dans le misérabilisme ou les effets faciles. Ici pas de viol, de drogue, de polygamie ni d'émeute mais des êtres humains qui évoquent lucidement leur situation, leurs moyens, leur vie, sans haine et sans fard.
Je vous recommande donc ce document malheureusement inhabituel qui, non seulement donne un nouvel éclairage sur ce sujet, mais prouve qu'un traitement différent de ce que l'on voit habituellement à la télévision est possible.
Il me semblerait intéressant qu'@si se penche sur ce contre exemple. Les difficultés pour le finalisé, et vraisemblablement, pour le diffuser.
Sorti en 2009, tourné à la Grande Borne (Grigny), il traite, pendant 80 minutes, des intentions de son architecte, Emile Aillaud, de la vie de ses habitants, jeunes et moins jeunes, et des difficultés des pouvoirs publics et des associations locales. Entrecoupé par des reportages de 1973 il met en lumière l'évolution de cette cité, du contexte sociale, de ses habitants.
Je ne sais pas s'il a été diffusé à la télévision mais il démontre la possibilité de réaliser un document audiovisuel proche des gens, de leur vie sans tomber dans le misérabilisme ou les effets faciles. Ici pas de viol, de drogue, de polygamie ni d'émeute mais des êtres humains qui évoquent lucidement leur situation, leurs moyens, leur vie, sans haine et sans fard.
Je vous recommande donc ce document malheureusement inhabituel qui, non seulement donne un nouvel éclairage sur ce sujet, mais prouve qu'un traitement différent de ce que l'on voit habituellement à la télévision est possible.
Il me semblerait intéressant qu'@si se penche sur ce contre exemple. Les difficultés pour le finalisé, et vraisemblablement, pour le diffuser.
« fosse aux lions »
Lors de mes pérégrinassions sur votre site, j'ai tiqué sur cette expression d'un @sinaute qui vous reprochait en substance d'avoir jeté dans « la fosse aux lions », l'auteur d'un poste.. En transformant cette honnête contribution d'un forum en contenu du site, quasi malhonnêtement et par sadisme selon lui, vous surexposiez son auteur qui ne faisait que s'interroger sur « comment recevons-nous l'information » (pourtant un questionnement fondateur d'@si), le livrant en pâture aux carnassiers et intransigeants lecteurs que nous sommes. Cette petite fable sur les causes du racisme ordinaire (assez cliché, il faut l'avouer), avait bien entendu comme principale faiblesse, aux yeux du trolleur, son orthographe(stigmatisant donc son auteur). Je vous livre ma définition du Trollage:: attitude du chauffard sur l'autoroute de l'information qui klaxonne comme si c'était une petite vieille qui roule trop lentement, un autre internaute dont le crime majeur serait d'avoir exprimé une opinion inverse de la sienne souvent sur des prétextes formelles. Exemple: « retourne à l'école, hé patate... , pérégrination ça ne s'écrit pas avec 2 s» (en des termes souvent plus fleuris, il est vrai). Je ne vais pas développer sur ce comportement épidermique qui pousse parfois certains a s'inscrire dans de véritable lynchage collectif, s'abattant sur un plus faible pris en flagrant délit de bêtise crasse. « Ils n'avaient qu'a pas s'exposer » nous rétorque-t-on.
Mais comme je pars du principe que nous sommes en bonne compagnie et que les empoignades sur les forums d'@si, ne sont pas toutes stériles et peuvent parfois être utiles à ceux qui s'y livrent, en regrettant toutefois la dureté de certains propos, je sors du bois pour donner mon avis sur cette fameuse «liberté d'expression » et la drôle de hiérarchie qui s'est imposée au fil du temps et qui provoque la réaction ci-dessus.
Devant la recrudescence des émissions en plateau; surement due au fait que c'est beaucoup moins cher à produire qu'un reportage d'investigation impartial, qu'un docu-fiction sociétale ou encore qu'un téléfilm historico-politico-idéologique, au lieu de faire un acte volontaire et payant, en achetant un livre ou en allant au ciné (que je ne peux de toute façon plus m'offrir), je me retrouve devant cette satanée télé à tenter de comprendre ce monde par le truchement de ceux qui ont encore accés aux objets culturels et de ce qu'ils en font. Mais par chance j'ai un peu de mémoire et pas encore complètement perdu mon sens critique, malgré toutes les conneries que j'ingurgite actuellement.
L'ironie de l'histoire est que bien malgré vous je pense, vous êtes à la genèse de cette tendance. Vous me corrigerez si je me trompe, mais vous êtes parmi les premiers à avoir imposé à l'époque d'Arrêt sur image télé, la notion de chroniqueur non-journaliste avec Judith Bertrand ou l'obligation d'avoir sur votre plateau des sensibilités politiques opposées (pluralité oblige). Si votre motivation était surement d'éclairer vos téléspectateurs sur les thèmes abordés, que pensez vous cher savant fou de ces multiples Frankestein qui pullulent sur le petit écran aujourd'hui?
Prenons l'exemple pas encore complètement blet puisque la date de péremption d'une information avoisine celle de la banane bio, de l'affaire Abdel, le résistant des temps modernes selon vous.
Le traitement de l'initiative citoyenne d'un Habitant de banlieue qui en utilisant leurs armes contre les journalistes, en révélant un manque pâtant de professionnalisme de l'un d'entre eux a provoqué une levée de boucliers assez révélatrice. Lors de « l''Edition spéciale » de canal+ avec sa mécanique subtile du passage du grave au futile aborde quotidiennement l'actualité dans une ambiance bonne enfant où chaque Chroniqueur-journaliste malgré sa spécialité peut commenter le sujet traité par l'un de ces petits camarades. Comment expliquer leur unanimité, critiquant la démarche peu loyale du jeune homme pour l'un, regrettant la nécessité d'intermédiaire qu'il est plus pratique d'appeler « fixeur », vue sa valeur anxiogène et sa référence au situation de guerre pour l'autre. Ce terme facilitant la conclusion que ces banlieues sont définitivement des zones de non-droit. Pourquoi si peu de mesure?
A part le fait qu'ils avaient eux-mêmes dans leur tuyaux, un sujet sur la polygamie avec son lot de témoignages à visage découvert ou caché qu'ils passeront le lendemain ou le surlendemain. Il faudrait revoir la teneur de leur débat autour de l'émoi que provoqua le fait qu'un journaliste de Capa puisse se faire passer pour une jeune fille, faire fi de la protection des sources, pour dénoncer les pédophiles ainsi démasqués à la police avec le même stratagème utilisé par Abdel pour révéler le peu de sérieux dont ils peuvent faire preuve.
Peut-être que cet angle allait être évoqué sur le plateau du grand journal où l'on retrouvera, les deux protagonistes du buzz . Encore une fois, Abdel sera dans une bien drôle de position face aux aguerris des spotlightes, chacun y allant de son commentaire, noyant un peu plus le poisson sur le fait que l'on ne peut pas décrire physiquement une femme que l'on n'a jamais rencontrée. La conclusion de Denisot sera d'une rare malhonnêteté puisque en passant un extrait d'un faux rappeur gay dont ils furent victimes , pour rassurer leur confrère (bien maladroit dans ces explications et sa défense au demeurant), qu'il ne fut en fait de compte victime que d'un inoffensif canular et Abdel et son imitation de Fatou qu'un petit rigolo.
