Commentaires
Irma, médias publics, medias privés
Quelle différence, se demande-t-on parfois, entre medias publics et medias privés ?
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Derniers commentaires
@ Daniel Schneidermann
Attietion avec Jean Jouzel !
L'eau est peut-être plus chaude qu'habituellement, mais selon cette source , la température de l'eau était plus basse qu'habituellement pour un cyclone de cette puissance.
Ce qui pose la question de la relation entre température de l'eau et puissance des cyclones.
Attietion avec Jean Jouzel !
L'eau est peut-être plus chaude qu'habituellement, mais selon cette source , la température de l'eau était plus basse qu'habituellement pour un cyclone de cette puissance.
Ce qui pose la question de la relation entre température de l'eau et puissance des cyclones.
Entendu sur France Culture : une pub demandant aux auditeurs d'adresser leurs dons pour les sinistrés d'Irma à la Fondation de France.
L'état semble avoir externalisé une partie de ses fonctions.
France Culture : média public ou média privé ?
L'état semble avoir externalisé une partie de ses fonctions.
France Culture : média public ou média privé ?
Oui alors, il y a sans doute beaucoup de vrai dans les descriptions de pillages "alimentaires", assez affreux mais que beaucoup sont portés à défendre pour des raisons éventuellement compréhensibles. Il est vrai qu'il demeure impossible, et ce depuis bien des siècles, de trancher entre intérêt général (et donc d'autrui) et intérêt privé.
Cependant, sur certaines vidéos, l'on peut voir des résidents de l'île voler des... écrans plats et autres objets technologiques de loisir... s'agit-il bien d'une priorité ? Bel image à imaginer de l'être humain qui, demain, regardera des âneries à la télévision sans se soucier de ce qui est advenu à celui ou celle à qui il a volé ce visiblement si précieux objet...
Cependant, sur certaines vidéos, l'on peut voir des résidents de l'île voler des... écrans plats et autres objets technologiques de loisir... s'agit-il bien d'une priorité ? Bel image à imaginer de l'être humain qui, demain, regardera des âneries à la télévision sans se soucier de ce qui est advenu à celui ou celle à qui il a volé ce visiblement si précieux objet...
Images, témoignages, commentaires. Pilleurs(euses) noir(e)s vs pillé(e)s blancs (ches). Cela ne vous rappelle t il pas quelque chose ?
c'est quoi cette conneries ? 'aux côtés des pulsions populaires.' ha non le privé ne se tiens pas au cotés des pulsions populaire (déjà cette phrase n'a aucun sens, ensuite c'est souvent faux ces témoignage de pillage , donc 'le privé alimente la peur de l'autre alors que les personnes interrogés subissent un ouragan' . Vous devenez franchement manipulateurs ici , le peuple n'est pas sauvage, on vous soutient vous les éduqués, on paye vos études qu'on ne suit pas nous, on nettoyes vos maisons, on soigne les malades, par contre les riches (dont vous êtes de bon chiens de garde) eux n'ont que des pulsions de violence envers les travailleurs, mais ça vous ne le dites pas, ça ne peut être que la rue qui est violente. En attendant vous vivez grâce au fric des sauvages .
"La qualité du service public de l'information." : c'est une blague ?
RTL...Ils se déclarent " la première radio de France " Qu'est-ce à dire ? Honneur aux Grosses têtes ????Là où l'intelligence fulgurante de certains nous épate ????Ecouter une fois Ruquier et ses sbires, édifiant! France inter ,c'est encore bien même si Cohen s'en est allé. La bande originale de Nagui ne se vautre pas dans la vulgarité. France inter ,c'est bien!
Le pillage est le pire des crimes. Perso, je suis contre la peine de mort, mais je trouverais normal que les forces de l'ordre abattent sans sommation un riche pris en flagrant délit de pillage.
L'expression "médias publics" est-elle encore appropriée ?
Ne vaudrait-il pas mieux parler de "médias d’État"... vs "privés" ?
Rappel : financement à 100 % par l’État, nomination de la direction indirectement par l’État (via le CSA).