Comme je suis en train de me rendre compte que je m'éloigne de mon idée de départ, je ne développerai pas plus avant la persistance des idées préconçues de ceux qui sont censés nous éclairer sur la société. En concluant cette épisode, non pas sur votre émission en présence d'Abdel et de Soumaré et des mes propres craintes sur la suite que va prendre son initiative. Mais juste faire remarquer qu'il est inquiétant tout de même qu'Élise Lucet montant au créneau à son tour sur le plateau de média le mag arrive encore à légitimer des images comme « une racaille filmée dans une cave, sortant des armes de contrebande ». Courage Abdel tu n'es pas sorti de l'auberge!
Car c'est bien une histoire de légitimité de prise de parole qui me motive. Et l'air du temps aidant, je me rend bien compte qu'on pourrait croire que je m'inscris dans la démarche de dénonciation« populiste » d'un Mélanchon ou d'un Montebourg qui a commencé pendant que j'étais en train d'écrire ces lignes. Si l'on peut comprendre aisément les rapports de force qui se dessinent. Peut-on regretter que ce soit toujours les mêmes que l'on caricature et méprise?
Les étudiants et les lycéens sont donc dans la rue, le hachoir médiatique va s'abattre sur eux, les sommant d'être des pro de la com, des syndicalistes exemplaires au risque de subir les foudres, les sarcasmes et le regard goguenard de leur ainé....ainsi va le monde.....c'est le jeu ma pauvre Lucette....
Larry Clarck concluait « Ken Parck », par un plan à trois, d'adolescents qui avait trouvé ce moyen pour échapper à la dureté de leur quotidien et au regard des adultes angoissés dans leur croyance, prisonniers de leur statut social, dépassés et dépressifs, le temps d'un dimanche matin grisâtre pour commémorer la mémoire de l'un de leur camarade qui s'était suicidé. Les différents débats télévisuels sur la question de l'interdiction au moins de 18 ans de l'exposition de cet artiste, n'ont fait que révéler la vulgarité, la bêtise d'un grand nombre de commentateurs autorisés qui ne peuvent que jeter un regard suspicieux, moraliste face à une nudité et une intimité qu'ils ne peuvent comprendre. C'est le regard qu'ils posent sur ces images qui est pornographique.
Malgré, le travail de correction, il restera surement un grand nombre de coquilles dans ce texte, bordélique et laborieux, préparer vos feutres rouges, aiguiser vos contre-argumentation. Car ce qui l'a motivé était juste de vous proposer comme dans « le roi et l'oiseau » que cette fosse au lions soit une volière et qu'au lieu de dévorer le petit ramoneur de rien du tout, nous nous mettions à danser la valse....
Lors de mes pérégrinassions sur votre site, j'ai tiqué sur cette expression d'un @sinaute qui vous reprochait en substance d'avoir jeté dans « la fosse aux lions », l'auteur d'un poste.. En transformant cette honnête contribution d'un forum en contenu du site, quasi malhonnêtement et par sadisme selon lui, vous surexposiez son auteur qui ne faisait que s'interroger sur « comment recevons-nous l'information » (pourtant un questionnement fondateur d'@si), le livrant en pâture aux carnassiers et intransigeants lecteurs que nous sommes. Cette petite fable sur les causes du racisme ordinaire (assez cliché, il faut l'avouer), avait bien entendu comme principale faiblesse, aux yeux du trolleur, son orthographe(stigmatisant donc son auteur). Je vous livre ma définition du Trollage:: attitude du chauffard sur l'autoroute de l'information qui klaxonne comme si c'était une petite vieille qui roule trop lentement, un autre internaute dont le crime majeur serait d'avoir exprimé une opinion inverse de la sienne souvent sur des prétextes formelles. Exemple: « retourne à l'école, hé patate... , pérégrination ça ne s'écrit pas avec 2 s» (en des termes souvent plus fleuris, il est vrai). Je ne vais pas développer sur ce comportement épidermique qui pousse parfois certains a s'inscrire dans de véritable lynchage collectif, s'abattant sur un plus faible pris en flagrant délit de bêtise crasse. « Ils n'avaient qu'a pas s'exposer » nous rétorque-t-on.
Mais comme je pars du principe que nous sommes en bonne compagnie et que les empoignades sur les forums d'@si, ne sont pas toutes stériles et peuvent parfois être utiles à ceux qui s'y livrent, en regrettant toutefois la dureté de certains propos, je sors du bois pour donner mon avis sur cette fameuse «liberté d'expression » et la drôle de hiérarchie qui s'est imposée au fil du temps et qui provoque la réaction ci-dessus.
Devant la recrudescence des émissions en plateau; surement due au fait que c'est beaucoup moins cher à produire qu'un reportage d'investigation impartial, qu'un docu-fiction sociétale ou encore qu'un téléfilm historico-politico-idéologique, au lieu de faire un acte volontaire et payant, en achetant un livre ou en allant au ciné (que je ne peux de toute façon plus m'offrir), je me retrouve devant cette satanée télé à tenter de comprendre ce monde par le truchement de ceux qui ont encore accés aux objets culturels et de ce qu'ils en font. Mais par chance j'ai un peu de mémoire et pas encore complètement perdu mon sens critique, malgré toutes les conneries que j'ingurgite actuellement.
L'ironie de l'histoire est que bien malgré vous je pense, vous êtes à la genèse de cette tendance. Vous me corrigerez si je me trompe, mais vous êtes parmi les premiers à avoir imposé à l'époque d'Arrêt sur image télé, la notion de chroniqueur non-journaliste avec Judith Bertrand ou l'obligation d'avoir sur votre plateau des sensibilités politiques opposées (pluralité oblige). Si votre motivation était surement d'éclairer vos téléspectateurs sur les thèmes abordés, que pensez vous cher savant fou de ces multiples Frankestein qui pullulent sur le petit écran aujourd'hui?
Prenons l'exemple pas encore complètement blet puisque la date de péremption d'une information avoisine celle de la banane bio, de l'affaire Abdel, le résistant des temps modernes selon vous.
Le traitement de l'initiative citoyenne d'un Habitant de banlieue qui en utilisant leurs armes contre les journalistes, en révélant un manque pâtant de professionnalisme de l'un d'entre eux a provoqué une levée de boucliers assez révélatrice. Lors de « l''Edition spéciale » de canal+ avec sa mécanique subtile du passage du grave au futile aborde quotidiennement l'actualité dans une ambiance bonne enfant où chaque Chroniqueur-journaliste malgré sa spécialité peut commenter le sujet traité par l'un de ces petits camarades. Comment expliquer leur unanimité, critiquant la démarche peu loyale du jeune homme pour l'un, regrettant la nécessité d'intermédiaire qu'il est plus pratique d'appeler « fixeur », vue sa valeur anxiogène et sa référence au situation de guerre pour l'autre. Ce terme facilitant la conclusion que ces banlieues sont définitivement des zones de non-droit. Pourquoi si peu de mesure?