Le qualificatif de "publics" ne se justifierait que si ces médias était réellement une "chose publique". Ce qui pourrait advenir si l’État était réellement contrôlé (même indirectement par les citoyens)... on en est très loin ; ou si la direction de ces médias incluait des représentants du public (un C.A. constitué à parité de représentants de l’État, des syndicats de personnels, d'associations représentatives des auditeurs/spectateurs, etc.).
Parler de "médias d’État" a l'avantage de rappeler que la qualité de la production de ces médias (pluralisme, indépendance éditoriale, etc.) dépend du fonctionnement plus ou moins démocratique de l’État.
En attendant, parler de "médias publics" revient à faire de la langue de bois.
Ne vaudrait-il pas mieux parler de "médias d’État"... vs "privés" ?
Rappel : financement à 100 % par l’État, nomination de la direction indirectement par l’État (via le CSA).
Le qualificatif de "publics" ne se justifierait que si ces médias était réellement une "chose publique". Ce qui pourrait advenir si l’État était réellement contrôlé (même indirectement par les citoyens)... on en est très loin ; ou si la direction de ces médias incluait des représentants du public (un C.A. constitué à parité de représentants de l’État, des syndicats de personnels, d'associations représentatives des auditeurs/spectateurs, etc.).
Parler de "médias d’État" a l'avantage de rappeler que la qualité de la production de ces médias (pluralisme, indépendance éditoriale, etc.) dépend du fonctionnement plus ou moins démocratique de l’État.
En attendant, parler de "médias publics" revient à faire de la langue de bois.
Ce dernier paragraphe est stupide. Faut lire vos forums Daniel...
Bonjour Mathieu,
Croyez bien que je les lis attentivement. Mais le "peut-être" de Bodin est une totale contre-vérité scientifique.
Lire attentivement la description de Jouzel. Aucune place pour le doute.
Croyez bien que je les lis attentivement. Mais le "peut-être" de Bodin est une totale contre-vérité scientifique.
Lire attentivement la description de Jouzel. Aucune place pour le doute.
N'ayant pas l'abonnement sur leur site, je me contenterai de la toute premiere question du figaro à Jouzel :
"LE FIGARO. - Le cyclone Irma, le plus puissant jamais vu sur l'Atlantique, a-t-il un lien avec le réchauffement climatique?
Jean JOUZEL. - Nous avons trop peu de recul pour répondre à cette question..."
Le réchauffement climatique est une évidence.
L'augmentation du nombre des phénomènes de fortes intensité est une évidence.
Il me semble pourtant scientifiquement impossible de prouver que Irma n'aurait pas eu lieu sans le réchauffement climatique. De la même façon qu'il est impossible de prouver le contraire.
Dans l'interview sur franceinfo il me semble aussi faire preuve de plus de prudence que ce que vous avancez.
"LE FIGARO. - Le cyclone Irma, le plus puissant jamais vu sur l'Atlantique, a-t-il un lien avec le réchauffement climatique?
Jean JOUZEL. - Nous avons trop peu de recul pour répondre à cette question..."
Le réchauffement climatique est une évidence.
L'augmentation du nombre des phénomènes de fortes intensité est une évidence.
Il me semble pourtant scientifiquement impossible de prouver que Irma n'aurait pas eu lieu sans le réchauffement climatique. De la même façon qu'il est impossible de prouver le contraire.
Dans l'interview sur franceinfo il me semble aussi faire preuve de plus de prudence que ce que vous avancez.
Je ne sais pas si ce peut-être est faux, mais je trouve ce "peut-être" de Bodin trouve ses équivalents dans :
Jouzel cité par @si hier :
" ça risque de préfigurer ce vers quoi nous allons dans un climat plus chaud. " qui n'est pas " ça préfigure"
" l'océan se réchaufferait de façon suffisante pour que l'intensité de ces cyclones continue à croître." un conditionnel qui n'est pas indicatif.
" Ils ne seront probablement pas plus nombreux, mais plus intenses."entre "probablement" et "peut-être ", il y a une si grande différence ?
Valérie Mason-Delmotte citée par @si hier :
"des cyclones d'une intensité plus grande sont l'une des conséquences attendues du changement climatique". Sans le mot "attendues", la phrase aurait un tout autre sens.
Les propos de Jouzel et Mason-Delmotte mettent des réserves. Et pourtant sur @si on lisait hier :
Une affirmation semblable à celle d'Anders Levermann, chercheur au Potsdam Institute for Climate Impact Research, qui déclarait à l'AFP, citée par Franceinfo : "Le changement climatique ne crée pas ces tempêtes mais il accentue leurs impacts". , également membre du GIEC, assure de son côté que Alors que là, il n'y a aucune réserve, et une sorte de confusion entre "intensité" et " impact" ( ce qui me parait étrange).
Du coup, je n'ai pas compris pourquoi Bodin se trouvait opposé à " Jouzel et les autres" comme s'ils formaient un bloc unanime, alors que c'est Levermann qui a un propos nettement tranché.
Jouzel cité par @si hier :
" ça risque de préfigurer ce vers quoi nous allons dans un climat plus chaud. " qui n'est pas " ça préfigure"
" l'océan se réchaufferait de façon suffisante pour que l'intensité de ces cyclones continue à croître." un conditionnel qui n'est pas indicatif.
" Ils ne seront probablement pas plus nombreux, mais plus intenses."entre "probablement" et "peut-être ", il y a une si grande différence ?
Valérie Mason-Delmotte citée par @si hier :
"des cyclones d'une intensité plus grande sont l'une des conséquences attendues du changement climatique". Sans le mot "attendues", la phrase aurait un tout autre sens.
Les propos de Jouzel et Mason-Delmotte mettent des réserves. Et pourtant sur @si on lisait hier :
Une affirmation semblable à celle d'Anders Levermann, chercheur au Potsdam Institute for Climate Impact Research, qui déclarait à l'AFP, citée par Franceinfo : "Le changement climatique ne crée pas ces tempêtes mais il accentue leurs impacts". , également membre du GIEC, assure de son côté que Alors que là, il n'y a aucune réserve, et une sorte de confusion entre "intensité" et " impact" ( ce qui me parait étrange).
Du coup, je n'ai pas compris pourquoi Bodin se trouvait opposé à " Jouzel et les autres" comme s'ils formaient un bloc unanime, alors que c'est Levermann qui a un propos nettement tranché.
Jean Jouzel :
"Ce cyclone Irma s'est nourri de vapeurs d'eau, depuis les côtes africaines, sur des eaux plus chaudes que d'habitude. L'Atlantique Nord est plus chaud que d'habitude, et c'est une des raisons de l'intensité de ce cyclone. C'est vraiment la chaleur, la température de surface de l'océan, des premières dizaines de mètres, qui fait qu'il y a plus d'évaporation, plus de vapeur d'eau dans ces masses d'air, et (..) c'est cela qui fait l'intensité des vents des cyclones. (...) Même si nous n'attribuons pas directement pour le moment, on ne peut pas le faire immédiatement en tout état de cause, ce cyclone aux activités humaines, il y a un lien avec le réchauffement, et ça risque de préfigurer ce vers quoi nous allons dans un climat plus chaud. Dans un réchauffement de quatre à cinq degrés, l'océan se réchaufferait de façon suffisante pour que l'intensité de ces cyclones continue à croître." D'où des phénomènes plus intenses, et donc "plus destructeurs". "Il faut tout faire pour limiter le réchauffement climatique et éviter des cyclones plus intenses, ajoute-t-il. Ils ne seront probablement pas plus nombreux, mais plus intenses."
Où est le doute ?
"Ce cyclone Irma s'est nourri de vapeurs d'eau, depuis les côtes africaines, sur des eaux plus chaudes que d'habitude. L'Atlantique Nord est plus chaud que d'habitude, et c'est une des raisons de l'intensité de ce cyclone. C'est vraiment la chaleur, la température de surface de l'océan, des premières dizaines de mètres, qui fait qu'il y a plus d'évaporation, plus de vapeur d'eau dans ces masses d'air, et (..) c'est cela qui fait l'intensité des vents des cyclones. (...) Même si nous n'attribuons pas directement pour le moment, on ne peut pas le faire immédiatement en tout état de cause, ce cyclone aux activités humaines, il y a un lien avec le réchauffement, et ça risque de préfigurer ce vers quoi nous allons dans un climat plus chaud. Dans un réchauffement de quatre à cinq degrés, l'océan se réchaufferait de façon suffisante pour que l'intensité de ces cyclones continue à croître." D'où des phénomènes plus intenses, et donc "plus destructeurs". "Il faut tout faire pour limiter le réchauffement climatique et éviter des cyclones plus intenses, ajoute-t-il. Ils ne seront probablement pas plus nombreux, mais plus intenses."