A part le fait qu'ils avaient eux-mêmes dans leur tuyaux, un sujet sur la polygamie avec son lot de témoignages à visage découvert ou caché qu'ils passeront le lendemain ou le surlendemain. Il faudrait revoir la teneur de leur débat autour de l'émoi que provoqua le fait qu'un journaliste de Capa puisse se faire passer pour une jeune fille, faire fi de la protection des sources, pour dénoncer les pédophiles ainsi démasqués à la police avec le même stratagème utilisé par Abdel pour révéler le peu de sérieux dont ils peuvent faire preuve.
Peut-être que cet angle allait être évoqué sur le plateau du grand journal où l'on retrouvera, les deux protagonistes du buzz . Encore une fois, Abdel sera dans une bien drôle de position face aux aguerris des spotlightes, chacun y allant de son commentaire, noyant un peu plus le poisson sur le fait que l'on ne peut pas décrire physiquement une femme que l'on n'a jamais rencontrée. La conclusion de Denisot sera d'une rare malhonnêteté puisque en passant un extrait d'un faux rappeur gay dont ils furent victimes , pour rassurer leur confrère (bien maladroit dans ces explications et sa défense au demeurant), qu'il ne fut en fait de compte victime que d'un inoffensif canular et Abdel et son imitation de Fatou qu'un petit rigolo.
Comme je suis en train de me rendre compte que je m'éloigne de mon idée de départ, je ne développerai pas plus avant la persistance des idées préconçues de ceux qui sont censés nous éclairer sur la société. En concluant cette épisode, non pas sur votre émission en présence d'Abdel et de Soumaré et des mes propres craintes sur la suite que va prendre son initiative. Mais juste faire remarquer qu'il est inquiétant tout de même qu'Élise Lucet montant au créneau à son tour sur le plateau de média le mag arrive encore à légitimer des images comme « une racaille filmée dans une cave, sortant des armes de contrebande ». Courage Abdel tu n'es pas sorti de l'auberge!
Car c'est bien une histoire de légitimité de prise de parole qui me motive. Et l'air du temps aidant, je me rend bien compte qu'on pourrait croire que je m'inscris dans la démarche de dénonciation« populiste » d'un Mélanchon ou d'un Montebourg qui a commencé pendant que j'étais en train d'écrire ces lignes. Si l'on peut comprendre aisément les rapports de force qui se dessinent. Peut-on regretter que ce soit toujours les mêmes que l'on caricature et méprise?
Les étudiants et les lycéens sont donc dans la rue, le hachoir médiatique va s'abattre sur eux, les sommant d'être des pro de la com, des syndicalistes exemplaires au risque de subir les foudres, les sarcasmes et le regard goguenard de leur ainé....ainsi va le monde.....c'est le jeu ma pauvre Lucette....
Larry Clarck concluait « Ken Parck », par un plan à trois, d'adolescents qui avait trouvé ce moyen pour échapper à la dureté de leur quotidien et au regard des adultes angoissés dans leur croyance, prisonniers de leur statut social, dépassés et dépressifs, le temps d'un dimanche matin grisâtre pour commémorer la mémoire de l'un de leur camarade qui s'était suicidé. Les différents débats télévisuels sur la question de l'interdiction au moins de 18 ans de l'exposition de cet artiste, n'ont fait que révéler la vulgarité, la bêtise d'un grand nombre de commentateurs autorisés qui ne peuvent que jeter un regard suspicieux, moraliste face à une nudité et une intimité qu'ils ne peuvent comprendre. C'est le regard qu'ils posent sur ces images qui est pornographique.
Malgré, le travail de correction, il restera surement un grand nombre de coquilles dans ce texte, bordélique et laborieux, préparer vos feutres rouges, aiguiser vos contre-argumentation. Car ce qui l'a motivé était juste de vous proposer comme dans « le roi et l'oiseau » que cette fosse au lions soit une volière et qu'au lieu de dévorer le petit ramoneur de rien du tout, nous nous mettions à danser la valse....
bof bof, tout ce flan sur les journalistes qui déforment les propos ... parce que pour vous c'est neuf et scandaleux.
Il y a plus de 20 ans, des journalistes se sont présentés dans ma ville de province, ont rencontrés des responsables d'une petite messagerie minitel lancee depuis moins de 6 mois (pas rose) en disant qu'ils voulaient faire un reportage sur les rencontres grace aux nouvelles technologies. Portes grandes ouvertes, super on va parler de notre petite entreprise (on disait pas start up à l'epoque)
Le titre du dossier au final : " le porno nous envahit", les interviews tronquees, publiées avec des articles sur les sex shops et la prostitution.
c'était un supplément magazine dans grand journal de droite, donc on va dire qu'ils devaient bien avoir leur carte de presse, ceux qui sont venus nous voir. Nous on était jeunes et naifs, on n'a pas pense à controler, ni meme à porter plainte ou quoi que ce soit, juste restes sans voix de s'etre fait avoir ainsi, et d'avoir ete depeints d'une telle façon, avec suffisamment d'infos pour etre parfaitement reconnaissables par notre entourage.
C'est pas pour rien qu'ils avaient pas ete voir les grands serveurs, eux ils auraient pas laisser passer ce genre de choses.
Toujours du coté du manche pour la plupart d'entre eux, merci à Daniel de continuer le decryptage
Il y a plus de 20 ans, des journalistes se sont présentés dans ma ville de province, ont rencontrés des responsables d'une petite messagerie minitel lancee depuis moins de 6 mois (pas rose) en disant qu'ils voulaient faire un reportage sur les rencontres grace aux nouvelles technologies. Portes grandes ouvertes, super on va parler de notre petite entreprise (on disait pas start up à l'epoque)
Le titre du dossier au final : " le porno nous envahit", les interviews tronquees, publiées avec des articles sur les sex shops et la prostitution.
c'était un supplément magazine dans grand journal de droite, donc on va dire qu'ils devaient bien avoir leur carte de presse, ceux qui sont venus nous voir. Nous on était jeunes et naifs, on n'a pas pense à controler, ni meme à porter plainte ou quoi que ce soit, juste restes sans voix de s'etre fait avoir ainsi, et d'avoir ete depeints d'une telle façon, avec suffisamment d'infos pour etre parfaitement reconnaissables par notre entourage.
C'est pas pour rien qu'ils avaient pas ete voir les grands serveurs, eux ils auraient pas laisser passer ce genre de choses.
Toujours du coté du manche pour la plupart d'entre eux, merci à Daniel de continuer le decryptage
Tiens, Abdel ne vient pas se balader sur le forum cette fois ci. Gêné aux entournures ?
Quel ennui cette émission... L'équipe d'ASI n'est cette fois pas du tout à la hauteur, je crois vraiment que ce sujet vous dépasse, que vous ne savez pas comment le traiter. L'intervention de DP est nulle... Quelle déception !
Balle de souffrance
Il se prenait pour un poète… pour un prophète…je ne sais plus !
Il m’a enlevé, enfermé et m’a ordonné de me déshabiller.
http://www.tueursnet.com/index.php?journal=Balle%20de%20souffrance
Il se prenait pour un poète… pour un prophète…je ne sais plus !
Il m’a enlevé, enfermé et m’a ordonné de me déshabiller.
http://www.tueursnet.com/index.php?journal=Balle%20de%20souffrance
Emission passionnante, vraiment. On sent tout de même chez Abdel une sorte de "gêne" dans la parole, tout à fait compréhensible après avoir passé une semaine dans "la gueule du loup médiatique", et s'en être ma foi tiré sans trop de casse. Je connaissais mal Ali Soumaré, c'est à dire que je ne le connaissais que de manière télévisuelle et épisodique.
Poussé par la curiosité je suis allé voir sur youtube le docu auquel a participé Nabila Laïb, "La cité du mâle". J'espère vraiment que @si se penchera sur sa genèse parce qu'il est tout simplement effarant.
C'est tellement énorme ce qu'il montre que je me suis demandé si c'était des acteurs ou si c'était la réalité. J'ai côtoyé la banlieue et les jeunes sauvageons alors je sais qu'il existe un machisme ambiant et un sexisme assumé, le tout porté par une vision de l'islam réductrice, tout cela sur fond de misère sexuelle et intellectuelle.
Mais quand même, je me suis cru sur Confessions Intimes tellement les intervenants choisis, les propos tenus, la mise en scène du docu est énorme. La liste des biais du "documentaire" est touffue :
- sur 60 minutes, on a une petite dizaine d'intervenants masculins dont 3 qui prennent particulièrement d'espaces. Tous viennent confirmer la théorie que les jeunes de banlieue sont des machos analphabètes et misogynes, sauf le dernier intervenant. Après 55 minutes de matraquage de la thèse, la voix off vient nous dire que heureusement tous les jeunes de banlieue ne sont pas comme ça. Et on nous sort un gars qui a un cerveau, qui sait s'exprimer sans faire de grossières fautes de français et qui porte un discours lucide sur la situation et porte un message de tolérance. Sauf que la construction du docu invalide complètement le discours de la voix off ("heureusement ils sont pas tous comme ça"), puisque tout est mis en place pour appuyer la thèse de la réalisatrice. On a vraiment l'impression qu'après premier visionnage le docu semblait vraiment trop à charge et qu'elle s'est dit, "non quand même faut contrebalancer un peu ça fait beaucoup, je vais rajouter un petit gars sympa sur la fin".
- les intervenantes viennent toutes confirmer la thèse (en creux quand elle semble embrigadée, directement pour la membre de ni putes ni soumises). Le truc magnifique c'est la voix off qui fait de la psychologie de bazar sur le discours de la femme pirate (c'est comme ça qu'on appelle les filles qui se comportent comme des mecs) et des deux filles au début qui donnent leur vision de la femme. Genre la réponse convient pas donc on dit qu'elles sont conditionnées par leur milieu. Pourquoi pas, mais quels sont les arguments pour recouper cette fine analyse psychologique ?
- la voix off est INSUPPORTABLE. Ce ton accusateur et monocorde, mais néanmoins sensationnaliste, on se croirait dans Groland, quand ils caricaturent les voix off du Droit de savoir. Le commentaire est un long acte d'accusation, un réquisitoire qui aurait pu être rédigé par un procureur zélé.
- le docu se vautre dans les faits divers sordides, sans les utiliser comme base de réflexion. Ok c'est infâme ce que ces jeunes filles ont subi, mais à la fin du docu, à part un empilement de clichés recueillis auprès de trois pelés et un tondu, on n'en sait pas plus sur les raisons qui peuvent pousser à ce constat. Misère sociale, sexuelle ? Reproduction des modèles parentaux ? Familles monoparentales avec la seule mère pour modèle ? Influence d'un islam radical ? Pffft, on en saura rien à la fin, mais on sera conforté dans ses préjugés : décidément tous les jeunes de banlieue sont de dangereux sauvages, machistes, sexistes, violents et bêtes à manger du foin.
Du coup à la fin du docu on sait pas sur quel pied danser. Est-ce la réalité qui est dépeinte ? La réal a-t-elle carrément embauché des "acteurs" pour jouer des rôles ? Les interventions ont-elles été menées et montées pour suivre une idée préconçue qui était déjà présente avant ? Peut-on tirer des conclusions générales sur le machisme en banlieue sur la foi de 10 témoignages ?
D'expérience je sais que la banlieue c'est pas rose (ooooh non !), et qu'il y a un vrai problème de place de la femme, c'est incontestable. Mais la le sujet a été traité à la truelle, avec parti-pris et sans recul ni plus-value analytique. J'aurais vu ça sur TF1 ou M6, voire France 2, ok, mais sur Arte, j'en reste baba...
C'est tellement énorme ce qu'il montre que je me suis demandé si c'était des acteurs ou si c'était la réalité. J'ai côtoyé la banlieue et les jeunes sauvageons alors je sais qu'il existe un machisme ambiant et un sexisme assumé, le tout porté par une vision de l'islam réductrice, tout cela sur fond de misère sexuelle et intellectuelle.
Mais quand même, je me suis cru sur Confessions Intimes tellement les intervenants choisis, les propos tenus, la mise en scène du docu est énorme. La liste des biais du "documentaire" est touffue :
- sur 60 minutes, on a une petite dizaine d'intervenants masculins dont 3 qui prennent particulièrement d'espaces. Tous viennent confirmer la théorie que les jeunes de banlieue sont des machos analphabètes et misogynes, sauf le dernier intervenant. Après 55 minutes de matraquage de la thèse, la voix off vient nous dire que heureusement tous les jeunes de banlieue ne sont pas comme ça. Et on nous sort un gars qui a un cerveau, qui sait s'exprimer sans faire de grossières fautes de français et qui porte un discours lucide sur la situation et porte un message de tolérance. Sauf que la construction du docu invalide complètement le discours de la voix off ("heureusement ils sont pas tous comme ça"), puisque tout est mis en place pour appuyer la thèse de la réalisatrice. On a vraiment l'impression qu'après premier visionnage le docu semblait vraiment trop à charge et qu'elle s'est dit, "non quand même faut contrebalancer un peu ça fait beaucoup, je vais rajouter un petit gars sympa sur la fin".
- les intervenantes viennent toutes confirmer la thèse (en creux quand elle semble embrigadée, directement pour la membre de ni putes ni soumises). Le truc magnifique c'est la voix off qui fait de la psychologie de bazar sur le discours de la femme pirate (c'est comme ça qu'on appelle les filles qui se comportent comme des mecs) et des deux filles au début qui donnent leur vision de la femme. Genre la réponse convient pas donc on dit qu'elles sont conditionnées par leur milieu. Pourquoi pas, mais quels sont les arguments pour recouper cette fine analyse psychologique ?
- la voix off est INSUPPORTABLE. Ce ton accusateur et monocorde, mais néanmoins sensationnaliste, on se croirait dans Groland, quand ils caricaturent les voix off du Droit de savoir. Le commentaire est un long acte d'accusation, un réquisitoire qui aurait pu être rédigé par un procureur zélé.