Où est le doute ?
Là est le doute :
Le Figaro. — Le cyclone Irma, le plus puissant jamais vu sur l'Atlantique, a-t-il un lien avec le réchauffement climatique ?
Jean Jouzel. — Nous avons trop peu de recul pour répondre à cette question.
http://www.lefigaro.fr/sciences/2017/09/07/01008-20170907ARTFIG00296-chaque-degre-supplementaire-donne-plus-d-energie-aux-cyclones.php https://www.pressreader.com/france/le-figaro/20170908/281633895391359
Le Figaro. — Le cyclone Irma, le plus puissant jamais vu sur l'Atlantique, a-t-il un lien avec le réchauffement climatique ?
Jean Jouzel. — Nous avons trop peu de recul pour répondre à cette question.
http://www.lefigaro.fr/sciences/2017/09/07/01008-20170907ARTFIG00296-chaque-degre-supplementaire-donne-plus-d-energie-aux-cyclones.php https://www.pressreader.com/france/le-figaro/20170908/281633895391359
Dans les trois nuances que je citais dans mon com' précédent.
Après, on pourrait même avoir d'autres doutes, plus grands pour moi, et qui sont au coeur des préoccupations d'@si :
- le choix pour une grande radio d'interroger son monsieur météo plutôt qu'un scientifique
- la formulation de la question par le journaliste pour "évacuer le sujet tout de suite"... ça, c'est énorme, ça annonce clairement la couleur : sur notre antenne, pas question d'établir un lien !
Si on avait l'esprit mal tourné, on pourrait imaginer que le journaliste ne VEUT pas que monsieur météo établisse un lien, du coup il lui demande " pour évacuer le sujet tout de suite" si l'ouragan (et non son intensité) est dû au réchauffement.
Et si au contraire on veut être bienveillant ( c'est la mode) on imagine que le pauvre monsieur météo essaie d'ouvrir une brèche dans la certitude sceptique qu'on l'incite à adopter en abordant la question de l'intensité ( qu'on ne lui a pas posée) et en risquant un "peut-être".
- et (mais là, c'est en me forçant un peu, pour ne pas faillir à ma sale manie de titiller) ... on pourrait aussi se demander pourquoi un site comme @si compare les propos d'un monsieur météo et des scientifiques comme s'ils étaient à égalité, ce qu'ils ne sont pas à coup sûr.
Ça pourrait contribuer à alimenter la confusion chère aux grands média entre "experts autoproclamés" et " vrai connaisseur".
Après, on pourrait même avoir d'autres doutes, plus grands pour moi, et qui sont au coeur des préoccupations d'@si :
- le choix pour une grande radio d'interroger son monsieur météo plutôt qu'un scientifique
- la formulation de la question par le journaliste pour "évacuer le sujet tout de suite"... ça, c'est énorme, ça annonce clairement la couleur : sur notre antenne, pas question d'établir un lien !
Si on avait l'esprit mal tourné, on pourrait imaginer que le journaliste ne VEUT pas que monsieur météo établisse un lien, du coup il lui demande " pour évacuer le sujet tout de suite" si l'ouragan (et non son intensité) est dû au réchauffement.
Et si au contraire on veut être bienveillant ( c'est la mode) on imagine que le pauvre monsieur météo essaie d'ouvrir une brèche dans la certitude sceptique qu'on l'incite à adopter en abordant la question de l'intensité ( qu'on ne lui a pas posée) et en risquant un "peut-être".
- et (mais là, c'est en me forçant un peu, pour ne pas faillir à ma sale manie de titiller) ... on pourrait aussi se demander pourquoi un site comme @si compare les propos d'un monsieur météo et des scientifiques comme s'ils étaient à égalité, ce qu'ils ne sont pas à coup sûr.
Ça pourrait contribuer à alimenter la confusion chère aux grands média entre "experts autoproclamés" et " vrai connaisseur".