- le docu se vautre dans les faits divers sordides, sans les utiliser comme base de réflexion. Ok c'est infâme ce que ces jeunes filles ont subi, mais à la fin du docu, à part un empilement de clichés recueillis auprès de trois pelés et un tondu, on n'en sait pas plus sur les raisons qui peuvent pousser à ce constat. Misère sociale, sexuelle ? Reproduction des modèles parentaux ? Familles monoparentales avec la seule mère pour modèle ? Influence d'un islam radical ? Pffft, on en saura rien à la fin, mais on sera conforté dans ses préjugés : décidément tous les jeunes de banlieue sont de dangereux sauvages, machistes, sexistes, violents et bêtes à manger du foin.
Du coup à la fin du docu on sait pas sur quel pied danser. Est-ce la réalité qui est dépeinte ? La réal a-t-elle carrément embauché des "acteurs" pour jouer des rôles ? Les interventions ont-elles été menées et montées pour suivre une idée préconçue qui était déjà présente avant ? Peut-on tirer des conclusions générales sur le machisme en banlieue sur la foi de 10 témoignages ?
D'expérience je sais que la banlieue c'est pas rose (ooooh non !), et qu'il y a un vrai problème de place de la femme, c'est incontestable. Mais la le sujet a été traité à la truelle, avec parti-pris et sans recul ni plus-value analytique. J'aurais vu ça sur TF1 ou M6, voire France 2, ok, mais sur Arte, j'en reste baba...
Emission intéressante.
Deux idées :
-sur le terme de "fixeur", ce qui me frappe n'est pas tant l'analogie avec la guerre et les territoires en guerre, que l'idée que le fixeur est un étranger qui sert d'indic en territoire étranger : révélateur de l'image que les banlieues ne sont pas la France... Sans doute parce que trop peuplées d' "étrangers" et, par syllogisme, cela revient à dire que le Français doit être bien blanc...
-quand Abdel s'insurge de ne pas avoir vu la tour Eiffel, il a raison de mettre en évidence les problèmes de transport et l'enclavement dont sont victimes les banlieuses périphériques. Mais l'accès à cette tour, et plus largement à la culture, dépend également de ses capacités financières, et, surtout, du fait d'être immergé, par la famille et le milieu. Autrement dit, il existe bon nombre de gens subissant ce même manque et ressentant cette même frustration. Il s'agit là d'un problème social, qu'il ne faudrait pas réduire aux seules banlieues.
Deux idées :
-sur le terme de "fixeur", ce qui me frappe n'est pas tant l'analogie avec la guerre et les territoires en guerre, que l'idée que le fixeur est un étranger qui sert d'indic en territoire étranger : révélateur de l'image que les banlieues ne sont pas la France... Sans doute parce que trop peuplées d' "étrangers" et, par syllogisme, cela revient à dire que le Français doit être bien blanc...
-quand Abdel s'insurge de ne pas avoir vu la tour Eiffel, il a raison de mettre en évidence les problèmes de transport et l'enclavement dont sont victimes les banlieuses périphériques. Mais l'accès à cette tour, et plus largement à la culture, dépend également de ses capacités financières, et, surtout, du fait d'être immergé, par la famille et le milieu. Autrement dit, il existe bon nombre de gens subissant ce même manque et ressentant cette même frustration. Il s'agit là d'un problème social, qu'il ne faudrait pas réduire aux seules banlieues.
Le débat s'est folaclisé sur la définition du terme "fixer"!
Notamment sur la question "Peut-on comparer la situation au Vietnam, où ce concept est apparu, à la situation des cartiers sensibles en France?".
Il apparaissait, en conclusion du débat, que l'usage du terme fixer était obsène!
Le problème du "fixer" n'a pas été analysé sous l'angle du journaliste qui fait appel à leurs services.
Pourquoi ces journalistes font-ils appel à ce types de prestation, qu'attendent-ils des "fixers"?
Pourquoi ne pas avoir invités de journalistes clients?
Le débat était vite tétanisé par la peur de tomber dans les clichés pathétiques et récurrents de la banlieu.
Ce ne fut pas une grande émission d'ASI!
Notamment sur la question "Peut-on comparer la situation au Vietnam, où ce concept est apparu, à la situation des cartiers sensibles en France?".
Il apparaissait, en conclusion du débat, que l'usage du terme fixer était obsène!
Le problème du "fixer" n'a pas été analysé sous l'angle du journaliste qui fait appel à leurs services.
Pourquoi ces journalistes font-ils appel à ce types de prestation, qu'attendent-ils des "fixers"?
Pourquoi ne pas avoir invités de journalistes clients?
Le débat était vite tétanisé par la peur de tomber dans les clichés pathétiques et récurrents de la banlieu.
Ce ne fut pas une grande émission d'ASI!
J'en suis à l'acte 2 et je travaille demain: je vais me coucher pour avoir le temps de lire un peu avant que mes yeux ne se ferment.
Je voulais juste rappeler que, avant, il y a longtemps, on développait les photos et on les mettait sur papier à l'aide de deux produits: un révélateur et, avant de rallumer la lumière, dans un bain de fixateur, pour que l'image ne bouge plus; une sorte d'arrêt sur image en quelque sorte.
salut!
Je voulais juste rappeler que, avant, il y a longtemps, on développait les photos et on les mettait sur papier à l'aide de deux produits: un révélateur et, avant de rallumer la lumière, dans un bain de fixateur, pour que l'image ne bouge plus; une sorte d'arrêt sur image en quelque sorte.
salut!
C'est tout ce que vous avez trouvé comme "invités" ??
Ca sent le réchauffer de la semaine . La chute est
pour bientôt il me semble .
Ca sent le réchauffer de la semaine . La chute est
pour bientôt il me semble .
Ben moi, d'écouter ces deux p'tits jeunots, ça m'a fait du bien.
Ils causent bien (comme quoi, quand la mère Morano raconte qu'ils causent en verlan, c'est du pipeau) disent des choses intelligentes, sont ouverts sur les autres et ne baragouinent pas langue de bois (à la différence des journalistes des médias "dominants") et surtout, surtout, ils sont pleins d'espoir. Malgré tout le discours ambiant, ils n'ont pas baissé les bras, ne sont devenus ni intégristes, ni violents (comme quoi, quand certains mauvais esprits dégoisent sur "les jeunes issus de l'immigration", c'est du pipeau)...
Et cet espoir là, il est précieux.
Je ne sais plus lequel des deux a évoqué le doc de Yamina Benguigui, "9-3", mais je le recommande à tous, il est très utile pour comprendre pourquoi et comment on en est arrivé à une situation pareille dans les banlieues.
PS : j'ai trouvé Anne Sophie formidable, comme d'hab... !
Merci à eux tous.
Ils causent bien (comme quoi, quand la mère Morano raconte qu'ils causent en verlan, c'est du pipeau) disent des choses intelligentes, sont ouverts sur les autres et ne baragouinent pas langue de bois (à la différence des journalistes des médias "dominants") et surtout, surtout, ils sont pleins d'espoir. Malgré tout le discours ambiant, ils n'ont pas baissé les bras, ne sont devenus ni intégristes, ni violents (comme quoi, quand certains mauvais esprits dégoisent sur "les jeunes issus de l'immigration", c'est du pipeau)...
Et cet espoir là, il est précieux.
Je ne sais plus lequel des deux a évoqué le doc de Yamina Benguigui, "9-3", mais je le recommande à tous, il est très utile pour comprendre pourquoi et comment on en est arrivé à une situation pareille dans les banlieues.
PS : j'ai trouvé Anne Sophie formidable, comme d'hab... !
Merci à eux tous.
Merci de cette émission très instructive.
D'autant plus instructive qu'elle a donné à voir que même un journaliste nommé le bœuf carotte de "lesmédia" est lui-même victime de ses préjugés et de l'idéologie dominante dans "lesmedias". (là c'était le 'beauf-carotte')
Et oui mon cher Daniel, car ce qui fait l'idéologie des médias dominants c'est qu'on n' y parle plus de politique mais de "people"itique.
Et comme vous y êtes allé vous aussi au début d'émission et à la fin de cette émission pour tenter de faire basculer Abdel vers la petite phrase, le combat d'égo et autre joyeuseté de notre soi disant démocratie participative. Bref le débat d'idées avait peu d'importance ce qui comptait c'était la tête du confrère, les petites histoires, le scoop croustillant coté people !
Abdel en bon résistant est resté droit dans ses bottes, ce qu'il l'intéresse ce n'est pas de démonter les personnes, c'est de démonter les idées, les préjugés, les mécanismes. D'entamer une vrai réflexion démocratique avec toutes les bonnes volontés, de faire changer les mentalités par le dialogue plutôt que par des combats des chefs vains et stériles.
Merci Abdel de vouloir faire de la vrai politique, c'est à dire agir sur la vie de la cité en en démontant d'abord les mécanismes viciées pour engager la réflexion citoyenne.
Organiser un colloque, c'est un début, ouvert à tous c'est très bien, à ce propos, je vous conseille de contacter les participants à ces rencontres, cela devrait faire un équilibre avec les médias dominants. Et j'espère bien que celui-ci sera suivi et commenté par et sur @SI.
D'autant plus instructive qu'elle a donné à voir que même un journaliste nommé le bœuf carotte de "lesmédia" est lui-même victime de ses préjugés et de l'idéologie dominante dans "lesmedias". (là c'était le 'beauf-carotte')
Et oui mon cher Daniel, car ce qui fait l'idéologie des médias dominants c'est qu'on n' y parle plus de politique mais de "people"itique.
Et comme vous y êtes allé vous aussi au début d'émission et à la fin de cette émission pour tenter de faire basculer Abdel vers la petite phrase, le combat d'égo et autre joyeuseté de notre soi disant démocratie participative. Bref le débat d'idées avait peu d'importance ce qui comptait c'était la tête du confrère, les petites histoires, le scoop croustillant coté people !
Abdel en bon résistant est resté droit dans ses bottes, ce qu'il l'intéresse ce n'est pas de démonter les personnes, c'est de démonter les idées, les préjugés, les mécanismes. D'entamer une vrai réflexion démocratique avec toutes les bonnes volontés, de faire changer les mentalités par le dialogue plutôt que par des combats des chefs vains et stériles.
Merci Abdel de vouloir faire de la vrai politique, c'est à dire agir sur la vie de la cité en en démontant d'abord les mécanismes viciées pour engager la réflexion citoyenne.
Organiser un colloque, c'est un début, ouvert à tous c'est très bien, à ce propos, je vous conseille de contacter les participants à ces rencontres, cela devrait faire un équilibre avec les médias dominants. Et j'espère bien que celui-ci sera suivi et commenté par et sur @SI.
Passionnant!
Je me demande si DS ne se réserve pas les invités de qualité qui nous donnent à entendre des discours honnêtes, intelligents et clairement exprimés, marrants en plus!, tandis qu'il laisserait à G. Birenbaum les Paillé et autres racailles radotantes, imbues et consternantes...
Mais bon...
Je me demande si DS ne se réserve pas les invités de qualité qui nous donnent à entendre des discours honnêtes, intelligents et clairement exprimés, marrants en plus!, tandis qu'il laisserait à G. Birenbaum les Paillé et autres racailles radotantes, imbues et consternantes...
Mais bon...
Un titre pour le colloque : "la petite cité dans la prairie" ou "la cachette vidéo de la banlieue".
C'est bien de faire quelque chose pour montrer que c'est un phénomène qui n'est pas lié à un seul titre de média.
Ou sinon quoi d'autre qu'un colloque?
C'est bien de faire quelque chose pour montrer que c'est un phénomène qui n'est pas lié à un seul titre de média.
Ou sinon quoi d'autre qu'un colloque?
On fait comment pour avoir des fouilles merdes sous cultivés appelés "journalistes" (mais pseudo-journalistes en vérité) au cul qui cherchent des éléments crades sur votre enfance ?
C'est juste pour continuer à s'amuser avec eux ... ils ont l'air si marrant et professionnels mdr
C'est juste pour continuer à s'amuser avec eux ... ils ont l'air si marrant et professionnels mdr
Je partage avec Daniel et de nombreux internautes le scepticisme final, à savoir que le Point n'est pas une blanche colombe, et que ce colloque tombe à pic pour redorer son image. C'est un journal purement de droite, et Abdel n'a pas encore l'expérience de ce genre de média.
Super bien de traiter de ce sujet : la banlieue vue par les media. Ca fait du bien d'entendre les deux intervenants. Au delà des "fixeurs", peut-être qu'il pourrait être intéressant de continuer à détricoter les mythes en invitant par exemple mucchielli, sur les stats de la délinquance, ou bien encore Stéphane Baud, pour son travail autour de "80% au bac et après"(mais @si n'est peut-être pas le lieu pour ça...)
Un commentaire également sur la fin de l'interview au grand journal, la dernière intervention du journaliste du point : "vous feriez un très bon acteur en tout cas". Et pq pas footballeur???
Un commentaire également sur la fin de l'interview au grand journal, la dernière intervention du journaliste du point : "vous feriez un très bon acteur en tout cas". Et pq pas footballeur???
Attention à ne pas être complaisant avec le journaliste du Point. Ce qu'il a fait s'appelle une faute professionnelle (article par téléphone, non-recoupage de l'info, description physique de l'appartement et de l'interviewée, ...) Je suis désolé mais une faute de cet ordre ne doit pas rester sans suite. Ce journaliste doit soit être licencié pour faute, soit être dessaisi du traitement des banlieues qu'il ne connait pas. Je suis partisan de l'application du principe "tolérance zéro" cher à la droite dans le journal de droite qu'est le Point.
Le journal doit aussi rendre des comptes. J'aimerai bien savoir qui a demandé à ce journaliste de pondre un papier sur ce sujet ultra-racoleur, en plein conflit social sur les retraites et alors que les renflouements massifs de banques au frais des États continuent (Irlande).
Le journal doit aussi rendre des comptes. J'aimerai bien savoir qui a demandé à ce journaliste de pondre un papier sur ce sujet ultra-racoleur, en plein conflit social sur les retraites et alors que les renflouements massifs de banques au frais des États continuent (Irlande).
Merci pour cette émission,
comme pour Filoche, une question me taraude, que fait Ali Soumaré au PS ?
comme pour Filoche, une question me taraude, que fait Ali Soumaré au PS ?