Là, je biche. Je biche sévère.
Bravo.
Bravo.
Mais il n'y a rien dans ce que vous citez qui permets de dire que "le climatologue Jean Jouzel, sur une chaine de service public, à l'unisson de tous ses confrères, pulvérisait le "peut-être" par une démonstration limpide.", il ne pulvérise pas le "peut-être" il l'exprime de manière scientifique.
Température de l'eau élevé => plus de vapeur d'eau dans l'air => risques de cyclones plus intenses.
Ce n'est pas la même chose que de dire tel cyclone est du au changement climatique.
Pour le reste Bruanne a très bien expliqué ou se trouvent les problèmes !
Température de l'eau élevé => plus de vapeur d'eau dans l'air => risques de cyclones plus intenses.
Ce n'est pas la même chose que de dire tel cyclone est du au changement climatique.
Pour le reste Bruanne a très bien expliqué ou se trouvent les problèmes !
Oui mais, dans l'ombre du « peut-être » scientifique de Jean Jouzel se tapit une intuition qui ne laisse la place ni au doute, ni à l'ombre de celui-ci1.
1. « La faute du réchauffement climatique ? Le lien ne peut être établi scientifiquement de manière formelle, mais « intuitivement, on peut dire qu'il y a un lien de causalité », estime Jean Jouzel, » interrogé par Le Point.
1. « La faute du réchauffement climatique ? Le lien ne peut être établi scientifiquement de manière formelle, mais « intuitivement, on peut dire qu'il y a un lien de causalité », estime Jean Jouzel, » interrogé par Le Point.
Soyons honnête, la réponse de Jean Jouzel est alambiquée, la vérité est bien que l'on pense que l'intensité va augmenter, mais qu'actuellement on ne le mesure pas.
Pourquoi aucun média et scientifique ne parle de l'énergie cumulative des cyclones qui est le meilleur moyen de mesure que l'on dispose et qui ne montre pas d'augmentation d’intensité jusqu'à présent...
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89nergie_cumulative_des_cyclones_tropicaux
Pourquoi aucun média et scientifique ne parle de l'énergie cumulative des cyclones qui est le meilleur moyen de mesure que l'on dispose et qui ne montre pas d'augmentation d’intensité jusqu'à présent...
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89nergie_cumulative_des_cyclones_tropicaux
Suggestion : Saint-Martin étant partagée en 2 territoires, l'un français, l'autre néerlandais, il pourrait être intéressant de comparer les traitements médiatiques dans les deux pays.
Pour être plus conséquents, ces médias publics pourraient s'abstenir de taper, à longueur d'émissions, sur ceux qui prétendent conserver les moyens de la solidarité nationale en qualifiant ces personnes de défenseurs radicaux d'un archaïsme affreux, qui refusent la soi-disante modernité du chacun pour soi et de la responsabilité individuelle.
Oui, je remarquais ce matin le grand retour du pillard dans les dépêches lues. Ma foi, des magasins la gueule grande ouverte sans personne dedant, c'est tentant, non ? Perso, ma résistance serait à l'épreuve, pas vous, chers journalistes ?
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De la différence de traitement des questions environnementales entre médias privés et médias publics, on ne saurait trop recommander la lecture du livre de Suzanne de Cheveigné qui compare le traitement des inondations vues par TF1 et France 2 : https://questionsdecommunication.revues.org/6517
Rien n'a changé : solidarité d'un côté, individualisme de l'autre !
Rien n'a changé : solidarité d'un côté, individualisme de l'autre !
C'est d'une clarté et d'une simplicité. C'est parfait pour le matin. Pas besoin de polémique, juste mettre côte à côte, et regarder.
Deux points de vue à la même heure qui ne racontent pas la même histoire. Et c'est notre regard qui se trouve questionné.
Merci pour cette chronique qui en dit long sur les petits détails.
Deux points de vue à la même heure qui ne racontent pas la même histoire. Et c'est notre regard qui se trouve questionné.
Merci pour cette chronique qui en dit long sur les petits détails.
Daniel Schneidermann qui dit du bien de Thomas le grand !!!!!
Vite, faut prévenir Thomas !
; )
Vite, faut prévenir Thomas !
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