Ce que je viens de lire m'incite à visionner l'émission au plus vite.
Merci d'apporter une petite correction orthographique au texte de présentation : "des raisons qui l'ont poussé[s]es[/s]"
Bon courage pour la suite ... mais la matière ne manque pas !
Merci d'apporter une petite correction orthographique au texte de présentation : "des raisons qui l'ont poussé[s]es[/s]"
Bon courage pour la suite ... mais la matière ne manque pas !
Pas (encore) vu l'émission, mais je tique en lisant ces phrases dans la présentation : Des équipes étrangères qu'Arrêt sur images, version télé, avait filmées lors des émeutes de 2005. L'occasion de s'offrir un petite séquence nostalgie...
Nostalgie des émeutes de 2005 ???
Nostalgie des émeutes de 2005 ???
Elle pète cette émission ! La chronique de Didier Porte m'a bien fait marrer, Ali Soumaré je suis bien content de l'avoir entendu plus de 2 minutes, comme dit plus haut ça me fait halluciner que ce mec ait pas porté plainte pour diffamation quand il s'est fait trainer dans la boue (cela dit peut etre qu'il l'a fait ?), il a vraiment été assimilé à un voyou ... Or c'est un élu. Non pas que la qualité d'élu offre un statut de vierge mais perso je n'ai jamais vu une telle campagne de traînage dans la boue et de décrédibilisation. Ce qui me choquait le plus c'était que les journalistes commençaient limite à poser la question : peut on etre élu avec un casier judiciaire ? Sans même mentionner que si c'était le cas, je crois que le gouvernement actuel serait ... clairsemé.
Et puis Bintou, encore bravo :D
@si tient le bon bout ces derniers jours/semaines =)
Et puis Bintou, encore bravo :D
@si tient le bon bout ces derniers jours/semaines =)
Fraicheur de la jeunesse ! Daniel a kiffé, ça se voit.
Belle émission qui laisse penser que les murs des mondes parallèles se fissurent enfin peut être.
Belle émission qui laisse penser que les murs des mondes parallèles se fissurent enfin peut être.
une bonne rigolade!
pourquoi Daniel harcèle Abdel à ce point, franchement au bout d'un moment on a envie de lui dire, oki mec, qu'est-ce que tu veux que je dise pour que ça rentre dans le scandale que tu cherches apparemment à créer ? Ne peut-il le laisser s'exprimer ? pourquoi reprocher la langue de bois de Canal+ pour ensuite tenter un lavage de cerveau sur ce jeune. Franchement, j'ai trouvé ça plus que limite.
Charmante anne-Sophie , D.S. et Deux embrouilleurs de premiere !
L'un est le futur prof. de l'autre , l'autre est le gentil disciple , le p.s. aura du mal a continuer de porter ce mec tres limite...
Deux embrouilleurs de premiere.
Mais bon.....Vous savez....Je suis un horrible facho qui ne comprend rien...
L'un est le futur prof. de l'autre , l'autre est le gentil disciple , le p.s. aura du mal a continuer de porter ce mec tres limite...
Deux embrouilleurs de premiere.
Mais bon.....Vous savez....Je suis un horrible facho qui ne comprend rien...
Merci Didier pour la barre de rire pour commencer l'émission !
Bon c'est sûr qu'avec TF1 on peut pas se tromper, il y a toujours de la matière (fécale) à exploiter !
Bon c'est sûr qu'avec TF1 on peut pas se tromper, il y a toujours de la matière (fécale) à exploiter !
argent liquide ! attention au contrôle fixal
Excellente émission.
Le sujet est grave, et pourtant j'ai rarement autant ri devant une émission d'@si :)
Merci.
Le sujet est grave, et pourtant j'ai rarement autant ri devant une émission d'@si :)
Merci.
Mon cher @si. Pour compléter le tableau, on pourrait faire une emission sur la différence de langue à l'intérieur des banlieues ?
Ali Soumaré et Abdel El Otmani viennent de quartiers proches et ne parlent pourtant pas la même langue, de bois ou pas d'ailleurs.
Quoi qu'il en soit, j'ai envie de voir le coté positif du colloque/ table ronde autour du thème "banlieue et média". @si, tu nous tiens au courant avant et en feras le commentaire après ? merci
Ali Soumaré et Abdel El Otmani viennent de quartiers proches et ne parlent pourtant pas la même langue, de bois ou pas d'ailleurs.
Quoi qu'il en soit, j'ai envie de voir le coté positif du colloque/ table ronde autour du thème "banlieue et média". @si, tu nous tiens au courant avant et en feras le commentaire après ? merci
Très bonne émission, surtout avec la chronique de Didier Porte en introduction. Gardez-le, (lui et aussi Bintou, ils sont excellents). J'ai vécu dans deux banlieues (le 93 et le 78 versaillais) dans une vie antérieure et je remarque que le discours sur les banlieues perdure depuis des décennies sous des unes de presse dite sérieuse (cela veut dire sur papier) différentes. Toujours les mêmes représentations qui ne correspondent à aucune réalité sociale.
Et je me pose aussi depuis des décennies des questions sur le métier de journaliste dans les grands médias. Tout et son contraire peut être affirmé dans le même journal à quelques jours de différence, les interviews sont tronquées et déformees. J'ai souvent été interviewée et eu toujours du mal à retrouver mes mots. Et je comprends la méfiance vis-à-vis des médias.
Et je comprends ainsi le constat d'Ali Soumaré: Les journalistes (des quotidiens et des hebdomadaires) ne voient ce qu'ils voient, c'est à dire ce qu'ils veulent voir. La plupart des journalistes que j'ai rencontrés sont incapables de comprendre et de présenter une pensée complexe, ils sont toujours dans le présent, dans l'actu (coco!), en aucune facon dans l'analyse et toujours pris dans leur parti-pris idéologique (souvent binaire). Bref, ils sont épuisants.
En tout cas, merci à Abdel et à Ali, qui sont cependant très prudents (malheureusement, j'ai oublié leur nom de famille). Et merci à@si.
Et je me pose aussi depuis des décennies des questions sur le métier de journaliste dans les grands médias. Tout et son contraire peut être affirmé dans le même journal à quelques jours de différence, les interviews sont tronquées et déformees. J'ai souvent été interviewée et eu toujours du mal à retrouver mes mots. Et je comprends la méfiance vis-à-vis des médias.
Et je comprends ainsi le constat d'Ali Soumaré: Les journalistes (des quotidiens et des hebdomadaires) ne voient ce qu'ils voient, c'est à dire ce qu'ils veulent voir. La plupart des journalistes que j'ai rencontrés sont incapables de comprendre et de présenter une pensée complexe, ils sont toujours dans le présent, dans l'actu (coco!), en aucune facon dans l'analyse et toujours pris dans leur parti-pris idéologique (souvent binaire). Bref, ils sont épuisants.
En tout cas, merci à Abdel et à Ali, qui sont cependant très prudents (malheureusement, j'ai oublié leur nom de famille). Et merci à@si.
Merci pour cette émission.
Merci surtout à Abdel El Otmani, qui a tout compris des médias et pourrait animer un site de décryptage des médias à lui tout seul.
Merci surtout à Abdel El Otmani, qui a tout compris des médias et pourrait animer un site de décryptage des médias à lui tout seul.
Je note tout de même à que Frorence n’a pas pensé à dire à ASJ de mentionner une des plus belles chansons de McCartney,
bon allez je continue le visionnage...
bon allez je continue le visionnage...
Je vais commencer à regarder l'émission, mais je me disais aussi qu'@SI n'allait pas louper cette fameuse profession de "fixeur". J'avais été frappé par la mention quasi systématique dans lémédias qui en parlant de fixeur disait toujours que "normalement" c'était un terme utilisé pour les pays en guerre.
Il n'aura échappé à personne que la "banlieue" n'est évidemment pas un pays en guerre, malgré les problèmes réels qui y existent.
Si les fixeurs existent aussi pour les banlieues, et cela m'est apparu clairement dans le court extrait d'Abdel El Dites-pas-mon-nom à C+ dans le grand journal, c'est parce que les gens qui y vivent n'ont pas confiance dans les journalistes, vu le portrait totalement biaisé qui est fait, et qu'il faut un "gars" de la banlieue pour les mettre en confiance pour que le journaliste ait accès à ces personnes.
Dans un pays en guerre, le fixeur réduit le risque pour le journaliste de se prendre une balle (oups on vous a pris pour des rebelles, désolé hein...), alors qu'en banlieue c'est le risque pour l'interviewé de se prendre un mauvais journaliste qui est réduit par le fixeur.
Que c'est beau.
Il n'aura échappé à personne que la "banlieue" n'est évidemment pas un pays en guerre, malgré les problèmes réels qui y existent.
Si les fixeurs existent aussi pour les banlieues, et cela m'est apparu clairement dans le court extrait d'Abdel El Dites-pas-mon-nom à C+ dans le grand journal, c'est parce que les gens qui y vivent n'ont pas confiance dans les journalistes, vu le portrait totalement biaisé qui est fait, et qu'il faut un "gars" de la banlieue pour les mettre en confiance pour que le journaliste ait accès à ces personnes.
Dans un pays en guerre, le fixeur réduit le risque pour le journaliste de se prendre une balle (oups on vous a pris pour des rebelles, désolé hein...), alors qu'en banlieue c'est le risque pour l'interviewé de se prendre un mauvais journaliste qui est réduit par le fixeur.
Que c'est beau.
Bravo l'émission, voila pourquoi on est fier d'appartenir à la communauté asi, c'est du bon boulot, on en redemande !
En matière de banlieues, le storytelling opéré par les médias apparaît trop souvent comme la "réalité".
Merci aux intervenants de faire apparaître le fait qu'en matière de banlieues, peut-être davantage encore que dans d'autres domaines, l'activité journalistique de la plupart des médias relève essentiellement du storytelling.
Décrypter comme le fait @ASI, ou à sa façon Abdel El Otmani, les histoires qu'on nous raconte,
c'est vraiment faire oeuvre de salubrité publique...
Merci aux intervenants de faire apparaître le fait qu'en matière de banlieues, peut-être davantage encore que dans d'autres domaines, l'activité journalistique de la plupart des médias relève essentiellement du storytelling.
Décrypter comme le fait @ASI, ou à sa façon Abdel El Otmani, les histoires qu'on nous raconte,
c'est vraiment faire oeuvre de salubrité publique...
Tient... Daniel appelle ses invités par leur prénom maintenant ?
Pourquoi Abdel et pas monsieur El Otmani, ou Abdel El Otmani ?
Pourquoi Abdel et pas monsieur El Otmani, ou Abdel El Otmani ?
Ah ben voilà, faut attendre la fin de l'émission pour en avoir l'explication. :)
Merci donc, pour la clarification, et pour la parole offerte à Abdel (tout court donc) et Ali Soumaré, très intéressante.
Merci donc, pour la clarification, et pour la parole offerte à Abdel (tout court donc) et Ali Soumaré, très intéressante.
pfffffff
Je me faisais la même réflexion..depuis le début du traitement de cette affaire, (sauf dans le compte rendu de l'émission d'aujourd'hui), Abdel El Otmani est réduit à son prénom...pourquoi ?
Expliqué plusieurs fois dans les forums, et la première fois par le principal concerné.
"J'ai moi même demandé à ce que l'on me présente comme "Abdel" (c'est un diminutif de mon véritable prénom). J'ai aussi un diminutif de mon nom de famille (utiliser pour mes mails) que les autres journaux on pris. "
http://www.arretsurimages.net/forum/read.php?4,1110651,1110786#msg-1110786
Ceci étant dit comme ça revient tout le temps ce serait bien de l'écrire dans un article, tout le monde ne lit pas les forums.
"J'ai moi même demandé à ce que l'on me présente comme "Abdel" (c'est un diminutif de mon véritable prénom). J'ai aussi un diminutif de mon nom de famille (utiliser pour mes mails) que les autres journaux on pris. "
http://www.arretsurimages.net/forum/read.php?4,1110651,1110786#msg-1110786
Ceci étant dit comme ça revient tout le temps ce serait bien de l'écrire dans un article, tout le monde ne lit pas les forums.
Ali Soumaré, voilà quelqu'un qu'il va être intéressant d'écouter, il a été nettement diffamé par des médias de grande diffusion, sans excuses publiques ; on a enquêté de façon illégale sur sa vie privée, sans que l'affaire soit tirée au clair ensuite ; et l'appareil du Parti Socialiste l'a lâché en rase campagne de peur de perdre des voix socialo-racistes !
Le retour d'Abdel El Otmani, si on comprend qu'il est important pour ASI qui reste alors le média dominant sur la question, est peut-être un peu précoce ? Après son brillant passage chez Mermet, et ses deux passages compliqués à Canal Plus où les journalistes se sont ligués contre lui, je suppose que c'est plus le traitement médiatique de son propre traitement journalistique de la pratique journalistique du Point qui va être étudié, mais en faire autant d'un coup c'est prendre le risque qu'on n'en parle plus dans un mois...
J'espère que vous lui avez donné de bons conseils pratiques Daniel, vous qui connaissez intimement beaucoup de gens du PAF : l'ex-mec de l'enfant de polygame, les défauts de FOG et ses pratiques à la limite permanente du conflit d'intérêt ou de l'abus de sa position (stages très bien rémunérés par la télévision publique pour des fils d'amis)...
Le retour d'Abdel El Otmani, si on comprend qu'il est important pour ASI qui reste alors le média dominant sur la question, est peut-être un peu précoce ? Après son brillant passage chez Mermet, et ses deux passages compliqués à Canal Plus où les journalistes se sont ligués contre lui, je suppose que c'est plus le traitement médiatique de son propre traitement journalistique de la pratique journalistique du Point qui va être étudié, mais en faire autant d'un coup c'est prendre le risque qu'on n'en parle plus dans un mois...
J'espère que vous lui avez donné de bons conseils pratiques Daniel, vous qui connaissez intimement beaucoup de gens du PAF : l'ex-mec de l'enfant de polygame, les défauts de FOG et ses pratiques à la limite permanente du conflit d'intérêt ou de l'abus de sa position (stages très bien rémunérés par la télévision publique pour des fils d'amis)...